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Regard sur la communauté chinoise de Montréal à travers la photographieGao, Yuan 24 April 2018 (has links)
La présente recherche vise à observer et définir le rôle, les enjeux et les effets d'une expérience d'ateliers artistiques mise en œuvre au sein du Service à la Famille chinoise du Grand Montréal (SFCGM) au cours de l'année 2013/2014. Dans cette optique, il a fallu planifier et animer ces rencontres et également réaliser des entretiens semi-dirigés avec quelques immigrants chinois présents aux ateliers. Cette étude s'articule autour de la fonction relationnelle et de médiation de l'activité culturelle et artistique et de l'outil photographique en lien avec la communauté. Nous tenterons de démontrer en quoi l'espace de communication créé par l'intervention culturelle et artistique aide les participants à mieux définir leur identité individuelle et collective, à trouver un élan et une ouverture favorisant le rapprochement avec d'autres cultures, en particulier celle du pays d'accueil dans l'optique de leur intégration au sein de la société.
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Utilisation et fonction de la reproduction photographique d'oeuvres d'art dans les écrits sur l'art d'André Malraux : formes et représentations de l'histoire de l'artPageard, Camille 07 January 2011 (has links) (PDF)
Après la Second Guerre mondiale, André Malraux publie en 1951 Les Voix du silence chez Gallimard, refonte en un volume des trois tomes de Psychologie de l'art édités par Albert Skira entre 1947 et 1950. Partant du constat que les reproductions d'oeuvres d'art permettent de constituer un " musée imaginaire " dépassant les divisions géographique et historique des musées et des oeuvres, l'auteur développe une théorie de l'art transgéographique et transhistorique dans une relation serrée avec l'iconographie. Malraux s'inscrit ainsi dans une histoire de l'histoire de l'art dont le propos en images contient une théorie liée à la monstration des oeuvres par la reproduction photographique. " Le musée imaginaire " est ici considéré comme un exposé de méthode informé par la lecture des textes de Walter Benjamin. C'est alors la méthodologie historique dans son rapport avec la forme de l'écrit qui peut être saisi, son travail sur l'image lui permettant de construire une théorie propre, mais aussi de représenter visuellement son histoire de l'art de manière " cinématique ". A partir de là, c'est l'histoire de la photographie et de l'édition d'histoire de l'art qui se révèle. Son utilisation de la reproduction photographique s'inscrit en effet dans le cadre d'une réflexion sur le médium même de diffusion du discours sur l'histoire de l'art en proposant une forme éditée jouant avec les codes du genre éditorial. Une série de comparaisons avec les ouvrages de Georges Bataille, de René Huyghe, de Georges Duthuit, d'Ernst Gombrich et de John Berger permet d'en révéler la spécificité et de situer les textes de Malraux au sein d'une de l'histoire de l'histoire de l'art.
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Les cires anatomiques (1699-1998) entre art et médecine. Etude contextuelle de la collection céroplastique du Musée de la Médecine d’Erasme.Pirson, Chloé 09 February 2006 (has links)
Based upon a servey of the Université libre de Bruxelles medecine museum anatomical waxes collection, my Phd aims to study in an historical context the anatomical waxes fron the 18th Century to the 20th Century. We demonstrated who the didactical items created by sculpture ways appeared throw their successif uses from medical teaching to the prevention of the diseases of the time in the anatomical fairground attractions.
Sur base d'une étude de la collection des cires anatomiques du musée de la médecine d'Erasme, ma thèse de doctorat vise à l'étude contextuelle de la production de cires anatomiques depuis la fin du 18e siècle jusqu'au 20e siècle. Nous avons montré comment ses objets didactiques, produits par des moyens sculpturaux, ont été perçu à travers leurs usages successifs depuis l'enseignement médicale jusqu'à la prévention sociale des maladies d'époque, au sein des musées anatomiques forains.
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La citation dans la peinture latino-américaine contemporaine : de la peinture coloniale au Pop Art péruvienSanta Cruz Bustamante, César-Octavio 09 July 2013 (has links) (PDF)
Depuis toujours, les œuvres d'art ont joué un rôle fondamental dans la formation des artistes, servant de modèles iconiques pour l'apprentissage et la création de nouvelles œuvres. Au cours du XXème siècle, la diffusion considérable d'œuvres d'art en rapport au progrès dans l'imprimerie et à l'essor des médias a fortement contribué au développement des pratiques liées à la citation en peinture. Chez Picasso, la citation consiste dans l'appropriation et la réinterprétation de chefs-d'œuvre qu'il retranscrit dans son style. Ainsi, en 1957, il peint quarante-quatre variations à partir des Ménines (1656) de Velazquez. Au début des années soixante, les artistes pop ont recours à la sérigraphie pour imprimer sur toile les reproductions photographiques de chefs d'œuvres. Leurs productions relèvent d'une esthétique particulière comme résultat de l'utilisation de ce procédé qu'ils chercheront à développer par la suite. Ainsi, dans les versions de la Cathédrale de Rouen (1892-1894) de Monet peintes par Lichtenstein en 1969, l'image est reconstituée par une trame de points, équivalent graphique des points d'encrage de la photographie de presse. Dans les années soixante-dix, le collectif espagnol Equipo Crónica s'empare des grands classiques de la peinture espagnole et européenne et les retranscrit par une juxtaposition d'aplats de couleurs. Influencés par ces démarches, certains artistes latino-américains ont forgé leur propre style. L'œuvre du péruvien Herman Braun-Vega, par exemple, jette des ponts entre la peinture des grands maîtres tels que Velazquez, Goya ou Picasso, et l'imaginaire visuel péruvien. A l'instar de Picasso, Fernando Botero s'approprie des œuvres des maîtres en les soumettant à son style. Dès la fin des années soixante, les arts plastiques péruviens reprennent les caractéristiques plastiques du Pop'Art international pour mettre en scène divers aspect de la culture péruvienne. Ainsi Marcel Velaochaga met en relation l'esthétique Pop avec une réflexion critique sur l'histoire du Pérou et ses propres icônes visuelles.
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La peinture prise aux Lettres : ou comment définir une troisième structure visuelle en artCoatleven-Brun, Angélique 22 June 2012 (has links) (PDF)
La présente recherche s'attache à mettre en relief l'un des aspects particuliers de l'art : la peinture.Il s'agit, à la suite d'une pratique personnelle cultivée depuis plu¬sieurs années et explorant les relations complexes entre expression plastique et intégration de la lettre écrite, de réfléchir sur l'entité singulière qu'est l'écriture.C'est alors que, conjuguant le travail plastique et le travail de recher¬che, se conduit cette étude dont l'objectif se fonde et se développe autour de la question des rapports texte/image au sein des œuvres peintes traversant et construisant l'ensemble de l'histoire de l'art occidental.En 1924, l'artiste Paul Klee (1879-1940) déclare :" Ecrire et dessiner sont identiques en leur fond " . Un cloisonnement entre les disciplines littéraires et pictu¬rales fait néanmoins foi depuis des siècles et ce malgré l'étymologie commune des ter¬mes " écrire " et " dessiner " formulée à partir du mot grec grapheïn . Mais, au regard des pratiques artistiques menées par les cubistes, tels le po¬choir ou le papier collé, par les futuristes, tel le bouleversement des co¬des de composition et de mise en page, par Dada, telle la destruction du langage, par les surréalistes, telle l'" écriture automatique ", par les lettristes, telle la prise en compte de la singularité de la lettre même, et par l'Art conceptuel envisageant l'écrit comme une matière à l'œuvre, nous voyons que les liens tissés entre le domaine iconique et le domaine textuel se renou¬vellent cons¬tamment et mérite un examen approfondi.Ainsi, notre recherche organise et analyse les différents usages concédés à la lettre par l'univers pictural. Elle met en valeur son intégration, son implication, son évolution et sa résonnance dans le champ visuel. La tra¬duction des modalités plastiques de l'écriture, après l'observation d'œuvres contemporaines comme celles de Jenny Holzer, de Claude Closky ou de Ta¬nia Mouraud, fait émerger l'indice d'une nouvelle organisation actuelle des codes graphiques qui, après le règne de la figuration et celui de l'abstraction en art, explore le graphème comme une matière picturale première et à part entière. Paul KLEE, Théorie de l'art moderne, Gallimard, Paris, (1956), 1998, p. 58. Bruno DUBORGEL, Figures du grapheïn, Publications Universitaires de Saint-Etienne, Saint-Etienne, 2000, pp. 11-12. " Grapheïn... A/ Primitivement, égratigner, écorcher... B/ Par suite, tracer des signes pour écrire ou pour dessiner, d'où : I/ Graver... II/ Ecrire... [...] Le verbe graphô est attesté depuis Homère. Sens : "érafler" (Cf. Iliade 17, 599), tracer, dessiner, écrire, d'où rédiger un décret, etc. ", extraits du Dictionnaire Grec-Français d'André Bailly (16e édition, Hachette, Paris, 1950) et du Dictionnaire étymologique de la langue grecque de Paul Chantraine (Histoire des mots, Klincksieck, Paris, 1968).
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La représentation des bateaux en Europe entre le VIIIè et le XIIIè siècle.Auger, Barbara 07 October 2011 (has links) (PDF)
L'étude de la représentation des bateaux en Europe du Nord-Ouest ne se limite pas à la seule question iconographique et pose pour l'objectif la compréhension de l'humain dans son acte représentatif. Aussi la problématique s'intéresse-t-elle à la modalité perceptive et sa mise en culture. Comprendre la représentation des bateaux durant le Moyen Age nord-européen s'attache ainsi à définir la verbalisation de l'objet technologique qu'est le navire, les modes de productions visuelles et les schémas mentaux qui lestent chacune des images tant mentales que visuelles d'un sens culturel. Il s'agit de donner une définition anthropologique de l'image du bateau restituée à son contexte de développement et d'ainsi rétablir l'intentionnalité créatrice de chacun des auteurs. Image d'un processus créatif en cours, le bateau mythologique pose donc les questions d'un comportement humain fondamental, aussi est-il important de baser cette analyse sur un questionnement épistémologique. Il s'agit de véritablement d'appréhender le mouvement créatif humain. Cette thèse est un bateau.
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Le documentaire comme forme symboliqueColtelloni, Anne 27 November 2009 (has links) (PDF)
L'étude sur le documentaire a suscité ces dernières années de nombreuses approches : historique, rhétorique, pragmatique, stylistique. Celles-ci posent la question de la réalité dans le film ou dans la photographie, problématique récurrente du documentaire. C'est à nouveau cette interrogation qui sera abordée dans cette recherche. La perspective envisagée a l'ambition de synthétiser toutes ces approches en remontant à l'origine de la photographie, au dix-neuvième siècle, et en faisant valoir sa spécificité d'image. Un parcours photographique est proposé montrant en quoi l'image photographique a pu bouleverser notre rapport à la réalité. Cette ambition synthétique a trouvé son fondement dans un concept original initié par le philosophe allemand Ernst Cassirer : la forme symbolique. Il s'agit d'une logique culturelle qui propose de se placer au cœur de nos réalités et d'analyser les principes qui les gouvernent. Le point d'ancrage d'une telle philosophie repose sur la culture comprise comme une réalité relative. Dans cette perspective, l'image photographique en tant que documentaire est considéré comme un lieu donnant à penser une réalité ? Comment ? Cette recherche nous amène à envisagé trois moments pour l'élaboration de cette forme symbolique particulière : 1) l'invention d'une image-monde que l'image photographique a suscité ; 2) la survivance des réalités contenues et transformées dans cette image-monde ; 3) la création d'un lieu de mémoire par la constitution d'un patrimoine photographique.
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La réception de Rembrandt van Rhyn à travers les estampes en France au XVIIIe sièclePrigot, Aude 09 December 2011 (has links)
L’art de Rembrandt, s’il est vivement admiré dans la France du XVIIIe siècle, n’en déroute pas moins ces biographes. En dépit d’un génie largement reconnu, il incarne le rejet des règles classiques défendues par l’académie royale de peinture et de sculpture. De fait ces contempteurs n’ont de cesse de dénoncer sa manière « peu léchée », son « style raboteux » ainsi que sa prétendue méconnaissance de la peinture italienne. Son œuvre gravé seul échappe à cette doxa : si la technique du peintre est pour une grande part incomprise, ses gravures, a contrario, font l’objet d’un véritable engouement, ouvrant par là-même de vastes perspectives au sein de l’histoire de l’art du XVIIIe siècle français : théoriques d’abord, puisque ses estampes font l’objet du premier catalogue raisonné en 1751 par Edme-François Gersaint (1694-1751), Jean-Baptiste Glomy (1694-1750) et Pierre-Charles –Alexandre Helle ( ?-1767), artistique ensuite, encourageant par son exemple l’art de la gravure, donnant naissance à de nombreuses imitations, copies, pastiches, fruit du labeur appliqué tant des graveurs professionnels que des amateurs éclairés, fervents collectionneurs de son œuvre gravé. / In the beginning of the eighteenth century, the reception of the Rembrandt ‘s prints is ambivalent, account of the difficulty to conciliate the evident genius of the Dutch master with the classical norms of the French Académie royale de peinture et de sculpture. What is more, the majority of French amateurs doesn’t know wery well the Rembrandt’s prints : most of them are part of the dutch culture, illustration of dutch books, ( Médéa), dutch customs (The star of the Kings) or dutch citizen ( Jan Six). The multiplication of the impressions of a same print adds to this problem. This explain why Edme-François Gersaint (1694-1750), one of the most important art dealer in Paris compiled the first comprehensive book to understand the Rembrandt’s prints, a Catalogue raisonné, published in 1751, which he introduced to this form for the first time. With this book, Gersaint gives to the Rembrandt’s prints numbers and titles which are still in use nowadays, and creates criteria to serve as a means for attributing a work to the master, a pupil, an imitator or a forgers. All this system has for result to avoid misunderstandings or confusions with the prints of Bol or Lievens. Translated in the year 1752 in English, it is reworked by Adam Bartsch in 1797 and sell in all Europe. This dissertation proposes to study the genesis of the Gersaint’s catalogue, how Rembrandt’s prints have permitted to create this particular form of art literature, how the French dealer finds anecdotes on Rembrandt’s prints and the titles, still in use nowadays. In a second part, we will interest us on the posterity of the catalogue, how it becames a model too and will modifies all the perception of Rembrandt oeuvre in particular and the perception of prints in general, a perception that we still have and, finally, giving birth to an important numbers of copies and pastiches caused by professionals engravers and amateurs.
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Du vandalisme d’œuvres d’art. Enjeux et réceptions. Destructions, dégradations et interventions dans les musées en Europe et en Amérique du Nord depuis 1970 / Art Vandalism ˸ stakes and Social Reactions. Destructions, Damages and Interventions in Museums in Europe and North America since 1970Bessette, Anne 30 November 2018 (has links)
La dégradation ou la destruction volontaire de biens symboliques est un phénomène omniprésent dans l'histoire humaine. Souvent, les œuvres ont été endommagées parce qu’elles incarnaient des divinités, des représentants du pouvoir, un imaginaire spirituel ou social. Avec l’avènement des musées et la transformation du statut des œuvres qu’ils conservent, ce phénomène adopte de nouvelles formes.Les atteintes portées intentionnellement à l’intégrité d’œuvres d’art, lorsqu’elles se produisent dans des musées, sont porteuses d’enjeux spécifiques, que cette thèse a pour objet d’analyser. Aujourd’hui, elles sont généralement désignées par le terme de vandalisme, qui véhicule des représentations qu’il s’agit d’interroger. Cette recherche, prenant appui sur l’analyse d’un corpus de cas de vandalisme perpétrés entre 1970 et 2014 sur des œuvres exposées dans des musées d’art, en Europe et en Amérique du Nord, s’attache, dans une perspective sociologique, à examiner les ressorts de ces actes, mais aussi les diverses réactions qu’ils suscitent. Celles-ci peuvent être saisies dans leur variabilité ; la confrontation de discours et de points de vue recueillis au cours d’entretiens avec divers acteurs concernés par le phénomène contribue à porter au jour des dispositions contrastées à l’égard des œuvres d’art. L’analyse de la réception sociale de ces actions constitue une voie d’accès privilégiée pour appréhender certains mécanismes de disqualification, y compris au sein du champ artistique. Certains de ces gestes sont en effet réalisés dans une optique de création ou de dialogue artistique : ils font ici l’objet d’une attention particulière en raison de ce qu’ils peuvent mettre en lumière du fonctionnement du milieu de l’art. / Willful degradation or destruction of symbolic goods is omnipresent in Human history. Most of the times, works were damaged because they embodied deities, symbols of power, spiritual or social constructs. With the advent of museums and the transformation of the status of the works they preserve, this phenomenon shaped into new forms.Deliberate attacks on the integrity of works of art, when they occur in museums, carry specific issues that this thesis aims to analyze. Today, they are generally referred to as vandalism, which conveys representations that are to be questioned. This research, based on the analysis of a body of cases of vandalism perpetrated between 1970 and 2014 on works exhibited in art museums in Europe and North America, focuses, from a sociological perspective, on examining the causes of these acts as well as the various reactions they generate. The confrontation of discourses and points of view gathered during interviews with various actors concerned by this topic reveals diverse dispositions towards works of art. The analysis of the social reception of these actions constitutes a privileged approach to specific processes of disqualification, including some within the artistic field. Parts of these gestures are meant to initiate an artistic dialogue or even to create; therefore, they will be looked upon with particular attention as they can highlight some of the mechanisms of the artistic scene.
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O social e o sensível: uma experiência de pensamento a partir do processo poético de Fernando Jackson Ribeiro / Le social et le sensible: une experience de la pense apartir du processus poétique de Fernando Jackson RibeiroSoares, Stênio José Paulino 12 September 2013 (has links)
A presente dissertação é uma reflexão a partir do processo poético de Fernando Jackson Ribeiro, isso quer dizer que entendemos que a criação artística é capaz de despertar uma experiência de pensamento. Nossa reflexão foi orientada a partir da percepção de uma realidade interna, construída a partir da relação intersubjetiva artista/obra de arte/observador. Nesse sentido, entendemos que esta relação intersubjetiva é o princípio racional que justifica a existência da realidade interna percebida, que tratamos como social e sensível. Duas questões são fundamentais para o desenvolvimento da nossa dissertação: 1) O que é essa relação entre o social e o sensível que ganha visualidade na obra de Jackson Ribeiro? 2) Como são construídas e como se dinamizam as relações intersubjetivas artista/obra de arte/observador, no nosso caso, Jackson Ribeiro/social-sensível/pesquisador? Para responder essas questões propomos um recorte histórico que objetiva abranger a produção do artista entre anos 1959 e 1984. Assim, temos a intenção de situar a expressão artística de Ribeiro dentro do período em que ele estabelece uma comunicação da sua obra através de exposições e salões de arte. Buscamos assinalar quais elementos da sua produção possibilitam a visualidade da relação entre o social e o sensível. Entendemos que o social e o sensível é um fenômeno, que ganha visualidade através da linguagem de Jackson Ribeiro e da experiência que o observador tem com a obra de arte. Assim como entendemos que as relações intersubjetivas que fundam esse fenômeno de visualidade são experiências com o Ser da linguagem, que tem que como pano de fundo a historicidade dos indivíduos e o contexto por eles vivido. Dessa maneira, podemos entender a experiência a partir da obra de arte como uma forma de pensamento. / Cette dissertation est une réflexion à partir du processus poétique de Fernando Ribeiro Jackson, cela signifie que nous comprenons que la création artistique est capable de réveiller une expérience de pensée. Notre réflexion s\'est orientée à partir de la perception d\'une réalité intérieure, construite à partir de la relation intersubjective - l\'artiste / l\'oeuvre d\'art / le spectateur. En conséquence, nous croyons que cette relation intersubjective est le principe rationnel qui justifie l\'existence de la réalité intérieure perçue, que nous considérons comme sociale et sensible. Deux questions sont fondamentales pour le développement de notre dissertation: 1) Quelle est la relation entre le sociale et le sensible qui est rendu visible dans l\'oeuvre de Jackson Ribeiro? 2) Comment sont construits et comment se rationalisent leurs relations intersubjectives l\'artiste / l\'oeuvre d\'art / le spectateur , dans notre cas, Jackson Ribeiro / sociale-sensible / chercheur? Pour répondre à ces questions, nous proposons un étude qui rende compte de la production de l\'artiste entre les années 1959-1984. Ainsi, nous avons l\'intention de situer l\'expression artistique de Ribeiro dans la période dans laquelle il établit une communication de son oeuvre à travers des expositions et salons d\'art. Nous cherchons à souligner les éléments de leur production que rende visible la relation entre le social et le sensible. Nous comprenons que le social et le sensible est un phénomène qui rendre visible à travers de la langage Jackson Ribeiro et l\'expérience du spectateur entretient avec l\'oeuvre d\'art. Comme nous comprenons que les relations intersubjectives qui sous-tendent ce phénomène sont des expériences visuelles avec l\'être du langage, qui doivent en toile de fond l\'historicité des individus et le contexte dans lequel ils vivaient. Ainsi, nous pouvons comprendre l\'expérience avec l\'oeuvre d\'art comme une forme de la pensée..
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