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Ovid Ars Amatoria Buch 2 : Kommentar /

Janka, Markus January 1997 (has links)
Diss. : Regensburg : 1997. / Originally presented as the author's thesis (doctoral--Universität Regensburg, 1997). German and Latin. Bibliogr.: p. 13-29.
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Ecritures du rituel et poétique de la prière dans les œuvres d’Ovide / Ritual’s writings and prayer’s poetics in Ovid’s poetical works

Subias-Konofal, Virginie 05 November 2011 (has links)
De ses œuvres de jeunesse jusqu’aux poèmes de l’exil, Ovide a progressivement construit une langue poétique propre, qui entremêle des stylèmes religieux appartenant à la langue liturgique de l’époque augustéenne, et des stylèmes purement poétiques, tantôt repris à la tradition littéraire, tantôt originaux : il joue ainsi de la frontière qui sépare le carmen religieux et le carmen poétique en faisant s’élever un chant nouveau, total, par lequel il sacralise la poésie, qui est bien alors la musique du monde, la musique créatrice, proprement poïétique, dont le souffle donne son sens, sa forme et sa beauté (forma) au monde. Le discours élégiaque est alors bien plus qu’un simple propos érotique, ou même métapoétique. Si Ovide nous parle d’amour, il nous parle aussi de poésie, mais pas seulement d’une poésie narcissique qui serait sa propre fin et son objet : ce qui se reflète au miroir de la poésie ovidienne, telle qu’elle se met en jeu dans les énoncés de prière, c’est une perspective, une perspective transcendante par laquelle le poète tente de contempler le Verbe divin, la Musique totale qui organise l’univers. Loin de jouer de manière parodique avec le discours sacré, qu’il subvertirait à des fins érotiques et humoristiques, comme l’ont écrit les partisans d’une élégie immanente, Ovide nous semble sublimer par un souffle sacré, et par l’apport de stylèmes religieux, la poésie élégiaque de manière à en faire le chant qui rejoue la création du monde en même temps qu’il la dit. / From his early works to the poems of exile, Ovid progressively constructed a personal poetic language, mixing religious stylemes belonging to the liturgical language of the Augustan age with purely poetic stylemes, some taken from literary tradition, others quite original: he thus plays on the borderline separating the religious carmen from the poetic carmen, giving birth to a new, total song endowing poetry with a sacred status, making it music of the world, the properly poietic music of creation whose breath gives the world its meaning, its form and its beauty (forma). Elegiac discourse is then more than a simple erotic, or even metapoetic statement. If Ovid speaks to us of love, he also speaks to us of poetry, but not just a narcissistic poetry taken as its own end and object. What is reflected in the mirror of Ovidian verse as it takes shape in the utterance of prayer is a perspective – a transcendental perspective through which the poet attempts to contemplate the divine Word, the total Music which organizes the universe. Far from playing on sacred discourse in an ironic mode, subverting it to erotic or humorous ends as partisans of an immanent elegy have written, Ovid seems to us to be sublimating elegiac poetry by instilling it with a sacred breath and importing religious stylemes into it, in such a way as to make of it the Song which replays the creation of the world at the same time as telling it.
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Vom Kosmos zum Chaos Ovids Metarmorphosen und Vergils Aeneis /

Andrae, Janine. January 2003 (has links)
Diss. : Philologie : Univ. Bochum : 2002/2003. / WVT = Wissenschaftlicher Verlag Trier. Bibliogr. p. 263-275. Index.
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Kino im Kopf zur Visualisierung des Mythos in den "Metamorphosen" Ovids /

Fondermann, Philipp. January 1900 (has links)
Texte remanié de : Dissertation : Philosophie : Universität Zürich : 2007. / Bibliogr. p. [201]-214. Index.
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Liquitur in lacrimas zur Verwendung des Tränenmotivs in den Metamorphosen Ovids /

Hollenburger-Rusch, Caroline. January 2001 (has links)
Texte remanié de : Dissertation : philosophie : Augsburg : 1999. / Bibliogr. p. 300-312.
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Publii Ovidii Nasonis Epistularum ex Ponto liber IV a commentary on poems 1 to 7 and 16 /

Helzle, Martin. January 1989 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Cambridge. / Includes bibliographical references (p. 197-211).
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Publii Ovidii Nasonis Epistularum ex Ponto liber IV a commentary on poems 1 to 7 and 16 /

Helzle, Martin. January 1989 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Cambridge. / Includes bibliographical references (p. 197-211).
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La représentation de l’espace géographique dans les Métamorphoses d’Ovide / Representation of geographical space in Ovid’s Metamorphoses

Malochet-Turquety, Hélène 10 December 2016 (has links)
L’œuvre d’Ovide est composée au sortir d’une époque de profonds bouleversements sociaux, culturels et spatiaux. Sous Auguste qui réorganise l’Empire émerge une représentation de l’espace conçu comme un ensemble unifié. Les Métamorphoses proposent au lecteur un voyage dans le temps selon un axe chronologique immense, en même temps qu’un voyage dans l’espace, de la Grèce des débuts du monde à Rome et au monde entier. Elles peuvent s’interpréter comme une épopée sur l’espace, progressivement maîtrisé. Le poète sélectionne les lieux et les traits de géographie physique (fleuves, monts) et urbaine qui vont constituer l’armature ou l’arrière-plan d’un mythe. Ces lieux sont le plus souvent ceux des traditions mythiques grecques, les toponymes sont homériques ou alexandrins, mais Ovide se les approprie et réinterprète les représentations spatiales de ses prédécesseurs pour construire sa vision de l’espace ; en outre, il introduit dès la cosmogonie initiale des toponymes récents, ouvrant ainsi l’espace du poème à la géographie et à l’histoire universelles. Cette réécriture romaine des mythes s’inscrit dans un questionnement sur la culture et la citoyenneté romaines et met en lumière les rapports complexes qu’elle entretient avec la culture grecque. Ces rapports se jouent à l’échelle de chaque mythe, dès lors qu’un toponyme est mentionné, mais aussi à l’échelle du poème entier : les lieux sont mis en en réseau les uns avec les autres et ont une histoire qui se construit au fil des livres. Le poète fait ainsi coïncider géographie physique et géographie culturelle, nature et culture, en racontant la construction de l’espace par une collectivité qui est à la fois l’humanité entière et plus spécifiquement, le peuple romain, nourri de culture grecque. / Ovid’s Metamorphoses are written in an age of profound change. Not only does power evoluate in the hands of the Princeps, but also space: the new management of the provinciae and the reorganization of the City make it possible to conceive the geographical space of Empire as united. The poem echoes these transformations by introducing heroes who travel all over the world. The wide range of places and countries seems to match with the enormous temporal scope announced in the poem. The poem can be seen as an epos on space : space is progressively dominated, from the beginning of humanity to the reign of Rome. In each myth, Ovid selects the places, the rivers, mountains or cities he needs, abiding by mythical traditions and cultural representations : toponyms are borrowed from Homer or the Alexandrian poets ; but simultaneously he revitalizes them : he constructs his vision of geographical space and spatial organization. As early as the first cosmogony, he introduces toponyms which had been known only very recently in latin, thus opening his poem to universal geography and history. By transposing Greek myth in Roman space, the poet deals with cultural identity, in a time when Roman culture was undergoing a metamorphosis. He insists on the Greek roots of Roman culture and simultaneously projects it on a wider, universal scale. Places have a history, progressively revealed in each book. By setting myths in a web where each place has its own significance but also is better understood when related to the other, he constructs a space which is both natural and cultural, and a history of humanity and of Greco-Roman identity.
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Les couleurs dans la poésie latine au premier siècle av. J.-C / The Use of Color in Latin Poetry of the First Century BC

Brouillard, Michel 15 December 2012 (has links)
Cette étude analyse l’emploi des couleurs dans l’intégralité des oeuvres de Lucrèce, Catulle, Virgile, Horace, Tibulle, Properce et Ovide. Cette étude a été conduite à partir d’un référentiel de termes de couleur unique et considérablement élargi par rapport à l’habitude en ce domaine : aux termes courants, comme albus, niger, ruber, etc., ont été ajoutés un grand nombre d’autres termes porteurs implicites de couleur comme aurum (l’or), ebur (l’ivoire), marmor (le marbre) ou encore sanguis (le sang), dès lors que l’occurrence était pertinente. Un inventaire exhaustif et quantifié de tous les termes de couleur, de toutes leurs occurrences dans chacune des oeuvres fait l’objet d’un document annexe (292 pages), enrichi de tableaux de synthèse et de ratios : il est ainsi possible de vérifier immédiatement la présence ou l’absence d’un terme, de connaître sa fréquence d’apparition chez chaque poète, dans chacun de ses poèmes. L’étude s’est attachée à analyser et comparer les emplois de chaque terme chez chacun des poètes, à souligner les symbolismes, les alliances et les contrastes de couleurs que privilégie chaque poète, à étudier la manière dont chacun peint portraits, paysages, scènes diverses, à s’interroger sur les raisons des lacunes ou des concentrations de couleurs au sein des poèmes. Ainsi on a pu mettre en évidence selon les thèmes (épopée, élégie ou satire), la profonde cohérence entre le style, la personnalité de chaque poète et sa palette de couleurs, sa manière d’en user. / This study examines the use of color in the entirety of poetic works by Lucretius, Catullus, Virgil, Horace, Tibullus, Propertius, and Ovid. This study was conducted using a single reference tool of color-related terms, which allows a more thorough analysis of early Latin poetry than has typically been the case. To common terms such as albus, niger, and ruber, have been added numerous terms which implicitly signal the presence of color within the text, such as aurum (gold), ebur (ivory), marmor (marble), and sanguis (blood). A comprehensive inventory of color terms appears in a 292-pages appendix that contains summary tables showing where each term can be found in the works studied. It is therefore possible to immediately verify the presence or absence of a color term, and to map the frequency with which it appears in a particular poem or in the work of a particular poet. This study seeks to analyze and compare the use of color terms as used by each poet ; to highlight the symbolism as well as the color combinations and contrasts favored by each poet; to study the ways in which each poet paints portraits, landscapes, and various other scenes with words ; to raise questions about the absence or concentration of color in the heart of particular poems. By doing so, it becomes possible to demonstrate - in the case of epic, elegy, or satire - the profound coherence linking poetic style, the personality of the poet, the color palette, and the manner in which it is used.
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Ovide et le théâtre tragique français des XVIe et XVIIe siècles (Métamorphoses et Héroïdes) / Ovid and sixteenth and seventeenth-century French tragedy (Metamorphoses and Heroides) / Ovidio e il teatro tragico francese dei secoli XVI e XVII (Metamorfosi e Eroidi)

Busca, Maurizio 15 May 2017 (has links)
Le présent travail propose une étude diachronique des tragédies d’argument ovidien parues en France entre la moitié du XVIe et la fin du XVIIe siècle, ainsi qu’une étude ciblée des tragédies dont le sujet est tiré du recueil des Héroïdes.La littérature française de ces époques, on le sait, est liée intimement à l’œuvre d’Ovide : non seulement les écrits du poète connaissent une diffusion extraordinaire, mais leurs traductions, réécritures et imitations, leurs adaptations théâtrales et leurs transpositions figuratives sont légion. La diffusion et l’appropriation des œuvres d’Ovide ont contribué à la naissance de nouveaux genres littéraires et ont donné lieu à l’émergence de phénomènes d’émulation qui ont nourri notamment l’élaboration de l’esthétique galante et élégiaque dans la seconde moitié du XVIIe siècle, ainsi que Marie-Claire Chatelain l’a montré. Le caractère extrêmement capillaire et stratifié de la présence d’Ovide dans la culture française, par conséquent, impose la plus grande prudence.L’étude des tragédies d’argument ovidien montre, tout d’abord, que les auteurs ont la tendance à ne pas afficher leurs dettes envers Ovide dans leurs textes liminaires, en préférant mentionner des auteurs anciens considérés comme plus prestigieux. Pourtant, surtout dans la première moitié du XVIIe siècle, les cas d’imitation proche du modèle sont nombreux. Certes, l’étendue généralement modeste des morceaux poétiques qu’Ovide accorde aux mythes qu’il développe dans ses œuvres implique un travail d’amplificatio imposant, dans lequel l’intertexte ovidien peut finir par se délayer. Par ailleurs, les contraintes que le passage de genre impose aux dramaturges entraînent des changements non seulement aux niveaux de l’elocutio et de la dispositio mais aussi de l’inventio : tout n’est pas représentable sur la scène tragique française et, inversement, certains éléments qui peuvent manquer dans une épître ou un récit d’Ovide ne peuvent pas faire défaut dans une pièce théâtrale de certaines époques. La production de pièces de sujet ovidien est considérable dans les années 1620-1630 ; elle connaît une baisse remarquable dans les années 1640-1660, pour remonter à partir des années 1670 : l’essor de la tragédie lyrique, souvent de sujet métamorphique, entraîne la production de tragédies du même sujet par une dynamique d’émulation.Si l’influence des Héroïdes sur le théâtre tragique français est souvent tenue pour certaine, aucune étude systématique n’avait été menée pour le vérifier jusqu’à présent. Nous avons retenu, dans notre corpus, seulement les pièces traitant des héroïnes et des héros du recueil. Dans la première partie du XVIIe siècle on assiste généralement à des pratiques d’imitation proche du modèle ; au fil du siècle, en revanche, les auteurs prennent de plus en plus les distances du texte ovidien, en s’inspirant davantage des pièces de leurs prédécesseurs français. Environ la moitié des Héroïdes ne connaît pas de transposition théâtrale, et dans le cas de plusieurs personnages (Phèdre, Didon, Médée) les auteurs de théâtre négligent les relectures élégiaques proposées par Ovide en privilégiant les sources anciennes tragiques et épiques.Sans avoir la prétention de fournir des réponses exhaustives sur la question du rayonnement d’Ovide dans le théâtre tragique français des XVIe et XVIIe siècles, cette thèse ne constitue que la première étape d’un travail plus vaste. Cette première étape, néanmoins, aura permis de relever que les liens entre l’œuvre d’Ovide (notamment les Héroïdes) et le théâtre tragique français sont plus complexes que ce que l’on croit. / This thesis is a diachronic study of Ovidian tragedies published in France between the middle of the sixteenth century and the end of the seventeenth century, as well as a more focused study on those tragedies based on the Heroides.It is well known that French literature of this period is intimately linked to the Ovidian corpus: the poet’s writings were widely circulated and there was a proliferation of translations, rewritings and imitations, as well as theatrical adaptations and figurative transpositions. This diffusion and appropriation of Ovid’s works contributed to the birth of new literary genres and gave rise to the emergence of the phenomena of emulation which, as Marie-Claire Chatelain has shown, notably fostered the elaboration of the gallant and elegiac aesthetic in the second half of the seventeenth century. The extremely extensive and stratified nature of Ovid’s presence in French culture thus necessitates the utmost caution in this study.The study of these Ovidian tragedies firstly shows that the authors tended not to reveal their debt to Ovid in their liminary texts, preferring to cite classical authors that were considered more prestigious. Yet, especially in the first half of the seventeenth century, there are numerous cases of imitation that closely resemble the Ovidian model. Admittedly, the generally modest length of the poetic passages that Ovid grants to the myths he develops in his writings thus requires an impressive amount of amplificato, in which the Ovidian intertext is inevitably diluted. Moreover, the change in genre imposes certain constraints for the dramatist, inevitably leading to modifications not only at the level of elecutio and dispositio, but also inventio. While not everything can be represented on the French tragic stage, certain elements that may not feature in an Ovidian epistle or narrative inversely cannot be absent in a French tragedy of this period. The production of Ovidian tragedies was considerable in 1620 – 1630; it underwent a remarkable decline from 1640 – 1660 and then experienced a revival in the 1670s. The rise of lyrical tragedy, often on the subject of metamorphosis, led to the production of tragedies on this subject by a dynamic of emulation. If the influence of the Heroides on French tragic theatre is often held as certain, no systematic study had previously been carried out to verify this. The corpus of plays referenced here are those that deal with the heroines and the heroes of the collection. In the first half of the seventeenth century, one generally observes practices of imitation close to the model. Over the course of the century, however, authors increasingly distanced themselves from the Ovidian text, drawing more on the works of their French predecessors. Around half of the Heroides do not undergo a theatrical transposition and, in the case of several characters (Phèdre, Dido and Medea), the dramatists abandon the elegiac re-readings proposed by Ovid and instead draw from ancient tragic and epic sources.Without claiming to provide exhaustive answers to the question of Ovid’s influence on French tragedy of the sixteenth and seventeenth centuries, this thesis constitutes the first stage of a more extensive piece of work. This first step, however, reveals that the links between Ovid's work, with particular focus on the Heroides, and French tragedy are more complex than has been believed.

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