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Le perspectivisme dans la pensée de Nietzsche

Dubois, Steve January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Nietzsche on becoming a self worth being

Shanske, Darien. January 1997 (has links)
No description available.
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Le nihilisme nietzschéen dans la philosophie de la religion de Nishitani Keiji /

Gingras, Gisèle January 1993 (has links)
No description available.
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L'analyse du nihilisme chez Nietzsche

Larivière, Jean 12 April 2018 (has links)
La question des valeurs et de la culture est au centre de l'œuvre de Nietzsche. Plus qu'un simple moraliste dont la tâche consiste à dépeindre les mœurs d'une époque, l'entreprise nietzschéenne s'engage à des considérations sur la valeur de ces valeurs et à leurs expressions dans la culture à travers l'histoire de l'Occident. C'est dans ce contexte que la thématique du nihilisme apparaît comme une figure essentielle à la compréhension de son œuvre. Une réflexion fondamentale habite toute l'œuvre de Nietzsche, quelles que soient les thématiques interrogées : le nihilisme est le mouvement historique qui détermine le déploiement de la culture occidentale. Cet enjeu nietzschéen trouve son origine dans cette question que Nietzsche lui-même formule dans La généalogie de la morale, à savoir : « D'où vient notre aversion pour l'homme ?» En effet, s'interroge Nietzsche, comment peut-il advenir que l'homme perde foi en sa propre valeur ? Ce mémoire se présente comme une tentative de comprendre le sens du nihilisme chez Nietzsche et les concepts qu'il englobe. Si le nihilisme signifie avant tout « que les valeurs se déprécient », ce concept polyphonique apparaît donc, non comme une « cause », mais comme « la logique de la décadence » elle-même. Or, on retrouve bien un parcours historique et une « logique » - philosophique, religieuse et morale - qui préside à cette aversion de l'homme par l'homme. Bien que l'histoire du nihilisme soit traversée et jalonnée par des idéaux aussi différents qu'éloignés dans le temps, il reste qu'ils suivent néanmoins un « destin commun » et une trame déterminée : la perspective nihiliste qui préside à leur enchaînement. Ainsi, métaphysique rédemptrice et morale consolante se sont données la main en tentant de travestir l'homme sous le masque de l'Idéal et des idoles, véritable négation édictée de l'existence. Nous avons semé les conditions de possibilité du nihilisme dans la façon même de déterminer nos valeurs et de s'y rapporter : valeurs suprêmes. De fait, dès l'origine, nous nous sommes fourvoyés dans la manière même de poser le problème de l'être et de la valeur. De sorte que le jeu des concepts structurant la métaphysique est toujours à l'œuvre dans le déploiement du nihilisme radical. Car si dans l'effondrement de la fable métaphysique apparaît la figure du nihiliste se réclamant du sentiment du délétère et de la vacuité de l'être, c'est que celui-ci reste à son insu prisonnier de la métaphysique de la Présence. Sa plainte exprime sa nostalgie de l'être et persiste comme conséquence d'un espoir déçu, d'une Présence manquante. Or, c'est de la décadence et des forces réactives qu'elles suscitent que surgit le nihilisme. La décadence est d'abord l'expression du ressentiment et de la volonté de vengeance qui met en accusation, par pure calomnie, le monde réel en prétendant lui substituer un « monde-vérité ». Mais la volonté de vérité devait tôt ou tard mettre à mal la métaphysique occidentale en y dévoilant la fumisterie qui s'y cachait. Suivant ce « mouvement décadentiste », la « mort de Dieu » se présentera, ensuite, comme le moment de grande désillusion. Par celle-ci, s'effrite la métaphysique et cet écroulement entraîne la destruction des idéaux, valeurs et des fins supra-sensibles dont elle était solidaire. Cette logique du ressentiment aboutit, lorsque disparaissent à jamais les Idéaux que l'on croyait éternels, à une récrimination de l'existence : à l'affirmation du néant. Le néant serait alors préférable à l'être. Néanmoins, le nihilisme est en lui-même libérateur. Celui-ci marque le passage à une « autre histoire », à une autre « humanité ». Il serait avant tout le tremplin vers des univers de sens inconnus et remplis de promesses. Mais cette crise nihiliste devra subir ses métamorphoses et l'homme traverser ses déserts où pessimisme, désillusion, tentative de récupération humaniste du contenu de la métaphysique surannée, passivité anesthésiante et destruction marquent autant d'heures inéluctables à franchir. Nous assistons alors aux temps des nihilismes dont le dernier homme marque la figure par excellence. Cependant, le déclin qu'entraîne la « mort de Dieu » laisse transparaître le travail nouveau d'une force de transformation à l'œuvre. C'est ainsi que les « forces réactives », se transformeront en « force active ». Car par-delà tout ressentiment, nausée et haine de l'existence, la vie pourra se laisser décliner tout autrement puisque la mort de Dieu appelle et oblige nécessairement une transmutation complète des valeurs, c'est-à-dire l'avènement même d'un nouveau principe d'évaluation des valeurs qui ne trouve sa « mesure » qu'à travers la volonté de puissance. Le dernier homme deviendra alors « l'homme qui veut périr » et laissera place à une affirmation supérieure, à la renaissance du divin de l'existence.
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La pensée de l'éternel retour dans la philosophie de Nietzsche

Picard, Claude 23 February 2022 (has links)
Le manque d'intérêt porté aujourd'hui à la pensée de l'Éternel Retour, va de pair avec le rejet occidental de toutes les valeurs devant servir la vie. En nommant "la vie", nous entrons cependant déjà au coeur de la pensée de Nietzsche. Cette pensée se systématise en fait en trois moments précis : Vie, Volonté de Puissance, et Étemel Retour de l'identique. Nous entendons respecter l'évolution de la pensée de notre auteur à l'intérieur de ces trois moments qui se renvoient l'un à l'autre et prennent ainsi toute leur cohérence. Le nihilisme, l'art, la création, le tragique, le mythe, la culture grecque, la théorie de la connaissance et du vrai, la causalité et la finalité, le platonisme, le christianisme, Dieu, le Surhomme sont autant de thèmes de la pensée nietzschéenne qui conduiront notre réf1e1ion. Nous insisterons enfin sur les positions de trois commentateurs: Heidegger, Fink et Jaspers.
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Perspectivisme et herméneutique chez Nietzche

Daneau, Patrick 03 January 2022 (has links)
Il s'agit de démontrer, dans cette thèse, l’apport fondamental de Nietzsche dans la constitution de la philosophie herméneutique. En parcourant son œuvre et en considérant ses nombreux interprètes, on constate une variation sur le thème de l'interprétation. Nous suggérons que le dessein réel de l'entreprise nietzschéenne est herméneutique, en ce sens qu'il traduit une expérience du monde dont le but est de dévoiler un interpréter, un comprendre. Loin de plonger dans un relativisme insurmontable, que Nietzsche aurait contribué à créer en postulant le perspectivisme et en célébrant la mort de Dieu, notre auteur est à l'origine d'une nouvelle définition de l'herméneutique, que nous nommons dans cette thèse Hermeneutik des Lebens. Cette herméneutique proprement nietzschéenne, à l'instar de toute sa pensée, renverse les principes traditionnels de la philosophie en propulsant la volonté au centre de la réflexion herméneutique. Plus qu’une théorie de l'interprétation, qui ne prendrait en compte que l'horizon des textes, ne laissant à l'interprétation qu’une fonction heuristique, l'herméneutique de Nietzsche constitue une réelle alternative: si nous prenons comme point de départ que c’est le but même de l'herméneutique de dépasser la simple critique et l'interprétation des textes, et de viser à constituer une théorie générale de l'interprétation, alors l'inspiration de Nietzsche à sa portée majeure.
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Nietzsche et l'interprétation comme évaluation

Fortin, Urgel 12 November 2021 (has links)
L'interprétation, le concept le plus général de la philosophie, n'est plus une tendance interprétative chez Nietzsche. À partir des Fragments posthumes, l'hypothèse suivante se vérifie: les volontés de puissance évaluent en interprétant, atteignent et rejoignent non seulement l'humain, mais tout ce qui arrive. Elles n'existent pas isolément et ne se réduisent nullement à l'Interprétation. Voici le plan : l'exposition des commentateurs nietzschéens et les enjeux respectifs, les conséquences de l'évaluation sur l'interprétation, les implications de l'inversion de la sémiotique pulsionnelle et les fins et les buts de la stratégie nietzschéenne sur le texte, l'interprétation et la philologie.
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L'évolution des valeurs de soin humain : une analyse dialectique de la proposition d'humanisation de Watson à la lumière d'une perspective nietzschéenne

Krol, Pawel 20 April 2018 (has links)
La pratique du soin infirmier d’aujourd’hui hérite d’une longue et complexe évolution de valeurs. Outre les valeurs traditionnellement humaines de soigner, la pratique infirmière d’aujourd’hui intègre aussi des valeurs qui façonnent notre monde moderne. Ainsi, nous retraçons d’abord l’évolution de quelques-unes des valeurs traditionnelles rattachées au soin humain conservées dans les pratiques infirmières. Puis, nous montrons que certaines valeurs traditionnelles de soin humain sont progressivement supprimées au profit de valeurs qui émanent des idéologies modernes. En effet, il apparaît que plusieurs valeurs néolibérales, technocrates et bureaucrates s’enracinent à même les fondements de la pratique infirmière et entrainent ainsi des problèmes inquiétants de déshumanisation et d’instrumentalisation des services sanitaires. Face à ce constat inquiétant, et parmi l'éventail de solutions proposées, certains auteurs promeuvent l’humanisation des systèmes sanitaires à l’aide de la théorie du soin humain – TSHW de Jean Watson (1979 - 2013). Cette théorie propose de pallier à l’instrumentalisation par deux propositions : l’adoption d’une pensée métaphysique transcendantale de même qu’un humanisme altruiste. Or, plusieurs critiques interrogent la cohérence théorique de ces propositions, voire la légitimité même de cette théorie pour faire face à l’instrumentalisation. Considérant tous ces faits, nous avons analysé ces deux propositions afin de clarifier les débats, de contribuer à son développement éventuel, mais surtout pour tester ces affirmations et proposer d’éventuelles voies de solution. Cependant, la mise à l’épreuve dialectique des deux propositions (opposant les discours de la TSHW à plusieurs concepts nietzschéens) montre des écueils de cohérence et de pertinence importants conduisant à la réfutation du projet d’humanisation inscrit à même cette théorie. Plus spécifiquement, nous montrons que la TSHW peut paradoxalement contribuer à perpétuer le dualisme et le nihilisme conduisant à la conversion inéluctable aux discours et valeurs instrumentales au lieu de freiner leurs envahissements de la pensée et de la pratique infirmière. Enfin, nous recommandons une voie alternative à l’instrumentalisation – dans une éthique de la Vie - qui découle de la synthèse de nos dialectiques et qui favorise un retour-à, et un respect de la nature même de l’être humain. Mots clé : Humanisme, métaphysique, soin humain, Jean Watson, Friedrich Nietzsche, nihilisme, ressentiment. / Nursing today is heir to values that have developed over many years. In addition to the values of human care, present-day nursing embraces values that shape our modern world. This dialectical study first traces the evolution of a number of the traditional values associated with human care that nursing has retained. It goes on to show how some of the values of human care have been cast aside in favour of modern—neoliberal, technocratic and bureaucratic—values which have in turn given rise to disturbing problems of instrumentalization. Watson’s theory of caring proposes two ways to remedy such instrumentalization: espousing a transcendental, metaphysical mode of thought and adopting an altruistic humanism. However, many critics have questioned the theoretical consistency and very legitimacy of the theory as a means of dealing with instrumentalization. This study analyzes Watson’s proposals, using a Nietzschean dialectic approach to test them and to suggest possible solutions. Significant problems in terms of both consistency and relevance are brought to light, tending to refute Watson’s notions. More particularly, our findings suggest that the application of Watson’s theory may paradoxically perpetuate dualism and nihilism and, rather than curb their invasive impact, lead inevitably to a conversion to instrumental values. In conclusion, we suggest an alternative, ethics-of-life approach based on the synthesis of our dialectics that would foster a return to, and respect for, humanity’s essential nature. Keywords : Humanism, metaphysics, human care, Jean Watson, Friedrich Nietzsche, nihilism, Ressentiment.
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Nietzsche : majestueux petit silène socratique ou Socrate éducateur de Nietzsche / Socrate éducateur de Nietzsche

Bergeron, Jean-François 16 April 2018 (has links)
Socrate, incontestablement, est la figure par excellence du philosophe. Le récuser, c'est renier l'amour de la sagesse et tout ce qu'il y a de meilleur chez l'Homme. Or, ce spectre socratique, toujours en quête de quelque jeunesse à corrompre, a profondément séduit, troublé et offensé Friedrich Nietzsche. En réalité, le ver socratique serait si vivement ancré au sein de l'oeuvre et de l'existence du philosophe allemand que toute compréhension de ce dernier passerait inéluctablement par un retour au vieux silène athénien. Embrasser Nietzsche, c'est comprendre à nouveau Socrate, les enseignements de celui-ci. D'ailleurs, nous présentons ici, à l'aulne du thème crucial de l'éducation, pourquoi Nietzsche rejeta Socrate tout en se révélant son plus grand amant, pour ainsi dire. Notre préoccupation centrale est la problématique du philosophe idéal ou, pour résumer d'un coup toute notre pensée, de l'Homme idéal, étoile polaire de toute démarche éducative, de toute tentative d'élévation, de civilisation.
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La volonté chez Schopenhauer et Nietzsche

Jomphe, Simon 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire vise à comparer le concept schopenhauerien de « volonté de vivre » au concept nietzschéen de « volonté de puissance ». En les analysant sous différents angles, nous cherchons à montrer que le rapport entre les deux est complexe, qu’il change selon les perspectives et qu’il ne se résume pas à un problème particulier, notamment celui de la chose en soi. La volonté de vivre et la volonté de puissance, montrons-nous, se distinguent l’une de l’autre sous bien des aspects, mais elles ne conservent pas moins un visage extrêmement similaire sur plusieurs sujets et sont les interprétations d’une seule et même réalité, celle du corps comme passion et comme instinct. Il en ressortira que malgré toutes ses critiques et prises de distance, parfois très fortes, Nietzsche, sur le problème de la volonté, est toujours demeuré un hériter de Schopenhauer – un héritier, cependant, qui ne voulait pas l’être.

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