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Les dimensions socio-spatiales de l'érosion ravinante intra-urbaine dans une ville tropicale humide: le cas de Kinshasa (R.D. Congo) / Socio-spatial dimensions of intra-urban gully erosion in tropical city: the case of Kinshasa (DR. Congo)

Kayembe Wa Kayembe, Matthieu 26 September 2012 (has links)
Kinshasa connaît de nombreuses manifestations de l’érosion ravinante depuis quelques décennies. L’office de drainage et de voirie en estime environ 400 en 2009 et 500 en 2010. L’érosion ravinante est un processus géodynamique qui agit en faveur de la gravité. Or, elle ne se manifeste pas partout en milieu urbain, même au sein des quartiers construits sur de fortes pentes ;ce qui suggère qu’il y aurait des dimensions humaines inscrites dans l’espace qui l’accélèrent ou la freinent.<p>En s’appuyant sur l’approche cartographique des données issues de la télédétection, des documents cartographiques anciens et ceux de la cartographie participative, des interviews, des enquêtes socio-économiques et des relevés (D)GPS (écoles, centres de santé et tracé des collecteurs, ravins, etc.), l’étude a montré que l’érosion ravinante est apparue avec la croissance urbaine sur des zones de fortes pentes. Ces dernières sont habitées par des populations nombreuses et de statut socio-économique modeste. Elles ont modifié les conditions du milieu en mettant le sol à nu, en concentrant les eaux de ruissellement, en construisant sans tenir compte de la morphologie du terrain. De cette manière, elles ont influencé les facteurs déclencheurs de l’érosion ravinante. Celle-ci provoque des conséquences importantes sur les infrastructures, des hommes et leurs activités et très variées selon les quartiers.<p>L’absence de politiques de prévention de l’érosion ravinante dans les différents plans d’aménagement de la ville serait à la base de ce phénomène (dévastateur). Les politiques des interventions publiques pour la stopper privilégient les fonctions importantes de la ville et les quartiers concentrant les populations de haut standing. Les quartiers spontanés pauvres récupérés par les ONG et/ou institutions internationales sont ceux par où passent certaines infrastructures importantes (ligne haute tension de la SNEL) ou ceux qui ont été choisis pour des raisons propres aux ONG et/ou institutions internationales. Les quartiers spontanés abandonnés par les pouvoirs publics et les ONG internationales sont les champs d’action des hommes politiques, des « riches » dont l’habitation est menacée et des missions religieuses et aussi des populations locales.<p>Les chefs des quartiers ont joué un grand rôle dans la sensibilisation et la communautarisation de la pratique du puits d’infiltration sur tout le versant afin que chaque ménage retienne dans sa parcelle une grande quantité des eaux des pluies. Ceci a contribué à la compréhension des causes humaines de l’érosion et à ne pas la considérer comme une fatalité.<p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Quand l'aéroport devient ville : géographie d'une infrastructure paradoxale / When an airport becomes a city : geography of a paradoxical infrastructure

Drevet-Démettre, Lucie-Emmanuelle 11 September 2015 (has links)
L’aéroport est un objet géographique protéiforme, caractérisé par son « obsolescence accélérée » (BANHAM, 1962). Depuis les années 1990, son ultime mutation s’articule autour d’un processus de diversification fonctionnelle engendré par l’injection d’activités nouvelles, parfois éloignées du transport aérien, dans l’objectif d’accroître les profits et la rentabilité de l’infrastructure dans un contexte de privatisation généralisée. Cette évolution concerne les plus grands hubs mondiaux, notamment Paris-CDG, quatrième aéroport du monde selon le trafic passagers international. Cette tendance, qui a donné naissance au concept opérationnel d’airport city, tel qu’il est désigné par les observateurs et opérateurs anglo-saxons, attise doublement la curiosité géographique. En premier lieu, parce qu’elle interroge la fonction première de l’infrastructure de transport qu’est l’aéroport, qui devient alors un objet spatial non identifié qu’il convient de redéfinir. En second lieu, parce que cette désignation d’airport city, traduite par les opérateurs francophones par ville aéroportuaire, interroge la ville et surtout ce qui fait la ville dans ses dimensions matérielle et idéelle, c’est-à-dire l’urbanité et la citadinité. Suffit-il d’injecter des fonctions urbaines dans un espace pour en faire de la ville ? La ville aéroportuaire n’est-elle qu’une ville fonctionnelle ? En s’efforçant d’évaluer la pertinence géographique de la notion d’airport city, cette thèse impose de faire de l’urbanité et de la citadinité des concepts opératoires afin de les confronter au terrain aéroportuaire. Elle s’efforce également de replacer l’aéroport au centre de l’étude géographique en proposant un ajustement de l’échelle d’observation à l’ensemble de la zone aéroportuaire, évitant ainsi la synecdoque particularisante réduisant l’aéroport au terminal. Dans l’évaluation de la citadinité, elle a également pour objectif de saisir les spatialités de l’ensemble de la société aéroportuaire (passagers, employés, accompagnants, SDF, etc.). / Airports are protean geographical objects characterized by their « accelerated obsolescence » (BANHAM, 1962). Since the 1990s, their final transformation has been structured around a process of functional diversification engendered by new activities, which are sometimes very different from air transport, in order to increase the infrastructures’ profits and profitability in a context of widespread privatization. The world’s largest hub airports are concerned by this evolution, especially the Paris-Charles-de-Gaulle airport, the world’s fourth busiest airport by international passenger traffic. This trend, which has given birth to the operational concept of airport city, as the Anglo-Saxon operators and observers call it, stirs up the geographical curiosity in two ways. Firstly, it questions the primary function of airports, which become unidentified spatial objects that need to be redefined. Secondly, the concept of airport city questions the city itself. Indeed, what makes a city a city on a material (urbanity) and conceptual (“citadinity”) level? Can a space with urban functions be considered as a city? Is the airport city only a functional city? By assessing the geographical relevance of the concept of airport city, this thesis aims at making the concepts of urbanity and “citadinity” operational concepts, so as to compare them with the airport ground. By adjusting the observation scale to the whole airport area, it also replaces the airport at the centre of the geographical study. Thus, the airport is not simply viewed as a terminal. Finally, this thesis aims at understanding the whole airport society’s spatiality (passengers, employees, accompanying people, homeless people…) by assessing the concept of “citadinity".
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L'Hôtellerie bruxelloise, 1880-1940: acteurs, structures et logiques spatiales d'un secteur multiforme / Brussels Hotel Industry, 1880-1940: actors, structures and spatial logics of a multi-form sector.

Jourdain, Virginie 09 December 2011 (has links)
Au-delà des perspectives offertes par les premières études historiques dans le domaine de l’hôtellerie, nous avons voulu souligner au travers de cette thèse combien l’hébergement temporaire payant dans la ville ne pouvait clairement pas se concevoir de manière unidimensionnelle. L’hôtellerie ne doit pas être considérée comme une industrie tournée exclusivement vers les habitudes touristiques des plus fortunés, ni être cantonnée aux chambrées ouvrières misérables. Entre ces deux extrêmes, quantité de maisons se sont adaptées à une multitude de demandes. A cet égard, Bruxelles, ville capitale, constitue entre 1880 et 1940 un terrain de recherche idéal qui permet d’adopter un angle d’approche très large pour étudier l’industrie de l’accueil temporaire urbain.<p>Notre étude s’articule autour de trois points principaux.<p>Tout d’abord, préalable indispensable, nous avons analysé de manière extensive la nature de notre objet d’étude afin de dépasser les simplifications arbitraires posées antérieurement entre hôtellerie de tourisme et autres établissements d’accueil. Notre première partie s’attache donc à donner sens aux différentes matérialisations de l’hébergement payant dans la ville (hôtels, pensions, palaces, garnis, meublés…) à travers leurs définitions lexicologique, littéraire, corporative, officielle et législative. Quelles sont les caractéristiques de l’hôtellerie de tourisme et quand cesse-t-elle de l’être ?Quel regard portent les autorités publiques sur ce monde protéiforme, fondamentalement hétérogène et par conséquent insaisissable ?<p>Dans la seconde partie, nous donnons un visage et une voix à cette hôtellerie bruxelloise en identifiant plus précisément les acteurs du milieu, notamment par le biais de ses associations professionnelles et de ses dirigeants. Nœud central de notre exposé, l’image négative traditionnelle véhiculée par le métier pèse encore de manière significative au XIXe mais aussi au XXe siècle dans les jugements portés sur la profession. La perception identitaire propre des hôteliers de leur métier en est profondément influencée. Ces opinions nourrissent un besoin fondamental de la grande hôtellerie de se différencier des petites maisons familiales amateures par le biais notamment du développement à cette période d’une formation professionnelle nouvelle et rationalisée et d’une position ambiguë par rapport aux revendications des organisations de classes moyennes. <p>Enfin, la troisième partie de la thèse s’attache à adjoindre corps à notre travail en replaçant l’hôtellerie dans sa réalité physique au sein de la ville de Bruxelles. Cette question essentielle est développée grâce à la réalisation systématique de plusieurs cartes de localisation basées sur des sources variées telles que des annuaires de commerces, des guides, des cartes postales etc. Au terme de cette analyse, c’est une nouvelle carte des usages de la ville aux logiques spécifiques qui se dessine, celle de ses consommateurs migrants, mobiles ou étrangers.<p>Notre thèse se veut donc d’abord un témoignage de la nature complexe de l’industrie de l’accueil à Bruxelles et de ses transformations incessantes au cours d’une phase décisive de son évolution. Par ce portrait humain et spatial, il s’agit de souligner l’empreinte originale indéniable que le secteur a laissée dans la vie de la capitale. L’hôtellerie, même si elle se tourne prioritairement vers les voyageurs, appartient fondamentalement au passé de la capitale. Ses pensions, ses meublés comme les maisons de plus grande importance, ont tous participé directement au développement de la cité et ont permis que cette dernière puisse réguler efficacement les flux démographiques et migratoires qu’elle a de tout temps suscités. Elle ne constitue donc pas un corps étranger, extérieur ou anecdotique à la ville qui justifierait un trop long silence académique.<p><p>------------<p><p>Beyond the prospects offered by the first historical studies in the field of hospitality, we wanted to show through this thesis how temporary accommodation in the city could not be seen as a one-dimensional sector. Hotel should not be considered as an industry exclusively focused on wealthy tourists habits, or be confined to the wretched workers pensions. Between these two extremes, different houses offered specific services to a multitude of clients. Brussels, as a capital city, allows adopting a broad angle for studying the urban temporary hospitality industry between 1880 and 1940.Our study focuses on three main points.<p>First of all, we have extensively analyzed our subject’s nature to exceed the arbitrary simplifications previously done between tourism hotel and other forms of inns. Therefore, first chapter attaches to give meaning to accommodations’ different implementations in the city (as hotels, boarding houses, palaces…) by studying their definitions in dictionaries, literature, professional press, legislative texts, etc. <p>In the second part, we gave a face and a voice to this Brussels hotel industry by specifically identifying its hoteliers, its professional associations and its leaders. Central point of our presentation, the ancient and traditional negative image of the hotel industry still exists in the 19th and 20th c. Hoteliers’ self perception is profoundly influenced by this negative reputation. These opinions feed luxury hotels’ desperate need to differentiate themselves from small family boarding houses.<p>Finally, third chapter attaches to add body to our study by analyzing Brussels’ hotel industry in its physical reality. This essential question is developed through several location maps which are based on varied archives such as almanacs, travel guides, postcards etc. This way, a new map of the uses of the city emerges: a map of migrants and foreign consumers’mobilities.<p>This thesis shows the complex nature of hospitality industry in Brussels and its transformations in a decisive historical phase. Pensions as palaces are deeply involved in Brussels’ urban development. They have regulated demographic and migratory flows to the capital. Therefore they cannot anymore be considered as superficial and anecdotic actors in urban life.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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