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La résilience des filles, devenues adultes, ayant vécu avec un parent souffrant de maladie mentale / The resilience of the adult girls who lived with a parent suffering from a mental illness

Tang-Levallois, Hélène 15 December 2015 (has links)
Les études sur les enfants vivant avec un parent souffrant de maladie mentale se focalisent sur ceux présentant des troubles psychiques ou à risques d’en développer. Problématique. Cette étude explore les facteurs de protection internes et externes des adultes résilients ayant grandi auprès d’un parent souffrant de maladie mentale afin d’envisager une aide pour les enfants en souffrance. Nous réalisons également une revue de la littérature sur les programmes et les aides existantes pour ces enfants, mise en perspectives avec nos résultats, afin de proposer des pistes de prise en charge. Méthodologie et population. Trente femmes adultes en bonne santé mentale, âgées de 19 à 36 ans, ayant vécu avec un père ou une mère souffrant de maladie mentale, ont répondu à un entretien semi-directif. Elles ont également réalisé des dessins de la famille, et complété l’inventaire de résilience (IFR-40) et un questionnaire d’événements de vie. Résultats. La présence significative de certains facteurs de protection familiaux et extrafamiliaux dans le processus de résilience des sujets, confirme ceux retrouvés dans la littérature : les bonnes relations avec les parents, la bonne entente familiale, la présence d’adultes aidants, etc. D’autres facteurs de protection familiaux significatifs ont été trouvés : les activités privilégiées avec l’un des parents et le partage de valeurs morales. Conclusion. Nous pouvons favoriser la résilience des enfants vivant avec un parent souffrant de maladie mentale en renforçant ces facteurs de protection externes, et en développant un groupe de soutien entre pairs, afin de répondre à leurs besoins et de pallier le manque d’aide pour ces enfants en France. / The studies about children living with a parent suffering from a mental illness focus on children with mental disorders or at risk. Problematic. This study aims at exploring internal and external protective factors in resilient adults who grew up with a mental ill parent in order to develop a help for suffering children. We also make a literature review of the existing programs and helps for these children, put in perspective with our results, so that we can propose to offer them a kind of support. Methodology and population. Thirty mental healthy adult women, from 19 to 36 years old, who lived with a father or a mother suffering from a mental illness, answered a semi-structured interview. They also realized family drawings, and completed a resilience inventory (IFR-40) and a life events questionnaire. Results. The significant presence of family and extrafamily protective factors in the process of the resilience’ subjects, confirms those in the literature: good relationships with parents, good family concord, the presence of helping adults, etc. Other significant family protective factors were found: privileged activities with a parent and moral values shared.Conclusion. We can promote resilience in children living with a parent suffering from a mental illness by strengthening these external protective factors, and by developing a group of peer support to meet their needs and address the lack of support for these children in France.
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Les figures du fou dans la dramaturgie québécoise : portraits esthétiques

Boucher, Gabrielle January 2016 (has links)
La folie dans la dramaturgie québécoise est davantage une métaphore méta-théâtrale qu’une qualité liée à la maladie mentale. Certes, avec la naissance des sciences humaines, les dramaturges occidentaux ont progressivement fait disparaître les personnages iconographiques au profit de patients (Smadja, 2009). Il n’en demeure pas moins que les manifestations contemporaines de ce « type » de personnage ne cessent de se multiplier, particulièrement dans le corpus dramaturgique québécois. En explorant le traitement réservé aux « fous » de ce même corpus, on découvre une série de chantiers exploratoires voués autant à la remise en question de la structure linéaire ou réaliste qu’à la réflexion ontologique. Ces questionnements quant à l’identité du personnage permettent de les cerner en tant que « figures », la conséquence d’une reconceptualisation du personnage théâtral, tributaire, quant à elle, d’un nouvel ordre dramaturgique (Ryngaert, 2008). Qui plus est, ces figures rappellent explicitement – et parfois ironiquement –, par leur lucidité et leur regard philosophique porté sur l’existence humaine, le traitement dramaturgique que Shakespeare réserve à Macbeth, Hamlet et Lear. Cette thèse propose d’étudier trois personnages de la dramaturgie québécoise – soit Mycroft Mixeudeim (La charge de l’orignal épormyable de Claude Gauvreau), Charles Charles (Provincetown Playhouse, juillet 1919, j’avais 19 ans de Normand Chaurette) et Miriam (Ce que nous avons fait de Pascal Brullemans) –, dans le but de dresser un portrait, aussi sommaire soit-il, des multiples déclinaisons de la figure du fou dans le théâtre québécois depuis les années 60. Cette analyse permettra de nuancer le point de vue de Foucault selon lequel la notion de folie s’est normalisée jusqu’à perdre son caractère a priori imagé ou iconographique (Foucault, 1964). Pour ce faire, elle s’articulera autour de grilles esthétiques empruntées à des courants des arts visuels, soit respectivement le romantisme, l’expressionnisme et le déconstructivisme. En repérant les ressemblances et les dissemblances dans le traitement esthétique des trois figures, nous serons en mesure de prouver que la figure du fou dans le théâtre québécois se veut plutôt un creuset pour se questionner sur l’Art, le langage et le théâtre comme moyens de mieux cerner la réalité.
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La peur de mourir de l’enfant perturbateur : l’instabilité infantile psychogène et transitoire

Galien, Jérôme 19 September 2011 (has links)
L’« enfant perturbateur » dérange et déçoit un espoir de réussite par de mauvaises notes, ou perturbe ses parents, sa famille, ses enseignants par son agitation. Dans un tel contexte, l’adulte, qui l’accompagne dans un lieu de soin, évoque à son propos une « hyperactivité », un « trouble de la concentration », ou un « trouble du comportement ». En quelques décennies, ces motifs de consultation sont devenus majoritaires au Centre Médico-Psychopédagogique de Montpellier. Sans remettre en cause les apports de la neurobiologie, nous constatons que l’« instabilité infantile psychogène transitoire » est devenue une épidémie. A partir de notre expérience clinique, de la métapsychologie freudienne, des études de sociologie, et de celles des sciences politiques, nous soutenons la thèse suivante : l’ « enfant perturbateur » souffre d’un « complexe de déprivation » (Winnicott) qu’il traduit en termes de « peur de mourir », et si la turbulence s’exprime, c’est en tant qu’elle attire l’attention d’un adulte potentiellement secourable et que les systèmes sociaux contemporains la rendent facilement repérable. L’approche psychanalytique individuelle de l’ « enfant perturbateur » est pertinente mais peut parfois rester en suspens pendant de longues périodes, cédant le pas à l’attitude de « management » décrite par Winnicott. Ceci rend possible un mouvement de régression permettant à l’enfant de renouer avec la continuité du sentiment d’exister. Dans le transfert, l’analyste occupe alors la place de « médium malléable » (Milner, Roussillon) soumis à l’omnipotence de son patient. / The agitation of “disruptive children” disturbs or upsets their parents, family and teachers, and bad marks at school lead to disappointment in terms of hope for success. In such a context, the adults who take them for treatment mention terms such as “hyperactivity”, “concentration disorder”, or “behaviour disorder”. In just a few decades, these reasons for consulting have started to dominate at the Centre Médico-Psychopédagogique (Psychoeducational Health Centre) in Montpellier.Although we do not question the contribution of neurobiology, we have observed that“transitory psychogenic infantile instability” has become an epidemic. On the basis of our clinical experience, Freudian metapsychology, sociology and political science studies, we support the following thesis: “disruptive children” suffer from a what Winnicot calls a “deprived complex” and which he translates in terms of “fear of dying”. If there is manifest unruliness, it is to attract the attention of a potentially helpful adult and because the contemporary social systems make it easily detectable.The individual psychoanalytic approach to “disruptive children” is relevant but canremain suspended over long periods of time, giving way to the “management” attitude described by Winnicott. This makes regression possible, allowing the child to return to the continuity of a sense of being. In the transference, the psychoanalyst then plays the role of the “pliable medium” (Milner, Roussillon) subject to his patient’s omnipotence.
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Étude discursive de la stigmatisation de la maladie mentale : l'expérience des étudiantes et étudiants universitaires québécois

Doutrelant, Solène 08 1900 (has links)
Depuis le printemps 2019, une campagne de sensibilisation aux enjeux de santé psychologique est déployée sur le campus de l’Université de Montréal. À l’instar de cette campagne, de nombreuses initiatives sont lancées au travers de la province pour enrayer la stigmatisation de la maladie mentale. Ainsi, un nouveau Discours, positif et anti-stigmatisant tente de s’imposer face au Discours stigmatisant ancré dans la société. Par Discours, il faut comprendre un ensemble discursif qui reprend des idéologies et les significations de phénomènes ; celui-ci se matérialise dans les mots et les interactions sociales (discours). On assiste à une mise en tension du sens que l’on donne de la maladie mentale. En s’appuyant sur la théorie de l’étiquetage, ce mémoire a pour objectif de comprendre la tension entre ces deux Discours dans les paroles (le discours) et attitudes des Québécoises et Québécois. La problématique se pose autour des étudiantes et étudiants universitaires du fait de leur tranche d’âge hybride (sortie de l’adolescence et entrée dans l’âge adulte) où la tolérance sociale de la maladie mentale bascule de l’indulgence pour les enfants atteints à une stigmatisation pour les adultes atteints. À cette fin, cette étude a mené des groupes de discussion avec des étudiantes et étudiants d’universités québécoises qui ont vécu une expérience personnelle de la maladie mentale afin de dépeindre leur perception et leur expérience de cette tension discursive dans leurs relations interpersonnelles. Une analyste thématique des transcriptions de ces discussions a été effectuée. Les principaux résultats montrent que pour les participants, il subsiste des traces du Discours stigmatisant dans les paroles des personnes qui les entourent. À des niveaux plus ou moins élevés suivant les personnes de l’entourage, ces traces s’accompagnent d’un éloignement social. Un éloignement qui s’opère en double dynamique et souligne la capacité des personnes souffrant de maladie mentale à interagir dans un nouveau groupe social. / Beginning in the spring of 2019, an awareness campaign on mental health issues has been deployed on the campus of the Université de Montréal. Many similar initiatives have been launched across the province of Quebec that aim to eliminate the stigma of mental illness. Thus, a new, positive and anti-stigmatizing Discourse is challenging the deep-rooted Discourse that stigmatizes mental illness in society. By Discourse, it is necessary to understand a discursive whole that takes up ideologies and the meanings of phenomena; this is materialized in words and social interactions (discourse). There is thus a growing tension inherent to the very meaning of mental illness. The purpose of this Master’s thesis is to better understand this tension between these two Discourses in the words and attitudes of Quebecers. The research project focuses on university students because of their hybrid age bracket (leaving adolescence and entering adulthood) where the societal tolerance for mental illness tends to shift from indulgence for children to stigmatization for adults. To this end, focus groups with Quebec university students allowed us to depict their perception of this discursive tension in their interpersonal relationships. The discussion transcripts were thematically analyzed. The main results show the emergence of a dissonant discourse, which mixes stigmatizing and anti-stigmatizing Discourse, and the persistence of stigmatizing Discourse held by people who are socially distant from the sick person. These findings formed the basis of a relational model of how participants experienced the stigma of their mental illness, providing a new perspective on the theory of labelling and stigmatization.
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Influence du type de maladie mentale, du sexe des personnes qui en souffrent et de leur conformité aux stéréotypes sexuels sur les contacts sociaux désirés par les citoyens et citoyennes

Lafleur, Diane 18 December 2021 (has links)
Deux articles forment la thèse. Le premier décrit le développement et la validation de l’Échelle communautaire d’attitude envers les personnes souffrant de maladie mentale (APSOM). L’instrument comprend 12 vignettes suivies d’une échelle Likert, mesurant les contacts sociaux désirés avec les personnes dépeintes. Il compte trois facteurs (Contact familial. Rejet social et Implication). Dans le deuxième article, l’APSOM est administré à 407 adultes afin d’évaluer l’influence de quatre variables (i.e., le type de maladie mentale des personnes décrites, leur sexe, leur conformité aux stéréotypes sexuels et le sexe des répondants). Des ANCOVAs à mesures répétées révèlent que les répondants sont plus favorables aux individus obsessifs-compulsifs qu’aux dépressifs et aux schizophrènes lors de contacts impersonnels et familiaux. Néanmoins, ils s’impliquent moins auprès des premiers. Les personnes dépressives déviant des stéréotypes sexuels sont jugées plus négativement. Les femmes sont plus tolérantes, sauf pour les contacts familiaux. Enfin, l’intolérance s’accroît avec l’intimité des contacts.
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" Histoire de la perversion sexuelle. Émergence et transformations du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie de 1797 à 1912 ".

Mazaleigue-Labaste, Julie 01 December 2010 (has links) (PDF)
Si l'histoire des sexualités marginales est bien abordée du point de vue de l'histoire culturelle depuis les années 1970, peu de travaux philosophiques s'attachent aujourd'hui à fournir une élucidation épistémologique critique du concept de perversion sexuelle. Ce dernier est pourtant un objet tout à fait étrange. C'est une catégorie médico-psychologique présente depuis plus d'un siècle et demi dans l'univers psychopathologique. Elle présente cependant des aspects indéniablement moraux, dont il semble que la simple présence aurait du la disqualifier depuis longtemps aux yeux des savoirs de l'esprit malade. Comment rendre compte de la stabilité historique et épistémologique d'un concept au sein duquel convergent deux dimensions en apparence contradictoires ? Cette thèse se propose d'explorer cette articulation du discours moral et du discours psychopathologique sur la sexualité, à travers la généalogie du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie française durant le long XIXème siècle (1797-1912). Deux questions traversent l'histoire de cette catégorie : quelle est la relation de la perversion sexuelle avec les écarts individuels aux normes morales, sociales, et juridiques, c'est à dire à la déviance ? Et quelles sont les images de la relation du sexe et du mal produites par le discours psychopathologique ? Ces deux problématiques engagent alors un questionnement plus large sur la fonction et les effets politiques du concept de perversion sexuelle, interrogation relative à la gestion sécuritaire des écarts sociaux, mais aussi à la place de la jouissance dans la civilisation occidentale contemporaine.
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Droit au travail et troubles mentaux: une analyse critique des exclusions et des inclusions par le droit en assurance chômage et en aide sociale

De Greef, Vanessa 29 April 2015 (has links)
Ma thèse de doctorat a poursuivi un double objectif :d’une part, présenter la situation des personnes souffrant de troubles mentaux face à certains mécanismes d’exclusion et d’inclusion engendrés par le droit et, d’autre part, approfondir l’examen du caractère idéologique des droits fondamentaux, plus spécifiquement du droit au travail. L’hypothèse générale est que la personne malade mentale serait exclue du bénéfice ou aurait le bénéfice de certains droits fondamentaux non pas en raison principalement des conséquences concrètes de son état mental sur sa situation individuelle, mais surtout en raison de l’idéologie dominante des droits fondamentaux. <p><p>Les deux premières parties de la thèse comportent une analyse de la réglementation du chômage et de la législation relative au droit à l’intégration sociale. Dans ces deux premières parties, j’ai analysé les conditions d’octroi de l’assurance chômage et du droit à l’intégration sociale et ai examiné dans quelle mesure les allocataires souffrant de troubles mentaux sont accompagnés dans leur recherche d’emploi par les services régionaux de l’emploi et les centres publics d’action sociale (CPAS). Les évolutions qui ont marqué ces domaines au cours des dernières années en Belgique révèlent que loin d’être uniquement un individu totalement exclu du droit au travail, la personne souffrant de troubles mentaux devient progressivement un sujet du droit au travail. Cette transformation de la représentation de la personne souffrant de trouble mentaux est plus marquée dans le domaine de l’assurance chômage, mais influence progressivement les acteurs de l’aide sociale, plus particulièrement en Flandre. <p><p>La troisième partie propose une grille d’analyse du caractère idéologique du droit. Dans cette optique, j’ai développé les concepts d’exclusion et d’inclusion juridique qui ont pour but d’analyser l’idéologie des dispositifs de restriction ou d’extension d’un droit fondamental, qu’ils soient explicites (en étant prévu dans un texte juridique) ou implicites (en étant la résultante du silence du texte ou d’une pratique informelle des autorités publiques). Ensuite, j’ai dégagé des deux premières parties de la thèse six dispositifs spécifiques :trois cas d’exclusion juridique de la personne souffrant de troubles mentaux et trois cas d’inclusion juridique. J’ai retracé les justifications qui ont conduit les autorités publiques à élaborer (ou non) certains dispositifs et ce faisant, à diminuer ou à accroître le champ d’application du droit au travail des personnes souffrant de troubles mentaux. <p><p>Pour ce faire, je me suis appuyée sur la théorie des justifications du sociologue L. Boltanski et du sociologue et économiste L. Thévenot. L’exploration des justifications a permis de confirmer mon hypothèse :l’évolution des représentations dominantes de la personne souffrant de troubles mentaux reflète l’évolution de son droit au travail. L’analyse idéologique des dispositifs d’exclusion et d’inclusion juridiques a revélé que, malgré sa faible effectivité, le droit au travail est fréquemment mobilisé par les autorités juridiques, en particulier lorsqu’elles évoquent des valeurs d’ « efficacité » ou « d’intérêt général ». Les autorités publiques insistent généralement sur l’accès au travail des personnes souffrant de troubles mentaux et non sur les autres dimensions du droit au travail, telles que le droit à une rémunération ou à des conditions de travail équitables. Mon hypothèse n’a, par contre, pas pu être strictement confirmée dans les domaines où la représentation de la personne souffrant de troubles mentaux est plus effacée. Ce silence juridique ne signifie pas que l’idéologie est absente de ces domaines ;celle-ci ne vise cependant pas à offrir une représentation spécifique de la personne souffrant de troubles mentaux et il est donc plus délicat de l’identifier. <p> / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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