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Le Canada traduit en deux temps : Œuvres littéraires d’auteurs canadiens traduites en russe pendant la Guerre froide et en Russie contemporaine

Sidorovskaya, Zoya 07 November 2018 (has links)
La présente thèse vise à analyser les traductions d’œuvres littéraires canadiennes en russe à l’époque soviétique (de 1945 à 1991) et à l’époque contemporaine (de 1991 à nos jours) pour voir dans quelle mesure le changement de régime politique a pu ou non influencer les traductions d’œuvres littéraires canadiennes dans l’État russe et, partant, les images qu’elles véhiculent. En alliant certains principes de la théorie du polysystème à la théorie du monde social de Pierre Bourdieu et en s’appuyant sur de nombreuses recherches sur la censure et sur la pratique de la traduction littéraire dans des pays postcommunistes, la présente recherche explore les stades de sélection, de production et de réception d’ouvrages canadiens en URSS pendant la Guerre froide et en Russie contemporaine. Les trois stades étudiés sont comparés dans le but de montrer comment les différents systèmes sociaux pendant les deux époques aux idéologies grandement différentes influent sur les traductions littéraires d’œuvres d’auteurs canadiens. Les quatre études de cas figurant dans la thèse présentent des exemples d’interaction de différents systèmes sociaux et d’agents particuliers influant sur les traductions d’ouvrages canadiens et exposent les différentes stratégies de « cadrage » (notion et classification empruntées à Mona Baker) employées, s’il s’agit des traductions soviétiques, et des représentations qui découlent des traductions contemporaines, ainsi que des différences liées à la spécificité propre à chacune des deux époques quant à la sélection, la production et la réception des traductions. Mon analyse montre aussi où la littérature canadienne trouve accueil en URSS et en Russie et quelle place elle occupe au sein du système littéraire national. Les résultats de mon étude enrichissent ainsi les connaissances en traductologie grâce à l’analyse comparée du rôle idéologique de la traduction dans un pays ayant connu deux régimes politiques différents, puis grâce à l’analyse de la manière dont le changement de régime a influé à son tour sur la traduction. Ma recherche est également pertinente pour les études canadiennes, car elle permet de dresser une liste exhaustive des ouvrages canadiens traduits en russe de 1945 à 2015. Enfin, ce projet revêt un intérêt particulier pour les études interculturelles, car il vise à étudier, à travers la littérature traduite, les représentations de la littérature canadienne (une culture qu’on associe souvent, pour ainsi dire, au « giron capitaliste américain ») dans une société tantôt anticapitaliste, tantôt capitaliste, qu’on identifie souvent comme l’autre « superpuissance » du 20e siècle.
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Le rôle de Reverdy dans le travail créateur de Saint-Denys Garneau

Godin, François January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Deux bols de lait ; suivi de La poésie de Stephanie Bolster

Bessette, Judith January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Correspondance d'Alain Grandbois : édition critique

Chassé, Bernard January 2001 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Seuils et effacements dans les essais de Jacques Brault

Bernier, Frédérique January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Naissance, métamorphoses et modernités d'un genre : l'autobiographie au Québec (1885-1984)

Plamondon, Jean-François. 12 April 2018 (has links)
L'autobiographie au Québec existe depuis 1885, pourtant peu de chercheurs se sont penchés sur les manifestations de ce genre littéraire dans le corpus québécois. Cette thèse analyse les différents parcours et suit l'évolution du discours autobiographique au Québec. À la source de cette réflexion, une question : «quelles sont les conditions sociales qui permettent à la voix autobiographique de s'exprimer dans une collectivité?» Après avoir posé les bases théoriques de l'autobiographie et analysé la trajectoire des principaux autobiographes, nous avons constaté que ces écrivains n'étaient pas insensibles au projet de la modernité. C'est pourquoi nous émettons l'hypothèse que l'autobiographie naît des conditions sociales qui départagent une société à détermination moderne, d'une société à détermination traditionnelle. Il nous fallait, en conséquence, poser les balises et les repères de la modernité, ce que nous avons fait à l'aide des travaux d'Habermas, d'Arendt, de Heidegger et de Hegel. Une fois le concept de modernité bien défini, nous avons analysé les valeurs que véhiculaient les Cinquante ans dans l'Église de Rome de Charles Chiniquy. Première autobiographie québécoise, les Cinquante ans appellent un nouveau rapport avec le sacré dans la cité, ce qui préoccupe d'ailleurs plusieurs écrivains de l'intimité. À cet égard, Georges Gusdorf avance que l'autobiographie naît de la désacralisation de l'espace intérieur. Or, l'autobiographie québécoise aurait ceci de particulier, elle ne chercherait pas tant à déposséder Dieu du siège de l'âme et de la conscience, mais à décoloniser cet espace dont s'étaient appropriés Ses serviteurs. De tous les textes que nous avons analysés, le journal intime de Saint-Denys Garneau est celui qui avait suscité le plus d'intérêt auprès des chercheurs. De notre côté, nous nous sommes arrêté plus particulièrement à la crise mystique qui habite le journal du poète. Il semble que Garneau, pourtant l'un des premiers modernes, voyait son art comme un rival de Dieu et déclarait coupables de lèse-majesté les raisonnements qui parcourent son journal. Par ailleurs, si depuis le XIXe siècle la raison est suspecte de détourner l'homme du Divin, pour Borduas il en va tout autrement. En effet, selon le maître de l'automatisme, la raison est la voix de l'ordre, et les Projections libérantes, autobiographie de Borduas, valorisent plutôt la voix des passions en tant qu'énergie créatrice et révélatrice de l'espace intime. Peut-être le plus beau texte autobiographique à avoir été publié au Québec demeure La détresse et l'enchantement de Gabrielle Roy. Avant d'analyser la première partie de cette autobiographie, nous avons posé comme hypothèse que la ritualisation des pratiques lectorales participait à la fois à la pleine reconnaissance de l'écrivain et à la discrimination du genre, en confirmant la théorie du pacte autobiographique de Lejeune. Dans ces circonstances, l'autofiction devient un faux problème face à l'autobiographie; c'est aussi ce que nous nous sommes attardé à démontrer en conclusion.
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Les récits d’histoire littéraire québécoise des cégépiens : des récits sans intrigue

Piché-Vernet, Renaud 02 1900 (has links)
Quel est le récit d’histoire littéraire québécoise que les étudiants retiennent à la fin de leur parcours collégial? Nous nous sommes intéressé à cette question. Par le biais d’un questionnaire, nous avons interrogé plus de 300 étudiants qui étaient à la fin de leurs études collégiales. Les réponses à ce questionnaire nous ont permis de tracer une ébauche du récit d’histoire littéraire québécoise, de mieux comprendre l’enseignement que les étudiants ont reçu et d’analyser ce récit. La première constatation que nous avons faite est que nous étions en présence d’une multitude de récits. En effet, il n’y a pas deux récits pareils et il y a une grande dispersion des résultats. Ensuite, ce qui a retenu le plus notre attention est l’absence de mise en intrigue. Les étudiants utilisent plusieurs éléments pour faire l’histoire de la littérature québécoise. Les plus importants sont : la Nouvelle-France, la littérature orale, le 19e siècle, le terroir, l’anti-terroir, le roman de la ville, les années 1960, la littérature migrante et la postmodernité. Mais il n’y a pas d’articulation entre ces éléments. Ils sont tous traités de façon autonome; nous avons l’impression d’être en présence d’un mur de briques sans mortier. L’absence de certains éléments semble expliquer la forme du récit : les étudiants font une histoire qui utilise seulement les courants, il y a une absence d’événements tant littéraires qu’historiques. Ils ne font pas de liens avec les autres littératures. Bref, les éléments pouvant servir à articuler un récit sont évincés. Il est donc difficile de considérer le récit des étudiants comme une histoire littéraire. / What history of Québec’s literature students hold on to at the end of their collegial studies? That’s the question that we asked ourselves. With the help of a questionnaire, we questioned 300 students that were at the end of their collegial studies. The responses to this questionnaire allow us to trace a draft of that story. Our first observation is that we are in the presence of a multitude of stories. Indeed, no story is similar to the other ones and a big dispersion exist in the results. Therefore, we realize that the stories are not “mis en intrigue”. The students use many elements to tell the story of Québec’s literature. The most important are : the Nouvelle-France, the oral literature, the 19e century, the “terroir”, the “anti-terroir”, the “roman de la ville”, the 1960’s, the migrant literature et the postmodernity. But nothing articulates these elements. They’re all self-sufficient; we have the impression to be in front of a wall of bricks without mortar. The absence of certain elements tend to explain the form of the story : the student tell a story that only use the “courant”, there is an absence of historic or literary events and they don’t make links with other literatures. In brief, all the elements that we could use to articulate a story are gone. In that case, it’s hard to considerate the story done by the students like a real history of Québec’s literature. Keywords :
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Les récits d’histoire littéraire québécoise des cégépiens : des récits sans intrigue

Piché-Vernet, Renaud 02 1900 (has links)
Quel est le récit d’histoire littéraire québécoise que les étudiants retiennent à la fin de leur parcours collégial? Nous nous sommes intéressé à cette question. Par le biais d’un questionnaire, nous avons interrogé plus de 300 étudiants qui étaient à la fin de leurs études collégiales. Les réponses à ce questionnaire nous ont permis de tracer une ébauche du récit d’histoire littéraire québécoise, de mieux comprendre l’enseignement que les étudiants ont reçu et d’analyser ce récit. La première constatation que nous avons faite est que nous étions en présence d’une multitude de récits. En effet, il n’y a pas deux récits pareils et il y a une grande dispersion des résultats. Ensuite, ce qui a retenu le plus notre attention est l’absence de mise en intrigue. Les étudiants utilisent plusieurs éléments pour faire l’histoire de la littérature québécoise. Les plus importants sont : la Nouvelle-France, la littérature orale, le 19e siècle, le terroir, l’anti-terroir, le roman de la ville, les années 1960, la littérature migrante et la postmodernité. Mais il n’y a pas d’articulation entre ces éléments. Ils sont tous traités de façon autonome; nous avons l’impression d’être en présence d’un mur de briques sans mortier. L’absence de certains éléments semble expliquer la forme du récit : les étudiants font une histoire qui utilise seulement les courants, il y a une absence d’événements tant littéraires qu’historiques. Ils ne font pas de liens avec les autres littératures. Bref, les éléments pouvant servir à articuler un récit sont évincés. Il est donc difficile de considérer le récit des étudiants comme une histoire littéraire. / What history of Québec’s literature students hold on to at the end of their collegial studies? That’s the question that we asked ourselves. With the help of a questionnaire, we questioned 300 students that were at the end of their collegial studies. The responses to this questionnaire allow us to trace a draft of that story. Our first observation is that we are in the presence of a multitude of stories. Indeed, no story is similar to the other ones and a big dispersion exist in the results. Therefore, we realize that the stories are not “mis en intrigue”. The students use many elements to tell the story of Québec’s literature. The most important are : the Nouvelle-France, the oral literature, the 19e century, the “terroir”, the “anti-terroir”, the “roman de la ville”, the 1960’s, the migrant literature et the postmodernity. But nothing articulates these elements. They’re all self-sufficient; we have the impression to be in front of a wall of bricks without mortar. The absence of certain elements tend to explain the form of the story : the student tell a story that only use the “courant”, there is an absence of historic or literary events and they don’t make links with other literatures. In brief, all the elements that we could use to articulate a story are gone. In that case, it’s hard to considerate the story done by the students like a real history of Québec’s literature. Keywords :
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Le traducteur fictif, personnage de la littérature québécoise

Bussières Gallagher, Anne January 2010 (has links)
Ce mémoire s'intéresse aux personnages qui, dans des oeuvres de fiction québécoise, exercent le métier de traducteurs. Plus précisément, la présente étude est consacrée aux traducteurs fictifs présents dans les romans Les Grandes Marées (1978) et La traduction est une histoire d'amour (2006), de Jacques Poulin, Les Obsédés textuels (1983), de Jean Delisle, et Traductrice de sentiments (1996), d'Hélène Rioux. Comprendre le traducteur fictif, c'est d'abord comprendre le parcours des traducteurs réels. Pour cela, il faut remonter aux sources d'une réalité connue de tous les traducteurs : la méfiance que suscite la traduction. Le premier chapitre étudie la condition de soumission et d'invisibilité à laquelle sont soumis les traducteurs depuis la Renaissance. Cette situation découle directement de l'adage traduttore, traditore (traducteur, traître) qui a cristallisé, à partir du XVe siècle, l'idée selon laquelle le traducteur est un traître. La méfiance à l'égard des traducteurs et de la traduction a eu des répercussions dans la réalité. En effet, à un moment ou à un autre de l'histoire, nombre de traducteurs ont été soumis à l'auteur et ont connu une forme d'aliénation culturelle et économique. Leur métier sans prestige n'était l'objet d'aucune reconnaissance. Si les idées préconçues relatives à la traduction se manifestent concrètement dans la réalité, il en est de même pour la fiction. Un portrait très net des traducteurs fictifs se dégage des quatre romans étudiés. Le deuxième chapitre du mémoire se concentre sur la relation qu'entretiennent les personnages de traducteurs des oeuvres de Poulin, Delisle et Rioux avec le mythe traduttore, traditore . L'archétype du personnage-traducteur, validé par d'autres oeuvres québécoises et mondiales, se définira ainsi : le traducteur fictif est obsédé par son métier et est souvent isolé, volontairement ou non, ce qui entraîne une forme d'invisibilité. De plus, il est soumis aux autres et rejeté par son entourage en raison de sa marginalité. Chacun des protagonistes des Grandes Marées , des Obsédés textuels , de Traductrice de sentiments et de La traduction est une histoire d'amour tisse un lien différent avec cet archétype ; certains y sont fidèles, d'autres s'en éloignent. Le troisième et dernier chapitre est consacré aux caractéristiques des personnages-traducteurs qui s'affranchissent de l'archétype et, par le fait même, du mythe traduttore, traditore . Certains personnages réussissent à réhabiliter leur métier ; d'autres mettent fin à leur condition d'invisibilité et de soumission en prenant la parole, en faisant preuve d'indépendance et en amorçant un mouvement vers l'autre. Nous verrons que les traducteurs fictifs des oeuvres les plus récentes, Traductrice de Sentiments et La traduction est une histoire d'amour , sont beaucoup moins fidèles à l'archétype que ceux des Grandes Marées et des Obsédés textuels .
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Le dôme (nouvelles) suivi de L'espace narratif et l'évolution identitaire des personnages dans Cet imperceptible mouvement de Aude

Asselin, Pierre-Luc January 2010 (has links)
Dans ce mémoire, j'explore différents aspects de l'espace narratif et le rôle que celui-ci peut jouer dans le recueil de nouvelles Cet imperceptible mouvement, de Aude. Je montre qu'en dépit de la brièveté du genre, les personnages évoluent en fonction de leur expérience spatio-temporelle, ce qui est rendu perceptible par l'étude de l'espace narratif. La partie critique de ce mémoire comporte deux chapitres. Dans le premier chapitre, je prends appui sur les travaux de Jean Weisgerber et de Fernando Lambert pour mieux comprendre comment se met en place l'espace narratif dans les nouvelles de Aude et pour dégager l'influence que cet espace exerce sur le pacte de lecture. Dans le deuxième chapitre, je poursuis l'analyse, en me basant cette fois sur un récent article de Jaap Lintvelt, qui met en lumière l'expérience spatio-temporelle du personnage. Après avoir défini les différents concepts liés à cette expérience, j'étudie d'autres nouvelles du même recueil pour montrer que, peu importe le type de narration, l'évolution du protagoniste s'observe à partir du rapport qu'il entretient avec l'espace. Dans la partie création, quatorze nouvelles abordent différents thèmes, de l'isolement à l'espoir, et de la noirceur à la clarté. Confinés dans une gigantesque ville qu'ils surnomment le dôme, les personnages doivent franchir des portes derrière lesquelles ils s'étaient, depuis trop longtemps, cachés, afin de s'ouvrir au monde et de pouvoir mettre derrière eux des souvenirs révolus et la guerre passée. Chaque nouvelle propose une expérience différente entre les protagonistes et leur univers. Influencé en cela par Aude, je suis en quête d'expressions épurées et de descriptions concises. Isolés et fragiles, les personnages devront affronter leurs démons pour évoluer. Sous le dôme, tout est à reconstruire.

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