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Reconstruction de l'activité des glissements de terrain au moyen d'une approche dendrogéomorphologique (Moyenne vallée de l'Ubaye, Alpes de Haute Provence) / Reconstitution of landslide activity using dendrogeomorphology

Lopez Saez, Jérôme 07 December 2011 (has links)
Les glissements de terrain sont à l'origine de la destruction de nombreuses infrastructures routières, de bâtiments et causent la perte de vies humaines. L'observation des glissements de terrain est limitée par l'absence d'archives historiques précises. Sur les glissements de terrain superficiels forestiers, la dendrogéomorphologie permet de reconstruire, avec une résolution temporelle saisonnière et une emprise spatiale décamétrique, l'activité du processus, à partir de l'analyse des perturbations anatomiques contenues dans les cernes de croissance. 13 glissements de terrain superficiels forestiers, localisés dans la vallée de l'Ubaye ont été étudiés. L'analyse dendrogéomorphologique permet de densifier les chroniques historiques, d'obtenir des périodes de retour et d'améliorer nos connaissances sur le comportement spatial du processus. L'approche statistique basée sur un modèle de Poisson, permet de quantifier et de cartographier des probabilités de réactivation. La thèse proposera d'évaluer la robustesse de la reconstruction dendrogéomorphologique ainsi que le rôle des précipitations dans le déclenchement des évènements passé. / Landslides constitute a common mass movement process and a widespread hazard in mountain where they cause damage and destruction to settlements, transportation corridors, or even lead to the loss of life. A major obstacle for the knowledge of past landslide activity is the lack of historical data with satisfying spatial resolution over medium to long timescales and on a continuous basis. In wooded shallow landslides, the use of tree rings may greatly help the documentation of past events and may allow reconstruction of precise chronologies of landslide reactivations over considerable periods of the past. 13 wooded shallow landslides located in the Ubaye valley were analysed using dendrogeomorphic approach. This method enhances the historical chronicles. It permits to quantify return periods of landslide reactivations and to improve our knowledge concerning the spatial behaviour of the process. Coupled with a statistical approach based on a Poisson probabilistic model, it permits to quantify and to map the probability of landslide reactivations. Finally, the coincidence between landslide reactivations and extreme precipitation was examined in order to improve existing threshold values for the triggering of major landslides in the French Alps.
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Les contentieux de l'image : étude de jurisprudence comparée / The disputes of the image : comparative study of jurisprudence

Jourdaa, Laurent 29 March 2014 (has links)
" L’image est la représentation symbolique du vivant ». Il s’agit d’une notion difficile à qualifier juridiquement étant donné que le droit notamment en France ne consacre pas de manière textuelle la liberté de l’image qu’il convient de rattacher à la fois à la libre création artistique, à la liberté d’information, à la liberté de communication (dont le terme n’est pas défini par le droit) ou plus largement à la liberté d’expression garantie par la D.D.H.C de 1789 à l’article 11 mais aussi en droit européen (article 10 de la C.E.D.H). L’image comme l’écrit est un véritable moyen d’expression et de communication dont la plupart des médias se servent aujourd’hui à travers ce qu’il convient d’appeler le « siècle de l’image ». La construction d’un statut juridique de l’image passe par l’intervention des juges. Cela a lieu au niveau européen (C.E.D.H, C.J.U.E) mais aussi en droit interne français avec, par exemple, la consécration du droit à l’image confronté au droit à l’information limitant celui-ci. L’image a donc de plus en plus besoin de droit, alors que ce dernier semble la délaisser ou l’ignorer. Cela tient au fait qu’elle est fondée en partie sur l’imaginaire donc sur l’irrationnel, alors que le droit prétend être une discipline rigoureuse et objective. Pourtant, l’image est un formidable outil de communication qui a toujours fasciné l’Homme et de tout temps ce dernier a cherché à contrôler les images, à les censurer voire à les utiliser à des fins de propagande, comme outil politique mais aussi comme outil économique. En effet, le pouvoir politique a longtemps eu le contrôle des images comme en atteste la pratique de la censure administrative des films en France ou le monopole de l’Etat sur l’audiovisuel public. Les écrits ont été mieux protégés grâce à l’importante loi de 1881 sur la presse. Les juges ont joué un rôle crucial dans l’émancipation de l’image et pour promouvoir sa libre circulation dans l’ « espace public » tout en protégeant les individus des dérives que celles-ci peuvent entrainer si elles ne sont pas convenablement régulées. Par ailleurs, l’avènement des nouvelles technologies de l’information principalement l’Internet, a contribué à libérer l’image des contraintes liées aux supports permettant sa circulation : l’apparition du numérique a favorisé sa fragmentation et donc sa démocratisation dans une perspective pluraliste. L’image est désormais à la portée de tous, elle est vulgarisée et circule sans considération de frontières, ce qui soulève à la marge un problème d’harmonisation du droit et des jurisprudences. Une régulation apparait cependant nécessaire dès lors que nous passons progressivement de la logique de l’image-pouvoir (contrôle) à la logique de l’image-savoir (démocratie). L’objet est rationnalisé alors que l’idée est vulgarisée. La thèse se propose de dresser une typologie des images existantes dans l’espace public démocratique, à l’aune des différents contentieux abordés, tout en recherchant chemin faisant, les solutions qui sont raisonnablement envisageables, en vue de favoriser ce processus de démocratisation du savoir par l’image (droit aux images), quitte à s’inscrire, pour ce faire, dans le cadre d’un champ disciplinaire nouveau que nous proposons d’appeler le « droit de l’environnement multi-communicationnel ». Ces propositions ont été formulées à la fin de l’ouvrage. / “The image is the symbolic representation of the alive”. It is about a notion difficult to qualify legally given that the law in particular in France does not dedicate in a textual way the freedom of the image which it is advisable to connect at the same time with the free artistic creation, with the freedom of information, with the freedom of communication which the term is not defined by the law or more widely in the freedom of expression guaranteed by the D.D.H.C of 1789 in the article 11 but also in European law (article 10 of the C.E.D.H). The image as the paper is a real way of expression and communication which most of the media use through what today what it is advisable to call "century of the image ".The construction of a legal status of the image passes by the intervention of the judges. It takes place at the European level (C.E.D.H, C.J.U.E) but also in French internal law with, for example, the consecration of the law for the image that, competitor, of a law for the information limiting this one. The image thus has more and more need for law, while the latter seems to abandon her or to ignore it. It is due to the fact that she is partially established on the imagination thus on the irrational, while the law claims to be a rigorous and objective discipline. Nevertheless, the image is a great communications tool which always fascinated the Man, which always tries to control the images, to censor them even to use them for purposes of propaganda, as political tool but also as economic tool. Indeed, the political power was in control for a long time images as gives evidence of the practice of the administrative censorship of movies in France, for example, or of the State monopoly about the public broadcasting. The papers were protected thanks to the important law of 1881 on the press. The judges played a crucial role in the emancipation of the image its emancipation and to promote its free circulation in the "public place" while protecting the individuals of the drift that these can entrained if they are not suitably regulated. Besides, the succession of the new information technologies mainly the Internet, contributed to release the image of the constraints bound to supports favoring its traffic: the appearance of the digital technology favored its fragmentation and thus its democratization in a pluralistic prospect. The image is from now on within the reach of all, it is popularized and circulates regardless of borders, what raises marginally a problem of harmonization of the law and the jurisprudences. A regulation seems however necessary since we pass gradually of the logic of the image and power (control) in the logic of the image and knowledge (democracy). The object is rationalize while the idea is popularized. The thesis suggests raising a typology of the existing images in the democratic public place, in the alder of the various approached disputes, while looking for on the way, the solutions which are reasonably possible, to favor this process of democratization of the knowledge by the image (right collective in the image), even if it means joining, to do it, within the framework of a new disciplinary field which we suggest calling the " right of the environment multi - communicationnel ". These proposals were formulated at the end by the work.
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Leo Strauss et l'historicisme : critique, interprétation et dépassement / Leo Strauss and historicism : criticism, interpretation and overtaking

Yang, Jiayan 18 June 2019 (has links)
Dans le domaine de la philosophie politique, le nom de Leo Strauss (1899-1973) s’associe à une tentative de réhabiliter un type de questionnement aussi ancien que la philosophie elle-même. Critique des types modernes de connaissance, Strauss considère, avant tout, que l’historicisme est un esprit menaçant de notre temps, mais il est aussi l’« adversaire le plus sérieux » de la philosophie politique : toute norme se réduit à un fait historique contingent jusqu’à prendre toute force d’obligation et de légitimité, c’est ainsi que la philosophie se trouve dans l’histoire elle-même devenue Histoire. Comment Strauss interprète-t-il l’historicisme, si ce terme ne connaît pas d’une unanimité ? Alors que l’on fait une enquête généalogique, à la lumière straussienne, de la modernité pour en étudier la genèse et la crise, on peut constater que Strauss, en remontant à Machiavel et Hobbes qui avaient déjà commencé à préparer la voie de l’historicisme, cherche à définir un nouvel historicisme qui se développe dans l’école historique du XIXe siècle, et connaît son apogée sous une forme radicale représentée par Nietzsche et Heidegger. Dans cette reconstruction de Strauss de l’historicisme, nous montrons qu’il propose un retour aux Anciens comme moyen de dépasser l’historicisme vers l’anhistorique, allant vers la transcendance que l’homme, par sa nature, peut atteindre : l’intransigeance de la dignité de la philosophie substantialiste pourra résister à un tel historicisme fondé sur la croyance en l’idée de progrès. / In the field of political philosophy, the name of Leo Strauss (1899-1973) is associated with an attempt to rehabilitate a type of questioning as old as philosophy itself. Criticism of modern types of knowledge, Strauss considers, first of all, that historicism is a threatening spirit of our time, but it is also the “ most serious adversary ” of political philosophy : all norms are reduced to a historical contigent fact which could arrive any point of assuming any force of obligation and legitimacy, that’s how philosophy finds itself in history itself, which has become History. How dœs Strauss interpret historicism, if this term dœs not know a unanimity ? With a genealogical investigation of modernity to study its genesis and crisis, in the Straussian light, we can see that Strauss, going back to Machiavelli and Hobbes who had already begun to prepare the way of the historicism, seeks to define a new historicism that develops in the historical school of the nineteenth century, and reaches its peak in a radical form represented by Nietzsche and Heidegger. In Strauss’s reconstruction of historicism, we show that he proposes a return to the Ancients as a means of going beyond historicism towards the ahistorical, going towards the transcendence that the humain beings can attain by their nature : the intransigence of the dignity of substantialist philosophy can resist such a historicism based on the belief in the idea of progress.
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Classicalité du calcul quantique

Poulin, David January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'inscription de l'ironie dans l'oeuvre poétique de Paul Verlaine, des Poèmes saturniens à Jadis et Naguère

Prud'homme, Caroline January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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De la pellicule à la plume : poésie et geste documentaire dans Bâtons à message. Tshissinuatshitakana de Joséphine Bacon

Marcoux, Pascale 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire, en plus de proposer une première étude critique entièrement consacrée à l’œuvre de Joséphine Bacon, vise à établir un pont entre deux univers génériques apparemment distincts : le cinéma documentaire et la poésie. Bien avant de prendre officiellement la plume, l’artiste innue a appris à travailler le matériau filmique en accompagnant maints cinéastes dans leurs tournages et en réalisant ses propres films documentaires. À notre avis, dans son premier recueil de poèmes, Bâtons à message. Tshissinuatshitakana, l’empreinte fondamentale laissée par cette pratique cinématographique est perceptible : s’y construit un rapport entre l’énonciateur et l’énonciataire qui rappelle, à bien des égards, celui qui prévaut en régime documentaire. Qui plus est, une quête destinée à aller à la rencontre d’un pan spécifique du réel anime la poétesse tout au long du recueil.
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L'écriture de la désertion : étude des carnets d'André Major

Dufour, Mélissa 12 April 2018 (has links)
Entré en littérature par la voie de l'engagement, Major n'a cessé par la suite d'afficher un « parti pris » pour la désertion. Après avoir mis au monde quantité de déserteurs de toutes sortes dans ses nouvelles et ses romans, voilà qu'il se fait lui-même déserteur en inscrivant ses carnets, Le sourire d'Anton ou l'adieu au roman, contre le genre romanesque. Étant donné que la désertion se fait dans et au moyen du carnet, ce mémoire propose l'étude de la mise en forme de la désertion par ce nouveau type d'écriture. Il s'agit de démontrer que le carnet devient le support par excellence où penser et réaliser une désertion qui se présente sous deux facettes : d'une mise en marge du collectif, la désertion se déplace vers un « adieu au roman ».
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Carnets du chêne rouge ; : suivi de Signes ; suivi de Vagabond ou robineux? La quête de sens et l'enseignement de la littérature : une lecture de Contes, de Cotnoir et du Salut de l'Irlande

Coux, Justine 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire en création littéraire comprend deux parties distinctes. La première consiste en deux recueils de poésie, intitulés respectivement Carnets du chêne rouge et Signes. Ils évoquent des thèmes chers à Jacques Ferron : la prise de parole et l'enracinement. La deuxième partie présente une étude sur l'enseignement de la littérature. Elle tente de répondre, par une lecture de trois livres de Jacques Ferron, Contes, Cotnoif et Le salut de l'Irlande, à la question suivante : quels sont les a priori sur lesquels repose une pédagogie porteuse de sens ? Cette lecture dégage quatre éléments essentiels à la création de sens : l'imaginaire, qui sert aussi de contrepoids à la raison ; la prise de parole, ou l'expression an je personnel ; le langage créateur ; et la narration mythique. Est pris comme hypothèse que ces éléments concernent autant l'enseignement que l'existence humaine.
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Les Actes de Pierre et des douze apôtres (NH VI, 1) : la vie d'un écrit apocryphe : rédaction, remaniement, traduction

Ghica, Victor 12 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur un ouvrage intitulé Les Actes de Pierre et des douze apôtres, qui constitue le premier écrit du codex VI des papyri de Nag Hammadi découverts en Haute Egypte en 1945. Il s'agit de la version copte d'un texte originellement composé en grec. La thèse propose une nouvelle édition critique du texte copte, une traduction française, des index verborum et formarum, un commentaire détaillé et une étude de la composition et de la signification du texte. On y trouvera également une analyse linguistique de la langue du texte.
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La voix narrative dans l'histoire de Joseph (Genèse 37-50)

Nguyen Chi, Ai 23 April 2018 (has links)
L’histoire de Joseph, corpus choisi pour notre analyse, a été souvent étudiée d’une manière qui demeure fragmentaire, au travers de différentes approches : typologique, mythologique, légendaire, historique, sapientielle, contextuelle… Plus récemment, l'interprétation historico-critique cherche à discerner comment le texte de Gn 37-50 a été produit. Cette lecture prend également en compte la question du milieu de production, de l’auteur réel et de ses destinataires historiques. André Wénin, dans son ouvrage intitulé Joseph ou l’invention de la fraternité. Lecture narrative et anthropologique de Gn 37-50, a fait une brillante analyse narrative de ce texte. L'auteur porte attention à la manière dont le récit est raconté, et dont le narrateur déploie une stratégie de communication à l'intention du lecteur. Son souci est de voir comment le texte exerce efficacement une influence sur le lecteur. Il déplace donc l’intérêt du pôle de l’auteur vers le pôle du lecteur. En nous situant dans une approche narrative telle que développée par Wénin, nous cherchons ici à approfondir plus particulièrement la question de la voix narrative du récit biblique, pris comme tel dans son état final. L'objectif de notre recherche est de répondre à la question : comment le narrateur parle-t-il dans le récit ? Pour atteindre ce but, nous établissons un cadre théorique à partir de la proposition de Daniel Marguerat sur la voix narrative (Pour lire les récits bibliques). Nous nous appuyons aussi sur la théorisation de la voix narrative réalisée par Gérard Genette (Figure III). Sur ces bases théoriques et en recourant à certains critiques littéraires tels que Mieke Bal, Lucien Dällebach, Philippe Hamon, Vincent Jouve, Jean Ricardou, nous cherchons à identifier la « voix » qui raconte l’histoire et qui guide le lecteur dans le récit. Un narrateur peut commencer son récit en ces termes : je vais vous raconter l’histoire de Joseph. En ce cas, la voix narrative s’exprime par le « je » du narrateur, présent dans l’histoire qu’il raconte. Le narrateur peut également exprimer sa voix via des procédés narratifs et c'est le cas dans l'histoire de Joseph. Dans cette situation, même si c'est toujours le narrateur qui parle, sa voix n’est perceptible qu'à travers les dispositifs narratifs. Ceux-ci sont donc des moyens que le narrateur met en œuvre pour entrer en communication avec le lecteur. Pour notre analyse, nous choisissons trois procédés littéraires qui nous permettent d'illustrer les trois fonctions les plus significatives, à notre sens, de la voix narrative : les dispositifs évaluatifs pour la fonction idéologique, la mise en abyme pour la fonction de régie et la transtextualité pour la fonction testimoniale. En exploitant ces dispositifs, nous proposons une lecture renouvelée de l'histoire de Joseph. Au terme de notre parcours, nous montrons dès lors aussi comment faire de la théologie, en l'occurrence une théologie de la réconciliation, sur la base de la méthode narrative. / The Story of Joseph, corpus chosen for our analysis, was often studied in a way that remains fragmentary, throughout different approaches: typological, mythological, legendary, historical, sapiential and contextual. More recently, the interpretation of historical criticism seeks to identify how the text was produced. This reading also takes into account a question of the means of production, of the real author and of the historical recipients. André Wénin, in his book entitled “Joseph ou l’invention de la fraternité. Lecture narrative et anthropologique de Gn 37-50”, made a brillant narrative analysis of this text. The author pays attention to how the story is related and to the manner with which the narrator deploys a communication strategy directed towards the reader. His concern is to see how the text exercises efficiently an influence upon the reader. Thus, he moves the interest from the point of view of the author to the point of view of the reader. By situating ourselves in a narrative approach as developed by Wénin, here we seek to deepen more particularly the question of the narrative voice of the biblical story, taken as it is in its final state. The object of our search is to answer the question: How does the narrator speak in the narrative? In order to attain this goal, we establish a theoretical structure starting from the proposal of Daniel Marguerat on the narrative voice (Pour lire les récits bibliques). We also emphasize the theorization of the narrative voice realized by Gérard Genette (Figure III). In these theoretical bases and having recourse to certain literary critics like Mieke Bal, Lucien Dällebach, Philippe Hamon, Vincent Jouve, Jean Ricardou, we seek to identify the “voice” that relates the story and which guides the reader in this story. A narrator can begin his story in this way: I will tell you the Story of Joseph. In this case, the narrative voice is expressed by the “I” of the narrator, present in the story that he is relating. The narrator can also express his voice via the narrative devices and this is the case in the Story of Joseph. In this situation, even if it is always the narrator who is speaking, his voice is only perceptible through the narrative devices. These devices are the means by which the narrator uses to enter into communication with the reader. For our analysis, we chose three literal devices that permit us to illustrate three functions which are the most significant, in our understanding, of the narrative voice: The evaluated devices for the ideological function, the “mise en abyme” for the directing function and the transtextuality for the testimonial function. By exploiting these devices, we propose a renewed reading of the Story of Joseph. At the end of our literal journey, we therefore show how to use theology, in the occurrence of a theology of reconciliation, on the basis of the narrative method.

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