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Nyliberal politisk filosofi en kritisk analys av Milton Friedman, Robert Nozick och F.A. Hayek /

Blomgren, Anna-Maria. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Göteborg universitet. / Includes bibliographical references (p. [237]-241].
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Fundamentos del patriarcado moderno : Jean-Jacques Rousseau /

Cobo Bedia, Rosa. January 1995 (has links)
Reelaboración: Tesis doct.--Faculdad de ciencias políticas y sociología--Madrid--Universidad Complutense, 1991. / Bibliogr. p. 271-278.
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Die Organisation zwischen offener und geschlossener Gesellschaft : Athen oder Sparta ? /

Boerner, Sabine. January 1900 (has links)
Diss.--Berlin--Technische Universität, 1994. / Bibliogr. p. 237-261.
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Le nouveau républicanisme: théorie de la non-domination, égalité et différences

Wouekam Kuitche, Hermann January 2016 (has links)
Comment résoudre le problème politique de la coexistence des citoyens ? La question est d’actualité, mais elle ne se prête guère à une réponse simple. Face aux transformations modernes de l’identité démocratique, se pose toujours à la philosophie politique la question de savoir comment, dans une société « bien ordonnée » vivante, prendre en compte et en charge la diversité, c’est-à-dire la différence, sans pour autant nuire à l’idéal du respect des droits individuels. Deux modèles de gouvernement du fait diversitaire et des modes de vie sont examinés pour tenter d’y répondre : celui du multiculturalisme libéral, celui du républicanisme. Peuvent-ils s’articuler et à quelles conditions ? Peuvent-ils se suffire à eux-mêmes ? Le but de ce travail, ni anti-multiculturaliste ni anti-républicain, consiste à analyser par le biais de la philosophie néo-républicaine, qui révèle, à nos yeux, une « philosophie politique originale », la cohérence et la logique des arguments soutenus par les différents penseurs de ces modèles. Ainsi nous employons-nous à développer une position intermédiaire et synthétique qui remet en cause les points de vue opposés l’un à l’autre, soulignant les écueils de chacun. Nous démontrons que le potentiel conceptuel du néo-républicanisme permet à la philosophie politique de dépasser en conciliant, dans un point d’ancrage unique exprimant un même idéal : celui de non-domination dans la relation à l’Autre et aux institutions de gouvernement, la normativité collective du multiculturalisme et les impératifs centraux d’égalité et de liberté individuelle comme autonomie rationnelle du républicanisme. Selon nous, les valeurs fondamentales que s’efforcent de promouvoir les sociétés modernes multiculturalistes ne peuvent strictement être réductibles à leurs manières respectives d’aborder les processus d’affirmation identitaire. Mais elles devraient irrémédiablement, pour être admises par tous, revêtir le sceau de l’universel et être traductibles dans une valeur humaine d’importance que nous avons de bonnes raisons d’adopter, malgré nos différences : l’idiome de non-domination, idéal transculturel et transcontextuel qui transcende les particularismes, gage de stabilité et d’union sociales. Parce qu’elle déculturalise les traits d’appartenance pour une conception résolument universaliste de la liberté humaine, la théorie de la non-domination ménage un avenir commun pour tous les citoyens, quels que soient leurs appartenances et traits culturels, et assure à chacun les mêmes chances de liberté et d’égalité ; elle permet à chacun d’être considéré comme un « être moral » d’égale valeur et d’accéder au rang de personne libre. C’est pourquoi nous défendons l’idée-force que les individus porteurs d’identités multiples ne peuvent bénéficier d’une véritable autonomie-indépendance, dans le contexte des sociétés modernes et marchandes, au pluralisme marqué, que s’ils sont immunisés contre le pouvoir ou jugement arbitraire d’autres personnes, et jouissent d’un statut égal. Comment alors assurer cette égalité ? C’est tout l’enjeu de cette thèse, qui examine la philosophie multiculturaliste du « droit à la différence » et ses implications à la lumière du républicanisme de la non-domination.
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La question de la religion chez al-Fārābī (m. 338-339/950-951) : nature et fonction du religieux dans la Cité / The question of religion in al-Fārābī (d. 338-339/950-951) : nature and function of the religious in the City

Garmi, Yosra 09 December 2016 (has links)
Durant une période de grande instabilité en terre d’islam, Abū Naṣr al-Fārābī, philosophe d’expression arabe qui mourut au début de la seconde partie du Xe siècle, développa une théorie politique à mi-chemin entre la philosophie et la religion. Inspirée de la philosophie politique de Platon, qui conçut un modèle de cité idéale dans ses œuvres politiques majeures (La République, Le Timée, Les Lois) et de la société musulmane classique pour laquelle le premier gouvernant ou calife est un leader politique et religieux, cette théorie suppose l’élaboration d’une cité nouvelle adaptée à la culture musulmane nommée « la cité vertueuse » (al-madīna al-fāḍila). En son enceinte, la philosophie est considérée comme un art royal et sa pratique est réservée au premier chef ou gouvernant. Il en est de même pour la religion, qui la seconde et est considérée comme « vertueuse » (al-milla al-fāḍila) au moment où elle constitue un moyen à partir duquel le chef de la cité procède à l’instruction de ses concitoyens et leur permet d’accéder à l’obtention du bonheur en cette vie et dans une autre vie, située après la mort. Notre recherche vise ainsi à exposer les relations entre la religion et la philosophie au sein de la cité idéale conçue par Fārābī et dans ses modèles opposés (les cités vicieuses, corrompues et égarées et les religions qui leur sont apparentées). Visant plus spécifiquement la détermination de la nature et de la fonction du religieux dans la Cité, notre étude se décline en trois aspects. Le premier porte sur la biographie de Fārābī et son rapport à la religion. Le deuxième est consacré à l’examen d’un aspect de son œuvre conservée (corpus), à partir duquel nous avons tenté de révéler la nature et la fonction du religieux dans « la Cité », celle-ci étant entendue comme la version la plus idéalisée de son modèle de cité vertueuse qui fait l’objet de formes variées (petite, moyenne, grande assemblée humaine). Quant au dernier aspect de notre recherche, il s’intéresse à la réception de la théorie philosophico-religieuse du faylasūf dans l’œuvre de ses premiers successeurs et disciples en philosophie parmi les cercles musulman, juif et chrétien d’expression arabe (Avicenne, Maïmonide, Yaḥyā Ibn ‘Adī). / During a period of great instability in the land of Islam, Abū Naṣr al-Fārābī, an Arabic philosopher who died at the beginning of the second half of the tenth century, developed a political theory halfway between philosophy and religion. Inspired by the political philosophy of Plato, who conceived an ideal city model in his major political works (The Republic, The Timaeus, The Laws) and the classical Muslim society for which the first ruler or caliph is a political and religious leader, This theory presupposes the elaboration of a new city adapted to the Muslim culture called "the virtuous city" (al-madīna al-fāḍila). Within its walls, philosophy is considered a royal art and its practice is reserved for the first or governing ruler. It is the same for religion, which is the second and is considered "virtuous" (al-milla al-fāḍila) at the moment when it constitutes a means by which the head of the city proceeds to the instruction of his fellow citizens And gives them access to the attainment of happiness in this life and in another life, located after death. Our research aims at exposing the relations between religion and philosophy within the ideal city conceived by Fārābī and its opposing models (vicious, corrupt and misplaced cities and religions that are related to them). Focusing more specifically on the determination of the nature and function of the religious in the City, our study is divided into three aspects. The first relates to the biography of Fārābī and its relation to religion. The second is devoted to the examination of an aspect of his preserved work (corpus), from which we have attempted to reveal the nature and function of the religious in the "City", the latter being understood as the version More idealized of its model of a virtuous city that is the object of varied forms (small, medium, large human assembly). As for the last aspect of our research, he is interested in the reception of the philosophical-religious theory of the faylasūf in the work of his first successors and disciples in philosophy among the Moslem, Jewish and Christian circles of Arabic expression (Avicenna, Maimonides, Yaḥyā Ibn 'Adī).
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Le fondement ontologique de l’alterité. Une lecture africaine de la pensée bubérienne

Otepa Onema, Albert 09 February 2017 (has links)
De tout le temps, le monde a été toujours le théâtre des guerres fratricides, des conflits socio-politiques, des rivalités ethniques, tribales et même de la xénophobie parfois aigue. Ces phénomènes, tout en constituant une entrave pour la valorisation du poids ontologique, dévalorisent l’identité intrinsèque d’Autrui et font aboutir à une impasse la question du rapport à l’Autre. Cette même vision des choses se retrouve en Afrique. Car, avec ses lieux et pratiques de la tradition, il y a en même temps primauté et privilège accordés à l’autre dans le batissement d’une société qui favorise l’intégration de tous dans un exercice commun de la culture dialogale, laquelle intègre tous les individus dans un système à la fois symétrique, réflexif et intersubjectif, même si la mutation actuelle semble mettre en mal les acquis pourtant indispensables.<p></p> Ainsi, la pensée de M. Buber viendra proposer un tournant décisif pour sortir les humains de ce carcan déshumanisant. Il s’agit donc pour lui de restituer au moyen du dialogue et de la rencontre le sens de l’humain et du vivre ensemble. C’est dans cette perspective que l’objet de notre thèse intitulée « Le Fondement ontologique de l’altérité. Une lecture africaine de la pensée bubérienne » se veut d’apporter notre contribution à promouvoir l’amélioration des rapports interpersonnels afin de bâtir une société intersubjective dans laquelle se situe l’acceptation de la différence et des spécificités de chacun.<p></p> Telle est l’effectivité de la phéno-métaphysique comme voie par laquelle la reconnaissance de l’Autre et son re-placement devient nouvelle vision du code anthropologique et ouvre les voies à l’interculturalité. Les questions suivantes se posent: comment apprécier l’expression des formes identitaires communautaires (culture, nation, race, ethnie, etc.) où les sentiments d’appartenance sont particulièrement forts? Les identités collectives peuvent-elles librement se manifester sans faire un préjudice à l’altérité, dans une saine cohabitation des diversités? Quelles sont les représentations que construit l’imaginaire pour traduire les spécificités des différences? Ce sont autant de problématiques qui ont sous-tendu l’ensemble des réflexions développées dans cette thèse. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lectures contemporaines de Machiavel: la question de l'interprétation chez Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort

Marcotte Chénard, Sophie January 2011 (has links)
Dans cette thèse, nous cherchons à penser les enjeux philosophiques de l’application de méthodes herméneutiques en histoire de la philosophie politique. À partir d’une étude comparative des interprétations de l’œuvre de Nicolas Machiavel offertes par Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort, nous interrogeons le rapport que l’interprète institue avec le texte qu’il étudie. Nous montrons qu’il y a dans les trois cas un écart entre l’exposition théorique des principes herméneutiques et l’application effective de ces derniers. Nous soutenons que les divergences fondamentales entre les trois lectures des écrits machiavéliens ne trouvent pas leur fondement dans la différence des méthodes employées, mais proviennent en dernier lieu de la compréhension particulière qu’ils ont du rôle et du statut de la pensée de Machiavel. Autrement dit, nous cherchons à montrer que l’intérêt pour la signification de l’œuvre machiavélienne dépasse la simple analyse des écrits d’un auteur du passé; les trois interprètes entretiennent un rapport singulier à la pensée du secrétaire florentin. En ce sens, l’étude des herméneutiques de Strauss, Skinner et Lefort appliquées à Machiavel est indissociable d’une interrogation sur l’articulation entre interprétation et politique.
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Sade peintre de caractères ou la destitution des volontés d'absolu. Étude d'inspiration lefortienne

Paquette, Julie January 2012 (has links)
Dans cette thèse de pensée politique, nous examinerons certains des effets engendrés par l’œuvre du marquis de Sade. Nous chercherons à démontrer que le principal de ces effets est la destitution de toutes les tentatives d’ériger des « idoles ». Par « idoles » nous entendons tout ce qui est susceptible de se poser comme un « absolu » – qu’il s’agisse des idoles que l’on peut associer à l’Ancien régime (la monarchie de droit divin par exemple) ou celles, nouvelles, que la révolution pourrait être tentée de leur substituer (la vertu républicaine par exemple). Notre travail s’inspire d’un article de Claude Lefort, « Sade : le Boudoir et la Cité », selon lequel Sade ne peut être ramené à un promoteur du vice ou de la corruption – ce qui ne veut aucunement dire que son œuvre devrait être lue, à l’inverse, comme une défense de la vertu ou de l’incorruptibilité (révolutionnaires ou républicaines). Nous chercherons dans un premier temps à démontrer de quelle manière la destitution des idoles s’applique à des postures littéraires et philosophiques dont Sade a lui-même participé : libertinage, matérialisme et athéisme. Dans un second temps, nous nous concentrerons sur les opuscules politiques de Sade et sur ses engagements politiques. Aux termes de notre travail, apparaîtra alors un Sade, penseur d’une République fondée sur un mouvement d’ « institution/destitution », qui, à la lumière de ce qu’a théorisé Lefort, permet d’intégrer le doute et l’indétermination au sein d’une réflexion sur le politique.
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Le phénomène politique dans l’oeuvre de Leo Strauss / The political phenomenon in Leo Strauss’s work

Louis, Adrien 11 December 2013 (has links)
Leo Strauss nous dispose de bien des manières à attendre de son œuvre une philosophie politique forte et originale. Il nous y dispose en premier lieu par sa critique vigoureuse de la sociologie et de l’historicisme, et par sa défense non moins vigoureuse de la philosophie et de la possibilité de la philosophie politique. Il nous y dispose par-dessus tout par la manière dont il rend compte, dans ses introductions notamment, de l’impulsion de sa recherche : constatant une crise sans précédent dans les sociétés libérales et dans le rationalisme moderne constitutif de ces sociétés, Strauss nous invite à retrouver chez les Anciens une compréhension adéquate des phénomènes politiques, et un rationalisme qui soit pour ainsi dire fidèle à la condition politique de l’homme. D’un autre côté pourtant, son œuvre nous semble toujours nous dérober cette élucidation des choses politiques. Strauss ne dit en particulier rien des régimes, des partis, des guerres, des nations qui animèrent si violemment la politique moderne. Il ne semble considérer cette dernière qu’aux lumières de sa pointe nihiliste ou relativiste d’un côté, et de son origine dans les projets des premiers philosophes modernes – Machiavel, Hobbes, Spinoza. Et lorsqu’il revient aux Anciens, il nous livre des commentaires si pointus et si attentifs de leurs œuvres, qu’il décourage toute tentative d’en extraire des considérations plus générales. Il est vrai qu’il nous livre également des exposés généraux sur la philosophie politique classique, qu’il caractérise notamment par ces deux traits : sa fidélité à la perspective citoyenne sur les choses politiques, et l’attention centrale qu’elle porte à la question du régime. Mais comment se fait-il que le philosophe qui ne nous dise quasiment rien des régimes dans la politique moderne nous intéresse par ailleurs par-dessus tout à la question des régimes ? N’est-ce pas que son portrait paradoxal de la modernité, loin d’être dû à un oubli du politique, est en fait la contrepartie d’une réflexion sur la politique ? N’a-t-il pas pensé que la modernité se caractérisait précisément par un éloignement toujours plus décidé de la condition politique de l’homme ? Dans ce cas, en dépit de notre perplexité, il doit bel et bien y avoir une compréhension straussienne des choses politiques, que l’on doit pouvoir extraire de son œuvre. Quelle est cette compréhension et comment devons-nous en juger ? Telles sont les questions de cette thèse, qui se déploie en deux grandes parties : I. L’analyse straussienne de la politique moderne II. Le phénomène politique dans la philosophie politique classique. Nous avons ainsi soumis l’œuvre de Leo Strauss à un questionnement sur la nature des choses politiques, en trouvant chez d’autres auteurs tels Claude Lefort, Eric Voegelin, Aurel Kolnai et Pierre Manent, de quoi nourrir ce questionnement et mettre en perspective l’approche de Strauss. / Summary not transmitted
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Repenser les responsabilités des entreprises : propositions pour une philosophie politique du commerce

Néron, Pierre-Yves January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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