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Le problème de Molyneux chez Condillac

Giguère, Francis January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le meilleur ou le vrai : Spinoza et l'idée de philosophie / The better or the true : Spinoza and the idea of philosophy

Danino, Philippe 09 December 2013 (has links)
Accusé par Albert Burgh de considérer sa propre philosophie comme étant la meilleure entre toutes, Spinoza rectifie : il sait seulement qu'est vraie la philosophie qu'il comprend. Mais on cherchera vainement une authentique définition, chez lui, de l'idée de philosophie, ainsi qu'un programme d'ensemble des connaissances rationnelles, comme s'appliquent à en dresser Bacon, Descartes ou Hobbes. Y a-t-il chez Spinoza une conception précise, voire singulière, de l'idée de philosophie? Étudier les occurrences, la nature de la définition, ce qu'enfin peut signifier le passage d'un titre pressenti de Philosophie à celui d'Éthique, produit autant d'indices d'une idée de philosophie conçue comme praxis de distinction ou, comme le disait Althusser, comme activité de tracer des lignes de démarcation. Mais une idée même de philosophie se constitue en ce geste, et seulement en ce geste, à savoir par le biais de relations nécessaires avec ce qui a priori n'est pas elle: le vulgaire, l'ignorant, le théologien, le souverain. L'idée de philosophie, en d'autres termes, s'autoproduit dans un système de rencontres singulières. En analyser les fruits permet alors de recomposer l'idée de « vraie philosophie» : elle est d'abord celle d'une pratique de production d'idées (comprendre, philosopher droitement, parler en philosophe) et de leur communication (s'adresser au vulgaire, au souverain, enseigner en tant que philosophe). Mais se fait jour, en outre, comme un naturel philosophe, effort s'éprouvant selon une réjouissance propre au « vrai philosophe », déjà sage en vertu de son mouvement de se perfectionner et d'accroître sa puissance. / Being accused by Albert Burgh of appraising his own philosophy as the best above all others, Spinoza rectified : only the philosophy he could understand did he know as true. But vainly will one seek any authentic definition, in his works, of the idea of philosophy, or an overall programme of rational knowledge, such as Bacon, Descartes or Hobbes endeavored to make out. Can one find in Spinoza a specific, singular indeed conception of the idea of Philosophy ? Studying occurrences, the nature of the definition, eventually what the change from the prospective title Philosophy to that of Ethics may signify, generates as many indications about an idea of philosophy conceived as a praxis of distinction, or, as Althusser would say, as activity consisting of drawing boundaries. But a very idea of philosophy constitutes itself by this movement, and only by this movement, namely via necessary relations with what, a priori, is not itself : the vulgar, the ignorant, the theologian, the sovereign. In other words the idea of philosophy generates itself within a system of singular encounters. Analyzing their fruits enables one, then, to recompose the idea of “true philosophy”: it is firstly that of a practice of producing ideas (understanding, philosophizing with rectitude, speaking as philosopher) and of communicating them (speaking to the “vulgar”, to the sovereign, disseminating as philosopher). Finally something like a philosophic natural disposition comes to light, an effort experienced in an exultation proper to the “true philosopher”, who is already wise by virtue of his movement toward perfection and his growing power.
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La causalité et le réalisme des idées

Vachon, Claude 13 November 2021 (has links)
L'affirmation complète de l a causalité et du réalisme de l'idée génère l'antinomie de la liberté et du déterminisme. On a cru la résoudre en sauvant la causalité de l'idée par une limitation du réalisme, ou en faisant l'inverse. Nous croyons que l'idée n'est ni causale ni réaliste. D'une part, l'idée est l'indice d'un fléchissement de la causalité libre, non le facteur efficace pour le passage à l'acte; l'exercice complet de la causalité ne s'aperçoit à travers l'idée ni avant ni pendant ni après l'acte. D'autre part, l'idée est une projection de l'apparence sur le réel, non une ressaisie du réel derrière l'apparence; le déterminisme de la décision est davantage un accès et une preuve de la liberté que ne l'est l'indéterminisme des options antagonistes.
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Dostoevsky and the Irresistible Idea

Jones, Kenneth R. 01 1900 (has links)
The primary goal of this paper is to investigate the phenomenon of a dream, a desire, or an idea transpiring in the thoughts of an individual, growing in importance to the individual, and finally becoming an idée fixe, or irresistible idea, which cannot be suppressed by the individual. The investigation will be concerned with the two of Dostoevsky's heroes who best exemplify the phenomenon.
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Identidade entre ideia e volição: a crítica à imagem do livre-arbítrio em Espinosa / Identité entre l\'idée et volition: la critique à l\'image du libre arbitre chez Spinoza

Rodrigues, Juarez Lopes 11 February 2014 (has links)
O escopo dessa dissertação é explicitar, na medida do possível, as críticas formuladas por Espinosa em relação a Descartes, notadamente em sua doutrina do livre-arbítrio. Compreendendo a noção de livre-arbítrio cartesiano, tentaremos precisar a ruptura existente entre os dois filósofos. Analisaremos na Ética e no Tratado da emenda do intelecto a concepção da natureza da ideia e a sua distinção entre ideias adequadas e inadequadas, o que nos levará à sua crítica da faculdade da vontade livre. Essa análise se deterá especialmente na identificação que Espinosa realiza entre ideia e volição, sendo a ideia concebida como um ato de afirmação ou negação, de modo que a volição é constitutiva da ideia. É em virtude dessa identidade que Espinosa afirmará que o verdadeiro e o falso não se referem a um juízo exterior às ideias, mas a um juízo que opera internamente, nas próprias ideias. Com essa análise, tentaremos evidenciar que a identidade entre ideia e volição não elimina o caráter voluntário da ação cognitiva do homem na filosofia espinosana. A crítica de Espinosa em relação ao conceito de vontade, entendida como uma faculdade abstrata, isto é um universal abstrato, visa a romper com a ideia de que a vontade é absolutamente livre. A vontade deixa de ser a faculdade que afirma a liberdade entre contrários e torna-se a afirmação da livre necessidade. É essa concepção de uma faculdade universal e abstrata que acarretará ilusão do livre-arbítrio. / Le but de cette dissertation est dexpliciter, autant que possible, les critiques formulées par Spinoza par rapport à Descartes, en particulier sa doctrine du libre arbitre. En comprenant la notion cartésienne de volonté libre, nous essayons de préciser la rupture existante entre les deux philosophes. Nous analyserons dans lÉtique et dans le Traité de la Reforme de lEntendiment la conception de la nature de lidée et sa distinction entre des idées adéquates et inadéquates, qui nos conduira à sa critique de la faculté de la volonté libre. Cette analyse se detient en particulier sur lidentification que Spinoza fait entre lidée et volition, étant lidée conçue comme un acte daffirmation ou de négation, de sorte que la volition est constitutive de lidée. Cest en vertu de cette identité que Spinoza affirmera que le vrai et le faux ne se réfèrent pas à un jugement extérieure aux idées, mais à un jugement qui opère internement, dans les idées elles-mêmes. Avec cette analyse, nous essaieront de montrer que lidentité entre lidée et volition nélimine pas le caractère volontaire de laction cognitive de lhomme dans la philosophie spinoziste. La critique de Spinoza à la notion de volonté, comprise comme une faculté abstraite, cest à dire, un universel abstrait, vise à rompre avec lidée que la volonté est absolument libre. La volonté cessera dêtre la faculté qui affirme à partir de lindétermination entre contraires et deviendra laffirmation de la libre necessité. Par contre, cest la conception dune faculté universelle et abstraite qui donnera lieu à lilusion du libre arbitre.
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Scientia, potentia e voluntas Dei nella Lectura super primum Sententiarum di Giacomo da Viterbo / Scientia, potentia et voluntas Dei dans la Lectura super primum Sententiarum de Jacques de Viterbe / Scientia, potentia and voluntas Dei in the Lectura super primum Sententiarum of James of Viterbo

Tavolaro, Gianpiero 14 June 2016 (has links)
Le présent travail de thèse se place à l’intérieur du débat historiographique concernant le manuscrit VII C 52 de la Bibliothèque Nationale de Naples: il s’agit d’un codex unique et autographe, du maître Augustin Jacques de Viterbe, qui garde une oeuvre connue sous le titre de Abbreviatio in I Sententiarum Aegidii Romani. La recherche, qui a été conduite directement sur le manuscrit, a permis d’identifier l’oeuvre du manuscrit napolitain avec les brouillons dont Jacques s’est servi pour tenir son cours de Lectura super primum Sententiarum, à Paris (1287-1288). Un tel résultat (chapitre 1), conjontement avec la transcription (appendix) et l’analyse doctrinale des distinctions 35-48 sur les attributs divins de science, puissance et volonté divines (chapitres 2-4), éclaire aussi la formation et la première activité didactique de Jacques, que la première phase d’organisation du studium des Augustins à Paris, avant qu’ils eussent un studium generale autonome dans la ville. Les nombreuses citations de textes de Thomas d’Aquin et l’évidente préference pour ses doctrines confirment la valeur accordée par la ‘jeune’ schola eremitana à l’autorité de Thomas, surtout grâce à la mediation de Gilles, premier maître et docteur officiel de l’Ordre; au même temps, cela oriente à placer la formation du Viterbien à l’intérieur du studium dominicain ou, au moins, d’un milieu proche de celui-là, plutôt que chez Henri de Gand. Enfin, la manière dont les materiaux thomasiens sont ultilisés dans la Lectura révèle une attention toute particulière à l’arrière-plan néoplatonisant et dionysien de la pensée de Thomas: c’est pour ça que le successif retournement doctrinal de Jacques vers des positions plus strictement ‘augustiniennes’ ne se présente pas comme une rupture avec les positions de la jeunesse, desquelles au contraire il représente le développement naturel. / The present dissertation is placed within the historical debate on the manuscript VII C 52 of the National Library of Naples: it is an autograph and only extant codex of the Augustinian master James of Viterbo and it preserves a work known as Abbreviatio in I Sententiarum Aegidii Romani. The research, carried out directly on the manuscript, has allowed to identify the work contained in the Neapolitan manuscript with the notes of which James availed himself to ‘read’ the Sentences in Paris, during the academic year 1287-1288. Such a result (chapter 1), together with the transcription (appendix) and the doctrinal examination of the distinctions 35-48 on the divine attributes of science, power and will (chapters 2-4), sheds light both on the formation and the first teaching of James and on the first organizing stage of the studium of the Augustinians in Paris, at a time when the Order did not have an independent studium generale in the city. The quotations from Thomas Aquinas (the main source of the Lecture) and the clear preference for his doctrines confirm the value granted by the ‘young’ Hermits school the authority of Aquinas, thanks to the mediation of Giles of Rome, the Augustinians’ first regent master in theology in Paris and the official doctor of the Augustinian order; at the same time, it suggests that James has studied at the Dominican studium or at least at a studium very close to the Dominican milieu, rather than under Henry of Ghent. Finally, the way James uses Thomas’ texts within the Lectura reveals a particular attention to the neoplatonic and dionysian background of Aquinas’ reflection: consequently, later doctrinal slippage of James to more properly ‘augustinian’ positions cannot be interpreted in term of rupture with early positions: rather, it represents their natural development.
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Architecture et présence : entre idée, image et communication / Presence in architecture : between idea, image and communication

Mecarsel, Joseph 03 June 2014 (has links)
En questionnant l’Architecture à travers différents exemples et périodes jusqu’à notre monde contemporain, nous obtenons beaucoup de réponses à des interrogations existentielles qui nous semblent énigmatiques. Le phénomène de communication ou d’expression par l’architecture, n’est pas indépendant de l’antagonisme qui a abouti au clash des civilisations. Par sa « Présence » l’architecture configure le monde de l’homme, répondant à ses besoins matériels mais aussi à ses aspirations, rêves et idéaux. Elle porte en elle ses « Idées » reflète sa « vision » et communique ses « Messages ». Elle seule peut l’enchanter par l’édification d’un monde nouveau. Mais elle peut aussi le détruire en agressant ses sens et en polluant ses esprits par les idées qu’elle reflète. L’œuvre architecturale marque aussi le lieu par sa présence, elle le poinçonne et devient « symbole » ou « image », repère, jalon dans un parcours international qui revêt l’aspect d’un défi, voire une nouvelle guerre de puissance au travers de bâtiments emblématiques. Cette architecture que nous appelons « Landmark » devient un paradigme essentiel de « présence » et de mutation. Sa mission essentielle est d’être au-delà de l’instrument, un précepte de communication toujours plus innovateur. L’architecture, par cette nouvelle dimension, devient un facteur inéluctable de stabilité et de continuation du monde. Un convoyeur de l’avenir non seulement un miroir du passé. C’est la problématique liée à une nouvelle dimension de l’Architecture, qui se conjugue avec la Quatrième dimension mais qui va au-delà, chercher la vraie raison de survivance du monde par l’architecture à travers les temps. Cette dimension liée à la communication, qui est présente chez les historiens et les sociologues mérite d’être fouillée plus en profondeur par nous architectes qui occultons parfois, certains aspects majeurs relatifs à la communication par la seule « présence » des bâtiments crées à bon escient par notre subconscient alerte et assidu. / When questioning Architecture using several examples throughout history up to our contemporary world, we found many answers to existential interrogations that seem enigmatic. The phenomenon of communication or expression through architecture is somehow related to antagonism that led to the clash of civilizations. By its “presence”, the architecture configures the world of man, satisfying his material needs, as well as their dreams but also his dreams and ideals. Architecture carries his “Ideas” reflects his “vision” and communicates his “Messages”. More than anything else, it can enchant him by building e new world. However, it can also destroy him by violating his senses, polluting his spirit by the ideas it conveys. The architectural world also marks the place by its presence, it becomes a “symbol” or “image”, a landmark in the international journey which presents itself as a challenge, or even a new conflict of power through emblematic buildings. This architectural that we call “Landmark” becomes an essential paradigm of “presence” and mutation. Its essential mission is to go beyond the instrumental, an inevitable factor of stability and continuity of the world. A path towards the future, not only a reflexion of the past. This debate, in relation with a new dimension of architecture, combines itself with the fourth dimension and goes even further, looking for the true reason of the world’s survival through architecture and time. This aspect, in relation with communication, and which is present in the sociological and historical discourse, deserves to be studies more thoroughly by us architects. We sometimes hide some major aspects relative to communication by the mere “presence” of buildings purposely created by our alert and diligent subconscious.
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Le rôle des idées dans la connaissance singulière chez John Locke

Kado, Déborah January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif de présenter le rôle des idées dans la connaissance singulière chez John Locke. Les « idées » constituent la pierre angulaire de la théorie de la connaissance chez Locke. Selon lui, la connaissance est la « perception d'une liaison » de concordance ou de discordance entre les idées. L'idée est, pour lui, le matériau de notre connaissance. Le rôle des idées dans la connaissance singulière est de nous représenter les existants réels. Les idées singulières sont reçues et perçues par l'esprit pour former des propositions singulières. La perception de la liaison de concordance ou de discordance entre les idées constitue la connaissance singulière ou la connaissance générale. Dès lors le rôle des idées consiste à faire connaître les êtres qui existent, à établir une correspondance entre le sujet connaissant et la réalité extérieure. L'idée en tant que fondement épistémologique est le principe de toute connaissance et, précisément, de la connaissance singulière. Nous utiliserons la principale oeuvre de Locke, à savoir l'Essai sur l'entendement humain, pour réaliser cette étude. Il s'agit donc de réexaminer la pensée de Locke en épistémologie en reconstruisant les concepts du corpus de sa théorie de la connaissance sous l'angle spécifique du rôle que jouent les idées dans la connaissance singulière. Pour réaliser cette étude, nous procéderons à une analyse systématique en exposant d'abord, dans une première partie, le cadre conceptuel de la théorie lockienne des idées, puis, dans une seconde partie, nous montrerons en quoi celles-ci consistent dans la connaissance singulière. Dans la première partie du mémoire, nous présentons, la conception lockienne des idées en montrant leur origine sensible. Pour montrer le caractère sensible des idées, nous utilisons particulièrement le livre 2 de l'Essai sur l'Entendement humain. Dans le chapitre 1, nous présentons les deux sources de la connaissance. Nous discutons, ensuite, dans le chapitre 2, la cause des idées tout en nous attachant à montrer que les idées sont causées par les pouvoirs des objets extérieurs que Locke appelle qualités. Et, dans le chapitre 3, nous analysons les opérations de l'esprit en montrant le rôle des idées en général. Après l'analyse de la théorie des idées, nous essayons de montrer comment les idées se déterminent en connaissance, dans la connaissance singulière, ce qui constitue l'objet des chapitres de la seconde partie. Le livre 4 de L'Essai sur l'entendement humain est ici notre référence principale. Dans notre chapitre 4, nous tentons de définir la connaissance singulière. Dans le chapitre 5, nous analysons la connaissance de l'existence des êtres réels en montrant le rapport des idées aux choses existantes et la certitude. Ensuite, dans le chapitre 6, nous examinons les limites de la connaissance singulière liées à l'impossibilité de connaître la substance. Et, enfin, dans le chapitre 7, nous pouvons avancer ce qui nous apparaît être la position sceptique de Locke en épistémologie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Philosophie, Épistémologie, Connaissance, Idée, Existence, Êtres réels, Locke.
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De Brouwer à Barsalou : l'intuitionnisme à l'ère des sciences cognitives

Pelland, Jean-Charles January 2008 (has links) (PDF)
L'objectif du présent texte est de tenter de construire un modèle de l'acquisition des concepts mathématiques sans l'aide du langage en s'inspirant des thèses intuitionnistes de L.E.J. Brouwer et en les appliquant à des théories plus modernes de l'acquisition et de la représentation des concepts mathématiques, notamment, la théorie du sens des nombres de Stanislas Dehaene. Pour ce faire, nous initierons le lecteur à la pensée de Brouwer dans les deux premiers chapitres et développerons dans le troisième chapitre une nouvelle analyse de l'Intuition Primordiale de Brouwer dans laquelle il est possible d'identifier chaque élément impliqué dans l'acquisition des concepts mathématiques chez Brouwer et le rôle joué par chacun. Le chapitre quatre exposera la théorie de Dehaene selon laquelle nos capacités mathématiques sont le résultat de deux systèmes cognitifs de base, soit le système de répertoire d'objets et le système de représentation approximative de la numérosité. Nous tenterons ainsi d'améliorer le modèle de l'ontogenèse de Dehaene ainsi que les interprétations de Suzanne Carey, celles-ci soulignant le besoin de faire appel à d'autres systèmes de base incluant un système de représentation de l'ordre linéaire ainsi que le langage. Nous présenterons une hypothèse alternative en remarquant qu'une représentation approximative de la numérosité peut implicitement contenir une forme d'ordre et de relation de successeur capable de justifier une partie de l'apprentissage des listes de numéros chez les enfants. Aussi, nous tenterons d'expliquer le développement de concepts mathématiques plus avancés en nous basant sur la théorie de l'abstraction de Lawrence Barsalou, selon laquelle l'abstraction est une interprétation dynamique faite par des systèmes de symboles perceptuels. Nous pourrons alors expliquer la manière dont le système de répertoire d'objets réussit à développer une composante numérique en venant interpréter les représentations du système approximatif. Nous suggérerons enfin l'hypothèse que les concepts mathématiques puissent être aptes à se développer à mesure que ce système de répertoire d'objets produit des représentations structurées dans lesquelles les numérosités se voient regroupées de manière analogue au développement des nombres par l'IP de Brouwer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Intuitionnisme, Abstraction, Concepts mathématiques, Fondements des mathématiques.
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Ancrage de l'idéologie de l'Union des producteurs agricoles et de l'utopie de l'Union paysanne dans des significations imaginaires sociales

Dupont, Patrice 03 1900 (has links)
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