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Au sujet de certaines fortifications de la Cisalpine romaine

Massa, Gabriella A. 25 April 2018 (has links)
Les villes de la Cisalpine romaine sont le témoignage de l'esprit pratique des Romains. Aquileia, Rimini, Vérone (à l'est), Aoste et Turin (à l'ouest) qui ont été construites comme têtes de pont de la conquête romaine, sont des exemples uniques d'architecture militaire, à la fois solide, monumentale et d'harmonie de formes. Nous avons voulu étudier leurs structures et à l'aide des vestiges nous avons comparé les modes de constructions et les analogies avec les conseils que donnent les architectes anciens, au sujet de la fortification. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Vici in Roman Gaul /

Rorison, Monica. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Thesis--University of Sheffield, 1996. / Bibliogr. p. 257-265.
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Amboise et la cité des Turons de la fin de l'âge du fer jusqu'au Haut-Empire : IIe S.av.m.è - IIe S de M-è / Amboise and the civitas of Turons, from late La Tene till Roman Empire : IIe s. av. n.è - IIe s. de n.è.

Laruaz, Jean-Marie 27 November 2009 (has links)
Le territoire du peuple des Turons correspond approximativement à l'actuel département d'Indre-et-Loire. Il est structuré par le fleuve Loire, au bord duquel sont situé la plupart des oppida de cette cité,dont celui d'Amboise. Les caractéristiques singulières de cet oppidum, fouillé régulièrement depuis 50 ans, constituent des motifs d'interrogations sur le rôle qu'il a pu tenir au sein de cette cité. La mise en œuvre des données disponible pour la période comprise entre le Ile s. av. n.è., où des changement sociaux-économiques peuvent être perçus dans la société celtique, et le Ile s. de n.è., où l'Empire romain connaît une forme d'apogée, nous permettent d'appréhender les mutations de ce peuple, et le développement progressif de son emprise sur le sol. L'analyse et la hiérarchisation des formes de l'habitat sont les pivots de cette recherche, qui tend à démontrer l'ancienneté et la pérennité de la structuration de cet espace / The territory of the Turons population corresponds roughly to the present department of Indre-et-Loire.It is set up along the Loire river, on the banks of which are located most oppida of this city,including that of Amboise. The unique characteristics of this oppidum, repeatedly studied for the last50 years, constitute grounds for questioning the role it could have had in this city.The implementation of data available for the period between the second century BC, where social andeconomic change can he seen in Celtic society, and the second century AC, where the Roman Empireknows a peak, enables us to understand the changes in this nation and the progressive development ofits settling in the land. The analysis and the study of the hierarchy through the different forms ofhousing are the cornerstones of this research, which shows the length and durability of the structure ofthis space.
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Les fibules émaillées en Gaule Belgique et Germanie Inférieure :chronologie, production et consommation

Callewaert, Maxime 05 March 2016 (has links)
Les fibules émaillées semblent être singulièrement caractéristiques d’un territoire relativement restreint de l’Empire romain, à savoir les provinces de Gaule Belgique, de Germanie et de Bretagne romaines. Il s’agit d’une production qui aurait vraisemblablement débuter à la fin du Ier s. PCN, et qui a connu un tel succès qu’elle semble supplanter totalement les fibules non émaillées au IIème s. PCN. Malgré le développement important des études typologiques des fibules romaines durant les années 1970 et 1980, les formes émaillées s’avèrent être le parent pauvre de la discipline, notamment pour l’établissement de chronologies. Le but de la recherche vise à identifier les facteurs technologiques et socio-économiques qui ont influencé la production et la consommation des fibules émaillées tout au long de leur existence. Il est donc question de comprendre les choix des producteurs de fibules pour répondre aux attentes diverses des utilisateurs. Cette démarche implique d’abord de comprendre les évolutions majeures des formes de ces objets dans le monde romain. Un corpus d’étude rassemblant les fibules émaillées découvertes dans les civitates Menapiorum, Nerviorum, Treverorum et Tungrorum a donc été constitué en intégrant non seulement du matériel de musées et de centres de recherches archéologiques mais également celui de plusieurs collections privées. Afin de compléter cet ensemble, les fibules mentionnées dans la littérature archéologique ont également été ajoutées aux objets récolés. Malgré l’existence de plusieurs typologies, un nouveau système de classement a été développé afin de répondre aux objectifs de la recherche. Cette typologie, dont le but principal est de définir les périodes d’utilisation et de production ainsi que de préciser la diffusion de chacune des formes, constitue l’outil de base pour mettre en évidence les principales mutations formelles des fibules émaillées tout au long de leur existence. Il est ensuite question d’étudier les modes de production de ces objets et l’organisation de celle-ci pour identifier les choix stratégiques qu’ont fait les producteurs de fibules en fonction de l’environnement social, économique et politique. Cette approche nécessite que les matériaux et les techniques de fabrication soient identifiés. Par conséquent, une sélection d’objets a été réalisée à partir du matériel d’étude afin de constituer un corpus analytique. Des observations techniques ainsi que plusieurs types d’analyses physico-chimiques ont été pratiquées sur les fibules de ce corpus grâce à une collaboration avec l’Institut Royal du Patrimoine Artistique (KIK-IRPA). Il s’agissait de caractériser non seulement les alliages des objets par XRF mais aussi leurs émaux par SEM-EDX. Parallèlement à cette approche archéométrique, les modalités d’organisation de la production sont abordées d’une part, grâce à l’étude des traces archéologiques (infrastructures, objets inachevés, etc.) témoignant de la fabrication des fibules émaillées, et d’autre part, par l’étude des phénomènes d’ateliers observés à partir des objets eux-mêmes. Enfin, le dernier aspect vise à identifier les différents lieux dans lesquels les fibules émaillées étaient consommées ainsi que leurs utilisateurs afin de définir les principales caractéristiques de ces objets en tant que biens de consommation. Alors que les fibules sont omniprésentes dans la société gallo-romaine, rares sont les études approfondies qui étudient les modalités de leur consommation en fonction des contextes et des utilisateurs. Il est dès lors question de déterminer si les fibules émaillées étaient des produits urbains et/ou ruraux et si elles étaient consommées de la même manière par les populations des différents territoires (provinces, cités romaines, etc.). L’individu, en tant que consommateur, ne pouvant être abordé qu’à travers les sépultures, une étude systématique du mobilier funéraire des tombes de plusieurs nécropoles a été conduite pour préciser le statut des fibules émaillées dans la société gallo-romaine. Ainsi, la présence des fibules émaillées dans les sépultures a été statistiquement étudiée en fonction des territoires, du sexe et de l’âge des individus et des chronologies des tombes. Les résultats de la recherche indiquent que ces accessoires vestimentaires étaient avant tout fabriqués pour remplir une fonction utilitaire, celle de maintenir des pans de vêtements ensemble. Leur forme arquée est d’ailleurs l’élément caractéristique de cette utilité car c’est dans le creux de l’arc que l’amas de tissu était maintenu. Néanmoins, à partir de la fin du Ier s. PCN, les fibules romaines, et principalement les exemplaires émaillés, ont commencé à s’aplatir, amorçant de facto un glissement de leur fonction principale, en devenant des bijoux dotés d’une utilité davantage esthétique. Les morphologies et les décors émaillés, de plus en plus riches et complexes, témoignent de cette profonde mutation, probablement induite par un changement de la mode vestimentaire. Alors qu’au début de la production, les alliages cuivreux utilisés pour ces objets témoignent d’un certain niveau de qualité (bronze et laiton « purs »), les fibules du IIème s. PCN sont principalement fabriquées à partir de métaux recyclés. Ce phénomène, témoignant d’une stratégie opportuniste, est probablement lié à la nécessité de produire plus, résultant de l’explosion de la demande. Les analyses physico-chimiques des émaux indiquent qu’il s’agissait majoritairement de verres translucides d’origine orientale qui avaient probablement été opacifiés et/ou colorés dans des ateliers secondaires. Les artisans émailleurs ne semblent avoir joué un rôle que très limité dans la production des émaux bien qu’il soit possible qu’ils aient modifié les propriétés physico-chimiques du verre en fonction des motifs émaillés.Des analogies morphologiques, stylistiques et technologiques ont montré que des liens devaient être faits entre les fibules et d’autres objets (boîtes à sceau, appliques, etc.), dont certains montrent l’existence d’infrastructures produisant plusieurs types d’objets. Bien que non exhaustives, les données semblent indiquer que la fabrication de fibules émaillées constituait une activité développée par des producteurs affranchis de toute autorité et qui évoluaient librement sur les marchés. On peut distinguer deux types d’organisation de la production avec, d’une part, des producteurs dispersés qui répondent à une demande exclusivement locale, et, d’autre part, des producteurs nucléés en quelques endroits qui inondent un marché provincial. La présente recherche a, par ailleurs, révélé que les fibules émaillées étaient consommées dans la plupart des sphères de la société gallo-romaine. Elles sont attestées dans les habitats ruraux et urbains, dans les lieux publics (fora, thermes, théâtres, etc.) et de culte (sanctuaires, temples, etc.), dans les nécropoles (ustrina, sépultures, etc.) ainsi que dans les zones artisanales et commerciales. L’étude de la consommation a révélé que plusieurs territoires n’utilisaient pas ces objets. Ainsi, la Civitas Menapiorum et le nord de la Civitas Tungrorum témoignent de cette absence qu’il est tentant d’assimiler à un rejet des fibules émaillées, et ce malgré la très grande proximité avec d’autres territoires qui en sont richement pourvus. Il est d’autant plus frappant que la diffusion des fibules émaillées dans cet espace coïncide avec le faciès géographique de la culture matérielle du « villa landscape ». Il semblerait donc que ces objets doivent être vus comme des productions caractéristiques de cette culture matérielle. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les perles mérovingiennes: typo-chronologie, fabrication et fonctions / Merovingian beads: typo-chronology, manufacturing and functions

Pion, Constantin 22 April 2014 (has links)
Les perles, principalement celles en verre, figurent parmi les productions artisanales les plus emblématiques et originales de la période mérovingienne. Jamais auparavant elles n’avaient connu un tel succès. C’est par centaines ou milliers d’exemplaires qu’on les retrouve dans les nécropoles de l’ancienne Gaule. Ce matériel surprend et séduit par la grande diversité de ses formes, de ses couleurs et de ses décors, témoignant sans doute le mieux du goût particulier des Mérovingiens pour la polychromie.<p>Cette thèse de doctorat avait pour principal objectif l’élaboration d’une typo-chronologie des perles du nord de l’ancienne Gaule mérovingienne (Ve-VIIe siècles). Un objectif à double visée destiné, d’une part, à mettre en évidence une éventuelle évolution des associations de perles et, d’autre part, à proposer aux archéologues un outil de datation innovant et précis.<p>L’examen approfondi des perles d’un point de vue technologique était une condition indispensable pour espérer atteindre le degré de précision requis pour l’élaboration d’une typo-chronologie. Le recours à l’archéologie expérimentale et aux sources ethnographiques a conduit à une bien meilleure compréhension des mécanismes – souvent complexes – de la fabrication des perles.<p>La typologie compte 20567 perles, classées en 556 types, provenant de 6 nécropoles situées en Belgique :Beerlegem (Flandre-Orientale), Bossut-Gottechain (Brabant wallon), Broechem (Anvers), Harmignies (Hainaut), Verlaine « Oudoumont » (Liège) et Viesville (Hainaut). Les occupations sont principalement datées entre ca. 470/480 et ca. 630/640.<p>L’élaboration de la typo-chronologie générale a combiné deux approches :la topochronologie – méthode permettant la mise en évidence de la tendance évolutive de chaque cimetière sur la base de la répartition topographique des types de perles –, et la méthode statistique de permutation matricielle. Ce travail a permis de mettre en évidence 5 groupes d’associations communs à tous les sites, d’une durée approximative d’une quarantaine d’années chacun.<p>Au-delà d’un apport en matière de détermination chronologique, des analyses archéométriques – enrichies par l’étude technologique du matériel – ont permis d’avancer une série d’éléments neufs concernant l’origine et la circulation de plusieurs types de perles. Les résultats obtenus montrent que la succession des combinaisons de perles reflète en partie une évolution des mécanismes d’approvisionnement et des relations commerciales entre l’Orient et l’Occident. Ainsi, durant le dernier tiers du Ve et le premier tiers du VIe siècle, l’artisanat perlier semble peu développé en Occident. Le marché est essentiellement alimenté par des produits d’origine orientale – Proche-Orient (Egypte et côte syro-palestinienne) et, en moindre mesure, Moyen-Orient (Mésopotamie) et Asie du Sud (Inde et/ou Sri-Lanka) –, témoignant d’un maintien du grand commerce maritime et terrestre établi durant l’Antiquité. Le second tiers du VIe siècle constitue un moment-clé dans l’histoire économique et sociale de la perle. Entre ca. 530 et ca. 630, l’Europe occidentale s’affranchit de l’approvisionnement oriental et s’impose comme un centre de production autonome. Le ralentissement de ces importations à partir des années 530 pourrait répondre à un souhait d’affranchissement de l’Occident, alors que l’interruption de l’approvisionnement en perles orientales vers 630 pourrait quant à elle être liée au climat d’instabilité politique que connaît l’Empire byzantin et dont les conséquences auraient entraîné un déclin du commerce méditerranéen, particulièrement accentué dans la première moitié du VIIe siècle.<p>Enfin, cette étude a également abordé d’autres thématiques portant sur les usages et fonctions de cette catégorie de matériel et la réutilisation d’éléments de remploi (protohistoriques ou romains) dans les parures mérovingiennes. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Empereurs et évêques à Trèves, Milan et Sirmium (285-402) : l'impact religieux de la présence impériale

Fournier, Éric January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les sarcophages du haut Moyen Âge en Gaule du Nord: production, diffusion, typo-chronologie et interprétations

Finoulst, Laure-Anne 09 May 2012 (has links)
Outre le recensement d’environ 1400 sarcophages, monolithes et bipartites, en Gaule du Nord, l’intérêt de cette recherche réside dans la démonstration des apports pétrographiques, technologiques, économiques et culturels de ces sépultures. Afin de travailler sur un groupe cohérent, seuls les sarcophages de production lorraine, avec une diffusion septentrionale le long de la Meuse, de la Moselle et du Rhin, ont été retenus.<p><p>\ / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ciney et le Pagus Condrustis: Contribution à l'étude de la romanisation dans le Nord de la Gaule

Raepsaet, Georges January 1977 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'identité bagaude aux IIIe et Ve s. : mouvements de population, révoltes isolées, continues ou concertées?

Drouin, Isabelle 17 April 2018 (has links)
Une première rébellion dite bagaude éclate vers 285 en Gaule. Ce terme de bagaudae/bacaudae est à nouveau employé pour qualifier des révoltes paysannes en Gaule et en Tarraconaise lors de la première moitié du Ve s. Ces mouvements ruraux demeurent peu connus des historiens, puisque les sources anciennes demeurent laconiques et imprécises. En outre, le peu d'informations qui nous a été transmis par les Anciens fut souvent déformé par les idéologies de divers courants historiographiques (nationalistes, socialistes, etc.). Dans un premier chapitre, des critères identitaires pour la révolte du IIIe s. sont cernés en respectant la chronologie et en s'aidant d'autres exemples historiques. Notre analyse intègre les concepts de mémoire historique, de la représentation et de l'identité dynamique au coeur de cette problématique. Le second chapitre se concentre sur les origines sociales et géographiques des individus composant la révolte du IIe s au moyen des sciences historiques, archéologiques et paléoenvironnementales. La question de la gestion sociale tardive des ressources naturelles rurales y est brièvement introduite. A chaque partie, l'on révise la longue historiographie au sujet des bagaudes, donc cette étude peut servir d'introduction utile. Au terme de cette analyse, une image plus réaliste et romanisée des bagaudes du IIIe s. apparaît. Ce soulèvement paysan éphémère ne toucha qu'une partie des Gaules et était organisé par deux chefs en cavalerie et en infanterie. La perception subjective des auteurs aristocrates est expliquée, ce qui éclaire des passages obscurs et explique certains stéréotypes portant sur les bagaudes. Le terme de bagaudes parait avoir été employé à divers usages par les acteurs anciens, et donc avoir porté au moins deux identités différentes. Il n'y eut pas de continuité du mouvement rebelle bagaude à travers tout le Bas-Empire. En effet, l'identité bagaude/bacaude fut d'abord revendiquée par les révoltés eux-mêmes au IIIe s., puis transformée en contre-exemple idéologique au IVe s. avant de servir à dénoncer des provinciaux déviants au Ve s.
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INELVCTABILE FATVM. Mourir en Gaule Mosellane : (Ier s. av. J.-C. - IVe s. ap. J.-C.) / INELVCTABILE FATVM. Death in Gallia Mosellana : (Ist c. BC. - IVth c. AD.)

Castorio, Jean-Noël 04 December 2008 (has links)
Cette thèse traite des données funéraires (fouilles archéologiques, monuments funéraires) recueillies sur le territoire des trois cités de l'axe mosellan, à savoir celles des Leuques, des Médiomatriques et des Trévires. Le premier chapitre est en large partie consacré à l'historiographie du sujet, ainsi qu'aux orientations actuelles de la recherche sur la mort durant l'Antiquité : il consiste notamment en une présentation critique des principales grilles de lecture habituellement employées pour interpréter les données funéraires. Il y est également question des principaux problèmes que posent ces données, en particulier celui de leur datation. Les trois chapitres suivants s'inscrivent dans une perspective diachronique ; ils traitent de l'évolution de la sépulture mosellane depuis la veille de la conquête césarienne de la Gaule au règne de Claude (chap. 2), depuis le milieu du Ier s. jusqu'au milieu du IIIe s. (chap. 3) et enfin durant l'Antiquité tardive (chap. 4). Les deux chapitres suivants constituent des études de cas, centrées sur la question de la « romanisation » : il s'agit essentiellement de s'interroger sur la validité de ce concept. Le cinquième chapitre a ainsi pour sujet les nécropoles des communautés du piémont du massif vosgien ; le sixième chapitre aborde quant à lui la question du traitement funéraire des enfants décédés en bas âge. Enfin, le dernier chapitre est consacré aux nombreux monumenta antiques inscrits et/ou sculptés exhumés dans les pays de Moselle. / This thesis deals with the funerary data (archeological digs, funerary monuments) that were collected in the territory of the three cities of the Moselle valley, i.e. the city of the Leuci, that of the Mediomatrici and that of the Treveri. The first chapter is mostly concerned with the relevant historiography as well as the latest orientations of research on death in antiquity : it includes in particular a critical review of the main approaches that have been used to interpret funerary data. It also examines the main problem posed by such data, especially when it comes to matters of dating. The next three chapters look at things from a diachronic point of view : they deal with the evolution of burial places in the Moselle region, from the eve of Caesar's conquest of Gaul to Claudius's reign (chapter 2), from the middle of the 1st century to the middle of the 3rd century (chapter 3), and during the latter period of antiquity. The next two chapters are case-studies and concentrate on the problem of «romanisation » : the main point is to try and determine just how valid the concept is. Chapter 5 focuses on the metropoles of the communities that used to live in the foothills of the Vosges, while chapter 6 is concerned with the funeral treatment of children who died in infancy. The last chapter is about the numerous ancient monumenta bearing inscriptions or sculptures that were excavated in the Moselle region.

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