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Adèle encore une fois, roman ; : suivi de Relations fraternelles et quête identitaire dans trois romans québécois contemporains : L'enfant migrateur (Aude), Après la nuit rouge (Christiane Frenette), Les yeux bleus de Mistassini (Jacques Poulin)

Forgues, Valérie 17 April 2018 (has links)
Section création : Adèle encore une fois En lisant le journal, Charlotte apprend le décès de son amie, avec qui elle n'a plus de lien depuis deux ans. Elle se remémore une journée d'automne qu'elles ont passée ensemble. Afin d'échapper à une matinée désastreuse - rendez-vous raté avec son directeur de maîtrise pour Adèle, puissant coup de déprime pour Charlotte - les deux femmes se retrouvent en ville. De rues en rues, de lieux en lieux, elles se racontent, se rapprochent, s'éloignent. L'arrivée surprise de Laurent, l'homme qu'elles aiment, au bistro où elles prennent un dernier verre, vient à la fois brouiller leurs sentiments et révéler un peu plus qui elles sont vraiment. Section réflexion critique : Relations fraternelles et quête identitaire dans trois romans québécois contemporains: L'enfant migrateur (Aude. 1998), Les Yeux bleus de Mistassini (Jacques Poulin, 2002). Après la nuit rouge (Christiane Frenette, 2005). À l'intérieur des trois romans à l'étude, j'ai pu observer la répétition du schéma suivant : le personnage vit une relation fraternelle problématique, par exemple un sentiment amoureux ou fusionnel, du désir physique, de la haine, du rejet ou encore de la dépendance. C'est au contact d'une personne extérieure à son cercle familial, mais pouvant jouer le rôle d'un parent, que le personnage en conflit se forge et découvre sa propre identité. Dans chacun des romans, cette découverte identitaire prend forme à travers une activité créatrice ou un métier lié à la création : écriture, dessin, peinture, jeu théâtral. Ce schéma s'illustre également à l'intérieur de mon roman, d'où l'intérêt de creuser dans ces relations et de chercher à savoir quel sens je peux leur donner.
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Les fêtes nouvelles. Enquête sur les idéaux de la société ouverte et leur mise en scène : Paris 1981-2014 / The new public celebrations. Inquiry into the ideals of the open society and their staging : Paris 1981-2014

Karakostaki, Charitini 24 March 2018 (has links)
La présente thèse porte sur la mise en place des nouvelles manifestations festives en France, et plus particulièrement à Paris, depuis les années 80. Ces fêtes marquent un déplacement par rapport aux fêtes « traditionnelles » qui étaient en grande partie organisées autour des concepts de sacré et de nation. Nourri par une observation ethnographique de plusieurs années, ce travail met en évidence une multiplicité de facettes des fêtes nouvelles: les processus de conceptualisation et de création par les autorités publiques ; leur gestion et mise en œuvre par des managers culturels ou par des associations et des collectifs ; l’invention de nouvelles formes rituelles ou l’adaptation de plus anciennes ; les mises en scène urbaines et l’emploi des codes distinctifs ; l’appropriation de ces fêtes par la société et les différents débats qu’elles ont soulevés. Chacune des trois parties de la thèse est consacrée à une fête. Une place majeure est réservée à la Fête de la musique, la Marche des fiertés et la Nuit blanche, sans pour autant passer sous silence d’autres fêtes résolument nouvelles et d’envergure, telles que la Capitale européenne de la culture et les Allumées de Nantes, permettant de mieux saisir les mutations qui s’opèrent au niveau européen. Enfin, s’appuyant sur la thèse classique de Durkheim, ce travail propose d’envisager ces fêtes comme points d’entrée pour appréhender les idéaux de la société ouverte. L’intention affirmée des organisateurs de mettre en place une nouvelle conception du vivre ensemble et du lien social, est à bien des égards l’occasion de célébrer une société française et européenne, pacifique, réconciliée et tolérante. / The present thesis examines the installation of new festive events in France, and more particularly in Paris, since the 80s. These celebrations mark a shift in regard to "traditional" celebrations which mostly revolve around the concepts of the sacred and the nation. Nourished by an ethnographic observation of several years, this work highlights a variety of aspects: the process of their invention and their creation and by the public authorities; the supervision of the events by cultural managers or associations and collectives; the invention of new ritual forms and the adaptation of older ones; the design of the urban scenery and the use of distinctive codes; the appropriation of these events fro, the society and the various debates to which they gave rise. Each part of the thesis deals with a celebration in an independent way. The Fête de la musique, the Gay Pride and the Nuit blanche are analyzed here in priority. However, next to them parade also other events, entirely new and ambitious, such as the European Capital of Culture and the Allumées of Nantes which offer a better insight into changes that took place on a European level. Finally, based on Durkheim's classic thesis, this work proposes to consider these festive events as an entry point into a greater inquiry about the ideals of the open society. The asserted intention of the organizers to put in place a new conception of living together and the social bond is in many ways the occasion to celebrate a French and European society, that is peaceful, reconciled and tolerant.
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Le paysage urbain nocturne : une dialectique du regard entre ombre et lumière

Bertin, Sylvain 04 1900 (has links)
Questionner la construction du paysage urbain nocturne, c’est développer une approche dialectique du regard entre l’ombre et la lumière. Parce que la ville devient invisible dans l’obscurité, la nuit menace celle-ci de disparition. Dans ce contexte, ce travail explore les nouvelles images et interprétations de la ville dévoilées par la lumière artificielle. L’enjeu est de comprendre les aspects changeants et instables liés à l’apparence de la ville. Découvrir la ville la nuit, c’est la comprendre dans l’éphémérité de ses modes d’apparition, dans sa capacité de survivance et de transformation grâce à la lumière artificielle. La nuit révèle tant des imaginaires liés à la fascination de la lumière qu’à la peur de l’obscurité. Dominée par des transformations visuelles, elle intensifie et démultiplie les significations portées aux espaces. Entre nuit dionysiaque et nuit maligne, c’est toute une variété de « tableaux urbains nocturnes » qui apparaissent. Penser le paysage urbain nocturne, c’est envisager la nuit comme une « hétérotopie », qui, parce qu’elle modifie les conditions d’apparition de la ville, modifie les perceptions du territoire. Au croisement du réel et de l’imaginaire, il s’agit de dépasser les limites du visible pour apprendre à voir l’invisible. Ce travail révèle une relation complexe de la ville avec la lumière; il interroge le rapport entretenu avec les espaces urbains la nuit et remet en perspective la manière de voir l’obscurité. La lumière offre un fond de toile pour le déroulement des activités, elle régule les perceptions et les expériences de la ville. L’espace-temps nocturne offre l’opportunité d’envisager les tensions entre lumière et obscurité. Dans cet « entre- deux », cette recherche contribue à ouvrir la voie à une perspective transversale de la ville la nuit. Celle-ci comprend donc une revue de littérature sur les différentes visions de l’éclairage, mais aussi sur la nuit et l’obscurité. Elle permet une compréhension des nouvelles approches en éclairage comme des nouveaux concepts émergeant des recherches sur la nuit. S’appuyant sur des démarches anthropologiques et expérientielles du paysage, l’originalité de cette étude est d’explorer les différentes manières d’envisager la nuit. Des imaginaires développés par les acteurs de l’aménagement — issus d’entretiens avec des experts en urbanisme, en architecture, en paysage, en design et des arts — à l’expérience visuelle et sensible — issue d’explorations nocturnes —, ce travail dévoile une pluralité de paysages qui compose le territoire. Recourant à Montréal comme cas d’étude, cette métropole canadienne offre un contexte original pour comprendre le regard que pose la société occidentale sur la ville la nuit. Cette recherche révèle alors une hiérarchisation des représentations liées aux espaces urbains nocturnes. De la consécration des espaces centraux, à la méconnaissance des espaces marginaux, en passant par la banalité des espaces quotidiens, celle-ci dépeint un portrait inédit de Montréal vu et imaginé de nuit. À travers l’étude des représentations socioculturelles, cette investigation contribue à une nouvelle compréhension de la planification et de l’expérience de la ville. Elle définit ce que revêt la notion de « paysage urbain nocturne ». / This thesis questions the ways the urban landscape is constructed at night. It develops a dialectical approach of sight, between luminosity and darkness. Because the city becomes invisible in the darkness, the night puts the existence of the city in jeopardy. This thesis explores the new interpretations of the city resulting from the illuminated landscapes. The purpose is to understand the changing and unstable appearances of the city at night. To discover the city at night implies understanding the ephemeral aspects of its appearance, its capacity to survive and to be visually transformed. The night reveals the fascination for light as well as the fear of darkness. Night is governed by visual changes; it intensifies and multiplies the significance of the urban spaces to the viewer. Between Dionysian and malign nights, a variety of “urban nocturnal scenes” appears. Because night changes the visual conditions and therefore the perception of the city, this study develops a reflection on the urban landscape considering the night as a “heterotopia”. Situated at the meeting point of the real and the imaginary, this investigation questions the limits of what is visible in order to look at what is invisible. This research reveals a complex relationship between the city and lighting; it examines how the society looks at darkness and how new relations with urban spaces emerge at night. Lighting provides the backdrop for activities; it regulates city perceptions’ and experiences’ at night. Night time enables to consider the tensions between luminosity and darkness. This investigation of the “in-between” of light and dark contributes to the comprehension of the city at night through a transversal perspective. Therefore, this study is composed of a literature review on the evolution of urban lighting approaches, and on the relation that the city has with the night time iii and the darkness. It provides an understanding of new approaches of lighting design with the addition of new concepts emerging in the literature on the night. The methodological approach includes anthropological and experiential landscape perspectives to question the different ways of looking at the night. Interviews with stakeholders from different disciplines—urban planning, architecture, landscape architecture, design and art—and the study of the visual and sensitive experience of the city at night, provide a diversity of ways to see the city at night. Using Montreal as a case study, this Canadian metropolis offers an original context to better understand the relation that the occidental society has with the city at night. The dissertation presents a hierarchization of the representations of the urban spaces. From the recognition of downtown spaces, passing by the banalization of daily spaces and the misreading of marginal places, this research depicts a new portrait of Montreal and how it is seen and imagined at night. It contributes in a new comprehension on how the city is planned and experienced, depending on sociocultural representations of night time. It aims at defining what is the “nocturnal urban landscape”.
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Quand la ville ne dort pas : s'approprier l'espace-temps hypercentral nocturne par et autour de l'usage récréatif. Les exemples de Caen et Rennes. (Pour une approche aussi sonore des rapports sociaux de proximité) / « When the city is not asleep » : appropriating urban centers at night through and around leisure use. The examples of Caen and Rennes (France). (Also for a sound approach of social relationships of proximity)

Walker, Étienne 11 December 2018 (has links)
Cette thèse se propose d’analyser la ville contemporaine à partir des cas de Caen et Rennes et du prisme récréatif nocturne, dans une perspective morphogénétique, polémologique et dimensionnelle. Au travers de méthodes qualitatives et quantitatives spatialisées et temporalisées, ce sont les mobilisations des « sortants », « commerçants », « cohabitants » et institutions pour l’appropriation de l’espace-temps hypercentral nocturne qui ont fait l’objet d’analyses. Une première partie donne à voir l’importance de l’usage récréatif au sein des hypercentres de Caen et Rennes la nuit. Attribut central de la jeunesse, les sorties récréatives – plus que « festives » – sont dûment polarisées par une offre commerciale dédiée hypercentrale dense. Autour et à proximité parfois immédiate, sont amenés à cohabiter pour bonne part ces jeunes sortants une fois rentrés chez eux, mais aussi d’autres populations beaucoup plus insérées socialement. Ainsi, une « situation tensionnelle » entre usages reproductifs récréatif et biologique se dessine au sein des hypercentres durant le temps de la nuit. Une seconde partie insiste sur la manière dont certains sortants et commerçants se mobilisent au travers de l’usage récréatif nocturne, les uns dans la manière de se sociabiliser entre pairs au sein de bars et discothèques dûment sélectionnées, les seconds du fait de leur souci à attirer les premiers au sein de leurs établissements, mais aussi à les gérer. Ponctuellement, ces mobilisations quotidiennes cèdent le pas à des mobilisations politiques collectives, dès lors que l’appropriation récréative nocturne de certaines rues et place chez les sortants d’une part, la continuité de l’activité commerciale chez les commerçants de l’autre, sont menacées. Une troisième partie s’intéresse aux mobilisations des cohabitants autour de cet usage récréatif nocturne. Une fois la division sociale des hypercentres établie, différents caractères ont été mis en évidence pour expliquer l’inégal ressenti notamment sonore de cet usage, caractères aussi bien acoustiques et liés à l’exposition, que sociologiques. Sans doute davantage que ces deux premiers facteurs, il apparaît que l’appréciation des sorties récréatives nocturnes avoisinantes a fortement à voir avec l’évolution au sein des cycles de vie, l’ancienneté et la propriété allant notamment de pair avec l’expression d’une plus forte gêne. Cette dimension cognitive se double d’un volet actionnel : si ceux qui entretiennent un rapport encore intime avec lesdites sorties se limitent à s’adapter à leur marquage sonore ou à confronter leur bruiteur, le recours aux institutions et l’action collective semblent le propre de ceux qui s’en distancient. Enfin, une ultime partie s’intéresse à la manière dont les institutions gouvernent ces différentes mobilisations « ordinaires ». Si les années 2000 ont été marquées à Rennes et même à Caen par la répression policière et administrative des commerçants et surtout des sortants, si le détour des décennies 2000/2010 l’a notamment été par la contractualisation avec les premiers et la « sanitarisation » surtout communicationnelle des seconds, un changement semble se dessiner ces dernières années. Dans un contexte de restrictions budgétaires étatiques mais aussi municipales croissantes, les commerçants semblent de plus en plus considérés par les institutions tels des auxiliaires d’ordre et de santé publics, utiles pour gouverner à moindre coût la déviance des sortants, plutôt que comme les catalyseurs de cette dernière. Relativement peu suivis par les institutions, les cohabitants mobilisés font parfois même l’objet de dispositifs spécifiques conduisant à leur neutralisation. Se dessine le passage progressif de l’économie fordiste où la nuit servait à reproduire la force de travail diurne à une économie post-fordiste 24h/24, où la nuit devient un vecteur permettant de satisfaire aux besoins eux aussi reproductifs et nocturnes, mais récréatifs, du capitalisme devenu aussi cognitif. / Through the examples of Caen and Rennes (France) and the night-time recreational prism, this PHD aims at analysing contemporary city, in a morphogenetic, polemological and dimensional way. Through both spatialised and temporalised qualitative (interviews, speech analysis, press review, archives ans institutional documents) and quantitative (especially statistical approach of censuses and questionnaires) methods, we focus on the mobilisations of night owls, bar owners, residents and institutions who try to appropriate city-center at night. In a first section, the importance of recreational use in the city centers of Caen and Rennes is depicted. As a central attribute of young persons, recreational (more than festive in fact) customs are polarised by a central and abundant commercial offer. Around and sometimes very closely, residents, who are mostly young night owls once they have come back home, but also populations who are much more socially integrated (professionaly, parentally and residentially), have to live with those customs. Therefore, a tension appears between both récrational and biological reproductive uses of city centers at night. A second section highlights the fact that both night owls and bars owners are mobilised through recreational use, the firsts by socialising one another in bars and night clubs which are duly selected ; the seconds by polarising but also managing the firsts. Sometimes, these daily mobilisations become both political and collective ones, the moment recreational and nocturnal appropriation of streets on one hand, commercial activity on the other hand, are threatened. The third section develops the link between recreational and nocturnal customs and residential mobilisations. The social division of urban centers once established, several characteristics have been highlighted so that to explain sound perceptions, such as acoustic and exposure ones, but also sociological ones. Perhaps more than the fists, the latest explains the differents ways of perceiving recreational and nocturnal sounds, the evolution throughout « cycles of life » – that is to say professional insertion and above all experience and property – being most important. This cognitive division goes with an actional one : on one hand, those who are still linked with recreational and nocturnal customs mainly get used to the noise or confront those who are responsible for their sound annoyance (mostly neighbours) ; on the other hand, those who are gradually distancing themselves from these customs do not hesitate to resort to institutions or even to engage in collective action. Eventually, a fourth section deals with the way institutions govern the night owls, the bar owners and the residents who are mobilised. After the administrative and police repression of the night owls but also the bar owners during the 2000’s in Rennes and even in Caen, after the contractualisation with the latests and the health handling of the firsts around 2010, a rupture have occurred these last few years. With increasing budgetary restrictions, bar owners seem to be considered today by the institutions more as order and health auxiliaries useful so as to restrain night owls’ deviance than as persons responsible for it. Seldom listened by institutions, residents who are mobilised are also being neutralised throughout dedicated devices. On the whole, this research shows the transition from fordist economy which considers night time as a mean to reproduce diurnal workforce to post-fordist one, in which 24/7 city has also to fulfil cognitive capitalism needs.
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A maldição como processo = leituras de Gaspard de la Nuit / Curse as a process : lectures on Gaspard de la Nuit

Melo Franco, Lenon Rogerio de 15 August 2018 (has links)
Orientador: Suzi Frankl Sperber / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituo de Estudos da Linguagem / Made available in DSpace on 2018-08-15T22:23:26Z (GMT). No. of bitstreams: 1 MeloFranco_LenonRogeriode_M.pdf: 1830662 bytes, checksum: d63fce9d22e9ed1808c6436f83f0a25d (MD5) Previous issue date: 2010 / Resumo: A dissertação se ocupa da recepção da obra francesa Gaspard de la Nuit: fantaisies à la manière de Rembrandt et de Callot desde sua publicação nos anos românticos até nossos dias. As leituras de Sainte-Beuve, Baudelaire, Mallarmé e André Breton, sobretudo, são revisadas à luz de exames sincrônicos e diacrônicos. Os diferentes acolhimentos do texto são oportunidade e aporte para discutirmos seus aspectos prevalentes, tais como a relação da poesia com as artes plásticas, a fundação de um novo gênero que é o poema em prosa moderno e a noção de poète maudit. Após o decantamento crítico de numerosos leitores, apresentamos então nossa exegese particular da obra - que se acrescenta a esses registros recepcionais que foram analisados / Abstract: Not informed / Mestrado / Literatura Geral e Comparada / Mestre em Teoria e História Literária
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An Analysis of the Representation of Queen Elizabeth I of England in the Operas by Rossini, Donizetti, and Thomas in the Context of Nineteenth-Century Vocal Style and Historical Influence

Hsiao, Han 08 1900 (has links)
The purpose of this research is to analyze representations of Queen Elizabeth I of England in nineteenth-century Franco-Italian opera, and the relationship of these representations to contemporaneous singing style and the historical background. The basis for this analysis is three arias: "Quant'é grato all'alma mia" from Elisabetta, regina d'Inghilterra (1815) by Gioachino Rossini (1792-1868), "Sì, vuol di Francia il rege...Ah! quando all'ara scorgemi...Ah! dal ciel discenda un raggio" from Maria Stuarda (1835) by Gaetano Donizetti (1797-1848), and "Malgré l'éclat qui m'environne" from Le songe d'une nuit d'été (1850) by Ambroise Thomas (1811-1896). This research is divided into two main sections: the historical background of Italy and France in the nineteenth century, especially in the contemporaneous vocal style and fashions of literature; and a discussion of the composers' musical and dramatic choices for Queen Elizabeth I in the three selected arias. Chapter 2 is a brief introduction to the early nineteenth-century Franco-Italian historical background, vocal style, and popular literature. Chapter 3 presents an analysis of the three arias. The last chapter summarizes the representations of Elizabeth I in nineteenth-century politics, literature, and vocal style.

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