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Éléments structurants de la confiance et relation avec la performance dans une universite publique mexicaine

Ramirez Alcantara, Hilda Teresa Savall, Henri. Fernández Ruvalcaba, Margarita. January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences de gestion : Lyon 3 : 2006. Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences de gestion : Université Autonome Métropolitaine de Mexico, Iztapalapa : 2006. / Le vol. 2 est une synthèse en français. Thèse soutenue en co-tutelle. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Sociabilités ordinaires, réseaux sociaux et médiation des technologies de communication

Smoreda, Zbigniew 06 October 2008 (has links) (PDF)
La forte croissance des Technologies d'Information et de Communication (TIC) constitue un défi, tant pour les études qui portent sur la sociabilité que pour celles qui traitent des usages de ces technologies. Elle oblige en fait à réinterroger des méthodologies et des analyses sociologiques qui se sont jusqu'alors principalement fondées autour de la sociabilité en face-àface. Le travail présenté retrace l'historique des recherches conduites par l'auteur depuis dix ans sur les pratiques de communication outillées par les TIC. Il pose les hypothèses développées autour des liens entre la sociabilité et le téléphone fixe, puis il examine les effets de la popularisation des moyens de contact mobiles et individualisés tels que le téléphone cellulaire sur les pratiques de communication interpersonnelle. Il s'achève avec des questions méthodologiques et un regard sur des recherches plus récentes qui s'efforcent de saisir la sociabilité à travers l'ensemble des contextes et des moyens technologiques de communication largement diffusés ces dernières années. L'articulation entre médias de communication et sociabilités est modifiée par la transformation du paysage technologique actuel. Même s'ils ne les conditionnent ni ne les déterminent, les outils de communication posent les cadres d'interaction dans lesquels sont entretenus les liens sociaux. Les manières de construire, d'administrer et d'alimenter ces liens sont étroitement entrelacées avec l'outillage qui médiatise les contacts. Au même moment, une forte corrélation entre rencontres en face-à-face et appels échangés avec les proches est observée. Ce constat reste d'ailleurs valable pour l'ensemble des nouveaux outils de communication. Les recherches montrent que chaque nouveau service de communication adopté s'inscrit dans l'économie relationnelle globale, en augmentant le nombre des possibilités de tisser le lien. Il n'y a donc pas de substitution entre les différents outils de contact, mais des agencements continuels au fur et à mesure que les nouveaux instruments de communication apparaissent et sont insérés dans la partition qui fait vivre les liens interpersonnels. L'inscription des TIC dans les pratiques sociales est aujourd'hui si forte qu'il devient difficile de pouvoir analyser des interactions, des liens ou des réseaux sociaux, sans prendre en compte les outils techniques qui les épaulent, les orientent et les cadencent. En particulier, le passage vers les outils de communication mobiles et délocalisés, par rapport aux lieux habituels de présence outillée (maison, bureau.), transforme en partie notre accessibilité aux autres. Les nouveaux usages relationnels, lourdement instrumentés en outils de communication, favorisés par le recours aux dispositifs de communication portables, particulièrement adaptés à des enjeux de coordination, s'appuient sur le développement et le recours croissant aux messageries (email, SMS, IM). Même si ces technologies allègent les contraintes de disponibilité que les TIC font peser sur les acteurs en permettant une réponse différée aux sollicitations, la multiplication des échanges médiatisés fait croître la pression d'une nouvelle cadence relationnelle. Cette imbrication du " réel " et du " virtuel " dans la sociabilité de tous les jours risque de produire des formes de contrôle et des manières de gérer sa propre joignabilité inédites et à terme reconstruire les rythmes et les normes relationnels
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Sociabilités ordinaires, réseaux sociaux et médiation des technologies de communication / Everyday sociability, social networks and ICTs

Smoreda, Zbigniew 06 October 2008 (has links)
La forte croissance des Technologies d'Information et de Communication (TIC) constitue un défi, tant pour les études qui portent sur la sociabilité que pour celles qui traitent des usages de ces technologies. Elle oblige en fait à réinterroger des méthodologies et des analyses sociologiques qui se sont jusqu'alors principalement fondées autour de la sociabilité en face-àface. Le travail présenté retrace l'historique des recherches conduites par l'auteur depuis dix ans sur les pratiques de communication outillées par les TIC. Il pose les hypothèses développées autour des liens entre la sociabilité et le téléphone fixe, puis il examine les effets de la popularisation des moyens de contact mobiles et individualisés tels que le téléphone cellulaire sur les pratiques de communication interpersonnelle. Il s'achève avec des questions méthodologiques et un regard sur des recherches plus récentes qui s'efforcent de saisir la sociabilité à travers l'ensemble des contextes et des moyens technologiques de communication largement diffusés ces dernières années. L'articulation entre médias de communication et sociabilités est modifiée par la transformation du paysage technologique actuel. Même s'ils ne les conditionnent ni ne les déterminent, les outils de communication posent les cadres d'interaction dans lesquels sont entretenus les liens sociaux. Les manières de construire, d'administrer et d'alimenter ces liens sont étroitement entrelacées avec l'outillage qui médiatise les contacts. Au même moment, une forte corrélation entre rencontres en face-à-face et appels échangés avec les proches est observée. Ce constat reste d'ailleurs valable pour l'ensemble des nouveaux outils de communication. Les recherches montrent que chaque nouveau service de communication adopté s'inscrit dans l'économie relationnelle globale, en augmentant le nombre des possibilités de tisser le lien. Il n'y a donc pas de substitution entre les différents outils de contact, mais des agencements continuels au fur et à mesure que les nouveaux instruments de communication apparaissent et sont insérés dans la partition qui fait vivre les liens interpersonnels. L'inscription des TIC dans les pratiques sociales est aujourd'hui si forte qu'il devient difficile de pouvoir analyser des interactions, des liens ou des réseaux sociaux, sans prendre en compte les outils techniques qui les épaulent, les orientent et les cadencent. En particulier, le passage vers les outils de communication mobiles et délocalisés, par rapport aux lieux habituels de présence outillée (maison, bureau.), transforme en partie notre accessibilité aux autres. Les nouveaux usages relationnels, lourdement instrumentés en outils de communication, favorisés par le recours aux dispositifs de communication portables, particulièrement adaptés à des enjeux de coordination, s'appuient sur le développement et le recours croissant aux messageries (email, SMS, IM). Même si ces technologies allègent les contraintes de disponibilité que les TIC font peser sur les acteurs en permettant une réponse différée aux sollicitations, la multiplication des échanges médiatisés fait croître la pression d'une nouvelle cadence relationnelle. Cette imbrication du « réel » et du « virtuel » dans la sociabilité de tous les jours risque de produire des formes de contrôle et des manières de gérer sa propre joignabilité inédites et à terme reconstruire les rythmes et les normes relationnels / The impressive growth of Information and Communication Technologies (ICT) in the last decade constitutes a challenge both for social studies on sociability and on ICT usage. It demands to put methodologies and sociological analysis that have mainly been developed for the study of face-to-face interactions into question. The work presented here traces the history of research on communication practices undertaken by the author for more than a decade. The text presents the hypotheses developed about the links between social contacts and telephone usage and then examines the effects of the popularisation of mobile and individual devices such as cell phones on the practices of interpersonal communications. It concludes with a discussion of methodological issues and looks at more recent research that tries to study sociability across all the various contexts and communication technologies that became widely disseminated in recent years. The relationship between communication technologies and sociability has been changed by the current transformation of the technological landscape. Even if the technologies mentioned neither determine nor totally control social action the new communication technologies lay the framework wherein social bonds are created and maintained. Ways to build, manage and nurture those relationships are closely intertwined with the technologies that mediate contacts. At the same time face-to-face contacts and phone calls are often highly correlated. This is also true for the new communication tools. Research undertaken by the author shows that each new communication service has been adopted in a more global relational economy thus increasing the number of opportunities to forge social links. Hence the new communication technologies are not substituting the older ones but a continuous, mutual and stepwise re-adaptation can be observed as new communication technologies arrive and get integrated into the social partition that guides the music of link. Today’s integration of ICTs into social practices seems to be particularly intense so that it becomes doubtful to analyse social interactions, links or networks without taking into account the technologies that provide support, guide and give them their rhythm. In particular, the transition towards mobile and ubiquitous communication technologies can transform our accessibility if we compare with their use at the usual places of technology-supported presence, like the home or the office. The new technology-heavy relational practices are based on the increasing use of text messaging (email, SMS, IM). Even though these technologies reduce the availability constraints inherent to ICTs by allowing a asynchronous response to contact solicitations the proliferation of mediated contacts increases the pressure exercised by a new relational pace. This interweaving of the “real” and the “virtual” in everyday sociability may bring about new forms of individual control and ways to manage individual reachability. In the long run it might reconfigure the relational rhythms and social norms
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Le journalisme et la désymbolisation du monde pour une critique dialectique de la crise contemporaine du journalisme

Martin, Éric January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à resituer la crise contemporaine du journalisme dans un contexte de mutation des sociétés politico-institutionnelles vers le modèle opérationnel-décisionnel propre à l'horizon idéal-typique des sociétés dites « postmodernes », d'après la sociologie critique du journalisme de Jean Pichette, professeur à l'École des médias de l'UQAM et la sociologie politique dialectique de Michel Freitag, professeur associé au département de sociologie de l'UQAM. La réflexion théorique présentée dans les pages qui suivent montre d'abord que les critiques contemporaines du journalisme dites « de gauche » les plus répandues se trouvent dans une impasse qui les conduit ou bien à une position idéaliste abstraite, ou encore à un antidémocratisme latent, tenté d'être hostile à toute forme institutionnelle ainsi qu'à toute représentation symbolique du monde, assimilées au Pouvoir et à la domination. En deuxième et troisième partie, nous tâchons de dépasser dialectiquement l'impasse de la critique actuelle en réintroduisant le concept hégélien de médiation et l'idée de l'existence de la société comme totalité. Cela permet, d'une part, d'éclairer les problèmes ontologiques sous-jacents (mais rarement explicités) chez les critiques dites « radicales ». Cela permet ensuite d'historiciser la crise du journalisme dans un contexte de désymbolisation du monde, c'est-à-dire de dissolution des médiations symboliques et politico-institutionnelles par un processus d'instrumentalisation du langage, celui-ci étant livré à des puissances économiques et technologiques qui tendent à s'autonomiser et à s'autofinaliser. Nous concluons en ébauchant une proposition de critique qui prend acte du caractère fétichiste (Marx) des rapports sociaux dans le capitalisme et du caractère symbolique indépassable de tout rapport humain au monde, de tout engagement humain dans le monde. Cela implique que la critique qui cherche à « libérer » le journalisme de la domination du Pouvoir (économique et politique) doit également reconnaître qu'elle ne saurait triompher via le « rapport de force » immédiat, et qu'elle doit au contraire inscrire son propos et son action dans le respect des formes ontologiques, symboliques et politiques constitutives du monde humain, faute de quoi elle risque de participer elle-même à l'avènement d'une société du silence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Journalisme, Dialectique, Symbolique, Michel Freitag, Jean Pichette.
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Comprendre la stabilité politique du régime monarchique au Maroc. La centralité de l'expression discursive royale

Erraamouche, Amina 20 June 2018 (has links)
C’est pour essayer de répondre, au moins partiellement, à la question qui nous a interpellée pendant les soulèvements arabes de 2011 lorsque le système socio-politique de très nombreux pays arabes a été submergé par la contestation sociale, à l’exception du Maroc où seules desmobilisations timides conduites par le M20F se sont produites, que nous avons élaboré ce travail de recherche doctorale. Les manifestations marocaines qui démarrèrent à partir du mois de février se sont néanmoins taries pour s’arrêter progressivement lors du mois d’octobre 2011. Durant cette période, l’institution royale vécut des moments pénibles, prête à toutes les stratégies aussi bien sur le plan national qu’international, pour faire perdurer son régime.La version officielle prétend que la stabilité du système monarchique marocain revient au fait que le Palais a enclenché des réformes profondes et durables (démocratie/développement), depuis l’accession de Mohammed VI au pouvoir en 1999.Si l’on admet que cette version soit vraie, comment peut-on dès lors expliquer que le Maroc ne cesse de dégringoler dans le classement mondial opéré par l’ONU sur le plan du développement humain, relégué d’après le PNUD (Rapport sur le développement humain de 2016) au 123ème rang, derrière la plupart des pays des soulèvements arabes (Tunisie :97e rang et Égypte :111e rang) ?Cela nous autorise à penser que le tandem démocratie/développement en termes de politiques menées est loin d’avoir été les pierres angulaires de cette stabilité. Notre recherche tentera dès lors d’examiner quelles sont les causes les plus profondes de la stabilité du régime monarchique marocain. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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S’exposer en inquiétude. Le sujet fait et défait avec les médiations nouvelles sur sa santé

Romijn, François 24 April 2018 (has links)
Dans ce travail de recherche, nous sommes parti du constat que l’humain est de plus en plus souvent inscrit dans des contextes où lui est accessible un savoir nouveau – permis par les avancées technologiques et scientifiques – portant sur sa vie biologique. A portées de mains ou de clics, de plus en plus de données objectivantes sur son intériorité biologique éprouvent l’individu confronté à de nouvelles inquiétudes qu’il doit traverser. Nous avons interrogé ce phénomène de société en cherchant à préciser la variété des mouvements lui permettant d’intégrer ces données qui s’accompagnent d’une prétention à un réalisme fort. Nous proposons une approche sociologique renouvelant l’analyse des usages individuels de trois médiations situées dans le champ de la santé (consultation médicale, l’usage du web en matière de santé, l’usage de tests génomiques). Notre approche s’articule à un questionnement anthropologique singulier :Comment la personne s’arrange-t-elle de situations dans lesquelles elle est mise en relation non plus seulement avec d’autres humains mais au premier titre avec des données objectivantes relatives à son intériorité biologique ?Cette question anthropologique invite à porter au moins autant d’attention à ce qui nous relie à autrui et à notre environnement, qu’aux façons dont l’humain assure une continuité avec lui-même dans des situations où le vivant pose question. Nous privilégions l’usage d’outils sociologiques qui sous-tendent une conception plurielle du sujet et qui ne circonscrivent pas trop vite l’analyse à une conception de l’action et de la subjectivité comme d’emblée écrasée par une présomption stratégique ou managériale. Notre analyse pragmatique de l’exposition de l’inquiétude du sujet en train de se faire et de se défaire met notamment en exergue le caractère marginal de l’autonomie – comme prise en charge de soi éclairée par une connaissance partagée qui le rend disponible pour le débat public. Sur les trois sites enquêtés, l’examen attentif du maintien du sujet mis à l’épreuve de l’inquiétude tire l’analyse vers la nature composite des conduites. Plutôt que de considérer le caractère ambivalent, équivoque et parfois carrément ambigu de l’action comme un échec de l’analyse, ce travail de recherche contribue à une approche de la composition dans le rapport à soi et à autrui. / This work originates in the observation that individuals are more than ever before involved in contexts where new knowledge about their biological life – produced by the technological and scientific progresses – are directly accessible to them (about their bodies, neurons, genes). Within easy reach, an ever-growing number of objectifying signs and data related to the biological self puts the individuals to test. They are confronted to inquietudes they have to cope with. We are investigating this societal phenomenon in a manner that the very diverse movements allowing the individual to integrate these data can be precised. Building on an anthropological problematic questioning how human beings find arrangements with situations in which they are not only confronted to others but also with objectifying data related to their biological life, the research focuses on the dynamics of individual users integrating the findings made while using three different health-related mediations (the classic medical examination, health-related information on the Internet, health-related direct-to- consumer genomic tests). We adopt a set of complementary sociological tools based on a plural conception of the subject; which do not limit the analysis of the action ‘taking place’ in a situation as guided only by a strategic or a managerial assumption.Through a pragmatic approach of the uneasiness exposed, we shed light on insightful dynamics irreducible to the often expected autonomy of an individual taking decisions informed by a shared knowledge required to participate to public debates. A careful analysis of the subject’s action highlights dynamics that have received little attention with regards to ‘what is worth in a given situation’. Moving from a fieldwork to another, we did not focus on the action’s heterogeneity as much as the way the individual brings together different positions that s/he can hold in order to arrange with these discoveries related to one’s biology. On the three sites investigated, the examination of the subject’s consistence draws the analysis toward the composite nature of the action. Rather than considering the equivocal features and sometimes the outright ambiguity of the conducts as a failure of the analysis, our research effort contributes achieving a better understanding of the pervasiveness of composition in our relationship to our self and the others in the social context related to biology. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Par l’entremise d’une pratique réflexive, de quelle manière le professeur et l’étudiant inscrit en TREMPLIN DEC peuvent-ils utiliser les TIC de façon éthiquement responsable pour renouveler et améliorer l’enseignement de la philosophie au collégial?

Robert, Rémi January 2018 (has links)
Le début des années 2000 marque l’émergence des technologies de l’information et de la communication (TIC) et du web 2.0 dans le réseau collégial québécois. Dans la foulée de ce progrès technologique, la présence des TIC a modifié la manière d’apprendre le savoir disciplinaire de l’étudiant, tout en permettant au professeur de repenser sa pédagogie dans le but de la rendre plus interactive. Au départ, la miniaturisation des appareils a été une source d’émulation pour les innovateurs, mais aussi de crainte pour les tenants d’un enseignement traditionnel. Encore aujourd’hui, cette dualité repose sur des convictions professionnelles divergentes à l’égard de ce que devrait être l’enseignement de la philosophie. Cette thèse a pour objectif de démontrer qu’en développant leur sentiment de compétence respectif, le professeur et l’étudiant du profil Tremplin DEC doivent faire un usage éthiquement responsable des technologies de l’information et de la communication pour améliorer l’enseignement de la philosophie au collégial et renouveler du même coup l’apprentissage disciplinaire. À terme, la valorisation de la techno pédagogie permettrait de responsabiliser davantage l’étudiant à l’égard de ses apprentissages et le rendrait plus autonome. En plus d’améliorer les taux de réussite, comme en témoigne notre cueillette de données, la techno pédagogie permettrait au professeur de développer une pédagogie de l’accompagnement mieux ciblée à l’égard des besoins particuliers de l’étudiant du profil Tremplin DEC. Pour parvenir à cette fin, notre thèse est divisée en quatre parties et elle se base sur une approche interdisciplinaire. La première partie porte sur la sociologie de la communication. Nous expliquerons la manière dont les TIC modifient la nature du lien social et la dynamique des interactions entre les usagers. Pour les uns la technologie permettrait une communication plus efficace, mais pour les autres elle encouragerait le durcissement des rapports humains de sorte que prioriser l’efficacité de la communication menacerait la qualité et la pérennité des relations interpersonnelles. Quant à elle, la seconde partie porte sur l’éducation et l’importance pour l’étudiant et le professeur de développer une pratique réflexive conjointe à l’égard de l’apprentissage et de la transmission du savoir disciplinaire. En dépit des difficultés auxquelles l’étudiant du profil Tremplin DEC et le techno pédagogue sont confrontés, ces derniers doivent acquérir une série de compétences communes sans lesquelles l’usage des TIC en classe risquerait d’être futile. Du coup, la nature de la relation pédagogique doit être réévaluée pour maximiser l’innovation techno pédagogique. La troisième partie porte sur l’éthique et l’usage responsable des technologies en situation d’apprentissage. En effet, l’utilisation des TIC par le professeur et l’étudiant doit être une responsabilité partagée et reposer sur des valeurs communes de solidarité et de complémentarité. Ce sont ces deux valeurs qui permettraient d’adapter l’encadrement pédagogique du professeur afin de pouvoir répondre aux besoins spécifiques de l’étudiant. De plus, l’implantation d’une communauté d’apprentissage professionnelle optimiserait l’engagement du professeur et la participation de l’étudiant dans sa réussite académique. Finalement, nous proposerons une série de recommandations visant à améliorer l’enseignement de la philosophie. Celles-ci ont pour but d’inculquer une culture du changement qui, selon nous, serait à la fois profitable pour l’ensemble du réseau collégial et constructive pour le développement de stratégies numériques en philosophie. / Abstract : The turn of the century brought with it an emergence of information and communications technologies (ICT) and web 2.0 to the Quebec junior college network. In the wake of this technological progress, the presence of ICT changed (transformed) the way students learned about discipline-related content while allowing the teachers to redefine their pedagogical methods that would make courses more interactive. At the outset, the miniaturisation of these tools was a source of emulation for the developers as well as a cause of concern for the tenants of traditional teaching methods. Even today, this duality has led to diverging professional convictions with regards to how we should teach philosophy. The goal of this thesis is to show that in developing a feeling of mutual competency, students and teachers of the Springboard to a DCS pathway must engage in an ethically responsible usage of information and communications technologies. This will improve teaching methods of philosophy, which will lead to renewed discipline-related learning. Over time, the validation of electronic pedagogy (e-pedagogy) will allow students to cultivate a sense of responsibility with regards to their learning and make them more autonomous. In addition to increasing the passing rate, as shown by our data, e-pedagogy permits the teacher to develop a more targeted approach to accompany the particular needs of students in the Springboard to a DCS pathway. Our thesis is broken into four parts and is based on an interdisciplinary approach. The first part deals with the sociology of communication. We will explain how ICT have changed the nature of socialization and the dynamics of user interactions. For some, technological tools allow for a more efficient communication, whereas others feel that these tools encourage a breakdown of human relationships because in prioritizing communication efficiency, we risk harming the quality and longevity of interpersonal relationships. The second part focuses on education and the importance for students and teachers to develop a shared reflective practice with regards to learning and transmitting discipline-related content. Despite the difficulties faced by students in the Springboard to DSC pathway and their instructor, all of the actors must acquire a series of common competencies, without which the use of ICT would be futile. That means that the nature of the pedagogical relationship must be re-evaluated to allow to increased e-pedagogy innovation. The third part deals with ethically responsible usage of ICT in learning situations. Indeed, in using ICT, instructors and students must assure a shared responsibility and consider common values of solidarity and complementarity. These two values are necessary for teachers to be able to adapt academic supervision in order to answer specific student needs. Furthermore, a professional learning community would optimize teacher commitment thereby increasing a student’s efforts in his or her academic success. Finally, we will propose a series of recommendations to improve the teaching of philosophy. The purpose is to bring about a culture of change which, in our opinion, would be beneficial for the entire college network and constructive for the development of e-pedagogical strategies in philosophy.

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