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1

La nouvelle université : réponse à la thèse du naufrage de l'université de Michel Freitag

Tremblay, Thomas January 2008 (has links) (PDF)
Nous proposons un essai traitant du rôle de l'université d'aujourd'hui. Pour articuler notre étude, nous avons choisi de critiquer la thèse de Michel Freitag présentée dans Le naufrage de l'université. Selon cet auteur, le rôle fondamental de l'université serait d'orienter réflexivement la civilisation. Constatant l'effritement de sa capacité à élaborer une normativité civilisatrice, l'auteur déclare donc le naufrage de l'université en tant qu'institution. Cette étude critique la position de Freitag en fonction du modèle universitaire auquel il se rattache. Le rôle de l'université y est questionné. Doit-elle nécessairement contribuer au développement d'une transcendance normative pour remplir son rôle d'institution? Nous sommes d'avis que non. Pour bien défendre cette position, cet essai présente trois théories qui placent la finalité de l'université dans la subjectivité. À l'aide de la théorie de la postmodernité de Jean-François Lyotard, il est possible de comprendre que l'université d'aujourd'hui correspond aux vérités théoriques de la postmodernité. Au sens de cette théorie, l'université doit répondre aux exigences mouvantes de la subjectivité. Par la suite, à l'aide de la théorie de la démocratie de Jacques Rancière, nous avons pu démontrer que la nouvelle université d'aujourd'hui répondait aux conditions de la démocratie réelle au plus près de la vie. Au sens de cette théorie, l'université doit chercher à se définir en fonction des subjectivités qui la fréquentent pour être réellement démocratique. Finalement, nous avons présenté la théorie phénoménologique de Michel Henry qui soutient que l'essence de toute chose s'exprime dans sa manifestation. Au sens de cette théorie, l'université existerait seulement dans les relations subjectives qu'elle entretient avec les individus qui la fréquentent. En s'inscrivant contre l'idée d'un naufrage de l'université, nous soutenons donc la thèse selon laquelle la nouvelle université se définit maintenant en puisant dans la subjectivité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Michel Freitag, Université, Modernité, Normativité, Postmodernité, Subjectivité.
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Le totalitarisme, ou, Le meurtre du langage

Nguyen, Minh Quang January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à situer les conséquences de l'émergence de différentes formes de totalitarisme sur le langage. L'épistémologie et la méthode de travail qui sous-tendent ce travail théorique sont fortement inspirées de la pensée politique d'Hannah Arendt et de la sociologie dialectique de Michel Freitag. La réflexion théorique présentée dans ces pages montre d'abord, à partir d'une analyse arendtienne du totalitarisme, que ce dernier est caractérisé par une forme de domination totale sur la vie humaine et qu'il permet le déploiement de deux moments du mal: le mal radical et la banalité du mal. Le mal radical renvoie à l'idée de rendre la vie humaine superflue alors que la banalité du mal renvoie à l'absence de pensée. Nous verrons dès lors que le mal est une sortie de l'humanité par l'humain. Par la suite, nous ferons le lien entre le langage, l'humain et la pluralité humaine. Ce faisant, nous serons en mesure de penser le langage dans sa relation à l'être humain nous permettant ainsi de saisir conceptuellement ce que signifie l'humanité. Dans les troisième et quatrième chapitres, nous analyserons les modalités par lesquelles le langage se déploie dans les contextes totalitaires du 20e siècle puis dans le contexte postmoderne. L'hypothèse que nous soutenons dans ce mémoire est que toutes formes de totalitarisme, pour exercer une domination totale sur le corps social, doit perpétrer un crime que nous appelons le « meurtre du langage ». Les résultats de notre analyse sont multiples. II est question d'un meurtre parce que le langage est quelque chose de vivant. II est aussi question de meurtre parce qu'un langage humain permet au sujet d'entrer réflexivement en rapport avec le monde et avec lui-même, chose que la logique totalitaire veut annuler. L'ingénierie linguistique perpétrée par les totalitarismes viserait donc à annuler cette dimension du langage en orchestrant une refonte linguistique radicale. Cependant, le meurtre du langage n'est pas quelque chose de final, puisque contrairement à des formes de vies biologiques, le langage est une forme de vie qui ne peut que mourir si elle est oubliée des hommes. Dans ce sens, le meurtre du langage est un processus réversible. Et c'est parce que c'est réversible qu'il est important de saisir conceptuellement le modus operandi de ce crime. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Totalitarisme, Langage, Hannah Arendt, Michel Freitag, Nazisme, Postmodernité, Propagande.
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La technoscience dans la théorie sociologique de Michel Freitag : de l'adoption d'une norme opérationaliste à l'autonomie de la technique

Joly, Caroline 01 1900 (has links) (PDF)
Le néologisme « technoscience » est généralement évoqué pour décrire une mutation du rapport que la science contemporaine entretient avec la technique. La transformation à laquelle réfère ce terme consiste alors en ceci : la science contemporaine a abandonné son entreprise de se constituer en explication générale du monde phénoménal, et se caractérise désormais par le souci d'efficacité et par l'omniprésence des techniques. Si la colonisation de l'activité scientifique par des impératifs technicistes est généralement acceptée comme étant ce qui constitue la nouveauté du phénomène de la technoscience, la réalité technicienne de la science contemporaine a cependant été appréhendée de différentes façons. Parmi celles-ci figure le thème de l'autonomie de la technique. Selon cette interprétation, la technoscience serait un processus par lequel la technique s'émanciperait de toute forme d'emprise humaine et deviendrait complètement autonome. Suivant cette perspective, la technique ne serait plus au service de l'homme, mais imposerait plutôt ses lois à ceux qui l'ont créée. Dans le cadre du présent mémoire, nous nous intéresserons à la position défendue par le sociologue Michel Freitag. En nous appuyant sur les principaux ouvrages et textes de son œuvre, nous observerons que sa théorie générale empêche à plusieurs égards d'appréhender la technoscience à la lumière de la thèse de l'autonomie de la technique. D'une part, nous verrons que la technicité est selon lui une activité essentielle de toute existence subjective dans le monde en ce qu'elle permet au sujet de s'adapter efficacement aux conditions hostiles de son milieu. D'autre part, tout rapport humain au monde étant selon lui médiatisé par le symbolique, nous constaterons que ce n'est qu'en étant elle-même médiatisée symboliquement que l'efficacité visée par l'activité technique peut être accomplie. Comme la théorie défendue par Freitag ne lui permet pas d'associer la technoscience à l'émancipation de la technique par rapport à toute forme d'emprise humaine, nous verrons que ce sera plutôt l'adoption d'une norme techniciste et pragmatique suite à la dissolution des idéaux qui orientaient a priori la science qui constituera pour lui la nouveauté de la technoscience. Nous constaterons cependant qu'en dépit de sa théorie du symbolique qui intègre la technicité en tant que modalité ontologique de la pratique humaine, Freitag en viendra lui-même à admettre que la technoscience conduit à l'autonomie de la technique. C'est cette contradiction des idées défendues par Freitag à propos de la technoscience que notre mémoire tentera d'exposer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : science, technique, technoscience, modernité, capitalisme, société contemporaine, sociologie de Michel Freitag, brevet
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Essai d'interprétation de la théorie de Michel Freitag sur le capitalisme et la postmodernité : du capitalisme industriel à la révolution managériale et organisationnelle

Gauthier, Marc-André 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Ce mémoire est un essai d'interprétation de la sociologie de Michel Freitag. Il vise à reconstituer l'unité de la théorie du capitalisme à partir de la révolution industrielle jusqu'à sa révolution managériale et organisationnelle et à éclaircir le lien qui s'y noue avec la théorie de la postmodernité. Communément associée aux aspects de la productivité et des rapports sociaux de production, la véritable dimension révolutionnaire du capitalisme résiderait plutôt selon Freitag dans la nature de ses innovations relatives au contrôle de la pratique humaine. Il y envisage en ce sens l'inauguration historique d'une nouvelle dynamique sociétale globale formellement fondée sur un mode de reproduction décisionnel et opérationnel des pratiques sociales. Le déploiement autonomisé de cette réalité "économique" contradictoire au procès historique de constitution des sociétés modernes entraînera l'Occident dans une crise d'ampleur civilisationnelle, une crise marquant pour Freitag l'origine de la transition postmoderne de la société. La tentative politique sociale-démocratique de résolution de la crise débouchera ainsi sur nouveau mode de gestion technocratique de la société. Mais c'est à la révolution managériale et organisationnelle que nous devons plus directement attribuer les racines de la dynamique sociétale contemporaine, une dynamique où c'est le système des organisations qui prend en charge l'intégration des pratiques sociales en lieu et place des institutions universalistes modernes.
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L'organisation : un essai de définition

Bres, Luc 12 April 2018 (has links)
Bien que l'organisation donne lieu à un champ de connaissance spécifique, la définition de cet objet théorique sous forme d'énoncé synthétique constitue un problème récurrent. Après avoir mis en évidence un savoir normalisé, dans ce que nous aurons défini comme la théorie des organisations, nous pourrons identifier une liste de définitions représentatives du champ. L'analyse de cette liste éclairera les difficultés qui ont pu être rencontrées par les théoriciens pour définir l'organisation et les stratégies mises en place pour y faire face. Ceci nous conduira à proposer une stratégie alternative : dans la théorie générale des sociétés de Michel Freitag, nous irons chercher un surplomb sociohistorique pour mieux comprendre les organisations. Ancrés dans cette perspective globale, nous serons à même d'échafauder concrètement une définition et sa formulation qui permettent de saisir l'organisation dans ses aspects les plus postmodernes, c'est-à-dire, à bien des égards, les plus actuels.
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Le journalisme et la désymbolisation du monde pour une critique dialectique de la crise contemporaine du journalisme

Martin, Éric January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à resituer la crise contemporaine du journalisme dans un contexte de mutation des sociétés politico-institutionnelles vers le modèle opérationnel-décisionnel propre à l'horizon idéal-typique des sociétés dites « postmodernes », d'après la sociologie critique du journalisme de Jean Pichette, professeur à l'École des médias de l'UQAM et la sociologie politique dialectique de Michel Freitag, professeur associé au département de sociologie de l'UQAM. La réflexion théorique présentée dans les pages qui suivent montre d'abord que les critiques contemporaines du journalisme dites « de gauche » les plus répandues se trouvent dans une impasse qui les conduit ou bien à une position idéaliste abstraite, ou encore à un antidémocratisme latent, tenté d'être hostile à toute forme institutionnelle ainsi qu'à toute représentation symbolique du monde, assimilées au Pouvoir et à la domination. En deuxième et troisième partie, nous tâchons de dépasser dialectiquement l'impasse de la critique actuelle en réintroduisant le concept hégélien de médiation et l'idée de l'existence de la société comme totalité. Cela permet, d'une part, d'éclairer les problèmes ontologiques sous-jacents (mais rarement explicités) chez les critiques dites « radicales ». Cela permet ensuite d'historiciser la crise du journalisme dans un contexte de désymbolisation du monde, c'est-à-dire de dissolution des médiations symboliques et politico-institutionnelles par un processus d'instrumentalisation du langage, celui-ci étant livré à des puissances économiques et technologiques qui tendent à s'autonomiser et à s'autofinaliser. Nous concluons en ébauchant une proposition de critique qui prend acte du caractère fétichiste (Marx) des rapports sociaux dans le capitalisme et du caractère symbolique indépassable de tout rapport humain au monde, de tout engagement humain dans le monde. Cela implique que la critique qui cherche à « libérer » le journalisme de la domination du Pouvoir (économique et politique) doit également reconnaître qu'elle ne saurait triompher via le « rapport de force » immédiat, et qu'elle doit au contraire inscrire son propos et son action dans le respect des formes ontologiques, symboliques et politiques constitutives du monde humain, faute de quoi elle risque de participer elle-même à l'avènement d'une société du silence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Journalisme, Dialectique, Symbolique, Michel Freitag, Jean Pichette.
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La crise des sciences chez Edmund Husserl et Michel Freitag

Gendreau-Beauchamp, Geneviève January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la crise des sciences, telle que l'ont analysée Edmund Husserl et Michel Freitag, selon leurs points de vue respectifs. Dans la foulée d'un renouveau d'intérêt pour la phénoménologie en sciences sociales, nous souhaitons éclairer les liens que ces deux auteurs font entre la science, la société et l'histoire. Ce mémoire s'inscrit donc dans le sillage des réflexions et des préoccupations sur l'avenir de la science, remontant pour ce faire aux sources de celle-ci, selon la démarche en ce sens commune aux deux auteurs. Dans un premier temps, une réflexion sur les implications herméneutiques du mémoire permettra de montrer qu'en posant la question spécifique de la crise des sciences, nous évitons une comparaison en termes historiques ou disciplinaires, voire psychologiques. Cet aspect d'interdisciplinarité transparaîtra donc dans la nécessité d'une épistémologie sociologique herméneutique. Dans un deuxième temps, nous verrons que des éléments de réflexion sur les rapports entre la science et la société, ainsi que la science et l'histoire, se retrouvent chez les deux auteurs. En s'interrogeant sur les sources de l'objectivité, ils démontrent que celle-ci n'appartient pas exclusivement à la science ou, plutôt, que l'objectivité scientifique ne saurait se fonder elle-même, mais qu'elle renvoie en tous les cas au monde préscientifique. Ils s'intéressent par le fait même aux présupposés de la science, affirmant que l'objectivité n'est jamais donnée d'emblée, mais qu'elle est toujours dérivée du monde vécu, qu'elle se présente comme une idéalisation, une abstraction. Dans un troisième temps, le concept d'idéalisation sera plus substantiellement défini, d'abord par un survol de la pensée de Husserl concernant l'histoire des sciences, des origines « intuitives » de la géométrie, puis de la mathématisation de la nature par la physique galiléenne. La notion de « substruction » sera mise de l'avant comme étant la principale cause de la crise du sens des sciences modernes. En exposant les principales critiques que Freitag formule à l'égard des diverses épistémologies existantes, nous mettrons en lumière les lacunes et les inconsistances ontologiques du discours objectiviste en général et sociologique en particulier. Husserl et Freitag proposent des solutions certes différentes à la crise des sciences, qui consistent à remettre à sa juste place l'objectivité, notamment en reconnaissant le caractère fondateur du monde vécu et donc de la subjectivité humaine. Ils soulignent ainsi l'importance de la normativité et conservent également un idéal de connaissance objective. Enfin, nous nous attarderons sur les notions d'historicité de la connaissance, soulignant que Husserl et Freitag convergent à ce sujet en affirmant un soubassement intuitif de la science et de tout type de connaissance dans le monde vécu, mais en échappant à un constat relativiste où vérité et rationalité deviendraient inconcevables. Par la notion husserlienne d'a priori de l'histoire, et celle de modes de reproduction sociétale freitagiennes, tous deux ont véritablement tenté de penser l'historicité de la connaissance et du monde en évitant de tomber dans l'historicisme. Par des moyens différents, ils en sont aussi venus à poser le caractère historique au sens fort, voire même téléologique, de la pensée elle-même, soulignant ainsi l'inéluctable enchevêtrement de l'ontologique, de l'historique et du philosophique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Conceptualisation, Épistémologie, Historicité, Idéalisation, Mathématisation, Monde de la vie, Normativité, Objectivation, Objectivité, Ontologie, Rationalité, Relativisme, Sciences modernes, Sciences sociales, Subjectivité, Transcendantal.
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La spécificité de l'humain dans le vivant : entre continuité et discontinuité, pour une compréhension de l'articulation nature/culture chez Michel Freitag et Cornelius Castoriadis

Gagnon, Louis-Gilles 05 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est de comprendre la spécificité de l'humain en tant qu'il fait intégralement partie du vivant. Pour dépasser le réductionnisme positiviste, nous proposerons une conception dialectique de la nature humaine. Pour ce faire, deux auteurs seront étudiés : le sociologue Michel Freitag et le philosophe Cornelius Castoriadis. Il sera d'abord question d'élaborer la position réaliste-dialectique à travers laquelle nous pourrons interpréter ces deux auteurs dans l'optique de notre problématique. Nous appréhenderons ainsi le rapport d'objectivation comme modalité de compréhension de la subjectivité et de l'évolution. À partir de ce concept central, nous pourrons comparer les modes d'être de l'animal et de l'humain pour les différencier, et ce, chez chaque auteur étudié. Avec Michel Freitag, nous verrons l'objectivation symbolique comme spécificité de l'humain qui est, chez lui, opposée à l'objectivation sensori-motrice de l'animal. Nous verrons ensuite, avec Cornelius Castoriadis, l'imaginaire radical comme spécificité de l'humain. Il sera question des différences entre la psyché animale et la psyché humaine. Nous clôturerons le tout en effectuant une rencontre entre les concepts d'imaginaire et de symbolique propre à chaque auteur. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rapport individu/société, Réalisme-dialectique, Rapport d'objectivation, Médiation symbolique, Médiation sensori-motrice, Évolution, Dualité nature/culture, Monde pour-soi, Imaginaire, Imagination, Psyché.

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