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L'Avant-postman : James Joyce, L'avant-garde et le postmoderne / The Avant-Postman : James Joyce, the Avant-garde and Postmodernism

Vichnar, David 20 January 2014 (has links)
La thèse, intitulée « L’Avant-Postman: James Joyce, L’Avant-Garde et le Postmoderne », s’efforce de construire une généalogie littéraire post-joycienne, centrée sur les notions de l’avant-garde joycienne et de l’expérimentation littéraire, et prend les deux dernières œuvres de Joyce, Ulysses et Finnegans Wake, pour points de départ des avant-gardes d’après la seconde guerre mondiale, une époque généralement appelée « postmoderne », en Grande-Bretagne, aux États-Unis, et en France.L’Introduction identifie la notion d’une avant-garde joycienne à l'exploration, par Joyce, de la matérialité du langage et l’identification de sa dernière œuvre, le « Work in Progress », à la « Révolution du mot », défendue par Eugène Jolas dans sa revue transition. L’exploration joycienne de la matérialité du langage se comprend selon trois orientations : l'écriture conçue comme une trace physique, susceptible d’être distordue ou effacée ; le lan-gage littéraire compris comme une forgerie des mots des autres ; le projet de la création d’un idiome personnel, défini comme un langage « autonome », qui doit être caractéristique de la littérature vraiment moderne.La thèse est divisée en huit chapitres, deux pour la Grande-Bretagne (de B.S. Johnson, Brooke-Rose à Iain Sinclair), deux pour les États-Unis (de Burroughs et Gass à Acker et Sorrentino) et trois pour la France (le nouveau roman, l’Oulipo, et la groupe Tel Quel). Le Chapitre VIII retrace l’héritage joycien pour la littérature après 2000 dans ces trois espaces na-tionaux. La conclusion définit l’avant-garde joycienne, telle qu'elle est thématisée après la seconde guerre mondiale, comme un défi adressé à la notion de « postmoderne ». / The thesis, entitled “The Avant-Postman: James Joyce, the Avant-Garde and Postmodern-ism,” attempts to construct a post-Joycean literary genealogy centred around the notions of a Joycean avant-garde and literary experimentation written in its wake. It considers the last two works by Joyce, Ulysses and Finnegans Wake, as points of departure for the post-war literary avant-gardes in Great Britain, the USA, and France, in a period generally called “postmodern.”The introduction bases the notion of a Joycean avant-garde upon Joyce’s sustained explora-tion of the materiality of language and upon the appropriation of his last work, his “Work in Progress,” for the cause of the “Revolution of the word” conducted by Eugene Jolas in his transition magazine. The Joycean exploration of the materiality of language is considered as comprising three stimuli: the conception of writing as physical trace, susceptible to distortion or effacement; the understanding of literary language as a forgery of the words of others; and the project of creating a personal idiom as an “autonomous” language for a truly modern literature.The material is divided into eight chapters, two for Great Britain (from B.S. Johnson via Brooke-Rose to Iain Sinclair), two for the U.S. (from Burroughs and Gass to Acker and Sorrentino) and three for France (the nouveau roman, Oulipo, and the Tel Quel group). Chapter Eight traces the Joycean heritage within the literature after 2000 of the three national literary spaces. The conclusion contextualises the theme of the Joycean post-war avant-garde as a challenge to the notion of “postmodernism.”
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Repenser le « classique » au XIXe siècle

Boudreau-Pineault, Raphaël 08 1900 (has links)
Ce mémoire a pour ambition de comprendre comment et en quel sens l’idée de « classique » est repensée au XIXe siècle. Alors que l’Ancien Régime intégrait le classique dans un système de représentation relativement cohérent, au sein duquel sa fonction, son rôle et sa pertinence étaient clairement établis, la notion devient brusquement problématique aux lendemains de la Révolution. La France révolutionnée est marquée par une expérience du temps inédite et une nouvelle relation à sa mémoire culturelle qui font éprouver aux lettrés la nécessité de redéfinir leurs rapports au classique. Après avoir clarifié le sens général de la notion avant la Révolution, l’étude se penche sur trois grands « moments » de la dynamique de redéfinition du classique au XIXe siècle. Il s’agit d’abord de voir dans quelle mesure l’historicisation du passé dans les premières années du siècle conduit les lettrés à refuser la fonction de modèle à imiter traditionnellement associée au classique, et à l’envisager désormais en vertu d’une rupture entre le présent et l’« avant-soi ». La partie suivante s’attache aux reconfigurations du canon littéraire par la lancée romantique, et montre comment ces métamorphoses de l’horizon culturel amènent les lettrés à déterminer de nouvelles modalités d’appropriation du classique. Une dernière partie tente de voir de quelle manière la pertinence et la portée de la notion sont révisées une fois de plus dans le contexte de l’« institutionnalisation » de la distance critique entraînée par la scientifisation des études littéraires dans le dernier tiers du XIXe siècle. Inspiré à la fois par l’histoire des idées et l’histoire culturelle, ce mémoire se propose de saisir son objet dans une perspective de longue durée. Outre un large corpus secondaire délibérément éclectique, cinq auteurs sont interrogés plus spécifiquement : Ballanche, Stendhal, Sainte-Beuve, Renan, Lanson. / This master’s thesis aims to understand how and in what sense the idea of "classic" was rethought throughout the 19th century. During the historical period of Old Regime in France, the classic was incorporated into a relatively coherent system of representation, within which its function, role and relevance were clearly established. However, the notion suddenly became problematic in the aftermath of the French Revolution. Revolutionized France was marked by an unprecedented experience of time and a new relation to its cultural memory which made literati feel the need to redefine their relation to the classic. After clarifying the general meaning of the concept before the Revolution, the study examines three major "moments" in the dynamics of redefining the classic in the 19th century. First, the analysis intends to determine the extent to which the historicization of the past, in the first years of the century, led the literati to refuse the classic its traditional function of a model to imitate and instead, to consider it in the perspective of a rupture between the present and the past. The following part explores the reconfigurations of the literary canon by the romantic movement and shows how these metamorphoses of the cultural horizon led the literati to determine new modalities of appropriation of the classic. The final part attempts to see how the relevance and scope of the notion are revised in the context of the "institutionalization" of critical distance brought about by the scientification of literary studies in the last third of the 19th century. Inspired by both intellectual history and cultural history, this dissertation sets out to grasp its subject matter from a long-term perspective. In addition to a large, deliberately eclectic secondary corpus, five authors are questioned more specifically: Ballanche, Stendhal, Sainte-Beuve, Renan, Lanson.
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Feuilletons et Histoire. Idées et opinions des élites de Bourbon et de Maurice dans la presse de 1817 à 1848

Jean-Baptiste, Fabienne 22 April 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse propose d'étudier une source littéraire négligée : les poèmes et les feuilletons publiés dans les journaux de Bourbon et de Maurice de 1817 à 1848. Après le dépouillement des deux presses, après la sélection des œuvres et leur rassemblement dans deux annexes littéraires, l'auteur en propose ses commentaires historiques et littéraires. Les Bourbonnais et les Mauriciens cultivés réagissent aux changements politiques qui les secouent en composant des poèmes subtils. Or, la réforme majeure de ces décennies 1817-1848 demeure l'abolition de l'esclavage, progressive pour Maurice (1835 et 1839) et brutale pour La Réunion (1848). Ces riches documents dessinent une Histoire culturelle et littéraire, une Histoire de la Presse, une Histoire des élites ainsi qu'une Histoire politique des Îles-Sœurs. Ces poèmes permettent surtout une nouvelle Histoire de l'Abolition de l'esclavage dans ces colonies. Si certaines œuvres expriment les peurs et les rejets par les colons de l'abolition, d'autres textes livrent des opinions créoles, étonnantes de philanthropie. L'image de l'élite créole en est rénovée : ces colons de la première moitié du XIXe siècle se révèlent être cultivés, amoureux des métaphores et comparaisons, intéressés par l'Histoire.
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L’invention du post-classicisme de Barthes à Racine. L’idée de littérature dans les querelles entre Anciens et Modernes / The Invention of Post-Classicism from Barthes to Racine. The Idea of Literature in the Quarrels between Ancients and Moderns

Forment, Lise 05 December 2015 (has links)
Cette thèse remet en question le soupçon pesant sur les catégories de « classique » et « classicisme ». Centrales dans les manuels, ces notions sont pourtant renvoyées par les spécialistes à de purs anachronismes, et jugées impertinentes pour caractériser le XVIIe siècle et sa littérature. Marqués par la rhétorique et la sociologie historique, les travaux actuels écartent l’opposition idéologique entre classicisme et modernité. Mais l’analyse de l’antagonisme chez Barthes, et l’étude des querelles impliquant les Classiques de 1898 à 1966, permettent de donner un contenu inattendu au classicisme, très éloigné de l’irénisme dont on l’a accusé.La notion, son antonyme et ses parasynonymes (antimodernisme et post-classicisme) circonscrivent d’abord, pour la littérature, différents « régimes d’historicité » dont débattent les polémistes. Le terme reste également associé à l’élaboration d’un « dispositif » utopique, où écrire, critiquer et enseigner iraient de pair : cette configuration, essentielle au XVIIe siècle, est sans cesse « remise sur le métier » dans les querelles postérieures entre Anciens et Modernes. De 1666 à 1694, semblent surgir en réalité la plupart des questions que les critiques continueront de poser à la littérature. C’est le cas, notamment, chez Barthes, Gide et Valéry, quand ils cherchent à en déterminer les fonctions et les prérogatives. Parce que le concept d’autonomie n’est pas pour eux détaché de toute exemplarité, il s’avère utile, bien qu’anachronique, pour lire les textes du XVIIe siècle. L’art de la « disponibilité », que Barthes reconnaissait chez Racine, serait alors l’autre nom de la littérarité, le nom d’une littérarité autre – non formaliste – que les Classiques auraient bel et bien inventée et qui autoriserait leur lecture « vivante, concernée ». / This dissertation interrogates the scepticism that falls on the categories of “classics” and “classicism”. Though they are considered key concepts in textbooks, these notions are viewed by many specialists as pure anachronisms, and declared irrelevant in defining the 17th century and its literature. Drawing influences from rhetoric and historical sociology, recent work dismisses the ideological divide between classicism and modernity, but an analysis of this opposition in Barthes’s corpus, supported by a study of the quarrels involving the Classics from 1898 to 1966, endows classicism with an unheralded substance, far from the irenicism for which it has been condemned. The notion of classicism, its antonym, and its parasynonyms (anti-modernism and post-classicism) first and foremost delineate, as far as literature is concerned, different regimes of historicity that are debated by the polemicists. The term ‘classicism’ is continuously associated with the establishment of a utopian apparatus within which writing, criticism and teaching go hand in hand. This blueprint was essential in the 17th century and is revisited again and again in the subsequent quarrels between Ancients and Moderns. In fact, most of the questions that critics continue to ask literature seem to arise between 1666 and 1694. Case in point, Barthes, Gide and Valéry all sought answers to these age-old questions in their attempts to determine both the functions and the prerogatives of literature. According to them, the concept of autonomy in literature cannot be separated from exemplarity. Thus, it proves useful, although anachronistic, in the reading of 17th-century texts. The art of “availability”, which Barthes recognized in the works of Racine, would then be the other name of literariness, a distinct – non formalist – literariness that the Classics have invented which allows their “vital, concerned” reading.
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Feuilletons et Histoire. Idées et opinions des élites de Bourbon et de Maurice dans la presse de 1817 à 1848

Jean-Baptiste, Fabienne 22 April 2010 (has links)
Cette thèse propose d'étudier une source littéraire négligée : les poèmes et les feuilletons publiés dans les journaux de Bourbon et de Maurice de 1817 à 1848. Après le dépouillement des deux presses, après la sélection des œuvres et leur rassemblement dans deux annexes littéraires, l'auteur en propose ses commentaires historiques et littéraires. Les Bourbonnais et les Mauriciens cultivés réagissent aux changements politiques qui les secouent en composant des poèmes subtils. Or, la réforme majeure de ces décennies 1817-1848 demeure l'abolition de l'esclavage, progressive pour Maurice (1835 et 1839) et brutale pour La Réunion (1848). Ces riches documents dessinent une Histoire culturelle et littéraire, une Histoire de la Presse, une Histoire des élites ainsi qu'une Histoire politique des Îles-Sœurs. Ces poèmes permettent surtout une nouvelle Histoire de l'Abolition de l'esclavage dans ces colonies. Si certaines œuvres expriment les peurs et les rejets par les colons de l'abolition, d'autres textes livrent des opinions créoles, étonnantes de philanthropie. L'image de l'élite créole en est rénovée : ces colons de la première moitié du XIXe siècle se révèlent être cultivés, amoureux des métaphores et comparaisons, intéressés par l'Histoire. / The aim of this thesis is to study quite neglected literary source: poems and serial stories, published in the Bourbon's and Mauritius newspapers, dating from 1817 to 1848. After a careful and tedious selection, the author gathers these texts in two appended. She can propose, about them, her historical and literary analysis. This period 1817-1848 is thoroughly marked by the Abolition of the Slavery: progressive for Mauritius (in 1835 and 1839) and sudden for La Reunion (1848). By their poems and serial stories, colonists express their fears, prejudices, their refuses as so as their pragmatism. Few texts underline Creole opinions very astonishing of philanthropy. These elites of Bourbon and Mauritius of this period 1817-1848 appear clever, kin on metaphors and comparisons, fond of History. Theses passionate sources let the author of the thesis to write a literary and cultural History, a History of the Press, a politic History and the History of the elites in these Isles-Sisters.
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La « jeune fille » et sa représentation dans le roman catholique en France (1880-1914)

Plet, Charles 12 1900 (has links)
Cotutelle de thèse entre l'Université de Montréal et l'Université Paris 3 Sorbonne-Nouvelle / Parallèlement à la construction progressive du concept d’« adolescence » par certaines disciplines telles la sociologie et la psychologie, la catégorie de la jeune fille prend une importance de plus en plus marquée dans la réalité sociale et la littérature française des années 1880-1914. Et pourtant : malgré son importance tant quantitative que « qualitative » dans le roman tournant-de-siècle, force est de constater que le personnage-personne de la jeune fille n’a reçu que très peu d’attention critique au cours des dernières décennies. C’est encore plus vrai du personnage de la jeune personne tel qu’il est représenté dans le « roman catholique » des années 1880-1914, cette étiquette de même que l’immense espace d’hétérogénéité générique constitutive qu’il représente ayant somme toute fait l’objet de peu de travaux. L’objectif de cette thèse consiste donc à préciser les caractéristiques que revêt la jeune fille de papier en régime catholique d’écriture ainsi que l’utilisation à des fins politiques, socioéducatives et idéologiques qui est faite d’elle par les romanciers catholiques de l’ère 1900 – autrement dit par les différents pôles d’un sous-champ littéraire catholique en construction et en mouvement. Pour ce faire, et au croisement de l’histoire littéraire, de l’histoire culturelle et de la sociologie de la littérature, il convient d’abord de définir les exigences, normes et valeurs diffusées au sein du sous-champ, toutes liées à la jeune fille historique et sociale et qui conditionnent les postures et les pratiques d’écriture de l’ensemble des agents. Seulement après analyserons-nous les représentations de la « jeune fille » inscrites dans les principaux sous-genres investis par les romanciers catholiques du temps – le roman d’amour, le roman traditionaliste et le roman de vocation spirituelle. On verra alors qu’en plus de rendre visible un conflit de représentations fictionnelles qui réfracte les débats sociaux entre laïcs-républicains et catholiques, les personnages de jeunes filles mis en récit par le roman catholique révèlent les conflits qui opposent différents acteurs à l’intérieur même du sous-champ et, plus largement, du monde catholique de la période 1880-1914. C’est poser que la « jeune fille » est à la fois l’un des enjeux et l’un des instruments fondamentaux du sous-champ des romanciers catholiques tournant-de-siècle : sa représentation littéraire permet en effet aux écrivains catholiques d’alors, en fonction de leur position (dominante-orthodoxe ou dominée-hérétique) dans le sous-champ et des intérêts qui y sont associés, de prendre position dans le sous-champ littéraire catholique, autrement dit de conserver telle quelle ou de subvertir profondément la structure du sous-champ, et donc par extension la structure du champ des formes et des contenus romanesques. / The girl is more important than ever in Fin-de-Siècle France : the rising conflict between the Third Republic and the Church puts the spotlight on this now unavoidable fictional character. And yet, very few studies have focused on her. The same could be said of the Catholic Novel, which has not received much critical attention over the last decades. This study thus aims at describing the features of the girl in French turn-of-the-century Catholic literature, and the ways she is used by Catholic writers to undermine the basis of the new (anticlerical) Republic. But Catholic writers are far from agreeing on the ways the girl should be depicted : some believe that her fictional representation should have moral and ideological effects on the readers (romance and traditionalist writers such as M. Maryan, Henry Bordeaux, René Bazin and Paul Bourget), while others think it should inspire in them the love of the Passion of Jesus (spiritual writers like Barbey d’Aurevilly, Léon Bloy and Émile Baumann). In short, this study shows how, in Fin-de-Siècle French literature, the girl becomes one of the major instruments of the conflicts between Catholics and Republicans, but also between Catholics.

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