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Une géographie de l’au-delà ? Les jardins de religieux catholiques, des interfaces entre profane et sacré / Geography of the eternity? The gardens of Catholic nuns and monks, frontiers between the profane and the sacred

Gresillon, Etienne 05 December 2009 (has links)
Dans les représentations chrétiennes, le jardin renvoie alternativement aux territoires génésiaques d’intimité avec Dieu, au lieu du péché originel, à l’espace de résurrection et à la Jérusalem Céleste. Il forme un espace matriciel, du rapport des hommes avec la vie, le vivant et Dieu. Dans cette thèse de doctorat, il s’agit de confronter les symboles chrétiens avec les jardins religieux pour comprendre les interactions entre les représentations et les pratiques des religieux. Le passage de l’un à l’autre nécessite des précautions méthodologiques pour interpréter ces discours et ces gestes qui oscillent entre le sacré et le profane.Le jardin religieux se développe sur deux registres, l’un existentiel et l’autre spirituel, qui se recomposent selon deux grands types d’organisation dans chacun des vingt-sept jardins religieux étudiés. Les premiers, dits jardins « méditatifs », sont liés à une spiritualité introspective, et se rapportent historiquement aux cloîtres fermés des monastères complétés par des jardins utilitaires (jardin de simples, potager et, verger). Ils procèdent d’une lecture génésiaque anthropocentrique. Les seconds se rapportent à une tradition plus théocentrique puisant sa source dans une lecture des psaumes et des textes de la tradition franciscaine. Le cloître s’y ouvre sur le monde végétal et humain et le jardin est plus spontané. Les jardins de monastère médiéval ou les « jardins de curé » connaissent aujourd’hui un réinvestissement de la société. Nos contemporains puisent dans ces espaces des vertus très modernes comme le bien être, le bio, l’écologie, le développement durable… Aujourd’hui devant ce monde qui serait marqué des erreurs irréparables humaines, les hommes veulent retrouver dans ces jardins clos des empruntes du paradis perdu. / In Christian thoughts and reflections, gardens refer alternately to intimacy with God, to the original sin, to the resurrection and to the Heavenly Jerusalem. They represent a space linking men and life, the living and God. In this dissertation, we will deal with Christian symbols and religious gardens in order to understand the interactions between religious representations and religious practices. The transition from one to the other requires a careful methodological approach to interpret the discourse and gestures that oscillate between the sacred and the profane.Religious gardens develop on two levels, the existential and the spiritual level, which were seen to recombine in all the twenty-seven religious gardens under study. The first type of religious gardens, called here "meditative gardens", is associated with introspective spirituality. They are related to the historically closed cloisters and are associated with herbal gardens, vegetable gardens and orchards. They proceed from an anthropocentric reading of the genesis. The second type of gardens refers to a more Theo-centric tradition, drawing its source from the reading of the psalms and texts from the Franciscan tradition. There, cloisters are open to the world of plants and people, and their gardens are more spontaneous.Today our society has been reinvesting in the gardens of medieval monasteries and "jardins de curé". Very contemporary virtues are found in these gardens, such as attention to well-being, organic food, ecological and sustainable development etc. In the face of our world, marked with irreparable human mistakes, we search for these enclosed gardens as for witnesses of a paradise lost.
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Écologie, structuralisme et art des jardins dans le discours du paysagiste français Gilles Clément (1943-)

Dagenais, Danielle January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Structures spatiales dans le roman des XIIe et XIIIe siècles. Intérieur - Extérieur / Space structure in 12th and 13th century novels. Interior - Exterior

Jhit-E-Mon, Kanogwan 12 December 2009 (has links)
Dans les récits médiévaux, la réalité littéraire du décor est avant tout l'expérience imaginaire qu'introduit l'acte de lecture, avant d'être instrument qui permet au lecteur de réaliser l'image. Dans notre étude, il nous importe de préciser les éléments descriptifs, naturels et architecturaux, ou les visions du décor servant de cadres aux romans médiévaux. Avec une grande économie de moyens, la langue médiévale dit tout sur le sujet. En effet le stéréotype fonctionne toujours parfaitement, mais nous avons aussi de belles, brèves – mais énergiques – descriptions de châteaux et de villes. Les éléments du paysage peuvent s'ordonner en un panorama cohérent qui sait se mettre au service de l'action. Répondant aux nécessités du récit et sous forme de mentions généralement brèves, nous voyons apparaître peu à peu les éléments constitutifs des décors, naturels et urbains. Les rapides indications sont celles qui font apparaître le mieux la réalité d'un château ou d'une ville des XIIe et XIIIe siècles, telle qu'un romancier pouvait les présenter et les donner à voir à son public. / For a reader of medieval narratives the literary of the scenery, is in the first place an imaginary experience introduced by the act of reading and only subsequently it serves the role of an instrument necessary to reconstruct the image. In the present study, I discuss and reflect upon the natural and architectural elements of description and also the visions of the scenery recurrent in the medieval novel. The medieval language is extremely efficient in its descriptions of subject. The stereotypes are ever present, though punctuated by beautiful, short, yet vivid, descriptions of castles and cities. The elements of the landscape at times form a coherent panoramic setting for the action. Brief descriptions and mentions of the elements of the scenery, both natural and urban, appear as they are called for by the narrative. Such short indications appear to best show the reality of the castles or cities of XII and XIII century.
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Changement organisationnel vers le développement durable dans les petites et moyennes entreprises : le cas d'un zoo

Hodge, Annelies January 2006 (has links) (PDF)
En tenant compte du fait que le développement durable ne peut se réaliser sans changements dans les organisations et de la nécessité de comprendre des mécanismes permettant aux petites et moyennes entreprises (PMEs) d'effectuer cette transition, cette étude cherche à comprendre le changement organisationnel d'une PME ayant déjà fait des contributions significatives dans ce domaine. Plus précisément, cette étude de cas ethnographique analyse les dynamiques spécifiques de ce changement afin de comprendre les processus ayant contribué au développement durable, les facteurs ayant influencé cette évolution dans le temps et la manière dont ces changements ont été implantés. La conservation des animaux, une fonction maintenant directement liée à la raison d'être de l'organisation, est sans doute la plus grande contribution du zoo pour le développement durable. L'éco-efficacité, qui pourrait être considérée comme une extension des objectifs de conservation est le deuxième levier utilisé par le zoo afin de se rapprocher du développement durable. Ces sous processus du changement ont permis au zoo d'évoluer du musée vivant qu'il était vers un réel centre de conservation. Durant cette période, l'organisation est passée par la prise de conscience de la nécessité d'un tel changement avant de façonner sa propre vision de ce changement et de la direction à prendre. Il en a découlé une planification des actions à réaliser afin de permettre un changement progressif, en concrétisant un projet à la fois. Lorsque la conscience et la vision étaient partagées au niveau organisationnel, le changement était significatif ; lorsque le changement était seulement partagé par des individus moins influents, le changement était mineur. Cette prise de conscience fut influencée par de nombreux facteurs internes et externes qui ont facilité un tel changement d'une façon croissante avec l'évolution des valeurs dans le temps. Certains employés ont particulièrement encouragé ce processus, en prenant en charge l'un de quatre rôles d'agent de changement: instigateur, constructeur, coordinateur, ou facilitateur. Ces constats ont amené à la formulation de plusieurs hypothèses, modèles et leçons qui pourraient aider aussi bien des agents de changements que des chercheurs, à comprendre et à faciliter un tel processus. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement durable et soutenable, Changement organisationnel, Gestion de changement, Leader ou agent de changement, PME, Zoos, Valeurs.
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Les jardins collectifs en milieu urbain : espaces d'éducation relative à l'éco-alimentation

Legault, Anne-Marie 04 1900 (has links) (PDF)
Dans un contexte où les problématiques socio-écologiques relatives au système agroalimentaire mondial sont de plus en plus reconnues, plusieurs citoyens cherchent des alternatives permettant d'effectuer un virage vers une éco-alimentation, soit une alimentation saine (diversifiée et sécuritaire), produite, distribuée et consommée dans le respect des processus écologiques et de l'équité des rapports sociaux. Afin de favoriser ce changement radical de culture alimentaire, le champ de l'éducation relative à l'environnement (ERE) axé sur le lien entre les humains et les écosystèmes qui les nourrissent à travers l'alimentation apparaît comme l'une des avenues essentielles à favoriser. Parmi les initiatives ayant émergé dans le but de favoriser l'accès à des ressources alimentaires saines, abordables et locales en milieu urbain où habitent aujourd'hui plus de 50% de l'humanité, l'agriculture urbaine (AU) a gagné en popularité depuis quelques années. Montréal, n'échappant pas à cette tendance mondiale, voit se multiplier diverses formes de culture potagère urbaine, dont l'une, particulièrement dynamique et issue du milieu communautaire, appelée le jardin collectif. Organisé autour d'une parcelle unique cultivée collectivement par un groupe de jardiniers, le jardin collectif urbain peut être porteur d'une mission éducative. Une telle mission reste toutefois le plus souvent implicite, méconnue et peu systématisée. Cette étude, réalisée à partir de deux études de cas menées dans des quartiers aux réalités contrastées de Montréal, a permis d'explorer des initiatives de jardins collectifs portés par des organismes communautaires sous l'angle de leur contribution à l'éducation relative à l'éco-alimentation. À partir d'un ensemble intégré de stratégies de collectes de données, cette recherche permet de présenter ces deux jardins collectifs urbains comme des projets d'éducation ancrés dans le lieu et l'action, où la production alimentaire devient une porte d'entrée privilégiée pour l'apprentissage du vivre-ensemble, l'acquisition de valeurs partagées et des principes à la base d'une éco-alimentation. Parfois structurée, souvent informelle, l'éducation y est vécue comme un processus fluide et évolutif au potentiel multidimensionnel et holistique. Le jardin collectif urbain permet également l'acquisition d'une multitude de savoirs ainsi que la mise en place d'approches et de stratégies novatrices qui laissent une grande place à la créativité et à l'autonomie des participants. En contribuant, même à petite échelle, à la reconstruction des relations individus-communauté-environnement au cœur des quartiers où ils sont localisés, les jardins collectifs deviennent des projets éducatifs comportant des dimensions critique et politique qui gagneraient à être davantage mises en valeur et conscientisées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : agriculture urbaine, jardins collectifs urbains, éco-alimentation, éducation relative à l'environnement, représentations sociales, dimensions critiques et politiques.
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Møbler af N.H. Jardin, C.F. Harsdorff og J.C. Lillie og eksempler på deres interiørdekoration Et bidrag til nyklassicismens historie i Danmark fra 1755 til 1800.

Clemmensen, Tove. January 1973 (has links)
Thesis--Aarhus universitet. / Added t.p.: Furniture by N.H. Jardin ... Captions and summary in English. Bibliography: p. 343-354.
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Møbler af N.H. Jardin, C.F. Harsdorff og J.C. Lillie og eksempler på deres interiørdekoration Et bidrag til nyklassicismens historie i Danmark fra 1755 til 1800.

Clemmensen, Tove. January 1973 (has links)
Thesis--Aarhus universitet. / Added t.p.: Furniture by N.H. Jardin ... Captions and summary in English. Bibliography: p. 343-354.
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La sculpture et la terre : histoire artistique et sociale du jardin de sculpture en Europe (1901-1968) / Sculpture and earth : an artistic and social history of the sculpture garden in Europe (1901- 1968)

Gevart, Louis 20 January 2017 (has links)
Établir que la sculpture et le jardin suivent une longue histoire commune relève du lieucommun. Au XXe siècle pourtant, le jardin de sculpture est devenu un espace porteur dansl’évolution des arts plastiques. Lieu intermédiaire entre la ville et le paysage, le jardin est un champ d’expérimentation formelle pour les artistes en même temps qu’une propositionmuséale ouverte. La première partie de l’étude porte sur le temps des prototypes (1901-1945),marqué par la diversité des pratiques : le plein air attire autant les sculpteurs questionnant leur rapport à la tradition et à la nature que les collectionneurs qui par leurs choix d’exposition posèrent les jalons d’une histoire de la sculpture en marche. Dans tous les cas, l’ancrage à la terre est fort. La deuxième partie traite de l’affirmation institutionnelle du jardin de sculpture dans la reconstruction (1945-1958). Réel ou imaginaire, le musée de sculpture en plein air est un champ où s’expriment les forces de la sculpture contemporaine et où s’affirment au public les questions sculpturales de l’avant-garde et où s’opère une mutation de la dialectique nature/(s)cul(p)ture. La troisième partie concerne les déplacements du jardin de sculpture (1958-1968) : de la nature à la ville dans une volonté des artistes d’investir pleinement l’espace public et d’acteurs culturels trouvant dans l’architecture un autre « en-dehors », mais aussi de la ville à la nature avec un retour à la terre de collectionneurs et directeurs de musées visionnaires concevant des espaces paysagers spécifiques, posant les prémices d’un art in situ dans le cadre institutionnel. / It is generally accepted that sculpture and garden have shared a common history. Throughoutthe 20th century, however, the sculpture garden has become a strengthened space for theevolution of plastic arts. As an intermediate place between city and landscape, the garden isan experimental field both to the artists (in a formal sense) and to the museum (as an openspace). The first part of the dissertation deals with the time of prototypes (1901-1945) whenthe sculpture garden was characterized by its variety. Outdoors, sculptors have questionedtheir relation ton tradition and nature while collectors have put the first steps of a livinghistory of sculpture by their exhibition choices. By all means, their anchoring to the earthremained strong. The second part relates to the growing of the sculpture garden as culturalmodel during the Reconstruction (1945-1958). Whether real or ideal, the open-air sculpturemuseum then turns into a public theatre in which the forces of the contemporary sculpturefind their expression, particularly through the mutation of the nature/(s)cul(p)ture dialectic. At last, the third part deals with the sculpture garden shifts during the 60s (1958-1968). On the first hand, these shifts went from the landscape to the city: the artists would integrate moredirectly the urban space and the curators saw the architecture as another “outside”. On the second hand, they went from the city to the landscape: collectors and museum directors came back to the earth, conceiving specific landscapes for sculpture, laying the foundation of theexpression of an in situ art in the institutional framework.
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Hygienismus a Socialismus v diskursivní reprezentaci Cité-jardin (1919-1950): diplomní práce na Institutu urbanismu pařížské University / Discursive Representations of Cité-jardin through Hygienism and Socialism (1919-1950): Student thesis at the Institut d'Urbanisme de l'Université de Paris

Wei, Boya January 2014 (has links)
Discursive Representations of cité-jardin through Hygienism and Socialism (1919-1950): Student Theses at Institut d'urbanisme de l'Université de Paris Boya Wei Abstract This study will trace the social housing history in France from 1919 to 1950, with a focus on the creation of cités-jardins in Paris region. Drawing on Michel Foucault's notion of discourse and power, and Henri Lefebvre's notion of social space, this study will look into the representations of cité-jardin in the writings of student thesis at the Institut d'Urbanisme de l'Université de Paris, while examining the ways in which elite discourses on cité-jardin provided a window into the re-appropriations of hygienist and socialist discourses. Keywords: Social housing, Paris, cité-jardin, garden city, Michel Foucault, discursive formation Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)
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L'eau, comme élément d'ambiance : le jardin persan, entre rareté et abondance. / Water, as an element of ambience : the Persian garden, between scarcity and abundance

Monshizade, Arezou 19 October 2012 (has links)
L'eau anime un paysage particulier par ses qualités physiques et aussi par la vie et l'activité qu'elle apporte, où qu'elle se trouve, mais l'homme peut être confronté à un contexte de rareté ou d'abondance de cet élément fondamental selon les régions du monde. L'eau, pour ses qualités esthétiques et environnementales, est perçue comme une ressource précieuse. Par la relation perceptive, significative et symbolique qu'elle crée avec l'homme, elle inspire les concepteurs et les architectes qui se nourrissent de cette relation pour imaginer différents espaces ou monuments où le liquide et le solide s'allient ou se fondent. Avec les développements de la science moderne et la notion d'environnement durable, l'eau a été transformée en « H2O » comme une matière à consommer qui tendrait à perdre ses capacités sensibles. D'autre part, les menaces qui planent sur cette ressource du fait qu'elle devient rare, en font un enjeu majeur du futur. C'est pourquoi les éléments « naturels » comme l'eau méritent une attention particulière : ils constituent à la fois des facteurs constitutifs d'une ambiance et des domaines fondamentaux de gestion environnementale se rapportant à des problèmes écologiques de première importance. En ce sens, notre recherche vise à articuler une écologie des environnements physiques et naturels à une esthétique des ambiances architecturales et urbaines. Il en va ici du rapport entre le matériel et l'immatériel, question particulièrement importante dans le cadre d'une théorie des ambiances. Tenant compte de cette problématique de recherche, nous avons choisi le jardin persan, à l'origine « paradeiza » (paradis), pour étudier les relations sensibles à une ressource dans un contexte où elle est rare. Bien que ces « paradis » soient situés en contexte désertique, l'eau y joue un rôle fondateur et omniprésent et elle est traitée sous différentes formes et dispositifs. Ainsi, malgré sa ¨rareté¨ dans les régions arides - notamment dans les deux jardins étudiés au centre de l'Iran -, l'eau se révèle alors comme élément construit de l'espace aussi bien qu'élément « formant » de l'ambiance. Nous nous posons la question plus précisément de savoir comment se forme l'ambiance visuelle, sonore, thermique et dynamique à partir d'une quantité minimale d'eau disponible en ces deux jardins. On se concentre plus précisément sur la dimension plurisensorielle de l'eau qui éveille et fait interagir nos sens en considérant principalement les rapports entre la proportion quantitative d'eau utilisée et la qualité de l'ambiance. L'objectif de ce travail est de dégager les principes et les dispositifs architecturaux utilisant l'eau comme élément d'ambiance, d'imaginaire, de structuration spatiale et de support d'usage dans l'aménagement des jardins à l'avenir. Les méthodes mises en œuvre pour évaluer l'impact de l'eau dans la perception de l'ambiance des jardins ont consisté, dans un premier temps en des enquêtes à partir de la mémoire sensible et basées sur les souvenirs et les récits d'une dizaine visiteurs. Cela nous permet d'énoncer une première interprétation sur la mémorisation des ambiances en référence à l'eau. Deuxièmement l'observation des espaces et usages in situ nous aide à repérer les dimensions objectivables de la présence de l'eau. Enfin, nous avons recueilli in situ des commentaires de perception en mouvement auprès d'une vingtaine de visiteurs qui expriment certains effets sensibles et pratiques de l'eau dans le milieu du jardin. / Where water is found it animates a particular landscape by its physical qualities and also by the life and activities it brings forth, however man may be confronted with a context of both scarcity or abundance of this fundamental element in different regions of the world. Water is, for its aesthetic and environmental qualities, perceived as a valuable resource. Through the relation is has with man– perceptual, significant and symbolic – it inspires designers and architects who benefit from this relationship for imagining different spaces or monuments where the liquid and the solid combine or merge. With the developments of modern sciences and the notion of environmental sustainability, water has been turned into “H2O” as a material for use which tends to lose its sensory quality. On the other hand, the threats to this resource make it a major issue in the future. For that reason, "natural" elements such as water deserve special attention: they are both the constitutive elements of an ambience and also fundamental for environmental management in relation to environmental issues of primary concern. In this sense, our research aims at articulating an ecology of natural and physical environments for the aesthetics of architectural and urban ambiences. The research concerns the relationship between material and immaterial, questions of particular importance in the context of a theory of ambience. With respect to this problem of research, we have chosen the Persian garden, originally "paradeiza" (Paradise), to examine the sensory relationships of a resource in a context where it is scarce. Although these "paradises" are located in desert environment, water plays a fundamental and ubiquitous role and it is processed in different forms and devices. Thus, despite its “rarity” in arid regions – especially in the two gardens studied in central Iran – the water is revealed as an element for constructing the space as well as also an element “forming” the ambience. To be more specific, we ask about how visual, auditory, thermique, and dynamic ambiences are formed from a minimum amount of water available in these gardens. We focus on multisensory dimensions of water that awake and make our senses interact by considering mainly the quantitative relationship between the proportion of water used and the quality of the ambiance. The aim of this work is to identify the principles and architectural features using water as an element of ambiance, imagination, spatial structure and support of use in designing gardens in the future. The methods used to evaluate the impact of water on the perception of ambiance of the gardens consists of, in the first place, surveys concerning sensorial memory and based on the memories and narratives of the visitors. This allows us to formulate an initial interpretation of memories of ambiance in relation to water. Secondly, observations of spaces and uses in situ help us to identify the objective dimensions of the presence of water. Finally, we collect comments in situ of perception of motion with a score of visitors who expressed certain sensible effects and practical effects of the water in the gardens.

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