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La nécropole de l’Antiquité tardive du site d’El-Deir dans l’oasis égyptienne de Kharga : étude des pratiques funéraires coptes / The Late Antique necropolis on the site of El-Deir in the Egyptian oasis of Khargeh : study of the Coptic funerary practices

Coudert, Magali 07 February 2015 (has links)
L’étude de la nécropole ouest du site d’El-Deir dans l’oasis égyptienne de Kharga participe à mieux appréhender la connaissance des pratiques funéraires de l’Antiquité tardive en Égypte, dans les premiers temps du christianisme. Les résultats de cette recherche constituent un prisme intéressant pour découvrir la communauté chrétienne qui vivait à El-Deir, dans le nord de l’oasis, là où précisément la présence d’une importante population chrétienne est attestée dès le IVe siècle ap. J.-C.par les nombreux vestiges archéologiques et les sources textuelles. La morphologie des 150 tombes, leur orientation, l’étude des corps - souvent momifiés –et du mobilier funéraire, ont été comparées avec celles d’autres nécropoles égyptiennes datées de la fin de la période romaine et du début de l’époque byzantine, soit du IVe à la fin du VIe siècle ap. J.-C. Cette confrontation des données a permis de dégager plusieurs critères qui semblent permettre l’identification d’une nécropole chrétienne. Les pratiques funéraires mises en place par les premiers chrétiens associent ainsi des éléments hérités de leurs ancêtres, qui existaient déjà dans les nécropoles traditionnelles et des éléments liés à la croyance nouvelle en la religion chrétienne.Parallèlement, les études pluridisciplinaires menées à El-Deir amènent à découvrir la vie quotidienne des chrétiens vivant sur le site à la fin de l’Antiquité. L’environnement dans lequel cette population évoluait, les cultures qu’elle développait, ses activités professionnelles et artisanales, les maux dont les individus souffraient et les liens de cette communauté avec l’extérieur commencent ainsi à nous être révélés. / Study of the west necropolis at the El-Deir site in the Egyptian oasis of Khargeh helps to acquire a better understanding of the knowledge of Egyptian funerary practicesin the Late Antiquity / Late Antique period, in the first ages of Christianity. The results of this research constitute an interesting prism through which to discover the Christian community that lived at El-Deir, in the north of the oasis, in the precise location where the presence of an important Christian population is attested from the 4th centuryvia numerous archaeological remains and textual sources. The morphology of the 150 tombs, their orientation, studies of the bodies – often mummified – and the grave goods have all been compared with those of some other Egyptian necropolises dating from the late Roman period to the early Byzantine period, namely from the 4th to the late 6thcentury. This confrontation of data has brought forth several criteriathat seem to allow identification of a Christian necropolis. The funerary practices established by the first Christians thus combine elements inherited from their ancestors that already existed in the traditional necropolises and elements related to the new belief in the Christian religion. In parallel, multidisciplinary studies conducted at El-Deir lead us to discover the daily life of Christians who lived on the site in the Late Antiquity. The environment in which this population progressed, the cultures it developed, its professional and hand-crafted activities, the pains endured by its members and the links between this community and the exterior thus start to be revealed.
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Sura, une ville sur la moyenne vallée de l'Euphrate de l'époque romaine au début de l'époque omeyyade (Ier-VIIIe s.) / Sura, a city in the middle Euphrates valley, from Roman times to the beginning of the Umayyad period (1st-8th cent.)

Othman, Ali 06 December 2018 (has links)
Une monographie sur la ville antique de Sura s’imposait pour mettre l’accent sur un site-clef, peu étudié, parmi les villes fortifiées du Moyen-Euphrate. L’objectif de ce travail est d’en offrir une description et une analyse poussées et d’élargir le champ des recherches à l’ensemble de la région. À 22 km à l’ouest de Raqqa et à 29 km au nord de Resafa, à l’emplacement du village moderne d’«el-Hammam», Sura (autrefois «Souriya») domine la rive droite de l’Euphrate. Le site est une agglomération fortifiée de forme rectangulaire (76,5 ha) divisée en deux parties, enceinte nord-est et enceinte sud-ouest. Nous présentons Sura de l’époque romaine jusqu’au début de l’époque omeyyade (Ier-VIIIe s.), d’après les résultats de nos recherches qui, entre 2003 et 2011, se sont concentrées sur trois pôles : fortifications, structures domestiques et édifices civils (fouilles intra-muros), nécropole(fouilles extra-muros). Nous étudions ensuite sa culture matérielle à travers le mobilier archéologique et les éléments architecturaux issus des fouilles. Les résultats de ces recherches doivent enrichir le dossier des sites de référence de l’Antiquité tardive pour la région de l’Euphrate et de la Syrie du Nord, en offrant une base de comparaison de premier ordre pour l’architecture civile et funéraire et, surtout, pour le matériel céramique, le verre, les inscriptions. Occupant une position géographique stratégique, Sura fut florissante pendant l’époque romaine et byzantine, jusqu’à la conquête arabe de la région en 639-640, qui scella son déclin – contrairement aux autres villes de l’Euphrate –, puis elle ne fut plus occupée que par des chrétiens locaux, dans des habitats modestes. / A monograph about the ancient city of Sura was necessary in order to bring to light a site little studied so far, in spite of its key importance among the Middle Euphrates fortified towns. The present work aims at offering a thorough description and analysis of it, while broadening the scope of comparison to its larger region. Sura(previously “Suriya”) is situated 22 km west of Raqqa and 29 km north of Resafa, on the location where nowadays stands the village of “el-Hammam”, overlooking the right bank of the river Euphrates. The site, a fortified agglomeration of rectangular shape (76,5 ha), is divided into two parts, the northeast and the southwest enclosures. We present Sura from Roman times until the beginning of the Umayyad period (1st-8th cent.), through the results of our researches, which, from 2003 to 2011, have been focusing, intra-muros, on its fortifications, on its domestic and public structures, and, extra-muros, on its necropolis, then through its material culture, that is, thesmall finds and architectural elements. Such a research should contribute to enhancing the extant knowledge about Late Antiquity in the Euphrates region and North Syria, by bringing forth an additional reference site, especially for civil and funerary architecture and, above all, pottery, glass, and inscriptions. The floruit of Sura, set in a strategic location, lasted from the Roman through Byzantine times, until the Arab conquest of the region, in 639-640, threw it into oblivion – a fate not shared by other cities on the Euphrates. Afterwards, only local Christians maintained some modest settlement there.
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Entre oenotres et romains : la mesogaia lucanienne de la fin du Ve au IIIe siècle av. J.-C. : la documentation archeologique de S. Brancato di Sant'Arcangelo (Fouilles 1980-2004) / Between enotrians and romans : the lucanian mesogaia from the end of the 5th to the 3rd century BC : the archaeological documentation of S. Brancato di Sant'Arcangelo (Excavations 1980-2004)

Mandic, Josipa 29 January 2018 (has links)
Les preuves archéologiques, découvertes entre 1980 et 2004 lors des fouilles dans la ville de Sant'Arcangelo (Potenza, Basilicate- Italie), sont concentrées dans le quartier nouvellement construit de San Brancato, situé à environ 280 m au-dessus du niveau de la mer sur la terrasse inférieure de la colline qui domine la vaste vallée de la rivière Agri. Les fouilles ont découvert, dans la partie orientale de la terrasse, les traces de l’ établissement et, vers l'ouest, les zones de la nécropole qui compte plus de 500 de l'époque lucanienne, que sont l’ objet de cette recherche. Ce grand nombre de sépultures et leurs riches mobiliers montrent que cette nécropole devait être liée à un important établissement qui a été formé au moment de la «crise», lorsque les centres enotriens disparaissent. Ce projet de recherche proposait de réunir toutes les données issues de l’analyse de la documentation d’archive réalisée lors des campagnes de fouilles des contextes archéologiques de San Brancato entre 1980 et 2004, relatives à la période située entre la fin du Ve et le IIIe s. av. J.-C. En ce qui concerne la nécropole, nous avons proposé de confronter toutes les données du mobilier funéraire déjà étudié et intégral, dans ce travail, avec le mobilier restauré restant des tombes non publiées et autant que possible, avec certains non restaurés. À travers la documentation de fouilles et cartographique, nous avons en outre aussi proposé d’identifier précisément les points exacts où a été découvert le matériel inédit relatif à d’autres types de contextes (structures, fosses et un four), aujourd’hui conservé au Musée Archéologique National de la Siritide à Policoro, qui est actuellement le seul témoignage d’un établissement plusieurs fois cité dans les publications . À travers l'étude topographique et l'analyse de la culture matérielle, des rituels et des pratiques funéraires, nous avons cherché à comprendre la communauté qui a vécu dans ce établissement, encore peu exploré, et nous avons eu pour but de fournir un cadre détaillé de la situation historico-archéologique de San Brancato en rapport avec les autres centres de la Lucanie antique. / Archaeological evidence, brought to light between 1980 and 2004 during the excavations in the town of Sant’Arcangelo (Potenza, Basilicata- Italy) are concentrated in the newly built district of San Brancato, located about 280 m above sea level on the lower terrace of the hill that dominates the wide valley of the Agri river. The excavations discovered, in the eastern part of the terrace, traces of the settlement and, toward west, the necropolis areas that counts about 600 burials: 60 are related to the Iron Age and more than 500 dating from the Lucanian period, which is the object of this research. This large number of burials and their rich grave goods shows that this necropolis was to be linked to an important settlement that was formed at the time of "crisis", when the Enotrian centers disappear, such as the nearby site Alianello located on the opposite bank of the Agri river. The aim of this research was to gather all the data obtained from the analysis of the archive documentation carried out during the excavation campaigns of the archaeological contexts of San Brancato dated between the end of the 5th and the 3rd century. B.C. For the necropolis, all the data of the already published grave goods were confronted and integrated with the remaining unpublished tombs. Through the excavation and cartographic documentation, we have also proposed to precisely identify the exact points where all the unpubblished material, now hosted at the National Archaeological Museum of Siritide in Policoro and related to other types of contexts - currently the only testimonies of an settlement that has been quoted several times in the publications- were discovered. Through the topographic study and analysis of funerary rituals, burial practices and material culture, we aimed to understand the community that lived in this settlement, still little explored, and we aimed to provide a detailed framework of the historicalarchaeological situation of San Brancato in relation to the other centers of ancient Lucania.
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Les « modèles » égyptiens en bois : matériau, fabrication, diffusion, de la fin de l’Ancien à la fin du Moyen Empire (env. 2350-1630 av. J.-C) / Egyptian Wooden Models : materials, manufacturing, spread, from the End of the Old Kingdom to the End of the Middle Kingdom (circ. 2350-1630 BC)

Eschenbrenner-Diemer, Gersande 20 December 2013 (has links)
Le premier volume est consacré à l’analyse des matériaux et des techniques utilisées pour la fabrication des « modèles » funéraires, c’est-à-dire, les maquettes en bois représentant des personnages ou des scènes de la vie quotidienne, typiques du mobilier funéraire des élites entre la fin de l’Ancien et la fin du Moyen Empire (env. 2350-1630 av. J.-C.). Dans une première partie, axée sur le matériel provenant des sites de Saqqâra, Assiout et Meir, les traits stylistiques et techniques ont été examinés afin de définir des groupes d’objets et identifier des ateliers de production. Des critères de datation ont ensuite été définis et comparés aux autres pièces du mobilier funéraire découverts dans les sépultures étudiées. Suivant un déroulé chronologique depuis la fin de l’Ancien Empire, la deuxième partie se concentre sur les ateliers de fabrication et les contacts interrégionaux. Une attention particulière est portée au rapport qui unit pouvoir royal, élites et artisans au travers de l’envoi d’équipements funéraires et plus particulièrement des modèles en bois découverts de la région memphite à la Haute-Égypte. La troisième partie s’intéresse aux fonctions sociales, économiques et religieuses des modèles et examine plus particulièrement le rapport étroit qui unit ce mobilier et les pratiques funéraires entre la fin de l’Ancien et la fin du Moyen Empire. Le deuxième volume présente le corpus des modèles en bois examinés. Un troisième volume est consacré aux annexes.L’examen des modèles en bois, significatif de profonds changements politiques et religieux à l’origine de nouvelles coutumes et croyances funéraires entre la VIème et la XIIIème dynastie, précise le contexte géographique, historique et social associé à la fabrication et à l’utilisation de ce mobilier et permet d’affiner la perception du rapport entre artisans et pouvoir, rapport omniprésent dans la société égyptienne antique dès la période prédynastique. / The first part focuses on material analysis and process use for the manufacturing of funerary “models”. These wooden objects represent people or everyday scenes of life, used by Egyptian elites for funeral furniture between the end of the Old Kingdom to the end of the Middle Kingdom (cir. 2350-1630 BC). In a first part, focused on objects from Saqqara, Assiut and Meir, the stylistic and technical features were examined to define groups of objects and workshops. Then, dating criteria were defined and compared with the funeral furniture discovered in the studied graves. According to one unwound chronological since the end of the Old Kingdom, the second part concentrates on workshops and interregional contacts. A particular attention is worn in the relationship between royal power, elites and craftsmen through the sending of funeral equipment and more particularly bare wooden models of the Memphite area to the Upper Egypt. The third part is interested in the social, economic and religious functions of the models and examines more particularly the narrow relationship which unites this furniture and the funeral practices between the end of the Old Kingdom to the end of the Middle Kingdom. The second volume presents the corpus of the examined wooden models. The third volume is dedicated to appendices. The examination of wooden models, significant of political and religious deep changes at the origin of new customs and funeral faiths between the VIth and the XIIIth dynasty, specifies the geographical, historic and social context associated with the manufacturing. The analysis of these objects allows refining the perception of the relationship between craftsmen and power, omnipresent in the Egyptian society from the Predynastic period.
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Dis au potier qu'il me fasse un kôtôn: archéologie et céramique de l'Antiquité tardive à nos jours dans la TT29 à Cheikh Abd el-Gourna, Egypte

Bavay, Laurent 12 February 2008 (has links)
Depuis 1999, le Centre de recherches archéologiques de l'Université libre de Bruxelles a entrepris l'étude de la tombe thébaine numéro 29 à Cheikh Abd el-Gourna, construite pour le vizir et maire de la ville Aménémopé sous le règne d'Amenhotep II (vers 1425-1401 av. J.-C.). La fouille du monument, sous la direction du Professeur Roland Tefnin, a été menée suivant deux axes de recherches. Le premier, dans une perspective synchronique, visait à étudier les aménagements et le fonctionnement d'origine de la tombe, sous la 18e dynastie. Le second, dans une perspective diachronique, visait à reconstituer l'histoire du monument et de ses occupations successives jusqu'à l'intervention de la mission. La thèse porte sur les résultats de cette seconde approche, et plus particulièrement sur l'analyse des occupations de l'antiquité tardive et post-antiques. Celles-ci se distinguent par une affectation de l'espace différente de sa fonction d'origine :la tombe n'est plus utilisée comme lieu de sépulture et de culte funéraire mais comme habitation. La fouille a ainsi livré les vestiges d'une installation érémitique datée des VIIe et VIIIe siècles de notre ère, associés à un matériel archéologique et épigraphique particulièrement abondant, ainsi que les ruines d'une maison villageoise construite durant la seconde moitié du XIXe siècle. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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