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La guerre civile en Sierra Leone de 1991 à 2002

Nemeth, Stephen-Michael 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire se propose d'examiner la guerre civile en Sierra Leone qui s'est déroulée de 1991 à 2002. Cet événement est extrêmement complexe, voire même unique, en raison de son histoire particulière. Les sources du conflit sont variées et ont des causes politiques, sociologiques, économiques et historiques. Pourquoi le conflit sierra-léonais a-t-il duré pendant plus de dix ans et cela malgré de nombreux efforts visant à mettre un terme au conflit? Afin de répondre à cette question, ce mémoire analyse les différentes dimensions de la guerre civile en Sierra Leone. Il débute par un survol historique afin de comprendre l'origine du conflit. Ensuite, il examine la fragilité de l'État sierra-léonais pendant la guerre et tente d'expliquer pourquoi la faiblesse de l'État a causé l'émergence des forces rebelles. Il se penche ensuite sur l'enjeu du diamant dans le conflit, puis se termine par une analyse des aspects internationaux qui ont influé sur le déroulement de la guerre en Sierra Leone, y compris l'instabilité régionale en Afrique de l'Ouest, le financement des rebelles, le manque de soutien de la part de la communauté internationale, ainsi que les différentes interventions régionales, britanniques et onusiennes. Malgré le nombre important de facteurs qui ont contribué à la poursuite du conflit, ce mémoire prétend que c'est la fragilité de l'État qui en est la cause majeure. En particulier, cette fragilité repose sur l'absence de structures suffisamment fortes pour maintenir l'ordre en Sierra Leone pendant la guerre. Tous les autres facteurs auraient eu moins d'effets à court et à long termes s'il y avait eu un État stable en Sierra Leone. Aujourd'hui, l'espoir règne en Sierra Leone, mais la reconstruction du pays reste importante pour qu'il puisse se redresser suite aux séquelles de la guerre. Le gouvernement sierra-léonais doit renforcer ses institutions nationales et mettre l'accent sur la protection de ses ressources naturelles, soit les diamants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sierra Leone, Guerre civile, Instabilité régionale, RUF, Diamant
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Le tourisme, facteur de développement pour le Maroc / Tourism as a tool for development in Morocco

Raffali, Nidal 13 April 2018 (has links)
Le Maroc a fait du tourisme le levier économique de son développement national. Pour l’Etat marocain, le tourisme représente la bouée de sauvetage pour le développement du pays, susceptible d’assurer création d’emploi et de favoriser un échange culturel mondial. La mise semble bien apporter ses fruits puisque le secteur touristique est le 2ème contributeur au PIB national après l’agriculture (12% du PIB national). Le tourisme au Maroc a généré 57.5 milliards de dirhams et 500 000 emplois directs en 2013. Certes, le tourisme a bien évolué au Maroc et les arrivées sont passées de 4 278 120 millions en 2000 à 10.046 millions en 2013 ; toutefois, la part des touristes étrangers ne représente que 53% de la totalité des arrivées, et la part des marocains résidant à l’étranger (MRE) en représente 47%. Ce chiffre parait minime comparé aux arrivées internationales dans le monde, à l’image de marque véhiculée par l’Etat marocain, et aux atouts dont dispose le pays. Car comment se fait-il qu’un pays doté d’une culture ancestrale, d’un paysage diversifié dont 3600 km de côtes, d’un climat doux toute l’année, ne séduise que 5 323 333 millions de touristes étrangers? Le tourisme évolue en fonction du développement économique et politique, du développement socioculturel, du développement environnemental, des tendances de la consommation, et de la structure internationale de la production touristique. Ce travail a pour objectif de croiser plusieurs disciplines afin de déceler les principaux freins au développement du tourisme au Maroc, ainsi que les atouts du pays à mettre en valeur. / Morocco has invested in the tourism sector and placed it at the core of its development endeavors. The sector generates jobs and promotes a global cultural exchange. In fact, the tourism sector is nowadays the second largest contributor to national Moroccan GDP after the agriculture sector (12% of national GDP). Tourism in Morocco generated 57.5 billion dirhams and 500,000 direct jobs in 2013. Of course, tourism has evolved well in Morocco and visitor numbers have increased from 4,278,120 million in 2000 to 10,046 million in 2013. However, the share of foreign tourists represents only 53% of all visitors, and the share of Moroccans living abroad (MRE) represents 47%. This figure seems minimal compared to international visitors in the world, the brand image conveyed by the Moroccan state, and the assets available to the country. How is it that a country endowed with ancestral culture, a diversified landscape with 3600 km of coastline, a mild climate all year round, receives only 5,323,333 million foreign tourists? Tourism development goes hand in hand with economic and political development, social-cultural development, environmental development, consumption trends, and the international structure of tourism production. This thesis aims at answering this question using cross-research disciplines to identify the main obstacles hindering the development of tourism in Morocco, as well as the assets of the country.
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Sustainable health financing for progress towards universal health coverage in low- and middle-income countries / Financement soutenable de la santé pour le progrès vers la couverture universelle en santé dans les pays à revenus faible et Intermédiaire

Tapsoba, Palingwindé Yann 22 December 2017 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux questions de soutenabilité dans le financement de la santé au sein des pays à revenus faible et intermédiaire. Elle est articulée autour de quatre chapitres. Les deux premiers chapitres proposent respectivement d’explorer les déterminants de l’efficience technique des dépenses de santé et de leur niveau par habitant dans les pays à revenus faible et intermédiaire. Le premier chapitre analyse l’effet de l’ouverture commerciale sur l’efficience technique des dépenses de santé. Le second chapitre étudie l’effet de la pollution de l’air sur les dépenses de santé. Dans les deux derniers chapitres, nous nous focalisons sur les pays d’Afrique subsaharienne. Le troisième chapitre étudie le rôle que joue le financement prépayé de la santé pour l’amélioration de la santé dans les ménages tandis que le quatrième chapitre se fixe pour objectif d’analyser les déterminants des dépenses prépayées de santé en se focalisant plus particulièrement sur l’instabilité politique. / This thesis focuses on the sustainability issues in health financing in low-and middle –income countries. It is articulated around four chapters. The two first chapters propose to respectively explore the determinants of technical efficiency of health expenditures and their level per capita in low-and middle –income countries. The first chapter analyzes trade openness effect on the technical efficiency of health expenditures. The second chapter investigates air pollution effect on health expenditures. In the two last chapters, we focus on Sub-Saharan African countries. The third chapter studies the role that plays prepayment health financing for health improvement in households whereas the fourth one sets the goal to analyze the determinants of prepayment health expenditures, by particularly focusing on political instability.
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Conflit armé et ressources naturelles en droit international : le cas de la République démocratique du Congo

Goyette, Andréanne 04 1900 (has links) (PDF)
L'exploitation illicite des ressources naturelles en territoire de conflit armé représente un phénomène inquiétant pour la communauté internationale, et certainement un enjeu incontournable dans l'analyse de certains conflits actuels. Au-delà de l’importance de cette problématique dans la compréhension des mécanismes de financement des conflits armés, cette exploitation illicite engendre la commission de violations graves des droits humains. La population civile, prise dans l'étau de la violence armée, est une victime de premier plan de cette exploitation illicite, et des exactions qui en découlent. La situation en République démocratique du Congo en est l'une des illustrations les plus directes. Les violations commises à l'encontre de la population se situant dans les zones riches en ressources naturelles sont graves, et se produisent dans un climat d'impunité généralisée. Les objectifs centraux de ce mémoire sont, d'une part, de mettre en relief l’importante interconnexion entre l'exploitation illicite des ressources naturelles et la commission d'exactions graves, en exposant la situation en République démocratique du Congo, et d'autre part, d'entrevoir les pistes de solutions par l'analyse des initiatives en droit international pour la prévention et la répression des violations commises en lien avec l'exploitation des ressources naturelles. Le droit international est certainement une voie de réponse pertinente et nécessaire à l'égard de cet enjeu. L'établissement de régimes de sanctions et l'application du droit pénal international renferment les composantes essentielles à la répression des crimes reliées à l'exploitation illicite des ressources. De plus en plus, des mécanismes, codes de conduites et autres initiatives se développent et se renforcent au sein de regroupements multipartites. Cependant, devant la dualité des percées contraignantes et du développement d'initiatives plus volontaristes, et les lacunes de leur mise en œuvre, l'élaboration d'outils juridiques régionaux représentent une avenue de plus en plus incontournable dans la lutte contre l'exploitation illicite des ressources naturelles. La présente recherche tentera de démontrer la pertinence de cette approche certes récente, mais qui permet d'entrevoir plusieurs résultats innovateurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Ressources naturelles, conflit armé, droit international, République démocratique du Congo, minéraux, crimes internationaux, droit pénal international, pillage, droit international des droits humains, exactions, sanctions, devoir de diligence raisonnable, Conférence internationale sur la Régions des Grands Lacs.
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Alliance Politics in Hybrid Regimes : Political Stability and Instability since World War II

Gagné, Jean-François 08 1900 (has links)
Cette thèse étudie la stabilité et l’instabilité politique des régimes hybrides. Elle pose la question suivante : dans quelles conditions l’autorité des élites au pouvoir est-elle reconnue ou contestée? Notre réponse s’articule en lien avec le caractère inclusif ou exclusif de la coalition dirigeante : c’est-à-dire, l’alliance stratégique des élites dirigeantes avec les groupes sociaux dominants. L’inclusion de ces derniers favorise le consentement et la stabilité; leur exclusion entraîne l’affrontement et l’instabilité politique. Sa composition dépend (i) du degré de violence organisée extra-légale et (ii) du degré de pénétration de l’État sur le territoire et dans l’économie. La première variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (militaires) ou du régime (partis d’opposition) est dominant et influence les formes de communication politique avec les élites dirigeantes. La deuxième variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (fonctionnaires) ou de la société (chefs locaux) est dominant et oriente les rapports entre les régions et le pouvoir central. L’apport de la recherche est d’approfondir notre compréhension des institutions politiques dans les régimes hybrides en mettant l’accent sur l’identité des groupes sociaux dominants dans un contexte donné. La thèse propose un modèle simple, flexible et original permettant d’appréhender des relations causales autrement contre-intuitives. En ce sens, la stabilité politique est également possible dans un pays où l’État est faible et/ou aux prises avec des mouvements de rébellion; et l’instabilité dans un contexte inverse. Tout dépend de la composition de la coalition dirigeante. Afin d’illustrer les liens logiques formulés et d’exposer les nuances de notre théorie, nous employons une analyse historique comparative de la coalition dirigeante en Malaisie (1957-2010), en Indonésie (1945-1998), au Sénégal (1960-2010) et au Paraguay (1945-2008). La principale conclusion est que les deux variables sont incontournables. L’une sans l’autre offre nécessairement une explication incomplète des alliances politiques qui forgent les conditions de stabilité et d'instabilité dans les régimes hybrides. / The thesis studies stability and instability in hybrid regimes. The research question is: under which conditions the authority of the elites in power is recognized or contested? Our answer rests on the inclusive or exclusive dimension of the ruling coalition: that is, the strategic alliance between the ruling elites and dominant social groups. Inclusion favors consent and stability whereas exclusion favors contention and instability. The composition of the ruling coalition depends on (i) the degree of extra-legal organized violence and (ii) the degree of state penetration over the territory and in the economy. The first variable identifies which social group in the state (military officers) or in the regime (opposition parties) is dominant and influences the forms of political communication with the ruling elites. The second variable identifies which social group in the state (bureaucrats) or in society (local leaders) is dominant and shapes the relation between regions and the center. The thesis contribution is to deepen our understanding of political institutions in hybrid regimes by focusing on the identity of dominant social groups according to a given context. It offers a simple, flexible and original model that allow us to grasp causal relations that would otherwise be counter-intuitive. Hence, political stability is also possible in a country where the state is weak and/or rebellion movements exist; and instability in the opposite context. It all comes down to the composition of the ruling coalition. In order to illustrate the line of reasoning and unfold the richness of our framework, a comparative historical analysis of the ruling coalition in Malaysia (1957-2010), Indonesia (1945-1998), Senegal (1960-2010) and Paraguay (1945-2008) is used. The main conclusion is that the two variables are key. One without the other necessarily amounts to an incomplete explanation of political alliances at stake when dealing with conditions of stability and instability in hybrid regimes.
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Alliance Politics in Hybrid Regimes : Political Stability and Instability since World War II

Gagné, Jean-François 08 1900 (has links)
Cette thèse étudie la stabilité et l’instabilité politique des régimes hybrides. Elle pose la question suivante : dans quelles conditions l’autorité des élites au pouvoir est-elle reconnue ou contestée? Notre réponse s’articule en lien avec le caractère inclusif ou exclusif de la coalition dirigeante : c’est-à-dire, l’alliance stratégique des élites dirigeantes avec les groupes sociaux dominants. L’inclusion de ces derniers favorise le consentement et la stabilité; leur exclusion entraîne l’affrontement et l’instabilité politique. Sa composition dépend (i) du degré de violence organisée extra-légale et (ii) du degré de pénétration de l’État sur le territoire et dans l’économie. La première variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (militaires) ou du régime (partis d’opposition) est dominant et influence les formes de communication politique avec les élites dirigeantes. La deuxième variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (fonctionnaires) ou de la société (chefs locaux) est dominant et oriente les rapports entre les régions et le pouvoir central. L’apport de la recherche est d’approfondir notre compréhension des institutions politiques dans les régimes hybrides en mettant l’accent sur l’identité des groupes sociaux dominants dans un contexte donné. La thèse propose un modèle simple, flexible et original permettant d’appréhender des relations causales autrement contre-intuitives. En ce sens, la stabilité politique est également possible dans un pays où l’État est faible et/ou aux prises avec des mouvements de rébellion; et l’instabilité dans un contexte inverse. Tout dépend de la composition de la coalition dirigeante. Afin d’illustrer les liens logiques formulés et d’exposer les nuances de notre théorie, nous employons une analyse historique comparative de la coalition dirigeante en Malaisie (1957-2010), en Indonésie (1945-1998), au Sénégal (1960-2010) et au Paraguay (1945-2008). La principale conclusion est que les deux variables sont incontournables. L’une sans l’autre offre nécessairement une explication incomplète des alliances politiques qui forgent les conditions de stabilité et d'instabilité dans les régimes hybrides. / The thesis studies stability and instability in hybrid regimes. The research question is: under which conditions the authority of the elites in power is recognized or contested? Our answer rests on the inclusive or exclusive dimension of the ruling coalition: that is, the strategic alliance between the ruling elites and dominant social groups. Inclusion favors consent and stability whereas exclusion favors contention and instability. The composition of the ruling coalition depends on (i) the degree of extra-legal organized violence and (ii) the degree of state penetration over the territory and in the economy. The first variable identifies which social group in the state (military officers) or in the regime (opposition parties) is dominant and influences the forms of political communication with the ruling elites. The second variable identifies which social group in the state (bureaucrats) or in society (local leaders) is dominant and shapes the relation between regions and the center. The thesis contribution is to deepen our understanding of political institutions in hybrid regimes by focusing on the identity of dominant social groups according to a given context. It offers a simple, flexible and original model that allow us to grasp causal relations that would otherwise be counter-intuitive. Hence, political stability is also possible in a country where the state is weak and/or rebellion movements exist; and instability in the opposite context. It all comes down to the composition of the ruling coalition. In order to illustrate the line of reasoning and unfold the richness of our framework, a comparative historical analysis of the ruling coalition in Malaysia (1957-2010), Indonesia (1945-1998), Senegal (1960-2010) and Paraguay (1945-2008) is used. The main conclusion is that the two variables are key. One without the other necessarily amounts to an incomplete explanation of political alliances at stake when dealing with conditions of stability and instability in hybrid regimes.

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