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Le développement du langage à travers les activités mathématiques déployées dans les manuels scolaires au primaire

Langlois, Marie-Joëlle 23 April 2018 (has links)
Le langage est un élément fondamental dans l’acquisition de nombreux concepts mathématiques puisque le développement d’un vocabulaire spécialisé lié à la compréhension des concepts demeure une condition essentielle aux apprentissages relatifs à une discipline scolaire. Plusieurs recherches tendent d’ailleurs à en faire la démonstration, d’où les répercussions dans la mise sur pied du Programme de formation de l’école québécoise alors qu’une compétence est spécifiquement dédiée au langage. Toutefois, malgré les connaissances existantes sur la question et les tentatives d’intégration dans le cadre de l’enseignement primaire, certaines difficultés rencontrées par les élèves dans le domaine des mathématiques peuvent s’expliquer par certaines lacunes en ce qui concerne leurs compétences langagières. Devant cette persistance, il semble justifié de se questionner à savoir si le matériel didactique utilisé dans les écoles apporte les moyens appropriés de mise en œuvre des visées du document ministériel pour permettre à l’enseignant d’organiser les apprentissages et de développer les compétences chez l'élève. L’observation de cette problématique suscitant notre interrogation a donné naissance à ce projet de recherche qui s’est penché sur une collection de manuels offerts aux trois cycles du primaire pour en proposer une analyse sur la base de quatre principaux critères : la présence d’activités mobilisant le langage mathématique; la pertinence des consignes pour le développement conceptuel; la correspondance entre l’activité et le niveau de l’élève au regard de la progression des apprentissages; le déploiement de l’approche par compétence visant le développement de l’autonomie de l’élève. En plus de l’insuffisance de l’expérience langagière retrouvée à l’intérieur de ces précieux outils qui soutiennent la démarche d’enseignement, une analyse du point de vue de la pertinence mathématique et didactique a pu démontrer que les manuels peuvent difficilement participer à l’acquisition de concepts sur la base du développement du vocabulaire qui lui est associé, ce qui peut représenter une explication, parmi d’autres, des difficultés d’apprentissage chez l’apprenant.
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La contribution de la sensibilité maternelle au développement langagier selon le temps de gestation et l'état de santé de l'enfant à la naissance

Chouinard, Andrée-Anne 18 April 2018 (has links)
Le présent mémoire a pour objectif d'examiner la contribution de la sensibilité maternelle au développement langagier chez des jumeaux qui présentent une grande variabilité quant au temps de gestation et quant à leur état de santé à la naissance. La présente étude porte plus spécifiquement sur un sous-échantillon de l'ÉJNQ, soit les familles qui ont été vues en laboratoire alors que les bébés avaient 5 mois et pour lesquelles un indice de sensibilité maternelle a été dérivé, ainsi que les enfants avec au moins une mesure de langage disponible entre 18 mois et 60 mois. La sensibilité maternelle a été évaluée auprès de 400 dyades mère-enfant à l'aide d'interactions enregistrées sur magnétoscope au cours une visite en laboratoire à 5 mois. Le vocabulaire expressif et réceptif de l'enfant a été évalué chez 344 enfants à 18 mois et à 30 mois à l'aide du MCDI et 60 mois à l'aide du EVIP. Les différentes variables périnatales utilisées afin d'évaluer le niveau de risque de l'enfant ont été recensées à l'aide des dossiers médicaux des enfants. Une série d'analyse de régressions hiérarchiques révèle des associations positives entre la sensibilité maternelle et le développement du langage pendant toute la période préscolaire. Un examen longitudinal a permis de constater que les effets de la sensibilité sur le développement du langage perdurent au cours de la période préscolaire. Les résultats démontrent que cette relation dépend du niveau général de risque que présente l'enfant à la naissance. Les enfants les plus à risque semblent profiter le plus d'un niveau plus élevé de sensibilité en bas âge. Finalement, les analyses montrent que cette contribution ne semble pas varier en fonction du temps de gestation de l'enfant et du risque lorsque ces variables sont considérées comme des variables continues. Les résultats indiquent plutôt que les variables doivent être considérées de manières dichotomiques pour que l'interaction soit significative.
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L'apprentissage de la langue seconde dès la prématernelle et la maîtrise de la prononciation à l'âge de neuf ans

Affes, Amina 24 April 2018 (has links)
L’objectif de notre étude était d’examiner le lien entre l’âge du début de l’apprentissage de l’anglais langue seconde (L2) (quatre ans vs six ans) et la maîtrise de la prononciation de cette langue à neuf ans, au primaire, dans une école d’immersion. Afin d’atteindre cet objectif, nous avons mené une étude corrélationnelle auprès de deux groupes d’élèves francophones inscrits au début du deuxième cycle du primaire (4e année), ainsi qu’auprès d’un groupe témoin d’élèves anglophones (âge moyen de neuf ans). Le premier groupe était composé de 16 élèves francophones ayant commencé l’apprentissage de l’anglais L2 à 4 ans, alors que les enfants étaient à la prématernelle. Le deuxième groupe était composé de 12 élèves francophones ayant commencé l’apprentissage de l’anglais L2 à six ans, alors que les enfants étaient en 1re année du primaire. Les tests utilisés visaient à évaluer la prononciation de l’anglais L2 de chaque élève au niveau segmental, l’accent étranger et l’intelligibilité. Les résultats de notre étude montrent qu’à neuf ans, le groupe ayant commencé l’apprentissage de l’anglais à quatre ans a obtenu de meilleurs résultats au niveau de la prononciation de certains sons et au niveau de l’absence d’un accent étranger, alors que pour l’intelligibilité les deux groupes expérimentaux avaient un seuil de performance semblable à celui du groupe témoin des anglophones. Nos résultats suggèrent qu’il y a un lien entre l’âge du début de l’apprentissage et le niveau de maîtrise de la prononciation concernant certains segments et le degré de l’accent étranger, variables pour lesquelles les apprenants précoces ont obtenu de meilleurs résultats. / The aim of our study was to examine whether there is a link between starting age of learning English as a second language (L2) (four years vs six years old) and the mastery of the pronunciation of this language at nine years of age in an immersion school. To achieve this goal, we conducted a correlational study of two groups of francophone students enrolled in 4th grade of elementary school, as well as a control group of English-speaking pupils. The first group consisted of 16 French-speaking students who began learning English L2 at four years old, while the children were in pre-kindergarten. The second group consisted of 12 Francophone students who began learning English L2 at the age of six, while the children were in the first year of elementary school. Tests evaluated the L2 pronunciation of each student at the segmental level, foreign accent and intelligibility. The results of our study show that at the age of nine, the group who began learning English at age four obtained better results in the pronunciation of certain sounds and in the lack of a foreign accent, whereas for intelligibility, the two experimental groups performed similar to the control group. Our results suggest that there is a link between starting age and the pronunciation of certain sound segments and the degree of foreign accent, variables on which the earlier learners obtained better results.
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Intégration audio-visuelle de la parole: le poids de la vision varie-t-il en fonction de l'âge et du développement langagier? / Audio-visual speech integration: does the visual weight depend on age and language development?

Huyse, Aurélie 03 May 2012 (has links)
Pour percevoir la parole, le cerveau humain utilise les informations sensorielles provenant non seulement de la modalité auditive mais également de la modalité visuelle. En effet, de précédentes recherches ont mis en évidence l’importance de la lecture labiale dans la perception de la parole, en montrant sa capacité à améliorer et à modifier celle-ci. C’est ce que l’on appelle l’intégration audio-visuelle de la parole. L’objectif de cette thèse de doctorat était d’étudier la possibilité de faire varier ce processus d’intégration en fonction de différentes variables. Ce travail s’inscrit ainsi au cœur d’un débat régnant depuis plusieurs années, celui opposant l’hypothèse d’une intégration audio-visuelle universelle à l’hypothèse d’une intégration dépendante du contexte. C’est dans ce cadre que nous avons réalisé les cinq études constituant cette thèse, chacune d’elles investiguant l’impact d’une variable bien précise sur l’intégration bimodale :la qualité du signal visuel, l’âge des participants, le fait de porter un implant cochléaire, l’âge au moment de l’implantation cochléaire et le fait d’avoir des troubles spécifiques du langage. <p>Le paradigme expérimental utilisé consistait toujours en une tâche d’identification de syllabes présentées dans trois modalités :auditive seule, visuelle seule et audio-visuelle (congruente et incongruente). Les cinq études avaient également comme point commun la présentation de stimuli visuels dont la qualité était réduite, visant à empêcher une lecture labiale de bonne qualité. Le but de chacune de ces études était non seulement d’examiner si les performances variaient en fonction des variables investiguées mais également de déterminer si les différences provenaient bien du processus d’intégration lui-même et non uniquement de différences au niveau de la perception unimodale. Pour cela, les scores des participants ont été comparés à des scores prédits sur base d’un modèle prenant en compte les variations individuelles des poids auditifs et visuels, le weighted fuzzy-logical model of perception.<p>L’ensemble des résultats, discuté dans la dernière partie de ce travail, fait pencher la balance en faveur de l’hypothèse d’une intégration dépendante du contexte. Nous proposons alors une nouvelle architecture de fusion bimodale, prenant en compte ces dernières données. Enfin, les implications sont aussi d’ordre pratique, suggérant la nécessité d’incorporer des évaluations et rééducations à la fois auditives et visuelles dans le cadre des programmes de revalidation de personnes âgées, dysphasiques ou avec implant cochléaire./During face-to-face conversation, perception of auditory speech is influenced by the visual speech cues contained in lip movements. Indeed, previous research has highlighted the ability of lip-reading to enhance and even modify speech perception. This phenomenon is known as audio-visual integration. The aim of this doctoral thesis is to study the possibility of modifying this audio-visual integration according to several variables. This work lies into the scope of an important debate between invariant versus subject-dependent audio-visual integration in speech processing. Each study of this dissertation investigates the impact of a specific variable on bimodal integration: the quality of the visual input, age of participants, the use of a cochlear implant, age at cochlear implantation and the presence of specific language impairments. <p>The paradigm used always consisted of a syllable identification task, where syllables were presented in three modalities: auditory only, visual only and audio-visual (congruent and incongruent). There was also a condition where the quality of the visual input was reduced, in order to prevent a lip-reading of good quality. The aim of each of the five studies was not only to examine whether performances were modified according to the variable under study but also to ascertain that differences were indeed issued from the integration process itself. Thereby, our results were analyzed in the framework of model predictive of audio-visual speech performance (weighted fuzzy-logical model of perception) in order to disentangle unisensory effects from audio-visual integration effects. <p>Taken together, our data suggest that speech integration is not automatic but rather depends on the context. We propose a new architecture of bimodal fusions, taking these considerations into account. Finally, there are also practical implications suggesting the need to incorporate not only auditory but also visual exercise in the rehabilitation programs of older adults and children with cochlear implants or with specific language impairements. <p> / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Mental representations of fractions: development, stable state, learning difficulties and intervention / Représentations mentales des fractions :développement, état stable, difficultés d'apprentissage et intervention.

Gabriel, Florence 24 May 2011 (has links)
Fractions are very hard to learn. As the joke goes, “Three out of two people have trouble with fractions”. Yet the invention of a notation for fractions is very ancient, dating back to Babylonians and Egyptians. Moreover, it is thought that ratio representation is innate. And obviously, fractions are part of our everyday life. We read them in recipes, we need them to estimate distances on maps or rebates in shops. In addition, fractions play a key role in science and mathematics, in probabilities, proportions and algebraic reasoning. Then why is it so hard for pupils to understand and use them? What is so special about fractions? As in other areas of numerical cognition, a fast-developing field in cognitive science, we tackled this paradox through a multi-pronged approach, investigating both adults and children.<p>Based on some recent research questions and intense debates in the literature, a first behavioural study examined the mental representations of the magnitude of fractions in educated adults. Behavioural observations from adults can indeed provide a first clue to explain the paradox raised by fractions. Contrary perhaps to most educated adults’ intuition, finding the value of a given fraction is not an easy operation. Fractions are complex symbols, and there is an on-going debate in the literature about how their magnitude (i.e. value) is processed. In a first study, we asked adult volunteers to decide as quickly as possible whether two fractions represent the same magnitude or not. Equivalent fractions (e.g. 1/4 and 2/8) were identified as representing the same number only about half of the time. In another experiment, adults were also asked to decide which of two fractions was larger. This paradigm offered different results, suggesting that participants relied on both the global magnitude of the fraction and the magnitude of the components. Our results showed that fraction processing depends on experimental conditions. Adults appear to use the global magnitude only in restricted circumstances, mostly with easy and familiar fractions. <p>In another study, we investigated the development of the mental representations of the magnitude of fractions. Previous studies in adults showed that fraction processing can be either based on the magnitude of the numerators and denominators or based on the global magnitude of fractions and the magnitude of their components. The type of processing depends on experimental conditions. In this experiment, 5th, 6th, 7th-graders, and adults were tested with two paradigms. First, they performed a same/different task. Second, they carried out a numerical comparison task in which they had to decide which of two fractions was larger. Results showed that 5th-graders do not rely on the representations of the global magnitude of fractions in the Numerical Comparison task, but those representations develop from grade 6 until grade 7. In the Same/Different task, participants only relied on componential strategies. From grade 6 on, pupils apply the same heuristics as adults in fraction magnitude comparison tasks. Moreover, we have shown that correlations between global distance effect and children’s general fraction achievement were significant.<p>Fractions are well known to represent a stumbling block for primary school children. In a third study, we tried to identify the difficulties encountered by primary school pupils. We observed that most 4th and 5th-graders had only a very limited notion of the meaning of fractions, basically referring to pieces of cakes or pizzas. The fraction as a notation for numbers appeared particularly hard to grasp. <p>Building upon these results, we designed an intervention programme. The intervention “From Pies to Numbers” aimed at improving children’s understanding of fractions as numbers. The intervention was based on various games in which children had to estimate, compare, and combine fractions represented either symbolically or as figures. 20 game sessions distributed over 3 months led to 15-20% improvement in tests assessing children's capacity to estimate and compare fractions; conversely, children in the control group who received traditional lessons improved more in procedural skills such as simplification of fractions and arithmetic operations with fractions. Thus, a short classroom intervention inducing children to play with fractions improved their conceptual understanding. <p>The results are discussed in light of recent research on the mental representation of the magnitude of fractions and educational theories. The importance of multidisciplinary approaches in psychology and education was also discussed. <p>In sum, by combining behavioural experiments in adults and children, and intervention studies, we hoped to have improved the understanding how the brain processes mathematical symbols, while helping teachers get a better grasp of pupils’ difficulties and develop classroom activities that suit the needs of learners.<p> / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Relation entre le niveau de développement morphosyntaxique d'enfants négligés âgés de 4 ans et la qualité des interactions dans le groupe en services de garde éducatifs

Julien, Catherine 07 March 2019 (has links)
CONTEXTE. La négligence constitue la forme de maltraitance la plus répandue chez les enfants de moins de 6 ans. Étant donné l’absence d’interactions parent-enfant chaleureuses et ajustées qui la caractérise, ce contexte d’adversité compromet largement le développement des enfants négligés, particulièrement leur langage. Leurs difficultés langagières, constatées dans les recherches en contexte anglophone, se manifestent surtout dans la composante morphosyntaxique du langage. Or, le développement morphosyntaxique des enfants négligés francophones n’a jamais été étudié, d’où l’intérêt de mener des travaux spécifiques dans cette langue. En plus d’approfondir les connaissances sur les défis que représente le développement de cette composante, il apparait essentiel de s’intéresser aux contextes éducatifs dans lesquels les enfants négligés évoluent et qui sont susceptibles d’influencer positivement leurs habiletés langagières, notamment les services de garde éducatifs (SGÉ) qu’ils fréquentent. Plus précisément, la qualité des interactions dans le groupe, chez les enfants tout-venant, constitue la composante des SGÉ la plus fortement associée au langage. OBJECTIFS. La thèse vise à 1- décrire le niveau de développement morphosyntaxique d’enfants négligés francophones âgés de 4 ans et le comparer à celui de pairs non négligés; 2- quantifier la prévalence des difficultés morphosyntaxiques (DM) chez les enfants négligés, mesurées par la longueur moyenne d’énoncés en morphèmes (LMÉm); et 3- étudier la relation entre la qualité des interactions dans le groupe en SGÉ et la présence de DM chez ces enfants. MÉTHODES. Cent trente-six enfants, dont 44 enfants négligés, composent l’échantillon. Un corpus de langage spontané a été collecté à l’aide d’un jeu standardisé semi-structuré afin de mesurer le niveau de développement morphosyntaxique des participants. L’analyse a été réalisée à l’aide du logiciel Systematic Analysis of Language Transcripts. Un souséchantillon de 18 enfants négligés, soit ceux qui fréquentent un SGÉ, a ensuite été formé. La qualité des interactions a été mesurée dans leurs SGÉ par l’entremise du Classroom Assessment Scoring System Pre-K. RÉSULTATS. Les enfants négligés présentent un niveau de développement de la LMÉm jusqu’à sept fois inférieur à celui de leurs pairs non négligés, font moins de flexions verbales et plus d’omissions de mot. Les résultats suggèrent des tendances entre quatre dimensions de la qualité des interactions dans le groupe et la LMÉm des enfants négligés ayant des DM, soit deux positives et deux négatives. CONCLUSION. Les résultats confirment pour une première fois en franco-québécois les grandes difficultés des enfants négligés sur le plan morphosyntaxique. L’aspect novateur de la thèse se reflète aussi dans la démonstration partielle d’une relation entre la qualité des interactions dans le groupe en SGÉ et les habiletés morphosyntaxiques d’enfants négligés présentant des DM. Les constats tirés de cette étude illustrent, notamment la prévalence élevée de DM, les besoins importants des enfants négligés pour des services en orthophonie. Les résultats militent également en faveur de la bonification du niveau de qualité des interactions dans les SGÉ fréquentés par les enfants négligés. / CONTEXT. Neglect is the most common form of maltreatment in children under 6 years of age. Given the lack of warm, well-adjusted parent-child interactions that characterizes it, this context of adversity greatly compromises their development, particularly language. Their language difficulties, found in research in an English-speaking context, are manifested mainly in the morphosyntactic component of language. However, the morpshosyntactic development of French-speaking neglected children remains unknown, hence the interest of conducting work in this language. In addition to deepening our understanding of the challenges of developing the morphosyntactic component, it is essential to focus on the educational contexts in which neglected children evolve and that are likely to have a positive influence on their language skills, particularly early childhood educations (ECE) settings. More specifically, the quality of the interactions in the group is the component of ECE that is most strongly associated with language. AIMS. The thesis aims to 1- describe the level of morphosyntactic development of neglected children aged 4 years and compare it to that of non-neglected peers; 2- to quantify the prevalence of morphosyntactic difficulties (MD) in neglected children, approximated by the mean length of utterances in morphemes (MLUm); and 3- to study the relationship between the quality of interactions in the group in ECE settings and the presence of MD in these children. METHODS. A sample of 136 children, including 44 neglected children, was recruted. A spontaneous language sample was collected using semi-structured standardized play to measure the participants' level of morphosyntactic development. The analysis was performed using the Systematic Analysis of Language Transcripts software. A sub-sample of 18 neglected children who attended an ECE setting was then created. The quality of interactions was estimated by the Classroom Assessment Scoring System Pre-K. RESULTS. Neglected children have a level of development of MLUm up to seven times lower than their non-neglected peers. Their MDs also translate into less frequent verbal inflections and more frequent word omissions. The results suggest trends between four dimensions of the quality of interactions in the group and the MLUm of neglected children with MDs, two positive and two negative. CONCLUSION. The results confirm for the first time the great MDs of French-speaking neglected children. The innovative aspect of the thesis is also reflected in the demonstration of a relationship between the quality of interactions in the ECE setting and the morphosyntactic skills of neglected children with MDs. The findings from this study illustrate, particularly through the high prevalence of MD, the high need for individual services in speech-language therapy for neglected children. The results also argue for support to maintain and improve the level of quality of interactions in the ECEs attended by neglected children.
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Liens entre les pratiques parentales préscolaires en littéracie et la lecture à 8 ans : médiation par le vocabulaire et la connaissance des lettres

Couture, Sophie 24 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017 / Ce mémoire doctoral s’intéresse aux pratiques parentales en littéracie comme prédicteurs des différences précoces en lecture. Les études antérieures ont rapporté des liens préférentiels entre deux types de pratiques parentales en littéracie, deux habiletés préalables à la lecture et le développement de la lecture au primaire. D’une part, l’enseignement des lettres par le parent, une pratique formelle, contribuait à la connaissance des lettres, laquelle était un prédicteur des habiletés de lecture de l’enfant. D’autre part, la lecture parent-enfant ainsi que l’exposition aux livres, des pratiques informelles, prédisaient le développement langagier de l’enfant, lequel contribuerait plus spécifiquement à la compréhension en lecture. L’hypothèse selon laquelle des processus de médiation sont impliqués a été proposé par plusieurs chercheurs mais, aucun n’avait testé formellement cette hypothèse. De plus, la contribution des pratiques parentales en littéracie était évaluée une seule fois, en maternelle ou au début de la première année du primaire, ce qui ne permettait pas d’identifier l’âge vers lequel il devient pertinent d’introduire l’enfant au monde littéraire. L’objectif du mémoire était donc d’évaluer formellement un modèle de double médiation à l’aide d’analyses acheminatoires tout en considérant l’exposition à la littéracie tout au long de la petite enfance. En accord avec les liens préférentiels suggérés dans la littérature, on a constaté que l’enseignement des lettres par les parents à 4 et 5 ans prédisent indirectement les habiletés en lecture (8 ans; décodage et compréhension en lecture) via leur contribution à la connaissance des lettres (5 ans). Également, le vocabulaire réceptif de l’enfant (5 ans) était un médiateur des contributions de la lecture parent-enfant à 2.5, 4 et 5 ans, à la compréhension en lecture (8 ans). Ce mémoire souligne l’importance d’initier les enfants à la littéracie en bas âge afin de supporter leur acquisition subséquente de la lecture. / This doctoral dissertation focuses on parental literacy practices as predictors of early and long lasting differences in reading achievement. Previous studies have documented preferential associations between two types of parental literacy practices, namely parent-child reading and parental teaching of letters, and pre-reading as well as reading skills without formally evaluating the hypothesis of mediation processes. The main objective of the doctoral dissertation is to formally evaluate this putative dual pathway using path analysis. Our longitudinal research design is unique as we repeatedly evaluated parental literacy practices over early childhood, which can inform us on the appropriateness of different literacy practices from toddlerhood onward. We found that parental teaching of letters at ages 4 and 5 contribute indirectly to reading skills (8 years old; decoding and reading comprehension) through their effect on early letter knowledge (5 years old). Conversely, vocabulary development (5 years old) mediated the influence of parent-child reading at 2½, 4 and 5 years on reading comprehension (8 years old). Results have important implications as to the specific stimulations enhancing each aspect of literacy development and suggest ages around which they begin to influence children’s development.
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La relation entre le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité et le développement du langage

Ouellet, Emmanuel. 17 April 2018 (has links)
L'objectif général de cette thèse consistait à étudier la relation entre le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) et le développement du langage. Deux objectifs spécifiques ont été abordés dans la thèse: 1) comparer le développement langagier entre 18 mois et 7 ans d'enfants identifiés à l'âge scolaire comme étant à risque de TDAH à ceux qui ne le sont pas, et 2) étudier l'étiologie et le cours développemental de l'association entre les symptômes d'hyperactivité et d'inattention et les habiletés langagières entre 30 mois et 7 ans dans un contexte génétiquement informatif. Les deux études constituant le corps de la thèse ont été menées auprès d'un échantillon populationnel de 1118 jumeaux. Les résultats du premier volet de la thèse indiquent que les enfants avec un TDAH avaient des habiletés langagières expressives et réceptives plus faibles que les enfants du groupe contrôle, et ce dès l'âge de 18 mois. Ce retard langagier s'est maintenu à 30 mois, à 5 ans ainsi qu'à 7 ans chez les enfants TDAH. De plus, leurs habiletés langagières se sont développées plus lentement entre 18 mois et 7 ans comparativement aux enfants du groupe contrôle. Finalement, les résultats du premier volet de la thèse montrent que les habiletés langagières en bas âge permettent de prédire l'appartenance au groupe TDAH, et ce au-delà des comportements précoces liés au TDAH. Dans le deuxième volet de la thèse, les résultats indiquent une association modérée entre les symptômes d'hyperactivité et d'inattention et les habiletés langagières entre 30 mois et 7 ans qui seraient en grande partie attribuables à des influences génétiques partagées. Au-delà de ces influences partagées, la présence de symptômes d'hyperactivité et d'inattention à 30 mois contribue négativement aux habiletés langagières à 5 ans, alors que ces dernières contribuent négativement aux symptômes d'hyperactivité et d'inattention à 7 ans. Les résultats de cette thèse ajoutent un apport considérable à notre compréhension des causes de la cooccurrence élevée de TDAH et de déficits langagiers observé à l'âge scolaire. / The overall objective of this thesis was to study the association between Attention-Deficit/Hyperactivity Disorder (ADHD) and language development. Two specific objectives were addressed in the thesis: 1) comparing the language development between 18 months and 7 years of children identified at school age as being at risk for ADHD to the language development of those who are not at risk, and; 2) study the etiology and the developmental course of the association between symptoms of hyperactivity and inattention and language skills between the ages of 30 months and 7 years in a genetically informative context. The two studies comprising the body of the thesis were conducted with a population-based sample of 1118 twins. The results of the first study indicate that, as early as 18 months, children at risk of ADHD have poorer receptive and expressive language skills than children from the control group. This language delay was maintained at 30 months, at 5 years and at 7 years in children at risk of ADHD. Moreover, the language skills of the ADHD group developed more slowly than those of children in the control group between the ages of 18 months and 7 years. Finally, the results of the first part of the thesis indicate that early language skills contribute to the prediction of ADHD status at school age beyond the presence of early ADHD symptoms and other risk factors associated with ADHD. In the second part of the thesis, the results indicate that the moderate association of hyperactivity and inattention symptoms with language skills between the ages of 30 months and 7 years is largely due to shared genetic influences. Moreover, the presence of hyperactivity and inattention symptoms at 30 months had a negative impact on language skills at age 5 years, while these in turn negatively influenced hyperactivity and inattention symptoms at age 7 years. The findings of this thesis shed considerable light on our understanding of the high co-occurrence of ADHD and language deficits observed at school age and its' causes.

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