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La fonction de production éducative revisitée dans le cadre de l'Education Pour Tous en Afrique subsaharienne : des limites théoriques et méthodologiques aux apports à la politique éducative

Bernard, Jean-Marc 18 December 2007 (has links) (PDF)
Le rapport Coleman (1966) est le premier d'une longue liste de recherches sur l'analyse des déterminants de la qualité des apprentissages. Avec la fonction de production éducative (FPE), les économistes ont largement contribué au développement de ce domaine de recherche. A vrai dire, ce sont surtout les travaux empiriques qui ont la primeur avec de nombreux débats méthodologiques qui ont alimenté certaines controverses (Hanushek, 2003 ; Krueger, 2003). Ainsi, ce sont surtout les questions méthodologiques sur les estimations empiriques qui ont mobilisé les chercheurs, tandis que les travaux sur le renouvellement du cadre théorique sont restés rares malgré des limites manifestes. Sans contester la validité d'un certain nombre de problèmes d'estimation et de la nécessité de compléter les travaux avec l'approche quasi expérimentale, il apparaît que leurs conséquences ne sont pas insurmontables dans le cadre d'une interprétation prudente des résultats de la FPE.<br />Les enjeux de l'éducation pour tous (EPT) en Afrique et particulièrement de la scolarisation primaire universelle mettent l'accent sur la question enseignante. La nécessité d'un recrutement massif d'enseignants d'ici 2015 soulève des questions épineuses sur le plan de la soutenabilité financière, avec les enjeux sociopolitiques qui y sont liés, mais aussi sur le profil de ces nouveaux enseignants. De ce point de vue, la mobilisation d'un certain nombre de travaux montre une relative convergence des résultats. Il ressort une influence modeste des caractéristiques de l'enseignant comme sa formation, son ancienneté ou encore son statut. Ce dernier fait l'objet de débats houleux en Afrique francophone où le recrutement d'enseignants contractuels s'est intensifié au cours des dernières années. Les résultats des travaux empiriques, notamment ceux menés par le PASEC à l'école primaire, ne confirment pas les accusations de dégradation de la qualité de l'éducation dont font l'objet ces nouveaux enseignants. L'analyse réalisée sur le Mali montre même que dans ce cas particulier l'impact est positif. Cependant, il ressort également que le statut ainsi que les autres caractéristiques des enseignants, sans être négligeables, ne sont pas pour autant des déterminants majeurs de la qualité des apprentissages. En revanche, les disparités entre classes expliquent une part importante des différences d'acquisitions scolaires entre les élèves. La littérature sur la question attribue cela à un effet-maître (Bressoux, 2000) qui soulève cependant des réserves. Les analyses menées sur 11 pays africains montrent des valeurs nettement plus élevées de cet effet que dans les pays développés. Les problèmes de mesure suggèrent la prudence dans l'interprétation des résultats. Ils permettent cependant de montrer que les disparités entre classes sont au cœur de la problématique de la qualité des apprentissages et ceci dans un grand nombre de pays africains. Cela souligne l'importance que les systèmes éducatifs doivent accorder à la question de la gestion de la qualité des apprentissages en attachant une attention particulière sur les disparités entre établissements dans la gestion courante. Des indicateurs utiles peuvent être assez facilement mobilisés. Il reste à ce qu'ils soient utilisés dans le cadre d'une gestion qui accordera une priorité aux résultats.
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Coopération décentralisée et Objectifs du Millénaire pour le Développement : enjeux et perspectives dans l'espace francophone subsaharien / Decentralized cooperation and Millennium Development Goals : challenges and perspectives in the sub-Saharan French-speaking space

Kombo, Brice 27 June 2012 (has links)
La nécessaire lutte contre la pauvreté découle d'un constat troublant : la richesse combinée des quinze personnes les plus riches de la planète est supérieure à la valeur annuelle cumulée de la production de biens /services de l'ensemble des pays de l'Afrique subsaharienne. 20% de la population mondiale consomme plus de 80% des ressources disponibles sur la surface de la terre. Ce double constat révèle l'ampleur des efforts à accomplir pour répondre au défi des objectifs du millénaire pour le développement (OMD). La responsabilité des Etats est évidemment engagée mais les solutions sont plus à rechercher au niveau des villes et des territoires. Au plus proche des habitants, les autorités locales peuvent et doivent jouer un rôle de catalyseur du développement. Il revient aux citoyens des territoires confrontés aux problèmes de sous-développement d'imaginer et de proposer ces solutions locales. La coopération décentralisée contribue à la recherche et à l'invention de telles politiques territoriales : cadre de dialogue privilégié entre gouvernements locaux. Définie comme un partenariat entre autorités locales de nationalités différentes, cette coopération décentralisée permet un partage d'expériences – micro finance, décentralisation, bonne gouvernance etc. En clair, tous les espoirs peuvent s'inviter dans la symbiose « Coopération décentralisée et Objectifs du Millénaire pour le Développement», en tenant compte de leurs enjeux et perspectives dans l'espace francophone subsaharien. / The necessary struggle against poverty comes from an elementary remark observation: the combined wealth of the 15 richest people in the planet exceeds the total annual value of the production of the properties / services of all the countries of Sub-Saharan Africa. 20 % of the world population consumes more than 80 % of the resources available on the surface of the earth. This observation reminds the magnitude of the efforts which remain to carry out to answer the challenge of the millennium through the OMD. The responsibility of States is obviously engaged but the solutions are more to look for at the level of cities and territories. In the closest to the inhabitants, the local authorities can and have to play a role of catalyst of the development. It is up to the citizens of territories confronted with the problems of underdevelopment to imagine and to propose these local solutions. The decentralized cooperation contributes to the search and the invention of such territorial policies, because it is a frame of privileged dialogue between local governments. Defined as a partnership between local authorities of different nationalities, it allows a sharing of experiences - microfinances, decentralization, good governance etc.- Clearly, all the hopes can invite itself in the symbiosis "Decentralized Cooperation and Objectives of the Millennium for the Development by taking into account their stakes and perspectives in the Sub-Saharan French-Speaking Space".
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Le rôle des organisations de la société civile camerounaises dans la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement / The role of Cameroonian civil society organizations in the achievement of the Millennium Development Goals

Cazabat, Christelle 27 January 2015 (has links)
Cette thèse de doctorat effectuée à l’Université Paris-Sorbonne est le résultat de quatre années de recherches sur le rôle des Organisations de la Société Civile (OSC) camerounaises dans la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Fondée sur une expérience participative de 18 mois dans le milieu du développement au Cameroun, sur plusieurs dizaines d’entretiens avec des OSC camerounaises, des ONG internationales et les principaux partenaires techniques et financiers du Cameroun ainsi que sur l’analyse statistique de plus de 300 OSC camerounaises travaillant dans le domaine des OMD, cette thèse cherche à mesurer l’impact des OSC sur les indicateurs de développement et à déterminer les facteurs susceptibles d’optimiser cet impact. Alors que l’initiative des OMD, lancée par les Nations Unies en 2000, arrive à son terme en 2015, le bilan tiré par les différents acteurs du développement appelle à une participation accrue des OSC dans les pays bénéficiaires de l’aide internationale. Ce travail confirme l’intérêt que peuvent avoir les acteurs institutionnels du développement à collaborer avec la société civile pour améliorer les conditions de vie des populations et l’efficience des ressources allouées au développement. / This doctorate thesis undertaken at Paris-Sorbonne University results from four years of research on the role of Cameroonian Civil Society Organizations (CSOs) in the achievementof the Millennium Development Goals (MDGs). Based on an 18-month participatory experience in development in Cameroon, on several dozens of interviews with Cameroonian CSOs, international NGOs and the key technical and financial partners of Cameroon as well as on the statistical analysis of over 300 Cameroonian CSOs operating in MDG-related fields,this thesis intends to measure the impact of CSOs in development indicators and to determine the factors which can optimize this impact. As the MDG initiative, launched by the United Nations in 2000, reaches its term in 2015, its final assessment by different developments takeholders calls for a stronger participation of CSOs in countries benefiting from international aid. This research confirms the interest institutional stakeholders can find incollaborating with civil society to improve the living conditions of populations and the efficiency of the resources allocated to development.
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Le redoublement, la réussite scolaire et l’objectif de la Scolarisation Primaire Universelle (SPU) d’ici à 2015 dans le cadre de l’Éducation Pour Tous (EPT) : cas du Sénégal à partir des données longitudinales du PASEC

Labé, A. Olivier 04 1900 (has links)
L’Éducation Pour Tous mobilise la communauté internationale et les gouvernements depuis 1990. Cet engagement global renouvelé en 2000 sous l’auspice de l’UNESCO puis des Nations-Unies, porte notamment sur un objectif de base : l’universalisation de la scolarisation primaire complète pour tous les enfants d’âge scolaire à l’horizon de 2015. Plusieurs études sur la réalisation de cet objectif montrent que les pays en développement sont les plus à risque et que les progrès accomplis dans la plupart de ces pays, pourraient être plus importants si la pratique du redoublement faisait davantage l’objet de régulation et de contrôle. Cela contribuerait à améliorer la réussite scolaire et accroître la rétention des élèves au sein des systèmes éducatifs. La pratique du redoublement est en effet une tradition dans plusieurs systèmes éducatifs. Elle est particulièrement prépondérante dans certains groupes de pays ou régions, notamment en Afrique francophone au sud du Sahara. Dans ces pays, le PASEC - Programme d’Analyse des Systèmes Éducatifs de la CONFEMEN (Conférence des Ministres de l’Éducation Nationale des pays ayant le français en partage) - œuvre à améliorer l’accès à une éducation de qualité pour tous, par exemple, en informant les politiques sur la situation nationale du redoublement. Cette recherche sur le redoublement, la réussite scolaire et l’objectif de la Scolarisation Primaire Universelle (SPU) privilégie la dimension pédagogique, l’analyse empirique et étudie le cas du Sénégal. Elle présente et discute les indicateurs internationaux de suivi de l’objectif de la SPU, fait le point de l’état des connaissances sur le redoublement et la réussite scolaire et montre le défi que représente la réalisation de l’objectif de la SPU notamment dans les pays francophones d’Afrique sub-Saharienne. Exploitant les données existantes de l’enquête longitudinale de suivi de cohorte du PASEC au Sénégal entre 1995 et 2000, cette recherche examine le parcours scolaire des élèves en vue de la réalisation de l’objectif de la SPU. L’examen effectué combine des approches d’analyse transversale et longitudinale du redoublement et des apprentissages par rapport aux caractéristiques personnelles, familiales et scolaires de l’élève. Les résultats d’analyse montrent des variabilités, notamment par rapport aux caractéristiques personnelles de l’élève et à celles de sa classe et de son milieu de scolarisation. L’analyse longitudinale du redoublement s’est appuyée sur le diagramme de flux scolaire et a permis de produire un ensemble d’indicateurs d’efficacité interne du système éducatif du Sénégal. Pour la cohorte étudiée, du fait de l’importance des redoublements et des abandons scolaires, il faut en moyenne 9,4 années de scolarité pour que l’élève progresse du deuxième au sixième (dernier) grade du primaire. Seulement 39% de l’effectif de la cohorte survivent au dernier grade ce qui suggère que si cette tendance se maintenait, le Sénégal serait à risque de ne pas réaliser l’objectif de la SPU. Une évaluation de la situation courante à partir de données plus récentes serait requise. Le diagramme de flux scolaire constitue un outil de planification de l’éducation et représente de ce fait un important levier aux mains des autorités politiques pour agir sur les paramètres du système éducatif (paramètres liés à la qualité de l’éducation, à l’efficacité interne, etc.) afin de répondre à des objectifs spécifiques ou d’étapes pouvant conduire, par exemple, à la réalisation de l’objectif de la SPU. / The Education for All is mobilizing the international community and national governments since 1990. This global commitment which was renewed in 2000 under the auspices of UNESCO and the United-Nations has set a basic goal: the universalization of a complete primary education for all school-age children by 2015. Several studies on the achievement of this goal show that developing countries are most at risk and that progress in many of these countries could have been higher if the practice of grade repetition was better regulated and controlled. This measure would contribute to the improvement of academic achievement and increase retention within the education systems. Indeed, grade repetition practice is a tradition in several education systems. It is particularly overwhelming in some groups of countries or regions, especially in Francophone sub-Saharan Africa. In these countries, the PASEC – «Programme d’Analyse des Systèmes Educatifs de la CONFEMEN (Conférence des Ministres de l’Éducation National des pays ayant le français en partage)» - works to improve access to quality education for all, by for example, informing policies on the national situation of grade repetition. This research on grade repetition, school success and the Universal Primary Education (UPE) goal favors the pedagogical dimension, the empirical analysis and studies the case of Senegal. It presents and discusses the international indicators for UPE goal monitoring, takes stock of current knowledge on grade repetition and academic achievement and shows the challenge that represents the realisation of UPE goal especially in Francophone sub-Saharan Africa countries. By using the existing 1995-2000 PASEC longitudinal survey data in Senegal, this research examines pupils’ school careers toward the realisation of UPE goal. Transversal and longitudinal analyses of grade repetition and learning achievement based on the pupil’s personal, family and school characteristics have been used. Results from these analyses show variabilities related especially to individual, classroom and school location factors. The longitudinal analysis of grade repetition is based on the school flowchart which allows the calculation of a set of indicators about the internal efficiency of Senegal education system. For the cohort studied, due to the high grades repetition and dropout rates, pupils are required, on average, 9.4 years of schooling to progress from the second to the sixth (final) grade of primary. Only 39% of the initial cohort survives to the last grade, which suggests that if this trend remains unchanged, Senegal would be at risk of not achieving the UPE goal. An assessment of the current situation based on more recent data would be required. The school flowchart is an educational planning tool. Thus, it represents an important lever for political authorities to act on education system parameters (parameters related to education quality, internal efficiency, etc.) in order to effectively attain specific objectives or milestones resulting, for example, to the achievement of the UPE goal.
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Le redoublement, la réussite scolaire et l’objectif de la Scolarisation Primaire Universelle (SPU) d’ici à 2015 dans le cadre de l’Éducation Pour Tous (EPT) : cas du Sénégal à partir des données longitudinales du PASEC

Labé, A. Olivier 04 1900 (has links)
L’Éducation Pour Tous mobilise la communauté internationale et les gouvernements depuis 1990. Cet engagement global renouvelé en 2000 sous l’auspice de l’UNESCO puis des Nations-Unies, porte notamment sur un objectif de base : l’universalisation de la scolarisation primaire complète pour tous les enfants d’âge scolaire à l’horizon de 2015. Plusieurs études sur la réalisation de cet objectif montrent que les pays en développement sont les plus à risque et que les progrès accomplis dans la plupart de ces pays, pourraient être plus importants si la pratique du redoublement faisait davantage l’objet de régulation et de contrôle. Cela contribuerait à améliorer la réussite scolaire et accroître la rétention des élèves au sein des systèmes éducatifs. La pratique du redoublement est en effet une tradition dans plusieurs systèmes éducatifs. Elle est particulièrement prépondérante dans certains groupes de pays ou régions, notamment en Afrique francophone au sud du Sahara. Dans ces pays, le PASEC - Programme d’Analyse des Systèmes Éducatifs de la CONFEMEN (Conférence des Ministres de l’Éducation Nationale des pays ayant le français en partage) - œuvre à améliorer l’accès à une éducation de qualité pour tous, par exemple, en informant les politiques sur la situation nationale du redoublement. Cette recherche sur le redoublement, la réussite scolaire et l’objectif de la Scolarisation Primaire Universelle (SPU) privilégie la dimension pédagogique, l’analyse empirique et étudie le cas du Sénégal. Elle présente et discute les indicateurs internationaux de suivi de l’objectif de la SPU, fait le point de l’état des connaissances sur le redoublement et la réussite scolaire et montre le défi que représente la réalisation de l’objectif de la SPU notamment dans les pays francophones d’Afrique sub-Saharienne. Exploitant les données existantes de l’enquête longitudinale de suivi de cohorte du PASEC au Sénégal entre 1995 et 2000, cette recherche examine le parcours scolaire des élèves en vue de la réalisation de l’objectif de la SPU. L’examen effectué combine des approches d’analyse transversale et longitudinale du redoublement et des apprentissages par rapport aux caractéristiques personnelles, familiales et scolaires de l’élève. Les résultats d’analyse montrent des variabilités, notamment par rapport aux caractéristiques personnelles de l’élève et à celles de sa classe et de son milieu de scolarisation. L’analyse longitudinale du redoublement s’est appuyée sur le diagramme de flux scolaire et a permis de produire un ensemble d’indicateurs d’efficacité interne du système éducatif du Sénégal. Pour la cohorte étudiée, du fait de l’importance des redoublements et des abandons scolaires, il faut en moyenne 9,4 années de scolarité pour que l’élève progresse du deuxième au sixième (dernier) grade du primaire. Seulement 39% de l’effectif de la cohorte survivent au dernier grade ce qui suggère que si cette tendance se maintenait, le Sénégal serait à risque de ne pas réaliser l’objectif de la SPU. Une évaluation de la situation courante à partir de données plus récentes serait requise. Le diagramme de flux scolaire constitue un outil de planification de l’éducation et représente de ce fait un important levier aux mains des autorités politiques pour agir sur les paramètres du système éducatif (paramètres liés à la qualité de l’éducation, à l’efficacité interne, etc.) afin de répondre à des objectifs spécifiques ou d’étapes pouvant conduire, par exemple, à la réalisation de l’objectif de la SPU. / The Education for All is mobilizing the international community and national governments since 1990. This global commitment which was renewed in 2000 under the auspices of UNESCO and the United-Nations has set a basic goal: the universalization of a complete primary education for all school-age children by 2015. Several studies on the achievement of this goal show that developing countries are most at risk and that progress in many of these countries could have been higher if the practice of grade repetition was better regulated and controlled. This measure would contribute to the improvement of academic achievement and increase retention within the education systems. Indeed, grade repetition practice is a tradition in several education systems. It is particularly overwhelming in some groups of countries or regions, especially in Francophone sub-Saharan Africa. In these countries, the PASEC – «Programme d’Analyse des Systèmes Educatifs de la CONFEMEN (Conférence des Ministres de l’Éducation National des pays ayant le français en partage)» - works to improve access to quality education for all, by for example, informing policies on the national situation of grade repetition. This research on grade repetition, school success and the Universal Primary Education (UPE) goal favors the pedagogical dimension, the empirical analysis and studies the case of Senegal. It presents and discusses the international indicators for UPE goal monitoring, takes stock of current knowledge on grade repetition and academic achievement and shows the challenge that represents the realisation of UPE goal especially in Francophone sub-Saharan Africa countries. By using the existing 1995-2000 PASEC longitudinal survey data in Senegal, this research examines pupils’ school careers toward the realisation of UPE goal. Transversal and longitudinal analyses of grade repetition and learning achievement based on the pupil’s personal, family and school characteristics have been used. Results from these analyses show variabilities related especially to individual, classroom and school location factors. The longitudinal analysis of grade repetition is based on the school flowchart which allows the calculation of a set of indicators about the internal efficiency of Senegal education system. For the cohort studied, due to the high grades repetition and dropout rates, pupils are required, on average, 9.4 years of schooling to progress from the second to the sixth (final) grade of primary. Only 39% of the initial cohort survives to the last grade, which suggests that if this trend remains unchanged, Senegal would be at risk of not achieving the UPE goal. An assessment of the current situation based on more recent data would be required. The school flowchart is an educational planning tool. Thus, it represents an important lever for political authorities to act on education system parameters (parameters related to education quality, internal efficiency, etc.) in order to effectively attain specific objectives or milestones resulting, for example, to the achievement of the UPE goal.
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Les objectifs du Millénaire pour le développement : regard critique sur leur mise en œuvre par les Églises anglicanes de deux pays du Sud : Angola et RD Congo / The Millenium Development Goals : a critical look on their implementation by the Anglican churches of two countries of South : Angola and RDC

Mansita, Sangi 09 October 2014 (has links)
L’attention se focalise dans notre thèse sur la question de savoir comment la Communion anglicane en général, et l’Église anglicane de la RDC et celle d’Angola, en particulier, s’approprient des résolutions et des recommandations qui résultent de la TEAM Conférence. Le concept de la pauvreté est à l'origine de tous les maux dont souffrent les Églises dans le Sud. De nos jours, un certain nombre d'initiatives missionnaires qui exhibent les signes de piété cachent toujours une motivation liée à l’argent. Les OMD érigent la pauvreté dans toutes ses dimensions comme un défi majeur, auquel doit faire face l'humanité, un rideau de fer à briser pour le développement des nations du Sud. Vu l’ampleur de la pauvreté qui, en dépit de multiple mesures et solutions envisagées, continue de croire, nous nous rendons vite compte que c'est l’Africain lui-même, selon notre avis, qui est l’origine de la misère de son pays et de son continent. On peut en arriver à la prise de nombreuses mesures et à faire l’économie de différents facteurs pour la sortie de crise, mais le tout premier réside dans l’Homme africain lui-même. Le Sud est un peuple qui est, avant tout, à la merci des puissants internes. On assiste à la déroute de l’intelligence, à la perte de la raison et de l’autonomie de la part d'un certain nombre de politiques africains, mettant sur pied des institutions amputées de toute capacité de faire des choix libres et judicieux, œuvrant en priorité pour la «politique du ventre». / The attention is focused in our thesis on the question of how the Anglican communion in general, and the Anglican Churches of Angola and RDC in particular, have appropriated resolutions and recommandations resulting from the TEAM Conference. The concept of "poverty" in the broad sense is the root of all the problems plaguing societies and the churches of the South. Nowadays, a certain number of missionary and pastoral initiatives which appear to be based purely on piety always have unexpressed motives which have to do with the pursuit of personal material interests. The emphasis has always been placed on economic growth as a necessary factor which can be used for raising the standard of living of the poor in the South. However, there are many States that have experienced considerable economic growth, like Angola, but the income of the poor class increases so unbalanced and uneven, and stlll is, for many famillies, unsatisfactory. The Millennium Declaration declared poverty in all its dimensions to be the main challenge facing humanity, an iron curtain which needed to be breached for the development of Southem Nations. Given the extent of poverty which, despite multiple routes taken and solutions envisaged, continues to grow, we quickly realize that it is only the African who is, in our opinion, the origin of the misery of his country and his continent. Therefore, we can continue to consider many measures and the economy of different factors to end the crisis, but the main factor is the African man himself. The people of the South are, above all, at the mercy of internal forces. We are witnessing the defeat of intelligence, the loss of reason and autonomy on the part of a number of African policies, creating institutions cut off from all ability to make free and wise choices, working as a priority for the "politics of the belly".
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Banque mondiale et droit au développement des pays d'Afrique subsaharienne : l'impact des programmes mis en oeuvre au Bénin, au Cameroun et au Togo / World Bank and Right to development : the impact of programs implements in Benin, Cameroon and Togo

Ntolo Bekoa, Martine Nadège 11 December 2014 (has links)
La pauvreté est un phénomène qui touche tous les continents et plus particulièrement l’Afrique. Elle affecte surtout les populations des pays sous développés. Malgré la lutte de ces derniers au lendemain de la seconde guerre mondiale en faveur de l’établissement d’un nouvel ordre économique international qui assurerait leur droit au développement, force est de constater que la question de la lutte contre la pauvreté est encore d’actualité. La Banque mondiale est l’un des acteurs centraux qui accompagnent les pays africains, entre autres, à réaliser leur développement socio-économique à travers la mise en œuvre de projets et programmes de développement. Cependant, la reconnaissance du droit au développement et de ses principes par la Banque mondiale ne s’est pas opérée sans réticence au début. C’est seulement à partir des années 1990 et plus encore au début des années 2000 avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement, que l’institution a changé sa vision du développement, élargi ses objectifs, adopté de nouvelles politiques et posé de nouvelles conditionnalités d’octroi de son financement respectueux des principes ou exigences de la Déclaration du droit au développement. Ce changement traduit l’échec des politiques appliquées par la Banque Mondiale en Afrique subsaharienne avant les années 1990. Quels étaient ces politiques ? L’évolution institutionnelle, idéologique de l’institution et ses nouvelles conditionnalités contribuent-elles à assurer un impact plus positif des projets ou programmes de développement en Afrique en général, et plus particulièrement au Bénin, au Cameroun et au Togo ? La décentralisation des compétences et attributions de l’Etat dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne en faveur des collectivités locales constitue-t-elle un cadre plus favorable à la réalisation du droit au développement ? / The poverty is a phenomenon which touches all the continents and more particularly Africa. It affects especially the populations of countries under developed. In spite of the fight of these last ones after the second world war in favour of the establishment of a new international economic order which would ensure their right for the development, the forces is to notice that the question of the fight against the poverty is still of current events. The World Bank is one of the central actors who accompany the African countries, among others, to realize their socioeconomic development through the application of projects and programs of development. However, the recognition of the right for the development and of its principles by the World Bank did not take place without hesitation at the beginning. It is only from 1990s and more still at the beginning of 2000s with the Objectives of the Millennium for the Development, that the institution changed its vision of the development, widens its objectives, adopts new policies and poses of news conditions of granting of its respectful financing of the principles or the requirements of the Declaration of the right for the development.This change translates the failure of the policies applied by the World Bank in sub-Saharan Africa before 1990s. What were these policies? The institutional, ideological evolution of the institution and does its new conditionality contribute to ensure a more positive impact of the projects or the development programs in Africa generally, and more particularly in Benin, in Cameroon and in Togo? Does the decentralization of the skills and the attributions of the State, in most of the countries of sub-Saharan Africa in favour of local authorities, constitute a limit more favorable to the realization of the law for the development?

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