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L'architecte André Portier et l'art rocaille à Bordeaux / Architect André Portier and the rocaille in Bordeaux

Leulier, Renée 08 September 2018 (has links)
Quand André Portier (1702-1770) arrive à Bordeaux en 1730, la ville est encore enserrée dans ses remparts. Ce jeune architecte, formé chez Jacques V Gabriel, a déjà travaillé sous ses ordres. Son maître le fait nommer inspecteur des travaux de la place Royale, une tâche qui l'occupe durant un quart de siècle, de 1730 à 1755. Lorsque Jacques V meurt en avril 1742, son fils, Ange-Jacques Gabriel (1698-1782), poursuit son oeuvre à Bordeaux mais s'en désintéresse progressivement. Tourny, nommé intendant de la Guyenne en 1743, se tourne de plus en plus souvent vers Portier qui devient son architecte. Carrefours spacieux bordés de façades ordonnancées, entrées de ville élégantes et commodes reliées par des cours facilitent la circulation et répondent aux préoccupations hygiénistes de l'intendant. Le long du fleuve, l'aménagement de la façade des quais est l'un des plus bels embellissements de l'intendant Tourny et de son architecte. Partout les remparts s'effacent mais la barrière d'octroi demeure. Le marquis de Tourny remarque et encourage le réel talent d'urbaniste d'André Portier en favorisant ses desseins. Grâce à ce dernier, Bordeaux se trouve doté d'une périphérie qui élargit notablement l'espace urbain. L'architecte trace le périmètre de la cité future, en englobant la ville et sa banlieue dans le même système de voirie. Très vite, André Portier est sollicité par une clientèle privée : se procurer les services de l'inspecteur de la place Royale est pour les plus fortunés la seule solution envisageable afin de bénéficier du confort de nouveaux appartements et de montrer ainsi leur rôle social et leur fortune. Portier demeure cependant fidèle à la rocaille de ses années de formation malgré l'évolution du goût. / When André Portier ( 1702-1770 ) arrive to Bordeaux in 1730, the city is stil! enclosed in its ramparts. This young architect trained at Jacques V Gabriel has already worked under his orders. Its master makes him inspector of the works of the Place Royale, a task which occupies him during a quarter of century, from 1730 to 1755. When Jacques V died in April 1742, his son, Ange-Jacques Gabriel (1698-1782), continued his work in Bordeaux but it gradually loses interest. Tourny, appointed intendant of Guyenne in 1743, is turning increasingly to Portier who becomes his architect. Crossroads spacious lined facades scheduled, city entrances connected by elegant and convenient courses facilitate the circulation and respond to the concerns of the intendant hygienists. Along the river, the construction of the facade of the docks is one of the finest embellishments intendant Tourny and his architect. Everywhere the walls diseppear but the barrier remains award. The Marquis de Tourny notes and encourages real talent planner André Portier promoting his designs. With the latter, Bordeaux is equipped with a periphery that extends significantly the urban space. The architect traces the perimeter of the future city, encompassing the city and its suburbs in the same road system. Soon, André Portier is sought by private customers: get services inspector Place Royale is for the wealthy only solution to enjoy the comfort of new apartments and thus show their social role and their fortune. Portier has remained faithful to the rocaille of his formative years despite changing tastes.
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Redefining Place Through the Mazarinades: The Pont-Neuf and the Place Royale

Jellen, Nathan Kent 01 March 2016 (has links) (PDF)
In 1649, during the Fronde Parlementaire (1648-1650), Paris was teetering between opposing political camps that were trying to seize control of the city. The city's bourgeois parliament, in open rebellion to the political policies of King Louis XIV's Chief Minister, Cardinal Jules Mazarin, was raising an army and threatening to oust the Italian imposter. With the rise in violence within the city limits, Parisian printers and booksellers began circulating political propaganda in the form of booklets, mini-plays, brochures, and pamphlets that came to be known as mazarinades. Because these mazarinades—which took their name from the very man they were either attacking or defending—were often scathing in their criticism of the political forces at play within the city, they were rarely attributed to an identifiable author. But while the minds behind the matter were usually anonymous, the authors of the mazarinades made frequent reference to specific public places within Paris in an attempt to rally support to their cause. These public places, especially the Bourbon-constructed projects of the Pont-Neuf and the Place Royale, were depicted in new ways to transform Parisian perceptions of the functionality of those places and to alter the relationship between the city's inhabitants and their Bourbon royal family. This was done in an effort to manipulate public opinion and to redefine the urban culture of the city during the conflict.This thesis demonstrates that the mazarinades were altering their Parisian readers' perceptions of the Pont-Neuf and the Place Royale as they tried to sway public opinion in favor of their authors' partisan viewpoints of the citywide conflict. By appropriating these places and subsequently attributing specific political viewpoints and behaviors to their visitors, the authors of the mazarinades sought to change the way Parisians perceived those places and thus redirect the political atmosphere of the city. Public space became the critical intersection of the many political camps and emerged as a major thematic element in the many mazarinades circulating throughout Paris at that time.
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L'exploitation des archives dans le cadre du projet de restauration de Place Royale de Québec (1967-1996)

Yoakim, William 13 December 2023 (has links)
L'ensemble documentaire de Place Royale de Québec du fonds E6 du ministère des Affaires culturelles regroupe près de trente années d'archives (1960-1989) en provenance de différents créateurs et témoigne de façon globale du projet de restauration et de revalorisation de ce quartier historique. Cet ensemble constitue une trace de ce projet phare qui, au fil de l'évolution des contextes politique, bureaucratique, économique et culturel, mais également des réflexions concernant les choix de restauration effectués va devenir un fardeau pour le gouvernement provincial contraint de revenir aux archives pour justifier ses activités. La nature des archives ne cesse de monopoliser les discussions au sein de l'archivistique. Originellement perçues par les tenants d'une archivistique positiviste comme le reflet exact des activités d'un producteur, les archives sont progressivement pensées par les archivistes postmodernistes comme des objets sociaux et sociétaux incarnant en premier lieu la représentation que le producteur et la société ont des activités accomplies. Dernièrement, à partir de l'étude d'œuvres d'art contemporain, un nouveau courant de pensée né au Québec estime que la nature des archives ne se réduit pas à leur capacité à témoigner des activités d'un producteur, mais qu'elle s'inscrit dans le fait que les archives sont à la fois des objets physiques et construits intellectuellement. L'exploitation des archives se définit alors comme une rencontre effectuée entre un individu, ses connaissances, sa culture, son passé et un document, sa matérialité, son contenu et son historique dans un contexte donné. Grâce à l'étude des processus de production, d'utilisation, de classement et de diffusion des archives de Place Royale pour trois périodes historiques distinctes, ce travail interroge la relation des archives à leurs contextes de production et d'utilisation ainsi qu'aux personnes qui les créent, les utilisent et les conservent, selon leurs besoins. En parallèle, l'identification pour chacune de ces trois périodes historiques des différents acteurs et de leur relation aux documents qu'ils produisent, conservent et exploitent dans le cadre de leurs activités, démontre que l'exploitation des archives comme rencontre se situe à tous les niveaux du parcours documentaire et peut être étudiée dès la création des documents. L'ensemble de ces observations met alors en exergue qu'il existe une archivistique humaine forte des expériences de chacun des individus qui produisent et utilisent des documents et que l'archiviste doit prendre en considération cette réalité s'il veut pouvoir penser en profondeur ses activités et ses outils de travail.
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L’identité en projets : ville, architecture et patrimoine. Analyse de concours à Québec et à Toronto

Ben Jemia, Imen 10 1900 (has links)
Dans un contexte de globalisation et de profusion des discours identitaires, la thèse examine le concept d’identité, ses définitions et ses usages dans les débats et les pratiques de la ville, de l’architecture et du patrimoine. Les interventions sur un bâtiment historique révèlent autant le rapport identitaire de la société avec son histoire que celui avec le monde contemporain. La recherche traite de concours d’architecture dans deux villes canadiennes qui aspirent à se positionner à l’échelle internationale, l’une focalisant sur l’aspect contemporain global et l’autre sur l’aspect historique et local. L’objectif de la recherche est d’une part de contribuer au dévoilement du processus de construction identitaire des villes contemporaines à travers les projets d’architecture. D’autre part, il s’agit d’analyser le processus d’identification et l’identité architecturale dans son rapport à l’histoire et à la contemporanéité dans la pratique au sein de bâtiments historiques. La ville devient un objet de communication, qui use de marketing urbain, pour augmenter sa visibilité. L’architecture devient un moyen de communication utilisé pour transmettre une identité visuelle. La méthodologie combine l’analyse des discours, ainsi que l’analyse de l’architecture et de sa représentation. Le choix du concours du Centre d'accueil et d'interprétation de la Place-Royale à Québec (1996) et de l’agrandissement du Musée royal d’Ontario (2001) à Toronto permet d’appréhender les différentes facettes du concept d’identité et de révéler les enjeux locaux et internationaux. Le fait qu’il s’agisse de concours donne accès à un corpus de discours qui comprend les programmes, les politiques de la ville, les présentations des architectes et la réception. L’histoire de chaque concours ainsi que l’analyse sémantique des discours de la commande éclairent le rapport entre les processus et les intentions et permettent de mettre en lumière les enjeux locaux. L’analyse des discours textuels et visuels des architectes dévoile le processus d’identification des projets, les différents types de référents impliqués ainsi que les stratégies de communication employées. L’analyse des projets rend compte des caractéristiques de l’identité de l’architecture contemporaine et son rapport avec le patrimoine. La recherche dévoile l’importance des discours et de la communication dans la construction identitaire des villes en amont des concours ainsi que le débat sociétal que la question pose. Durant le processus d’identification architecturale, le biais induit par la commande amène une emphase et une surenchère des discours historiques par les architectes dans le cas de Québec. Les projets proposés misent sur une mise en scène de la ville historique et du patrimoine et focalisent sur l’expérience visuelle des visiteurs. Dans le cas de Toronto, l’intérêt pour l’aspect global et spectaculaire dans la construction identitaire de la ville en amont du concours, génère un engouement pour une représentation attractive des projets et pour une architecture iconique. / This thesis examines the concept of identity, its definitions and uses in the debates and practices of the city, architecture and heritage. Interventions on historic buildings reveal as much the relationship between the identity of society and its history as with the contemporary world. This research studies architectural competitions in two Canadian cities that aspire to be international, one focusing on the contemporary and global aspect (Toronto) and the other on the historical and local aspect (Quebec City). The objective of this research is on the one hand, to unravel the process of identity construction of the contemporary city through architectural projects. On the other hand, it is to analyze the process of identification and the architectural identity in its relation to history and contemporaneity in architectural practice of historic buildings. The methodology used in this study combines discourse analysis and analysis of the architecture and its representation. The choice of the competition of Place-Royale Interpretation center in Quebec City (1996) and the competition for the expansion of Royal Ontario Museum (2001) in Toronto reveals the concept of identity’s different facets. The history of each competition and semantic analysis of the documentation clarify the relationship between processes and intentions and help to highlight local issues. The analysis of both textual and visual discourses of architects’ proposals reveals the process of identification of the projects, the different types of references involved and the communication strategies employed. The analysis of the projects reflects the identity characteristics of contemporary architecture. This research reveals the importance of discourses and communication in the construction of cities’ identity, and the societal debates that these questions provoke. During the process of architectural identification, the specific approach of the brief, in the case of Quebec City, prompts a discourse with a historical focus by the architects. The proposed projects are presented within the historical setting and focus on the visual experience of visitors. In the Toronto case, the interest on the global and spectacular in the city’s identity construction generates enthusiasm for an attractive representation of the projects and for iconic architecture.
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L’identité en projets : ville, architecture et patrimoine. Analyse de concours à Québec et à Toronto

Ben Jemia, Imen 10 1900 (has links)
Dans un contexte de globalisation et de profusion des discours identitaires, la thèse examine le concept d’identité, ses définitions et ses usages dans les débats et les pratiques de la ville, de l’architecture et du patrimoine. Les interventions sur un bâtiment historique révèlent autant le rapport identitaire de la société avec son histoire que celui avec le monde contemporain. La recherche traite de concours d’architecture dans deux villes canadiennes qui aspirent à se positionner à l’échelle internationale, l’une focalisant sur l’aspect contemporain global et l’autre sur l’aspect historique et local. L’objectif de la recherche est d’une part de contribuer au dévoilement du processus de construction identitaire des villes contemporaines à travers les projets d’architecture. D’autre part, il s’agit d’analyser le processus d’identification et l’identité architecturale dans son rapport à l’histoire et à la contemporanéité dans la pratique au sein de bâtiments historiques. La ville devient un objet de communication, qui use de marketing urbain, pour augmenter sa visibilité. L’architecture devient un moyen de communication utilisé pour transmettre une identité visuelle. La méthodologie combine l’analyse des discours, ainsi que l’analyse de l’architecture et de sa représentation. Le choix du concours du Centre d'accueil et d'interprétation de la Place-Royale à Québec (1996) et de l’agrandissement du Musée royal d’Ontario (2001) à Toronto permet d’appréhender les différentes facettes du concept d’identité et de révéler les enjeux locaux et internationaux. Le fait qu’il s’agisse de concours donne accès à un corpus de discours qui comprend les programmes, les politiques de la ville, les présentations des architectes et la réception. L’histoire de chaque concours ainsi que l’analyse sémantique des discours de la commande éclairent le rapport entre les processus et les intentions et permettent de mettre en lumière les enjeux locaux. L’analyse des discours textuels et visuels des architectes dévoile le processus d’identification des projets, les différents types de référents impliqués ainsi que les stratégies de communication employées. L’analyse des projets rend compte des caractéristiques de l’identité de l’architecture contemporaine et son rapport avec le patrimoine. La recherche dévoile l’importance des discours et de la communication dans la construction identitaire des villes en amont des concours ainsi que le débat sociétal que la question pose. Durant le processus d’identification architecturale, le biais induit par la commande amène une emphase et une surenchère des discours historiques par les architectes dans le cas de Québec. Les projets proposés misent sur une mise en scène de la ville historique et du patrimoine et focalisent sur l’expérience visuelle des visiteurs. Dans le cas de Toronto, l’intérêt pour l’aspect global et spectaculaire dans la construction identitaire de la ville en amont du concours, génère un engouement pour une représentation attractive des projets et pour une architecture iconique. / This thesis examines the concept of identity, its definitions and uses in the debates and practices of the city, architecture and heritage. Interventions on historic buildings reveal as much the relationship between the identity of society and its history as with the contemporary world. This research studies architectural competitions in two Canadian cities that aspire to be international, one focusing on the contemporary and global aspect (Toronto) and the other on the historical and local aspect (Quebec City). The objective of this research is on the one hand, to unravel the process of identity construction of the contemporary city through architectural projects. On the other hand, it is to analyze the process of identification and the architectural identity in its relation to history and contemporaneity in architectural practice of historic buildings. The methodology used in this study combines discourse analysis and analysis of the architecture and its representation. The choice of the competition of Place-Royale Interpretation center in Quebec City (1996) and the competition for the expansion of Royal Ontario Museum (2001) in Toronto reveals the concept of identity’s different facets. The history of each competition and semantic analysis of the documentation clarify the relationship between processes and intentions and help to highlight local issues. The analysis of both textual and visual discourses of architects’ proposals reveals the process of identification of the projects, the different types of references involved and the communication strategies employed. The analysis of the projects reflects the identity characteristics of contemporary architecture. This research reveals the importance of discourses and communication in the construction of cities’ identity, and the societal debates that these questions provoke. During the process of architectural identification, the specific approach of the brief, in the case of Quebec City, prompts a discourse with a historical focus by the architects. The proposed projects are presented within the historical setting and focus on the visual experience of visitors. In the Toronto case, the interest on the global and spectacular in the city’s identity construction generates enthusiasm for an attractive representation of the projects and for iconic architecture.
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Processus de formation et de transformation de Place Royale à Québec : une histoire opérationnelle de son bâti et tissu urbain : une redécouverte des règles génératrices

Santos, Luiza 13 November 2023 (has links)
Ce mémoire propose une lecture nouvelle sur la restauration réalisée à Place Royale dans la basse ville historique de la ville de Québec, à travers les décisions sur le plan architectural et morphologique. Cette recherche révèle les intentions concrétisées par les travaux à la fois à l'échelle urbaine, architecturale et des intérieurs, en combinant les informations trouvées dans les archives, observées dans le cadre bâti et expliquées dans les références d'histoire. Plusieurs décisions illustrent des contradictions dans la mise en valeur du patrimoine. Elles témoignent d'une ambivalence entre les ambitions touristiques associées à la commémoration et celles d'être un lieu habité lié à un patrimoine vivant intégré au présent. La rénovation entre 1957 et 1999 des 85 bâtiments qui composent le secteur Place Royale, traduisent une volonté de représenter la Nouvelle-France tout en ménageant une anxieuse modernité. Ce mémoire puise dans l'abondante documentation produite à partir de 1955 pour mieux comprendre et investir ce patrimoine bâti, notamment dans la perspective de travaux d'entretien amorcés et futurs, afin d'orienter les méthodes d'intervention en patrimoine. Au-delà de l'image sociale et touristique de la ville de Québec, la place royale devient une occasion de questionner les fondements théoriques et méthodologiques de l'intervention architecturale en patrimoine au Québec, dénoncé en juin 2020 par le VGQ. Plus spécifiquement, la recherche permet de répondre à la question suivante : quels sont les caractères essentiels du bâti et de cet ensemble urbain qui permettent d'établir ses règles de composition ? Un patrimoine vécu demande d'être réinvesti à chaque génération, et le cas de Place Royale ouvre de nouvelles hypothèses sur ce qui peut être fait, ou non, pour concilier les attentes du présent face aux legs du passé. Cela permet de resituer l'identité culturelle et bâtie du lieu, de contribuer à intégrer les connaissances historiques, archéologiques et architecturales pour le grand public et les milieux professionnels dans leurs actions sur ce patrimoine bâti. / This dissertation proposes a new reading of the restoration of Place Royale in the historic lower town of Quebec City, through decisions on the architectural and morphological level. This research reveals the intentions of the work at the urban, architectural, and interior levels, combining information found in the archives, observed in the built environment, and explained in the history references. Several decisions illustrate contradictions in the enhancement of its built heritage. They show an ambivalence between the tourist ambitions associated with commemoration and those of being an inhabited place linked to a living heritage integrated into the present. Between 1957 and 1999, Place Royale's 80 buildings were renovated to replicate a representation of New France while maintaining an anxious modernity in several design decisions. This memoir took advantage of the abundant documentation produced from 1955 to better understand and investigate this built heritage. This research is critical to inform the heritage intervention methods considering the ongoing and future maintenance works. Beyond the social and tourist image of Quebec City, Place Royale becomes an opportunity to question the theoretical and methodological foundations of architectural intervention in heritage in Quebec, denounced in June 2020 by the Auditor general (VGQ). More specifically, to answer the following question: what are the essential characteristics of the building and this urban ensemble that allow us to establish its compositional rules? A lived heritage needs to be reinvested in each generation, and the case of Place Royale opens new hypotheses on what can be done, or not, to reconcile the expectations of the present with the legacies of the past. This allows the cultural and built identity of the place to be resituated, to contribute to the integration of historical, archaeological, and architectural knowledge for the public and professionals.
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Vestiges matériels et mode de vie : archéologie de six maisonnées bourgeoises de Québec et de Louisbourg au milieu du XVIIIe siècle

L'Anglais, Paul-Gaston 25 May 2024 (has links)
« Le présent ouvrage s'intéresse au mode de vie de six familles dans les colonies françaises d'Amérique, au milieu du XVIIIe siècle, à partir de leur culture matérielle. Il se divise en trois parties, chacune regroupant un ou plusieurs chapitres. La première partie, qui englobe les trois premiers chapitres, se veut l'étude de deux collections archéologiques retrouvées à Place-Royale à Québec, soit les dépôts des latrines des maisons Dunière et Perthuis. Après avoir survolé l'historique des différentes occupations qu'ont connues ces terrains, depuis leur première concession jusqu'à nos jours, nous nous arrêtons à l'étude du mode de vie des familles pour lesquelles des vestiges matériels ont été récoltés. Ces artefacts sont examinés et classés selon deux facettes, soit leur matériau et les usages auxquels ils ont pu être soumis. La seconde partie, étalée sur deux chapitres, nous amène à Louisbourg, capitale de la colonie française de l'île Royale. Nous y avons choisi cinq dépôts de nature semblable, retrouvés sur les terrains des maisons Rodrigue, de La Perelle, Verrier, Bigot et de Gannes. Chacun, étudié distinctement, est traité de manière identique aux dépôts de Québec. Le cinquième chapitre s'attarde sur la comparaison des assemblages de ces collections. Nous laissons toutefois de côté la collection Dunière, trop peu représentative. Enfin, un sixième et dernier chapitre nous amène à tracer et à comparer, de façon globale, le mode de vie de ces familles bourgeoises d'administrateurs, ingénieurs, marchands et militaires. Nous nous intéressons alors tant à leurs vestiges matériels qu'à leurs possessions foncières, leurs biens immobiliers, l'aménagement de leur propriété et au nombre de personnes occupant la résidence. »--Page iii
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Un indice céramique du XVIIIe siècle : la céramique et le statut socio-économique des habitants de la place d'Youville au XVIIIe siècle

Cloutier, Pierre 11 April 2018 (has links)
La céramique est utilisée depuis longtemps par les archéologues comme élément d'analyse privilégié. Un indice de la valeur des céramiques du XIXe siècle, créé par George Miller, permet même d'établir un lien entre celles-ci et le statut socio-économique des utilisateurs. Notre étude cherche à poser les bases d'un tel indice pour le XVIIIe siècle. Une recherche documentaire, principalement axée sur les inventaires après décès, a permis d'établir la valeur comparative, à Québec, de quatre objets - assiette, tasse, plat et jatte - de céramique de différentes qualités pour la période allant de 1730 à 1775. Utilisant comme base comparative la faïence blanche fine, nous avons réussi à établir la valeur relative de neuf matériaux céramiques différents par tranche chronologique d'une quinzaine d'années. Pour vérifier la fiabilité de cet indice, nous avons confronté l'indice créé au matériel céramique provenant de trois sites contemporains de la ville de Québec: le faubourg Saint-Jean, la côte du Palais et Place-Royale. Le site du faubourg Saint-Jean servant de point de départ à notre questionnement, nous nous attardons sur les détails de son histoire de même que sur la population qui l'a composé. Au XVIII siècle, ces trois sites étaient habités par des gens de classes sociales nettement différentes, d'où les possibilités comparatives de l'indice céramique du XVIIIe siècle. Les conclusions qui se dégagent de cette comparaison permettent de croire à l'efficacité de l'indice céramique du XVIIIe siècle. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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