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L'esclavage dans l'Empire ottoman (XVIe-XVIIe siècle) : fondements juridiques, réalités socio-économiques, représentations / Slavery in the Ottoman Empire (16th-17th centuries) : legal foundations, socio-economical realities, representations

Özkoray, Hayri Göksin 11 December 2017 (has links)
L’historiographie ottomaniste traitant de la question de l’esclavage s’est surtout concentrée sur la période tardive de l’Empire (XIXe-XXe s.) produisant des livres de recherche et de synthèse (B. Lewis 1971, 1990 ; E. Toledano 1982, 1997, 2007 ; H. Erdem 1996 ; M. Zilfi 2010). Sur l’époque moderne, on dispose d’un corpus grandissant d’études portant sur des aspects ponctuels du phénomène servile. L’objectif de cette thèse est de réaliser la première monographie (en quelque langue que ce soit) sur l’esclavage dans la société ottomane de l’époque dite « classique » (XVIe-XVIIe s.), en s’intéressant à l’esclavage pratiqué dans l’espace privé et non au domaine, beaucoup plus étudié, des esclaves du sultan et du système d’asservissement militaro-administratif. À partir essentiellement de documents d’archives de l’État ottoman, du corpus juridique et législatif et de textes littéraires, la thèse aborde des questions d’histoire juridique, sociale, économique, culturelle et des mentalités. Les axes principaux de la recherche concernent ainsi le cadre juridique doctrinaire de l’esclavage en tant qu’institution et l’application du droit par les autorités ottomanes, le commerce des esclaves, les différentes formes de la main d’œuvre servile, l’esclavage au quotidien, le devenir des affranchis, mais aussi la représentation que se faisait l’élite ottomane de l’esclavage, sujet auquel est consacré un tiers de la thèse. Le cadre géographique couvre les « provinces centrales » (Roumélie, Istanbul, Anatolie), mais des micro-études sont consacrées à la Syrie (arabophone mais indissociable de l’Anatolie), l’Égypte, la Crimée, le Caucase et le Kurdistan. / Ottoman historiography dealing with slavery has been concentrated particularly on the later period of the Empire (19th-20th c.) and produced monographs of research and synthesis (B. Lewis 1971, 1990 ; E. Toledano 1982, 1997, 2007 ; H. Erdem 1996 ; M. Zilfi 2010).). For the early-modern period, there is a growing body of articles on localized aspects of the servile phenomenon. This dissertation’s objective is to realize the first monograph on slavery in the Ottoman society of the so-called “classical” period in whatever language it may be. The main focus is on slavery in the private space as opposed to the more well-known and studied sultan’s slaves and the military-administrative servitude (the “kul system”). Based essentially on archival documents of the Ottoman state, legal and juridical records, as well as literary texts, the dissertation tackles problems of juridical, social, economical, cultural history, as well as that of mentalities. Thus the research’s main axes concern the legal doctrine of slavery as an institution and the implementation of law by the Ottoman authorities; the slave trade; various forms of slave labour; slavery in everyday life; the fate of manumitted slaves; but also the representations of slavery by the Ottoman elites (topic to which a third of the thesis is devoted). The geographical framework covers the “central provinces” (Rumelia, Istanbul, Anatolia), but the dissertation also includes micro-studies on Syria (Arab-speaking but inseparable from Anatolia), Egypt, Crimea, Caucasus and Kurdistan.
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DE L'HISTOIRE DE LYON À L'HISTOIRE DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES : UN RÉCIT À L'ENVERS DE L'ÉVIDENCE

SAUNIER, pierre yves 15 September 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objet de retracer une trajectoire de recherche, à la lumière des publications qui l'ont jalonnée.
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Une odyssée subversive : la circulation des savoirs stratégiques irréguliers en Occident (France, Grande-Bretagne, États-Unis) de 1944 à 1972 / A subversive odyssey : circulating strategic knowledge in the West (France, Great Britain, United States), from 1944 to 1972

Tenenbaum, Élie 10 June 2015 (has links)
Longtemps en marge des pratiques militaires occidentales, la guerre irrégulière fut réintroduite au cours de la Seconde Guerre mondiale sous l’impulsion de la stratégie indirecte adoptée par la Grande-Bretagne. Les réseaux de coopération interalliés permettent alors à ces nouvelles conceptions de se diffuser auprès d’acteurs français et américains, formant ainsi le creuset d’une nouvelle communauté stratégique. L’émergence de la « menace subversive » au début de la guerre froide favorise le renouvellement de cette communauté et le développement des savoirs stratégiques irréguliers tels que la guérilla ou la guerre psychologique. Tantôt dans la coopération, tantôt dans la rivalité, les alliés tissent leur communauté de pratiques, d’abord en Asie du Sud-Est, face à la menace maoïste, puis dans l’ensemble du Tiers-Monde. Au cours des années 1960, ce sont les États-Unis qui prennent la tête de la croisade contre les « guerres de libération nationale » et développent en réponse une stratégie intégrée sous le nom de « contre-insurrection ». L’échec de sa mise en œuvre au Vietnam, ainsi que ses dérives politiques conduisent pourtant au rapide déclin de la stratégie irrégulière en Occident jusqu’à sa réapparition au début du XXIe siècle. En s’appuyant sur un grand nombre de sources primaires et en adoptant les nouvelles méthodes de l’histoire connectée, ce travail met en lumière les structures, les réseaux et les vecteurs qui contribuèrent à la circulation des savoirs associés à la guerre irrégulière. Il en explore également les motivations, ainsi que les limites et tente de proposer un narratif global permettant d’appréhender l’évolution des concepts de guerre irrégulière. / After being marginalized for centuries by the Western military model, irregular warfare was reintroduced during the Second World War through the indirect strategy adopted under British leadership. These new concepts then spread to the French and the American allies, thus contributing to forge the crucible of a new strategic community. The emergence of a "subversive threat" at the beginning of the Cold War allowed the renewal of such a community and the development of strategic knowledge such as irregular guerrilla or psychological warfare. Sometimes in cooperation, sometimes in rivalry, Western allies weaved their community of practice, first in Southeast Asia, facing the Maoist threat of people’s war, and then throughout the whole Third World. In the 1960s, the United States took the head of the crusade against the "wars of national liberation" and thus developed an integrated strategy, known as "counterinsurgency". The failure of its implementation in Vietnam and its political excesses yet lead to the rapid decline of irregular strategy in the West until its reappearance in the early twenty-first century, in the context of the global war on terror. Based on a large number of primary sources and adopting new methods of connected history, this work highlights the structures, networks and vectors which contributed to the circulation of strategic knowledge associated with irregular warfare. It also explores the motivations and limitations for such a circulation and attempts to offer an global narrative to apprehend the evolution of irregular warfare concepts.
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Immanuel Wallerstein : de la sociologie du développement à l’histoire globale / Immanuel Wallerstein : from development sociology to global history

Hugot, Yves David 21 September 2017 (has links)
Dans cette thèse nous avons cherché à prendre la mesure de la rupture épistémologique produite par l’analyse des systèmes-monde dans le champ des sciences sociales à travers l’étude d’un de ses principaux représentants, Immanuel Wallerstein. Dans un premier temps, ses recherches sur les mouvements nationalistes, la décolonisation et les indépendances africaines, se sont inscrites dans le cadre de ce qu’on a appelé la théorie de la modernisation qui corrélait changements sociaux et développement. Un tel modèle reposait sur une philosophie de l’histoire progressiste ordonnant les sociétés pensées comme des entités discrètes sur un axe menant de la tradition à la modernité, de sociétés agraires et rurales pauvres et oppressives pour l’individu à des sociétés urbaines industrielles prospères et individualistes. L’échec du développement des pays africains au cours des années 60 a fait douter Wallerstein de la pertinence de ce modèle. Il a alors cherché à élaborer une théorie alternative de la modernité à l’échelle globale. Au lieu de lire l’histoire mondiale selon le fil d’une modernisation qui serait un processus se réalisant à l’échelle sociétale, il l’a organisée autour de l’échange inégal entre zones exploiteuses et exploitées appartenant à un même système social appelé « système-monde moderne. » L’histoire de la modernité depuis la Renaissance et la conquête de l’Amérique devenait alors celle d’une polarisation continue entre les différentes zones de ce système, sa globalisation à partir de la deuxième moitié du dix-huitième siècle et durant tout le dix-neuvième ne faisant qu’étendre au monde entier l’inégalité entre un centre développé et une périphérie sous-développée. Au-delà de la critique de la théorie de la modernisation et du développementalisme, l’analyse des systèmes-monde a aussi procédé à une remise en cause de l’image progressiste de l’histoire qui s’était imposée depuis la philosophie des Lumières. Le système-monde moderne apparu au tournant du quinzième et du seizième siècle, comme tout système, aura une fin, comme il a eu un début. Nous vivons dans un système social qui en tant que tel est voué à disparaître sans qu’on puisse dire s’il constitue un progrès par rapport aux précédents (jamais aucun système social n’a été aussi inégalitaire), ni s’il donnera naissance à un système qui sera meilleur (en bifurcation chaotique l’avenir est incertain).En élaborant une autre « chronosophie » (Krystof Pomian), une autre « image » (Thomas Kuhn) de l’histoire que celle, progressiste, qui sous-tendait le développementalisme et la théorie de la modernisation, c’est bien une révolution copernicienne et une rupture épistémologique dans les sciences sociales qu’expose l’analyse des systèmes-monde. C’est donc bien un nouveau paradigme qu’elle se propose de constituer, l’œuvre de Wallerstein incarnant le passage des histoires mondiales classiques fondées sur le nationalisme méthodologique et l’idée de progrès, vers les histoires globales actuelles. / This PhD thesis aims to study the epistemological break produced by world-systems analysis in the field of social sciences, through the study of one of its major representatives, Immanuel Wallerstein. Initially, his research on nationalist movements, decolonization and African Independences was part of what has been called modernization’s theory. Such a model, built on a progressist philosophy of history, orders societies - perceived as discrete entities - on a linear axis leading from tradition to modernity, from poor and oppressive agrarian societies to prosperous and individualistic urban, industrial societies. The failure of development in African countries during the 1960s caused Wallerstein to doubt the relevance of this model. He then sought to elaborate an alternative theory of modernity on a global scale. In this theory, modernisation - a process realizable on the societal scale - is not the guiding thread to the reading of world history. Rather, world history is organised through the unequal exchange between exploitative and exploited zones belonging to the same social system he called “modern world-system”. The history of modernity from the Renaissance and the conquest of America onwards became one of continuous polarisation between different zones of the system. Its globalisation from the second half of the eighteenth and throughout the nineteenth century expanded inequality between a developed centre and an underdeveloped periphery to the entire world. Further to the critique of modernisation and developmentalism, the world-systems analysis has also called into question the progressive image of history which had been imposed since the Enlightenment philosophy. The modern world-system as it emerges at the turn of the fifteenth to the sixteenth century will have a demise as it had a beginning. As a social system, it is bound to disappear. It does not constitute an improvement with regard to the precedent systems (never has any social system been so inegalitarian) and it is unlikely to breed a better system since in a chaotic bifurcation, the future is uncertain.By elaborating a new “image” (Thomas Kuhn) of history, a new chronosophy (Krzysztof Pomian), the world-systems analysis operates a Copernican revolution and an epistemological rupture in the social sciences with regards to the theory of modernisation presented as the compendium of nineteenth century social science. As such, the world-systems analysis emerges as a new paradigm. Wallerstein’s work constitutes the passage from world histories founded on methodological nationalism and the idea of progress to the current non-Eurocentric global histories.
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Le panasiatisme en Asie : une construction de l’identité asiatique et japonaise, 1900-1924

Peng-Seng, Steven 10 1900 (has links)
La recherche sur le développement du panasiatisme en dehors du Japon a été longtemps négligée par les historiens. Ce mémoire est une tentative de décloisonnement du panasiatisme afin de mieux comprendre son émergence en Asie et son rôle dans la construction de l'identité asiatique entre 1900 et 1924 en examinant le discours de cinq acteurs de l’« idéologie ». Utilisant comme perspectivel'histoire globale, il démontre comment le panasiatisme en Asie s'inscrit dans un réseau de contacts et de circulation d'idées intra-asiatique au début du 20e siècle, réseau influencé principalement par deux concepts dans sa définition de l'Asie: la race jaune et la civilisation asiatique. Tentant de mieux comprendre la relation entre la pensée en Asie et au Japon, le mémoire explore aussi les similarités et différences entre eux, notamment la création d'une identité et de la perception du Japon comme modèle de modernisation et chef du continent qui se propagent en Asie à travers la rhétorique panasiatique. / Research on the development of Pan-asianism outside Japan has long been neglected by historians. This thesis is an attempt of decompartmentalization of Pan-asianism to better understand its emergence in Asia and its role in the construction of an Asian identity between 1900 and 1924. This will be done by examining the speech of five actors of this "ideology." Using a Global History perspective, it demonstrates how Pan-asianism in Asia is part of a network of contacts and circulation of ideas in the early 20th century which was mainly influenced by two concepts in its definition of Asia: the yellow race and the Asian civilisation. Other than trying to better understand the relationships between Pan-asianism in Asia and Japan, this master’s thesis also explores the similarities and differences between them, especially the creation of an identity and a perception of Japan as a model of modernization and leader of the continent that spreads in Asia through Pan-asianism’s rhetoric.
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L'évolution de l'architecture militaire du Deccan (Inde) dans les forts de Firozabad, Torgal, Naldurg et Bellary / Evolution of military architecture of the Deccan (India) : fortifications of Fīrozābād, Torgal, Naldurg and Bellary

Morelle, Nicolas 26 November 2018 (has links)
Une étude architecturale à travers quatre monographies des forts du Deccan (Inde), Naldurg, Torgal, Firozabad et Bellary dans le contexte des échanges interculturels (Orient-Occident) au sein de la culture technique de la guerre (fortification, artillerie, rôle des défenses, gestion de l’eau) dans la société médiévale et moderne indienne.Finalement, cette thèse cherche à définir les spécificités de l’architecture militaire du Deccan du 14ème au 18ème siècle, comme l’aboutissement technique de la défense médiévale et moderne en Inde. / Architectural studies of four forts of Deccan (India): Naldurg, Torgal, Firozabad and Bellary in the context of intercultural exchange (between East-West) in the technical culture of war (fortification, artillery, defenses role, water management) in the medieval and modern Indian society.Finally, this study seek to define specificities of the military architecture of Deccan from the fourteenth to the eighteenth century, as the technical outcome of medieval and modern defense in India.

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