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Road novel, road movie : approche chronotopique du récit de la route

Brasebin, Jenny 06 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle, sous la direction de M. Philippe Despoix (Université de Montréal) et de M. Michel Marie (Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3) / Apparu au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec la publication en 1957 d’On the Road de Jack Kerouac et la sortie, 12 ans plus tard, d’Easy Rider de Dennis Hopper, le road novel et le road movie constituent à nos yeux les deux versants de ce que nous avons choisi de nommer le récit de la route. Devant l’absence de réelle étude conjointe entre les deux formes et la persistance d’amalgames, nous souhaitons mettre en évidence ce qui permettrait de distinguer le road novel et le road movie d’autres récits d’errance. Un tel travail nécessite la mise au jour d’un outil d’analyse intermédial permettant d’embrasser de concert des œuvres relevant d’expressions médiatiques différentes. Nous proposons donc de recourir au concept de chronotope développé par Bakhtine en littérature, et dont il a été démontré il y a peu qu’il est aussi susceptible de s’appliquer à un objet cinématographique. Nous posons que road novel et road movie reposent sur la combinaison d’un ensemble de chronotopes fondamentaux : celui de la route, dans le contexte de la motorisation et des non-lieux de la postmodernité, et celui du seuil, compris comme l’expression du tournant d’une vie. La présence d’une dimension parodique nous amène en outre à mobiliser un autre concept bakhtinien : celui de carnavalesque, qui s’articulerait justement autour des chronotopes de la route et du seuil définis précédemment. Afin de procéder à cette analyse chronotopique, nous nous appuyons sur un corpus d’œuvres empruntées au répertoire américain, québécois et allemand, en raison notamment des multiples passerelles susceptibles d’être érigées entre ces différentes cultures. / Appearing in the wake of World War II, with the publication in 1957 of On the Road by Jack Kerouac, followed 12 years later with the screening of Denis Hopper’s Easy Rider, the road novel and road movie constitute, we argue, two sides of what we call the road narrative. Faced with a lack of comprehensive studies embracing both sides concurrently, and with recurrent amalgams, we reflect on the components differentiating the road novel and road movie from other types of wandering stories. Such a project calls for the construction of an intermedial apparatus, enabling us to jointly encompass artworks belonging to different media formats. Consequently, we build on the concept of the chronotope, as developed by Bakhtin as a tool for literary criticism, and recently extended by scholars to cinematographic objects. We show how road novels and road movies emerge from the combination of two fundamental chronotopes: that of the road, exemplified by a postmodern universe dominated by motor vehicles and non-places, and that of the threshold, understood as the expression of a critical turn in one’s life. The noted presence of a parodic dimension in road narratives calls for the introduction of an additional bakhtinian concept: the carnivalesque, which, as we show, can be articulated in relation to the previously defined road and threshold chronotopes. For this chronotopical analysis, we selected artworks from the American, Quebecois and German repertoires, a choice justified by the numerous potential connections to be established between those three different cultures.
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Road novel, road movie : approche chronotopique du récit de la route

Brasebin, Jenny 06 1900 (has links)
Apparu au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec la publication en 1957 d’On the Road de Jack Kerouac et la sortie, 12 ans plus tard, d’Easy Rider de Dennis Hopper, le road novel et le road movie constituent à nos yeux les deux versants de ce que nous avons choisi de nommer le récit de la route. Devant l’absence de réelle étude conjointe entre les deux formes et la persistance d’amalgames, nous souhaitons mettre en évidence ce qui permettrait de distinguer le road novel et le road movie d’autres récits d’errance. Un tel travail nécessite la mise au jour d’un outil d’analyse intermédial permettant d’embrasser de concert des œuvres relevant d’expressions médiatiques différentes. Nous proposons donc de recourir au concept de chronotope développé par Bakhtine en littérature, et dont il a été démontré il y a peu qu’il est aussi susceptible de s’appliquer à un objet cinématographique. Nous posons que road novel et road movie reposent sur la combinaison d’un ensemble de chronotopes fondamentaux : celui de la route, dans le contexte de la motorisation et des non-lieux de la postmodernité, et celui du seuil, compris comme l’expression du tournant d’une vie. La présence d’une dimension parodique nous amène en outre à mobiliser un autre concept bakhtinien : celui de carnavalesque, qui s’articulerait justement autour des chronotopes de la route et du seuil définis précédemment. Afin de procéder à cette analyse chronotopique, nous nous appuyons sur un corpus d’œuvres empruntées au répertoire américain, québécois et allemand, en raison notamment des multiples passerelles susceptibles d’être érigées entre ces différentes cultures. / Appearing in the wake of World War II, with the publication in 1957 of On the Road by Jack Kerouac, followed 12 years later with the screening of Denis Hopper’s Easy Rider, the road novel and road movie constitute, we argue, two sides of what we call the road narrative. Faced with a lack of comprehensive studies embracing both sides concurrently, and with recurrent amalgams, we reflect on the components differentiating the road novel and road movie from other types of wandering stories. Such a project calls for the construction of an intermedial apparatus, enabling us to jointly encompass artworks belonging to different media formats. Consequently, we build on the concept of the chronotope, as developed by Bakhtin as a tool for literary criticism, and recently extended by scholars to cinematographic objects. We show how road novels and road movies emerge from the combination of two fundamental chronotopes: that of the road, exemplified by a postmodern universe dominated by motor vehicles and non-places, and that of the threshold, understood as the expression of a critical turn in one’s life. The noted presence of a parodic dimension in road narratives calls for the introduction of an additional bakhtinian concept: the carnivalesque, which, as we show, can be articulated in relation to the previously defined road and threshold chronotopes. For this chronotopical analysis, we selected artworks from the American, Quebecois and German repertoires, a choice justified by the numerous potential connections to be established between those three different cultures. / Thèse réalisée en cotutelle, sous la direction de M. Philippe Despoix (Université de Montréal) et de M. Michel Marie (Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3)
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Road novel, road movie : approche intermédiale du récit de la route / Road novel, road movie. : Intermedial approach of road narratives

Brasebin, Jenny 20 September 2013 (has links)
Apparu au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec la publication en 1957 d’On the Road de Jack Kerouac et la sortie, 12 ans plus tard, d’Easy Rider de Dennis Hopper, le road novel et le road movie constituent à nos yeux les deux versants de ce que nous avons choisi de nommer le récit de la route. Devant l’absence de réelle étude conjointe entre les deux formes et la persistance d’amalgames, nous souhaitons mettre en évidence ce qui permettrait de distinguer le road novel et le road movie d’autres récits d’errance. Un tel travail nécessite la mise au jour d’un outil d’analyse intermédial permettant d’embrasser de concert des oeuvres relevant d’expressions médiatiques différentes. Nous proposons donc de recourir au concept de chronotope développé par Bakhtine en littérature, et dont il a été démontré il y a peu qu’il est aussi susceptible de s’appliquer à un objet cinématographique. Nous posons que road novel et road movie reposent sur la combinaison d’un ensemble de chronotopes fondamentaux : celui de la route, dans le contexte de la motorisation et des non-lieux de la postmodernité, et celui du seuil, compris comme l’expression du tournant d’une vie. La présence d’une dimension parodique nous amène en outre à mobiliser un autre concept bakhtinien : celui de carnavalesque, qui s’articulerait justement autour des chronotopes de la route et du seuil définis précédemment. Afin de procéder à cette analyse chronotopique, nous nous appuyons sur un corpus d’oeuvres empruntées au répertoire américain, québécois et allemand, en raison notamment des multiples passerelles susceptibles d’être érigées entre ces différentes cultures. / Appearing in the wake of World War II, with the publication in 1957 of On the Road by Jack Kerouac,followed 12 years later with the screening of Denis Hopper’s Easy Rider, the road novel and road movie constitute, we argue, two sides of what we call the road narrative. Faced with a lack of comprehensive studies embracing both sides concurrently, and with recurrent amalgams, we reflect on the components differentiating the road novel and road movie from other types of wandering stories. Such a project calls for the construction of an intermedial apparatus, enabling us to jointly encompass artworks belonging to different media formats. Consequently, we build on the concept of the chronotope, as developed by Bakhtin as a tool for literarycriticism, and recently extended by scholars to cinematographic objects. We show how road novels and roadmovies emerge from the combination of two fundamental chronotopes: that of the road, exemplified by a postmodern universe dominated by motor vehicles and non-places, and that of the threshold, understood as the expression of a critical turn in one’s life. The noted presence of a parodic dimension in road narrativescalls for the introduction of an additional bakhtinian concept: the carnivalesque, which, as we show, can be articulated in relation to the previously defined road and threshold chronotopes. For this chronotopical analysis, we selected artworks from the American, Quebecois and German repertoires, a choice justified by the numerous potential connections to be established between those three different cultures.
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Enjeux identitaires dans deux romans de la route québécois : Chercher le vent et La foi du braconnier

Givern-Héroux, Audrey 08 1900 (has links)
Le rapport entre identité québécoise et identité américaine est souvent exploré dans la littérature québécoise. Le genre du roman de la route paraît particulièrement propice à ces questionnements identitaires, puisque le voyage provoque inévitablement une rencontre avec une forme d’altérité, laquelle pousse le voyageur à questionner à la fois son identité, l’identité liée au lieu où il se rend et le rapport entre celles-ci. Ainsi, le présent mémoire traite des enjeux identitaires dans deux romans de la route québécois du XXIe siècle, soit Chercher le vent de Guillaume Vigneault (2001) et La foi du braconnier de Marc Séguin (2009), par le biais de la sociocritique des textes. Plus spécifiquement, il mobilise le concept d’américanité, qui, en s’intéressant aux éléments constitutifs de l’identité (nord-)américaine, suppose qu’il y aurait des caractéristiques communes à quiconque habite le même territoire ou participe de son histoire. Au fil de cette étude, l’analyse des référents socioculturels, du rapport aux lieux et de la langue permet de cerner la perception qu’ont les personnages principaux des différentes identités en jeu et des liens entre celles-ci. Elle permet également de saisir les rapports qu’entretiennent les protagonistes avec les identités qui les habitent et celles qui les entourent. Au final, alors que Jack, dans Chercher le vent, paraît décomplexé par rapport à son identité plurielle, Marc S. Morris, dans La foi du braconnier, vit son appartenance identitaire de façon beaucoup plus conflictuelle. / The relationship between Quebec and American identities is often explored in Quebec literature. The genre of the road novel seems particularly conducive to these identity questions, since the trip inevitably causes a form of encounter with otherness, which pushes the traveler to question his identity, the identity linked to the place where he goes and the relationship between them. Thus, this master’s thesis deals with identity issues in two Quebec road novels of the twenty-first century, Chercher le vent [Necessary Betrayals] by Guillaume Vigneault (2001) and La foi du braconnier by Marc Séguin (2009), through sociocriticism. More specifically, it mobilizes the concept of Americanity, which, by focusing on the components of (North) American identity, supposes there sould be common characteristics to anyone who lives in the same territory or participates in its history. Throughout this study, the analysis of socio-cultural referents, of the relationship between characters and territory and of the language shows the main characters’ perceptions of the different identities involved and the links between them. It also sheds light on the relationships between the protagonists and the identities that inhabit them and those that surround them. Ultimately, as Jack in Chercher le vent appears uninhibited in regards to his plural identity, Marc S. Morris, in La foi du braconnier, experiences his sense of belonging in a much more confrontational manner.
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Les fuckalls, suivi de Projections et imprévus : le voyage impossible dans Document 1 de François Blais

Bughin, Hélène 05 1900 (has links)
Ce mémoire de recherche-création est d’abord un roman intitulé « Les fuckalls » portant sur les dérives quotidiennes d’un groupe d’amis résidant à Sherbrooke et leur tentative de former une communauté dans une société de performance. Seront considéré dans cette partie la conscience de la fiction, l’ennui, les relations et l’inertie. La partie analyse est une réflexion autour de l’idée de l’éloge de l’inertie, à travers le déploiement des mécanismes de l’ironie dans Document 1 de François Blais (2012), un récit de voyage subvertit par un duo de personnages ludiques, Tess et Jude. Cet essai investit d’abord la manière dont est inscrite l’inertie, notamment par l’exploration du quotidien et habitudes des personnages, mais aussi l’humour, aspect pouvant afficher le roman comme un hommage à L’hiver de force de Réjean Ducharme (1973). Le ton humoristique serait en lien avec la connivence que la narratrice tente de développer avec le lecteur, au travers d’une narration dite niaiseuse. Cette connivence est nécessaire à l’inscription de l’ironie dans le roman, qui passe entre autres par le récit et le discours de la narration, se déclinant autant les péripéties contradictoires qu’amène la quête falsifiée des personnages. L’analyse explore la façon dont est renversée cette doxa prônant le départ comme clé du bonheur, par l’exploration du territoire de proximité et la mise en abyme du récit. Au final, l’impossibilité même du départ traduit la fatalité inhérente au contexte dans lequel évolue les personnages, c’est-à-dire le confort et la raillerie. Les œuvres convoquées tissent entre elles des arguments amenant à la réflexion que l’ironie ici est le mécanisme portant l’éloge de l’inertie. / This memoir in creation-research is first and foremost a novel named “Les fuckalls”, in which is illustrated the aimless drifting of some teenagers in Sherbrooke, Québec as well as their attempt to form a community in a society that promotes productivity and appearance. Will be considered in this part the awareness of the fiction process, boredom, relationships and apathy. The research part focuses around the idea of the praise of apathy that comes from the mechanisms of irony in Document 1 by François Blais (2012), a road novel subverted by the playful duo formed by Tess and Jude. First, this essay dissects the way the notion of apathy is inserted in the daily lives of the characters, as well as the humor process, which can appear as a homage to the 1973 novel L’hiver de force, by Réjean Ducharme. This particular humoristic tone is linked to the complicity the narrator is trying to develop through a narration said to be mindless. This complicity is necessary to the inscription of irony in the text, which is manifesting itself through the story and the narration, as well as the contradictory twists that is brought by a falsified quest. This research explores the way that this doxa, which advocates that the key to happiness has to be somewhere else, is deflected by the author by the exploration of the adjacent territory and the mise en abyme of the story. In the end, the impossibility of any departure translates the inherent fatality of apathy, the state in which the characters are living their lives. The studied corpus links the irony as the mechanism that supports the praise of apathy.
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Vers une société hyperréelle : représentations des États-Unis dans trois romans canadiens contemporains

Sandner, Leah 03 1900 (has links)
Le roman de la route est un genre narratif propre à l’Amérique du Nord. Prenant la forme d’un récit de voyage, il met en scène les pérégrinations d’un narrateur sur les autoroutes des États Unis. Au Canada francophone, plus précisément, ce voyage transcontinental prend un nouveau sens. Parfois, il est motivé par la poursuite d’un frère perdu et se transforme avec le temps en quête identitaire : le narrateur, confronté à une culture inconnue, est obligé de faire face à des enjeux d’identité culturelle qui hantent le Canada francophone depuis l’époque coloniale. Au Québec, par exemple, on cite autant le voyage de Jack Waterman dans Volkswagen Blues (1984) de Jacques Poulin que celui de Sal Paradise dans On the Road de Jack Kerouac (1957) en ce qui concerne leur influence sur le genre. Certains auteurs moins connus du genre, cependant, sont des femmes. Leurs récits s’articulent autour d’un voyage identitaire particulier qui prend en compte des facteurs extérieurs à leur situation géoculturelle, tels que leur âge et leur sexe. Ce mémoire analysera les romans « de la route » de trois autrices canadiennes, à savoir De quoi t’ennuies-tu, Éveline ? (1982) de Gabrielle Roy, Soifs (1995) de Marie-Claire Blais et Distantly Related to Freud (2008) d’Ann Charney. Nous examinerons les raisons motivant le voyage aux États-Unis, pourquoi ceux-ci sont choisis comme lieu de destination et ce que les protagonistes des récits espèrent y retrouver. Curieusement, ce qu’ils trouvent tous à leur arrivée au pays est une société envahie par des formes de ce que le théoricien français Jean Baudrillard appelle l’hyperréalité ; c’est-à-dire une société submergée par des « modèles » du réel, ou des simulacres. Ces simulacres réussissent à brouiller la frontière entre le réel et le faux, désorientant complètement le voyageur. Notre mémoire examinera ces formes hyperréelles, leur représentation dans les trois récits comme inhérente à la société étatsunienne et, finalement, leur impact sur la quête identitaire des protagonistes. / The road novel is a narrative genre particular to North America. Taking the form of a travelogue, it depicts the narrator’s wanderings over the highways and byways of the United States. In French-speaking Canada, specifically, the transcontinental voyage of the road novel takes on a special meaning. Sometimes, it is motivated by the pursuit of a lost brother and transforms over time into a pursuit of the self: the narrator, faced with an unknown culture, is obliged to confront issues of cultural identity that have haunted francophone Canada since the colonial era. In Quebec, for instance, Jack Waterman’s journey in Jacques Poulin’s Volkswagen Blues (1984) is cited as frequently as Sal Paradise’s in Jack Kerouac’s On the Road (1957) with regards to their role in influencing the genre. Some lesser known authors of the genre, however, are women. Their stories are centered around a specific identity voyage that considers factors outside of their geocultural situation, such as their age and gender. This thesis analyzes the “road” novels of three Canadian authors, including Gabrielle Roy’s De quoi t’ennuies-tu, Éveline ? (1982), Marie-Claire Blais’ Soifs (1995), and Ann Charney’s Distantly Related to Freud (2008). We examine the reasons for making the journey to the United States, why this country has been chosen as a place of destination, and what the protagonists of these stories hope to find there. Curiously, what they all find upon arrival is a society dominated by forms of what French theorist Jean Baudrillard calls “hyperreality”; that is, a society overwhelmed by “models” of the real, or simulacra. These simulacra blur the lines between the real and the artificial, completely disorientating the traveler. Our thesis explores these hyperreal forms, their representation in the three narratives as being inherent to U.S. society, and, finally, their impact on the protagonists’ quest for identity.

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