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Puissance et résistance dans le Nord-Ouest : les réseaux politiques des Métis et de la Compagnie de la Baie d'Hudson à la Rivière-Rouge

Bériault, Xavier 23 October 2018 (has links)
Cette étude examine les rapports politiques entre les communautés métisses de la vallée de la rivière Rouge et le gouvernement colonial que la Compagnie de la baie d’Hudson (CBH) a implanté dans la colonie de la rivière Rouge. L’argument principal de cette étude avance que les dirigeants de la CBH ont été obligés de nouer des alliances avec les principaux leaders métis de la région pour accorder de la légitimité aux institutions politiques et juridiques de la colonie. Chaque fois que les gouvernants de la colonie ont tenté d’imposer leur autorité sur les communautés métisses sans leur consentement, ces dernières se mobilisent au sein de leurs propres formes d’organisation politique pour réaffirmer leur indépendance et rétablir une forme d’équilibre dans leurs rapports politiques. Pour démontrer cet argument, nous combinons l’approche de l’analyse des réseaux aux concepts arendtiens de la grammaire de l’action et de la syntaxe de la puissance. L’analyse des réseaux nous permet de cartographier les rapports politiques entre les leaders métis et le gouvernement de la CBH. Les réseaux présentés dans cette étude illustrent le fait que les Métis ont d’abord effectivement résisté à l’implantation d’un gouvernement colonial à la rivière Rouge et ensuite réussi à imposer leur présence au sein des institutions politiques et juridiques de la CBH. Le vocabulaire conceptuel inspiré de la pensée politique d’Arendt nous permet de réfléchir à la formation et à l’organisation du pouvoir. La grammaire de l’action, d’une part, désigne les pratiques par lesquelles les acteurs créent des espaces publics et génèrent de la puissance par le fait même qu’ils agissent ensemble. La syntaxe de la puissance, d’autre part, désigne les pratiques par lesquelles les acteurs structurent, articulent et coordonnent les espaces publics en un corps politique cohérent pour leur conférer de la permanence et empêcher que la puissance ne se dissipe lorsque les participants se dispersent. Ces deux concepts nous permettent d’analyser le processus de formation et d’organisation du pouvoir qui est illustré dans les réseaux. La contribution principale de cette étude consiste à renverser le narratif dominant de l’historiographie canadienne qui insiste que les Métis étaient soumis au gouvernement colonial de la CBH en démontrant au contraire que ce sont les Métis qui ont fini par contrôler le gouvernement de la CBH.
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Migration patterns and meander trace styles of the Rouge and Diable Rivers, near St-Jovite, P.Q.

Lapointe, Michel F. January 1983 (has links)
No description available.
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Migration patterns and meander trace styles of the Rouge and Diable Rivers, near St-Jovite, P.Q.

Lapointe, Michel F. January 1983 (has links)
No description available.
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Droit et métissages. Évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869 / Hybrid Law : A History of Red River’s Legal Culture, 1811-1869

Laudicina, Nelly 24 November 2012 (has links)
A l’arrivée des premiers colons à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions légales et gouvernementales à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest canadien continental doté d’institutions législatives et judiciaires. Cette thèse analyse l’évolution de la loi et du droit dans la société métisse de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace légal hybride, où le droit coutumier coexiste avec le droit institutionnel. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements légaux du territoire. / This dissertation examines the evolution of law in Red River (Assiniboia) through the systems, ideas and events that informed the inhabitants’ concepts of rights, from the colony’s creation until its entry into the Canadian Confederation (as the province of Manitoba). Assiniboia was founded in 1811 in the unsettled Indian Territories which were used as hunting grounds by fur-trading companies, who developed the codes and practices of a lex non scripta on-site to regulate social norms, trade and competition. In the 1820s, the District of Assiniboia came under the management of the Hudson’s Bay Company and was placed under its jurisdiction, and, until the late 1860s, it was the only settlement of the western interior to have its own government and institutions. By looking at the legislative and judicial records of the district, the narratives, correspondence and journals composed by settlers, missionaries and rulers of Red River, this dissertation studies the uses of the law as a form of symbolic violence and a normative tool in the social context of the colony. This study contends that, half a century after its creation, Assiniboia was a hybrid legal space ruled simultaneously by customary and institutional law. It demonstrates the population’s active role in its own governance, and the gradual establishment of a legal pluralism that recognized and respected Red River’s multicultural society, one composed of French and English speaking settlers, Amerindians, and a majority of semi-nomadic people of mixed descent. Ultimately, this study highlights the fundamental role played by the Métis and their Native background in all of the changes to the territory’s legal system.
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly 10 January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly 10 January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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"Gender trouble" westernien : les représentations genrées dans les westerns de l'âge d'or étasunien (1948-1962)

Lemieux Lefebvre, Catherine 12 1900 (has links)
Les westerns de l’âge d’or étasunien (1948-1962) mettent en scène un "gender trouble" en créant des personnages de femmes et d’hommes qui empruntent les uns et les autres aux caractéristiques genrées associées par la société nord-américaine et occidentale en général aux genres binaires du féminin et du masculin. Ce trouble genré se développe entre autres par la volonté de trois hommes de recréer la cellule familiale nucléaire conventionnelle dans "Red River" (1948) de Howard Hawks, par le rapport de peur et d’oppression du groupe social sur les individus dans "High Noon" (1952) de Fred Zinnemann et "Johnny Guitar" (1954) de Nicholas Ray, ainsi que par la rencontre opposant l’homme de l’Est et l’homme de l’Ouest dont les idéologies et les valeurs divergent dans "The Man Who Shot Liberty Valance" (1962) de John Ford. / Golden Age American westerns movies (1948-1962) display "gender trouble" by creating male and female characters who borrow gendered characteristics from one another. In North American and Western societies en general, these characteristics are associated with binary feminine and masculine gender constructions. For instance, "gender trouble" develops in three men's attempt to recreate a conventional nuclear family cell in Howard Hawk's "Red River" (1948), in a social group's fearful and oppressive dynamic in Fred Zinnemann's "High Noon" (1952) and Nicholas Ray's "Johnny Guitar" (1954) and in the meeting between Eastern and Western men whose ideologies and values clash in John Ford's "The Man Who Shot Liberty Valance" (1962).

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