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Vurazovi vidminnosti miž homofonijeju ta polifonijeju - teorija ta vykonavstvo, L'viv, Vyscyj deržavnyj musycnyj instytut im. Mykoly Lysenka (Atlas), 1995, 122 stor. [Georgiy Pavliy, Expressive Differences Between Homophony and Polyphony - Theory and Performance, Lviv (Atlas), 1995, 122 pp.] [Zusammenfassung]

Pavlij, Georgij 15 March 2017 (has links) (PDF)
Polyphony and homophony differ not only by their structural, but also by their expressive characteristics.
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Transcription automatique de la parole spontanée

Dufour, Richard 01 December 2010 (has links) (PDF)
Les systèmes de Reconnaissance Automatique de la Parole (RAP) atteignent actuellement des performances suffisantes pour être intégrés dans diverses applications (dialogue homme-machine, recherche d'information, indexation automatique...). Cependant, dans le cadre de la reconnaissance automatique de la parole continue à grand vocabulaire, que l'on utilise par exemple pour transcrire des émissions radiophoniques d'information, la qualité des transcriptions varie selon le type de parole contenu dans les documents. En effet, les systèmes de RAP ont beaucoup plus de facilité à transcrire de la parole préparée, proche d'un texte lu, que de la parole spontanée, caractérisée par de nombreuses spécificités (disfluences, agrammaticalité, baisse de la fluidité de la parole...). Le travail de cette thèse vise le traitement de la parole spontanée et s'inscrit dans le cadre du projet EPAC (Exploration de masse de documents audio pour l'extraction et le traitement de la PArole Conversationnelle). L'objectif principal est de proposer des solutions pour améliorer les performances des systèmes de RAP sur ce type de parole. Nous avons choisi d'aborder, dans notre travail, la parole spontanée en tant qu'objet d'étude particulier nécessitant des traitements spécifiques. Ainsi, dans un premier temps, nous proposons un outil de détection automatique de la parole spontanée, basé sur les spécificités de ce type de parole. Cet outil est très important puisqu'il nous permet, dans un deuxième temps, de proposer une approche d'adaptation des modèles acoustiques et des modèles de langage du système de RAP à la parole spontanée sans ajout de données, en sélectionnant automatiquement les segments contenant ce type de parole. La transcription résultant de cette adaptation propose des hypothèses de reconnaissance différentes de celles fournies par le système de base. La combinaison de ces deux propositions de transcription permet d'observer une réduction significative du taux d'erreur-mot. Ce besoin de solutions spécifiques a finalement orienté une partie de notre travail vers la correction d'un problème particulièrement présent en français : l'homophonie. Nous cherchons alors à corriger les transcriptions, fournies par un système de RAP, au moyen d'une méthode proposant des solutions spécifiques à certains problèmes particuliers de l'homophonie. L'approche se focalise sur la correction de certaines erreurs, auxquelles une solution particulière est proposée. Cette méthode, en post-traitement des systèmes de RAP, corrige certains mots et classes de mots homophones, indépendamment du système de RAP utilisé.
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Vurazovi vidminnosti miž homofonijeju ta polifonijeju - teorija ta vykonavstvo, L'viv, Vyscyj deržavnyj musycnyj instytut im. Mykoly Lysenka (Atlas), 1995, 122 stor. [Georgiy Pavliy, Expressive Differences Between Homophony and Polyphony - Theory and Performance, Lviv (Atlas), 1995, 122 pp.] [Zusammenfassung]: Vurazovi vidminnosti miž homofonijeju ta polifonijeju -teorija ta vykonavstvo, L''viv, Vyscyj deržavnyj musycnyj instytut im. Mykoly Lysenka (Atlas), 1995, 122 stor. [Georgiy Pavliy, Expressive Differences Between Homophony and Polyphony - Theory and Performance, Lviv (Atlas), 1995, 122 pp.] [Zusammenfassung]

Pavlij, Georgij 15 March 2017 (has links)
Polyphony and homophony differ not only by their structural, but also by their expressive characteristics.
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Dysfonctionnements et difficultés d'apprentissage des déterminants possessifs français chez les apprenants hispanophones (Cas de figure des apprenants mexicains)

Aquino Garcia, Ofelia Elena 06 November 2010 (has links) (PDF)
Cette recherche s'intéresse aux dysfonctionnements et aux difficultés d'apprentissage et de manipulation des déterminants possessifs français que rencontre la communauté hispanophone (spécifiquement la communauté mexicaine) lors de l'apprentissage du FLE. Basée sur les recherches sur l'interlangue et les modèles constructivistes conférant à l'erreur un statut beaucoup plus positif qu'auparavant, cette étude retrace , à l'intérieur des quatre chapitres, les différentes étapes parcourues, tout d'abord, pour mieux identifier et analyser les difficultés écrites et orales des apprenants et deuxièmement pour arriver à structurer, sur la base des analyses réalisées, le parcours le mieux adapté pour pallier les diverses difficultés constatées. L'analyse menée à partir d'une évaluation diagnostique nous permet d'explorer et de vérifier le degré de répercussion des diverses hypothèses associées aux dysfonctionnements et aux difficultés lors de l'utilisation des déterminants possessifs en L2
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Weaving an ambiguous lexicon / Construire un lexique ambigu

Dautriche, Isabelle 18 September 2015 (has links)
Il y a (au moins) deux questions fondamentales que l’on est amené à se poser lorsqu’on étudie le langage: comment acquiert-on le langage? —le problème d’apprentissage —et pourquoi les langues du monde partagent certaines propriétés mais pas d’autres? —le problème typologique. Dans cette thèse, j’entreprends de relier ces deux domaines en me focalisant sur le lexique, l’ensemble des mots de notre langue et leur sens associés, en posant les questions suivantes: pourquoi le lexique est-il tel qu’il est? Et est-ce que les propriétés du lexique peuvent être (en partie) expliquées par la façon dont les enfants apprennent leur langue? Un des aspects les plus frappants du lexique est que les mots que nous utilisons sont ambigus et peuvent être confondus facilement avec d’autres. En effet, les mots peuvent avoir plusieurs sens (par exemple, les homophones) et sont représentés par un ensemble limité de sons qui augmentent la possibilité qu’ils soient confondus (par exemple, les paires minimales). L’existence de ces mots semble présenter un problème pour les enfants qui apprennent leur langue car il a été montré qu’ils ont des difficultés à apprendre des mots dont les formes sonores sont proches et qu’ils résistent à l’apprentissage des mots ayant plusieurs sens. En combinant une approche computationnelle et expérimentale, je montre, quantitativement, que les mots du lexique sont, en effet, plus similaires que ce qui serait attendu par chance, et expérimentalement, que les enfants n’ont aucun problème à apprendre ces mots à la condition qu’ils apparaissent dans des contextes suffisamment distincts. Enfin, je propose que l’étude des mots ambigus permet de révéler des éléments importants du mécanisme d’apprentissage du langage qui sont actuellement absents des théories actuelles. Cet ensemble d’études suggère que les mots ambigus et les mots similaires, bien que présents dans le langage, n’apparaissent pas arbitrairement dans le langage et que leur organisation reflète (en partie) la façon dont les enfants apprennent leur langue. / Modern cognitive science of language concerns itself with (at least) two fundamental questions: how do humans learn language? —the learning problem —and why do the world’s languages exhibit some properties and not others? —the typology problem. In this dissertation, I attempt to link these two questions by looking at the lexicon, the set of word-forms and their associated meanings, and ask why do lexicons look the way they are? And can the properties exhibited by the lexicon be (in part) explained by the way children learn their language? One striking observation is that the set of words in a given language is highly ambiguous and confusable. Words may have multiple senses (e.g., homonymy, polysemy) and are represented by an arrangement of a finite set of sounds that potentially increase their confusability (e.g., minimal pairs). Lexicons bearing such properties present a problem for children learning their language who seem to have difficulty learning similar sounding words and resist learning words having multiple meanings. Using lexical models and experimental methods in toddlers and adults, I present quantitative evidence that lexicons are, indeed, more confusable than what would be expected by chance alone. I then present empirical evidence suggesting that toddlers have the tools to bypass these problems given that ambiguous or confusable words are constrained to appear in distinct context. Finally, I submit that the study of ambiguous words reveal factors that were currently missing from current accounts of word learning. Taken together this research suggests that ambiguous and confusable words, while present in the language, may be restricted in their distribution in the lexicon and that these restrictions reflect (in part) how children learn languages.
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Portrait des difficultés des élèves du secondaire relativement à l’orthographe des formes homophones

Champoux-Chouinard, Ménaïc 12 1900 (has links)
Cette recherche descriptive vise à établir un portrait des principales difficultés rencontrées par les élèves du secondaire relativement à l’orthographe des homophones et cela à travers différents angles d’analyse. Nous avons d’abord fait ressortir l’importance des difficultés orthographiques chez les élèves du secondaire québécois et mis en relief la proportion de ces erreurs attribuée à l’orthographe des homophones. À partir des données recueillies par le groupe de recherche Projet grammaire-écriture qui s’est donné comme objectif, dans un premier temps, de recueillir de nombreuses données à travers deux instruments de collecte (une dictée et une production écrite), nous avons tout d’abord relevé les erreurs d’homophonie commises le plus fréquemment par les élèves pour ensuite analyser chacune des formes homophones problématiques en fonction de critères variés tels que leur fréquence lexicale dans la langue française, leur appartenance à une catégorie grammaticale particulière ou encore la structure syntaxique qui les sous-tend. Les erreurs les plus importantes ont fait l’objet d’une observation plus poussée : nous avons établi le pourcentage de graphies correctes versus erronées dans tous les textes des élèves. Finalement, nous avons aussi comparé nos résultats à ceux obtenus par McNicoll et Roy (1984) auprès d’une population de niveau primaire. Les résultats révélés par notre analyse montrent que ce sont principalement les finales verbales en /E/ qui posent problème aux élèves du secondaire, suivies par les formes homophones s’est/c’est/ces/ses et se/ce. / This descriptive research aims to establish a picture of the main difficulties high school students face with regard to the spelling of homophones; this was achieved using several perspectives of analysis. We started by emphasising the importance of spelling difficulties among Québec high school students and then outlined the proportion of those errors specifically attributable to the spelling of homophones. Using data gathered by Projet grammaire-écriture, a research group with the preliminary objective of gathering a significant amount of data using two means of collection (a dictation and a written production), we started by outlining the most frequent homophonous errors made by the students and then analysed each of the problematic homophonous forms using several criteria, such as their lexical frequency in the French language, their belonging to a particular grammatical category, or their underlying syntax structure. The most outstanding errors have been the subject of more advanced analysis: we have established the percentage of correct spelling versus wrong spelling in all of the students’ writings. And, finally, we have also compared our results with those obtained by McNicoll and Roy (1984), who surveyed students from primary schools. The results of our analysis show that the main problems high school students face are verbs ending with the sound ‘e’, followed by the s’est/c’est/ces/ses and se/ce homophonous forms.
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L'utilisation pédagogique d'un logiciel correcteur au primaire et au secondaire

Désilets, Mario January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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