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La révolution tranquille : période de rupture ou de continuité?

Dickson, Olivier January 2009 (has links) (PDF)
Plus qu'une simple expression, la Révolution tranquille est une période historique charnière pour le Québec. Débutant avec l'élection des libéraux de Jean Lesage en 1960, la Révolution tranquille marque l'imaginaire québécois depuis près de 50 ans déjà. Pour mieux comprendre la société québécoise contemporaine, nous croyons qu'il est important de s'attarder à l'interprétation de la Révolution tranquille qui a eu cours depuis 1960, c'est-à-dire, à la façon dont les intellectuels québécois ont interprété et analysé cette période historique et les conclusions qu'ils en ont tirées. Ces interprétations de la Révolution tranquille alimentent en fait un débat entre les intellectuels québécois. Essentiellement, ce débat porte sur la question à savoir si la Révolution tranquille doit être qualifiée comme une période de rupture ou plutôt comme une période de continuité. Nous présenterons tout d'abord différentes définitions de la Révolution tranquille. Ensuite, nous exposerons chacune des interprétations, soit celle de la rupture et celle de la continuité. Nous élaborerons ensuite notre analyse autour de quatre thèmes principaux: l'utilisation du mot révolution pour définir le Québec des années 1960, le nationalisme, l'identité et l'imaginaire. Chacun de ces thèmes sera présenté autour d'un argumentaire détaillé qui nous permettra d'évaluer laquelIe des interprétations de la Révolution tranquille est la plus plausible. Selon nous, la thèse de la continuité est la plus plausible, surtout par rapport à l'identité et au nationalisme. De même, l'utilisation du mot révolution pour définir le Québec des années 1960 nous semble plutôt excessif. Mais la thèse de la rupture possède un argument de taille, celui du choc imaginaire. Ce que nous proposons dans les pages suivantes est une revue de littérature détaillée, une présentation de concepts clés à l'analyse de la Révolution tranquille, combinée à une approche basée sur la création de liens avec chacun des concepts clés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Révolution tranquille, Rupture, Continuité, Identité, Nationalisme, Imaginaire.
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Imaginaires et imagination politiques : le cas argentin (1852-2002)

Veillette, Jonathan January 2009 (has links) (PDF)
Le but de ce mémoire est de montrer la pertinence et l'actualité des notions d'imaginaires et d'imagination pour l'étude des phénomènes politiques et sociaux. À travers 150 ans de l'histoire de l'Argentine, cette étude retrace le parcours et les transformations de l'imaginaire collectif des Argentins, tente de saisir les moments où se négocie et se transforme l'identité argentine, où les «frontières», les «bords» du politique sont questionnés, contestés, redéfinis. Moments où le «barbare» devient, aux yeux du pouvoir politique et/ou de l'Histoire officielle, le «civilisé»; moments où des imaginaires ou des mémoires qui agissaient de manière souterraine s'instituent dans l'imaginaire collectif, deviennent des récits officiels de l'argentinité; moments où l'imagination vient contester les formes et les pratiques instituées dans l'imaginaire collectif, propose de nouvelles formes de socialité. Ou encore, moment où la culture, autrefois pensée dans les marges du politique, devient un enjeu politique central. Car la reconnaissance de la pertinence des notions d'imaginaires, d'imagination, de mémoires et d'utopie, est revendiquée ici dans la mesure où le recours à ces notions répondrait à des transformations qui ont trait d'abord à la culture. La culture, dont les significations imaginaires sont la principale matière, pourrait bien représenter, en ce début de XXIe siècle, le lieu depuis lequel penser l'action politique. Et du côté du contre-pouvoir, imagination, utopie et mémoire sont peut-être les vecteurs indiqués de changement social, afin de résister aux effets néfastes d'un capitalisme de type nouveau. Au fil de ce parcours historique, le lecteur devrait être en mesure d'observer les contrastes entre le présent et le passé argentin, entre différentes modalités de résistance ou différents moteurs de changement social, du passé et du présent argentins. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Argentine, Imaginaire, Mémoire, Culture, Postmodernité.
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Le rôle politique de l'habiter : étude de cas des sans-toit de Sao Paulo

Décary-Secours, Benoit 06 1900 (has links) (PDF)
Au moment où la majorité des êtres humains habitent la ville, le phénomène d'urbanisation planétaire s'accompagne d'une métamorphose des espaces tant géographiques que sociaux. Tout en concentrant les centres de décision de la nouvelle économie de l'information, la ville globale attire paradoxalement certains secteurs paupérisés de la population dans des quartiers du centre, le tout s'inscrivant dans un climat de fragmentation sociale et de ségrégation urbaine des habitats. Ayant pour principale modalité d'action l'occupation d'immeubles abandonnés, les sans-toit représentent une certaine traduction des tensions sociales liées à l'habitat urbain. Au lieu d'étudier ce mouvement en tant qu'acteur protestataire, l'aborder à partir des récits de ses participants permet de cerner comment on vit l'habiter dans une ville globale. Pour ce faire, les sans-toit sont abordés à partir de la problématique des imaginaires sociaux. Au-delà de l'exigence de s'abriter des intempéries, la nécessité anthropologique d'habiter réfère à l'exigence de se situer au sein du territoire social pour assurer son existence politique. Face aux ensembles de significations que l'énonciateur mobilise pour témoigner de son habitation et de son vécu au sein de la ville, ce dernier s'approprie, filtre et retraduit certains imaginaires politiques de manière à se positionner dans l'espace social. Alors que certains positionnements peuvent accentuer la hiérarchisation des places attribuées par l'ordre social, l'existence politique, elle, relève du fait que d'autres positionnements permettent de brouiller ce même ordonnancement. Plutôt que d'advenir par une remise en question' radicale de l'ordre social, le politique apparaît de façon plus complexe, à partir d'une négociation entre divers principes de rangement. C'est face à l'inadéquation des imaginaires politiques disponibles pour témoigner de leur vécu qu'un positionnement social intermédiaire émerge à partir d'une négociation entre imaginaires politiques contradictoires. Les sans-toit en rendent compte alors qu'ils se situent sur la frontière même de l'habiter, c'est-à-dire entre un retour à la rue et l'acquisition d'un logement, mais aussi entre une défense de l'ordre social institué et la remise en question radicale de ce dernier. Un tel positionnement correspond à celui de l'« entre-deux »: tiraillé entre deux principes de rangement, nous en témoignons comme souffrance sans toutefois proposer de manière d'y remédier. Nous parvenons néanmoins à dégager de cette souffrance une expression politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mouvement des sans-toit, habiter, urbain, mouvements sociaux, politique, ville-globale, imaginaires sociaux, Sao Paulo, Brésil.
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Citoyenneté et identité nationale au Brésil : une remise en question du mythe de la démocratie raciale

Séguin, François 12 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche est une étude de cas qui cherche à comprendre le rôle des mythes nationaux dans la définition du nationalisme brésilien dans la période allant de l'élection du président Fernando Henrique Cardoso, en 1994, à la fin du premier mandat de Luis Inácio Lula da Silva en 2006. En partant de concepts théoriques tels les droits juridiques, la citoyenneté, le nationalisme et l'identité nationale, entre autres, ce travail cherche à analyser l'expérience brésilienne. Par le biais d'une recherche bibliographique multidisciplinaire, cette recherche analyse la citoyenneté brésilienne afin de démontrer comment les transformations produites au cours des dernières décennies ont transformé un des mythes fondateurs du nationalisme brésilien, le mythe de la démocratie raciale. L'hypothèse de ce mémoire suppose que durant le développement de l'espace citoyen dans les années 1980-1990, les acteurs au Brésil forgèrent un nouveau lien d'attachement à la nation et à son identité, tous deux en pleine transformation. L'analyse trouve que l'articulation d'une nouvelle citoyenneté qui reconnait l'identité des acteurs a mis en doute le mythe de la démocratie raciale sur lequel l'identité du pays s'appuie. Plus encore, la citoyenneté brésilienne a avancé au point d'être plus ouverte à des discussions plus profondes ayant un lien avec la participation à l'espace national et ont pu mettre de la pression sur le mythe de la démocratie raciale. Bien que le mythe n'existe plus comme idéologie officielle de l'État, elle existe encore sous une forme de « gros bon sens » dans l'esprit de la population, malgré le développement du pluralisme au Brésil. Cela a mis les représentations nationales au grand jour : comment réconcilier pluralisme malgré un retour du nationalisme brésilien? Le pluralisme social fait qu'il est difficile de définir l'identité nationale du Brésil précisément, puisqu'il n'y a pas un seul Brésil, mais plusieurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Brésil, démocratie raciale, droits, citoyenneté, identité nationale
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Le cas des assemblées de quartier du grand Buenos Aires : entre barbarie et civilisation, entre acteur et espace

Robert, Stéphanie January 2009 (has links) (PDF)
Dans un contexte de « crises » des démocraties contemporaines et de fractures entre les partis politiques et les « citoyens », cette recherche se penche sur le phénomène des assemblées de quartier du grand Buenos Aires. S'inspirant de la sociologie compréhensive de type « culture studies », cette étude questionne un mouvement « citoyen ». Ce parcours « narratif » à travers les imaginaires politiques argentins aura comme point d'ancrage la dichotomie constituante de la civilisation / barbarie cristallisée au moment de la construction de l'État-nation moderne (argentin). Cette dichotomie servait encore de repère entre le « eux » et le « nous » pour les assemblées de quartier. Celles-ci naquirent en force à la fin de 2001 avec une participation élevée et enthousiaste. Toutefois, en 2005, lors des observations et des entrevues semi dirigées conduites sur le terrain par l'étudiante, cette participation avait diminué au point de rendre le phénomène marginal et en voie de disparition. L'isolement des assemblées les unes envers les autres et envers le reste de la population nous porte à les considérer comme les tribus postmodernes décrites par Michel Maffesoli. Dans la foulée des réflexions sur les nouvelles formes démocratiques, nous nous posons la question suivante: comment surmonter les problèmes de la non-participation? Les assemblées survivantes semblent avoir trouvé une solution: se transformer en espace politique plutôt qu'en acteur politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Argentine, Démocratie participative, Assemblées de quartier, Maffesoli, Mouvements sociaux et altermondialistes.
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Pratiques politiques du mythe. La représentation officielle du fait colonial belge aux expositions universelles et internationales en Belgique (1897-1958)

Roger, Aurélie 11 December 2006 (has links) (PDF)
Ce travail interroge la manière dont le fait politique colonial belge a été donné à voir et saisi sur le mode mythique en Belgique à travers sa représentation officielle aux expositions universelles, entre 1897 et 1958. Il s'attache conjointement à la construction d'un cadre théorique général et d'une méthode d'appréhension du mythe politique en tant qu'objet de recherche. La première partie relève d'une reconstitution de la mythologie coloniale : elle procède à l'analyse diachronique de la symbolique des objets exposés au fil de la période, et dégage la structure du récit mythique déroulé dans les salles des palais coloniaux. La deuxième partie procède à une mise en perspective dynamique de ces éléments, en tentant de restituer le sens qu'a pu revêtir la pratique d'un tel récit mythique pour les agents en présence – pouvoir exposant et citoyens visiteurs. Nous mettons en évidence l'existence de transformations du récit mythique au cours du temps. Elles participent de manière patente de la légitimation du fait colonial, et plus largement du pouvoir. Mais leur caractère d'instrumentalisation politique est relativisé, tant en raison de l'irréflexivité partielle des modifications (le pouvoir tendant à être sujet du mythe à son tour) que des modalités variées de la croyance des assujettis au mythe, qui en aucun cas ne sauraient être réduites à une adhésion mécanique.
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Mythes et images du leader postcommuniste – Le cas roumain / Myths and images of the leader in postcommunism - The romanian case

Costelian, Mihaela Irène 11 February 2011 (has links)
L’avènement de la démocratie de type libérale a entraîné un reconditionnement des mythes et images du leader politique, en Roumanie. Les événements de 1989 ont entraîné un besoin endémique de créer une nouvelle scène et un véritable imagier des figures politiques roumaines. Cependant, la communication des leaders politiques postcommunistes est soumise à l’héritage de leur passé communiste et des traces laissée par Nicolae Ceausescu dans l’imaginaire collectif. Tributaire de ce lourd héritage, les leaders politiques roumains répondent à un mécanisme qui semble contradictoire au premier abord : ces leaders construisent le terrain politique de la Roumanie contemporaine en même temps qu’ils se construisent eux-mêmes. En cela, ils sont le produit d’une société dont ils semblent être, eux-mêmes, les architectes. Cette double participation à la vie du pays rend donc le cas des leaders politiques roumain très particulier. Toutefois, l’instrumentalisation des mythes et des images permet aux représentants politiques de forger l’archétype du leader démocrate roumain et contribuent à la construction d’un espace politique stable en Europe Centrale et Orientale. / In Romania, the rise of democracy has contributed to modifying political leaders’ myths and images. The 1989 events have led to the vital necessity of creating both a new political landscape and a new set of images attached to political leaders. However, political communication has been influenced and shaped by the Communist past of the current political leaders as well as by the image of Nicolae Ceausescu in collective memory. At first sight, such a heavy legacy seems to have had a contradictory influence on political leaders who have been constructing themselves while building Romania’s contemporary political area. They are both the products and architects of Romanian society. This dual involvement in the country’s life has placed them in a very complex situation. However, the instrumentation of myths and images has given them the possibility not only of building the archetype of Romania’s democratic leaders but also of creating a steady political environment in Central and Oriental Europe.

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