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"Je monstre un singe acoustré en damoiselle" : représentations et identités simiesques dans les polémiques religieuses en France (1542-1584)

Lafleur, Benoît 05 1900 (has links) (PDF)
La recherche sur le symbolisme animalier en Occident est un objet d'histoire à part entière que recouvre désormais le domaine pluridisciplinaire de la zoohistoire. Des études spécialisées montrent que diverses sources textuelles et iconographiques regorgent de nombreuses représentations simiesques, malgré le fait que cet animal soit peu présent physiquement sur le sol européen. Néanmoins, toutes les analyses de sources culturelles convergent en témoignant de manière très cohérente sur les multiples caractéristiques que l'homme occidental prête intrinsèquement à cet animal, mais dans un rapport diamétralement opposé à notre perception contemporaine de la figure simiesque, amusante et sympathique. En effet, de l'Antiquité jusqu'au milieu du XXe siècle, les représentations simiesques ont systématiquement une connotation péjorative. Ce mémoire de maîtrise porte sur la construction du mythe simiesque, sur sa présence symbolique itérative dans la culture et son utilisation dans la société. Une incursion dans le cadre spatio-temporel de la France au XVIe siècle, et en particulier dans un rapport historiographique étroit avec les guerres de Religion, s'avère être un terrain d'étude propice pour circonscrire de manière précise les concepts de représentation et d'identité en les appliquant aux échanges de la polémique religieuse entre les protestants et les catholiques. Durant cette période, la représentation simiesque sert d'arme symbolique et identitaire pour les polémistes religieux. Le but recherché est de discréditer l'autre en le représentant sous les traits animalisés du singe, qui endosse une multiplicité de rôles, allant de la figure d'inversion comique et carnavalesque du théâtre populaire à la figure diabolique et hérétique d'un théâtre infernal de la désolation. Les analyses démontrent une évolution diachronique dans l'utilisation de la représentation simiesque en France et qui suit sensiblement le même mouvement que celui des tensions politiques et sociales. En comparant les représentations conceptuelles du « singe religieux » produites par les polémistes des deux camps et sur un court demi-siècle, nous isolons un indicateur probant de l'histoire culturelle qui nous permet de mesurer et de suivre, avec d'autres manifestations symboliques connexes, l'évolution des changements socioculturels en cours dans l'histoire de la France. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire culturelle, France, Renaissance, Guerres de Religion, Zoohistoire, Symbolisme animalier, Singe, Animalisation, Polémique religieuse, Tradition, Mythes, Représentation, Identité.
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Entre mythe et corps : les quizilas dans le Candomblé du Brésil

Bassi, Francesca January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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"polonais, hongrois, deux frères" : la représentation des plus anciennes relations polono-hongroises dans l'historiographie du Moyen-Age à nos jours et la question des origines médiévales du mythe de l'amitié polono-hongroise.

Quéret-Podesta, Adrien 18 December 2010 (has links) (PDF)
La présente thèse de doctorat est consacrée au problème de la genèse du mythe de l'amitié polono-hongroise, très populaire dans ces deux pays depuis le XIXème siècle. L'un des éléments notables de ce mythe étant l'affirmation de son ancienneté, l'examen de la représentation du passé commun de la Pologne et de la Hongrie depuis leur naissance jusqu'à la fin du Xème siècle jusqu'au rapprochement entre Piasts et Anjous au quatorzième dans la production historiographique de ces deux pays et - dans une moindre mesure - de leurs voisins depuis l'an mil environ jusqu'à nos jours constitue donc l'un des principaux axes de recherche de la présente étude. Le second axe, qui lui est étroitement lié, concerne l'existence éventuelle de traces de l'idée d'amitié polono-hongroise avant l'époque contemporaine et plus particulièrement durant les premiers siècles de l'histoire de la Pologne et de la Hongrie. L'analyse de ces deux grandes thématiques permet d'établir la présence de références à une amitié polono-hongroise dans l'historiographie de ces deux pays dès les XIIème et XIIIème siècles, mais l'impact de ce phénomène demeure très limité - notamment en Hongrie et dans les pays tiers - jusqu'au XIXème siècle. Il convient par ailleurs de constater que si l'essor du mythe de l'amitié à cette période ne contient pas de référence directe aux précédents médiévaux, la célébration de cette amitié fait appel - en particulier dans le cadre officiel - à de nombreux personnages et évènements issus des premiers siècles de l'histoire de ces deux pays afin d'en prouver l'ancienneté et la solidité. L'existence de ce mécanisme de récupération permet donc d'affirmer qu'en dépit de la discontinuité caractéristique de l'histoire de la notion d'amitié polono-hongroise, la représentation des plus anciens contacts entre ces deux pays et la célébration de leur amitié sont très fortement liées et constituent respectivement le "réservoir" et le "moteur" d'une "machine à redessiner le passé commun" de la Pologne et de la Hongrie.
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Figuration du divin, figuration de soi : mythe et liturgie chez Mallarmé, George et Yeats

Mattiussi, Laurent 05 January 1996 (has links) (PDF)
Dans Offices, Mallarmé érige en modèle esthétique la figuration liturgique, dont les gestes stylisés indiquent l'invisible, ce "soi" qui est dieu et qui, se tenant en retrait au tréfonds de l'intimité humaine, ne peut être saisi dans les formes courantes de la rationalité et de la vie sociale, d'où la triple métaphore symboliste de la séparation : hermétisme, aristocratie, élection. Le geste liturgie du poème opère une soustraction : il retranche du réel un temps et un espace sacrés, cercle magique que sont l'ile de prose, la vitre des fenêtres ou chez Yeats une étreinte rêvée, métaphore d'un éden fictif où les choses sont restituées à leur virginité, ou se produit une idéalisation du monde qui permette sa superposition avec le ciel intérieur de l'âme. Dans cette fête qu'est le poème, le geste réactualise le jaillissement premier du monde, fait surgir une enfance fictive de la terre, annule les conséquences de la chute réinterprétée comme la distance qui sépare la réalité du rêve, ressaisit le soi originaire dans le mythe pour raviver symboliquement la banalité, il sacre et glorifie. l'idéalisation liturgie et poétique exige une double forme d'abstraction, dématérialisant et schématisant, éclairée à la lumière de la théorie kantienne du schème comme instrument de passage et de participation, dans les deux sens, du matériel au spirituel, du concret à l'abstrait, du visible, comme instrument de suggestion indirecte et de figuration mythique. Le geste poétique volatilise les êtres pour libérer une forme schématique, idéale, susceptible de coïncider avec les "rythmes essentiels" du soi, de sorte qu'advienne une correspondance symbolique entre le réel et ce que rêve en l'homme sa part métaphoriquement divine en tant que créative et récréative. Sont étudies chez les trois auteurs, dans cette perspective de l'abstraction mythique et liturgie suggérée par Mallarmé, plusieurs figures ainsi que deux schèmes essentiels de leur poésie : le schème baptismal et celui du néant irradiant, qui visent à produire une restauration de l'être sans sa splendeur originelle.
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Gènes et mythes littéraires : pour un modèle biologique du dynamisme mythique

Ghiasizarch, Abolghasem 14 January 2011 (has links) (PDF)
La présente recherche est une approche transdisciplinaire et pluridisciplinaire qui a pour objet principal, la réévaluation et la redéfinition du concept du mythe littéraire, en abordant la vision des sciences biologiques, plus précisément la génétique dont les instruments et concepts servent de notre point de vue à la reconfiguration des structures déjà classiques de l'imaginaire. Nous avons comme objectif de proposer une définition du mythe qui rend compte de son évolution dans les cultures, non pas une définition statique, immobile ; mais une définition qui suppose l'idée de l'évolution. Le biologiste anglais, Richard Dawkins, écrit en 1976 Le Gène égoïste, dans lequel il explique que "toute vie évolue en fonction des chances de survie des entités répliquées". Selon lui, le gène est la principale unité de sélection dans l'évolution. Dawkins invente aussi le concept de " mème " comme étant l'unité de l'évolution culturelle par analogie avec le gène. Donc, il estime qu'il y a un rapport très fort entre la génétique et la culture humaine, autrement dit, entre le monde physique, le cerveau humain et l'imaginaire. Claude Lévi-Strauss dans, Roger Caillois, Gilbert Durand et Richard Dawkins voyaient une liaison forte entre l'imaginaire et la biologie. Mais, leurs recherches n'aboutissent pas à présenter un modèle concret. Ce que nous essayerons de présenter dans notre recherche, est un nouveau parcours vers ce but avec le nouvel outil de la génétique. Nous étudions quelque domaine crucial de l'imaginaire tel que l'origine ou le Big Bang de l'imaginaire, la frontière dans l'imaginaire et le réel, le tableau des gènes littéraires et les codes des gènes littéraires. C'est une sorte de redécouverte de l'imaginaire basé sur le gène et mythe littéraire. Pour prouver notre point de vue, nous appliquons la méthode du repérage des gènes littéraires sur un récit. Cette recherche transdisciplinaire veut mettre en évidence que le mythe, comme il est défini par les mythologues, les ethnographes, les anthropologues etc., n'est pas seulement un phénomène culturel, religieux, historique, ou déterminé par les représentations littéraires, mais il est en fait, déterminé par les structures génétiques qui préparent l'homme à la propension et la compétence de raconter des " histoires "/ des " récits ".
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Images de Paris chez trois écrivains contemporains turcs : Demir Özlü, Nedim Gürsel, Enis Batur

Sevil Borbely, Ayça 29 January 2010 (has links) (PDF)
Le lien entre Paris et la Turquie remonte à l'ouverture des relations diplomatiques entre les deux pays au 17e siècle. Depuis lors, la culture, la langue et la littérature françaises occupent une place importante au sein de l'intelligentsia turque, première victime de l'instabilité que connaît le pays depuis 1960. Paris a ainsi joué le rôle de fenêtre sur l'Occident, conduisant des générations d'écrivains à cultiver le mythe de la Ville Lumière, cité de l'amour, des révolutions et des libertés. Le débat sur la place de la Turquie en Europe justifiait une étude approfondie des images de Paris dans la littérature turque contemporaine. Pour ce faire, il s'agissait de se pencher sur trois écrivains, qui œuvrent sous l'ombre de leur aîné, le précurseur Attilâ Ilhan, décédé en 2005. Demir Özlü, le solitaire nauséeux pour qui Paris reste un rêve inaccessible, Nedim Gürsel, l'amoureux prolixe qui en fit sa maîtresse, et Enis Batur, l'explorateur scientifique qui en scruta chacune des pierres, ont, chacun à leur façon, placé Paris au cœur de leur production littéraire, préservant ainsi la place particulière dont jouit la capitale française dans l'imaginaire turc. Au travers de leurs exils et errances, ils servent de pont entre une Turquie traditionnellement enracinée dans l'Orient et Paris, qui incarne un Occident tantôt flamboyant, tantôt décadent mais toujours obsessionnel. Le fait qu'ils soient constamment tiraillés entre deux langues, deux cultures et deux lieux, Paris d'une part et Istanbul et la Turquie d'autre part, les conduit à une lancinante et permanente quête de leur identité d'homme et d'écrivain.
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Les formes du temps dans l'œuvre d'Albert Cohen

Kouassi, Amenan Gisèle 10 June 2013 (has links) (PDF)
Les formes du temps chez Albert Cohen ont montré qu'il existe une interaction entre le temps chronologique romanesque et l'histoire écrite en filigrane l'ensemble des œuvres. Les différentes formes et modes d'expression du temps chez Cohen constituent le socle d'une écriture plurielle en contradiction avec son temps. L'œuvre de Cohen dépasse tous les clivages de la temporalité poétique, romanesque, lyrique, théâtrale, autobiographique, profane et sacrée pour atteindre une dimension universelle d'une construction du temps fondé sur la différence. Le récit a précisément pour rôle de permettre le décryptage du temps par l'homme à travers une expérience intime dont les différentes manifestations les plus fréquentes dans les romans cohéniens sont l'attente, la solitude, l'ennui et la mélancolie. Le moment intime est non seulement illimité mais il reste ouvert à plusieurs horizons ce qui permet d'ailleurs la cohabitation de multiples séquences spatio-temporelles. Avec l'Histoire, le temps admet deux réalités parallèles : une première, terrestre, à partir de laquelle l'homme commence à évaluer le temps chronologique et linéaire ; une seconde, mythique regroupant la première en lui donnant un ancrage dans le temps d'antan que l'écrivain régénère avec l'avènement d'un nouvel Adam.
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Les représentations collectives de l'événement-catastrophe : étude sociologique sur les peurs contemporaines

Vidal, Bertrand 07 December 2012 (has links) (PDF)
Lorsque les désastres et les catastrophes apparaissent comme des traits marquants de l'existence sociale et collective, notre vision/conception du monde, tant esthétique que cognitive, se voit interpellée, voire prise à défaut. Le monde contemporain est traversé par une crise de nos certitudes de maîtrise de la nature et de la société, crise paradoxale puisqu'elle s'enracine dans nos immenses pouvoirs de transformation, ceux-là mêmes qui entretenaient nos espoirs de progrès et dont les conséquences imprévues nourrissent aujourd'hui nos appréhensions et nos peurs collectives. A travers un regard sociologique, cette recherche interroge le poids des imaginaires sociaux sur la production de l'événement-catastrophe, et, en retour, l'influence de cette dernière sur les opinions, les attitudes et les comportements de prévention du danger et les représentations sociales de la sécurité. Construit sur un corpus d'une dizaine de catastrophe (de la tempête de décembre 1999 en Europe de l'Ouest à la catastrophe de Fukushima en 2011), et soutenu par un travail de terrain (presse, littérature, cinéma, jeux-vidéo mais aussi groupes de préparation aux désastres), ce travail fait apparaitre l'efficience de l'archétypologie durandienne et dévoile de la réactivation d'anciens mythes et l'apparition de nouveaux récits dans le complexe sociétal, introduisant alors une idée neuve en Occident : notre époque est fascinée par sa puissance mais aussi terrifiée par un avenir dans lequel elle ne sait plus lire que des promesses de déclin.
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Jean Giono : chemins mythiques vers la découverte de soi

Atiah, Sonia 18 June 2013 (has links) (PDF)
Le but de cette étude est de suivre le chemin de la reprise du mythe dans l'oeuvre de Giono. Le monde antique reste pour Giono une donnée permanente et imprescriptible de la condition humaine. Reprendre un mythe c'est souvent pour refaire de son héros un autre Moi, identique ou opposé. L'univers mythique de Giono, tel qu'il est représenté dans ses oeuvres, relève bien sûr de son imagination psychologique et de l'envie de se trouver un chemin qui conduit à la découverte de Soi. Etre Soi ou être un Autre, voilà la question fondamentale de la littérature contemporaine qui prend toute son ampleur chez les écrivains d'après-guerre. Giono, dans le cours de son existence réelle, a inventé son mythe de l'écrivain à travers le " portrait de l'artiste par lui-même ". C'est en devenant Ulysse ou Noé qu'il est enfin le plus authentiquement lui-même, en commençant par les autoportraits notamment Pour saluer Melville, ensuite l'autobiographie de Jeunesse dans Jean le Bleu.
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Zwischen Märchen und Mythos die Abenteuer des Odysseus und andere Geschichten von Homer bis Walter Benjamin : eine gattungstheoretische Studie /

Renger, Almut-Barbara. January 2006 (has links)
Thesis (doctoral)--Universität, Heidelberg, 2000. / Includes bibliographical references (p. 389-417) and index.

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