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L’ÉVOLUTION DE LA FIGURE DU PÈRE DANS L’ŒUVRE ROMANESQUE DE MARIE-CLAIRE BLAIS

Havens, Kimberlee 23 March 2011 (has links)
The father figure has a strong but often hidden presence in Marie-Claire Blais’ novels. Although frequently absent from daily life, fathers have an important impact on the family. Blais’ early novels present traditional fathers, while more recent novels portray a modern figure. The dissolution of the traditional role for fathers has led to confusion: expectations and responsibilities are no longer clearly defined. The presentation of father figures rests with the narrator. Every narrator offers a unique perspective, which changes with age. We propose to study the father figure throughout Blais’ novels in order to determine the influence of the narrative perspective, the impact that age has on this perspective, and also the influence of Québécois societal transformations on the portrayal of father figures within Blais’ work. We will examine the father figure from a child’s perspective, before moving on to the perspective of adolescents, young adults and finally, adults. / Dans l’œuvre romanesque de Marie-Claire Blais, la figure du père est omniprésente mais souvent silencieuse. Elle y change et évolue au fil des transformations de la société québécoise et de ses normes. Le rôle traditionnel du père perd sa place privilégiée ; les pères cherchent un nouveau modèle de paternité. Le portrait du père est surtout déterminé par le narrateur et la perspective de celui-ci évolue au fil de l’œuvre. Au début, les jeunes narrateurs portent des jugements sévères sur les figures paternelles. Toutefois, les romans les plus récents ont des narrateurs adultes qui racontent les histoires de manière moins biaisée. Dans ce travail, nous nous proposons d’effectuer une étude approfondie des différentes figures de père dans l’œuvre romanesque blaisienne. D’abord, nous étudierons comment ces figures sont représentées de la perspective des enfants, avant de nous concentrer sur les perspectives des adolescents, des jeunes adultes, puis des adultes.
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Des lucioles, suivi de, Utilité et limites de la commune dans L'ange de la solitude de Marie-Claire Blais

Duchesne Perron, Emilie 01 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / Des lucioles est un roman versifié où monde intérieur et monde extérieur paraissent irréconciliables. À travers une narratrice habitée par le deuil inachevé de son père, ce projet s’interroge sur ce qui demeure après la perte lorsque les circonstances ne permettent pas que l’on s’arrête pour contempler le vide laissé par l’être perdu. Entourée de personnages habités par une douleur qu’elle croit semblable à la sienne, la narratrice fait l’expérience de l’importance de la communauté, mais également, des limites de cette même solidarité. La lumière, image parcourant le texte, expose autant la beauté que l’obscurité du milieu où la narratrice évolue. L’absence d’issue apparente pour le personnage nous révèle le sentiment d’impuissance qui l’habite face à sa situation précaire. L’essai qui le suit, Utilité et limites de la commune dans L’ange de la solitude de Marie-Claire Blais, s’articule également autour des questions d’individualité et de solidarité. À partir du concept d’hétérotopie développé par Michel Foucault, l’essai tente d’abord de comprendre la nécessité de la création d’un safe space pour les personnages marginalisés de L’ange de la solitude, puis se questionne sur la persistance des rapports de force à l’intérieur de ce lieu établi hors des instances sociales dominantes. Au cœur de cette contradiction se pose une question fondamentale sur la relation qu’entretient l’individu ostracisé avec le monde qui le rejette, et propose ainsi une réflexion sur le rapport à l’espace des communautés marginalisées. / Des lucioles is a versified novel in which intimate and outside world are shown as irreconcilable. Through a female narrator who is still grieving the death of her father, this project shows what remains after a person disappears, especially when circumstances do not allow the griever to properly process that loss. Surrounded by like-minded people who seem to be struggling as much as her in their own lives, the narrator realizes the importance of belonging to a community, but also, the limits of that solidarity. The recurring image of light shows both the beauty and the despair of the environment in which the characters evolve. The apparent lack of resolution for the protagonist tells us a lot about the helplessness of the subject facing the world they live in. The essay that follows, Utilité et limites de la commune dans L'ange de la solitude de Marie-Claire Blais, is also exploring the ideas of solidarity and community. Through the concept of hétérotopie developed by Michel Foucault, we try to understand the necessity for Blais’ characters to create a safe space for themselves. We then observe the presence of power relationships inside the friend group, despite their attempt at creating a space out of the social structure that marginalized them in the first place. With this essay, we expose the relationship between the marginalized subject and the world that rejects them, which allows us to reflect on the way these social groups interact with space in general.
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Vers une société hyperréelle : représentations des États-Unis dans trois romans canadiens contemporains

Sandner, Leah 03 1900 (has links)
Le roman de la route est un genre narratif propre à l’Amérique du Nord. Prenant la forme d’un récit de voyage, il met en scène les pérégrinations d’un narrateur sur les autoroutes des États Unis. Au Canada francophone, plus précisément, ce voyage transcontinental prend un nouveau sens. Parfois, il est motivé par la poursuite d’un frère perdu et se transforme avec le temps en quête identitaire : le narrateur, confronté à une culture inconnue, est obligé de faire face à des enjeux d’identité culturelle qui hantent le Canada francophone depuis l’époque coloniale. Au Québec, par exemple, on cite autant le voyage de Jack Waterman dans Volkswagen Blues (1984) de Jacques Poulin que celui de Sal Paradise dans On the Road de Jack Kerouac (1957) en ce qui concerne leur influence sur le genre. Certains auteurs moins connus du genre, cependant, sont des femmes. Leurs récits s’articulent autour d’un voyage identitaire particulier qui prend en compte des facteurs extérieurs à leur situation géoculturelle, tels que leur âge et leur sexe. Ce mémoire analysera les romans « de la route » de trois autrices canadiennes, à savoir De quoi t’ennuies-tu, Éveline ? (1982) de Gabrielle Roy, Soifs (1995) de Marie-Claire Blais et Distantly Related to Freud (2008) d’Ann Charney. Nous examinerons les raisons motivant le voyage aux États-Unis, pourquoi ceux-ci sont choisis comme lieu de destination et ce que les protagonistes des récits espèrent y retrouver. Curieusement, ce qu’ils trouvent tous à leur arrivée au pays est une société envahie par des formes de ce que le théoricien français Jean Baudrillard appelle l’hyperréalité ; c’est-à-dire une société submergée par des « modèles » du réel, ou des simulacres. Ces simulacres réussissent à brouiller la frontière entre le réel et le faux, désorientant complètement le voyageur. Notre mémoire examinera ces formes hyperréelles, leur représentation dans les trois récits comme inhérente à la société étatsunienne et, finalement, leur impact sur la quête identitaire des protagonistes. / The road novel is a narrative genre particular to North America. Taking the form of a travelogue, it depicts the narrator’s wanderings over the highways and byways of the United States. In French-speaking Canada, specifically, the transcontinental voyage of the road novel takes on a special meaning. Sometimes, it is motivated by the pursuit of a lost brother and transforms over time into a pursuit of the self: the narrator, faced with an unknown culture, is obliged to confront issues of cultural identity that have haunted francophone Canada since the colonial era. In Quebec, for instance, Jack Waterman’s journey in Jacques Poulin’s Volkswagen Blues (1984) is cited as frequently as Sal Paradise’s in Jack Kerouac’s On the Road (1957) with regards to their role in influencing the genre. Some lesser known authors of the genre, however, are women. Their stories are centered around a specific identity voyage that considers factors outside of their geocultural situation, such as their age and gender. This thesis analyzes the “road” novels of three Canadian authors, including Gabrielle Roy’s De quoi t’ennuies-tu, Éveline ? (1982), Marie-Claire Blais’ Soifs (1995), and Ann Charney’s Distantly Related to Freud (2008). We examine the reasons for making the journey to the United States, why this country has been chosen as a place of destination, and what the protagonists of these stories hope to find there. Curiously, what they all find upon arrival is a society dominated by forms of what French theorist Jean Baudrillard calls “hyperreality”; that is, a society overwhelmed by “models” of the real, or simulacra. These simulacra blur the lines between the real and the artificial, completely disorientating the traveler. Our thesis explores these hyperreal forms, their representation in the three narratives as being inherent to U.S. society, and, finally, their impact on the protagonists’ quest for identity.

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