• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 51
  • 3
  • 3
  • Tagged with
  • 58
  • 20
  • 11
  • 9
  • 9
  • 9
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 5
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
41

Le De gratia noui Testamenti, synthèse de la doctrine augustinienne de la grâce / The De gratia noui Testamenti, synthesis of Augustine’s doctrine of grace

Descotes, Pierre 03 December 2012 (has links)
Le De gratia noui Testamenti (= epistula 140), lettre-traité composée par l’évêque d’Hippone au début de l’année 412, présente la pensée d’Augustin sur les rapports entre grâce divine et liberté humaine d’une manière remarquablement synthétique – en raison de ses circonstances de rédaction tout d’abord, qui le placent à la croisée de polémiques très diverses, et de son originalité littéraire, qui le rattache simultanément à plusieurs genres. Cette thèse comporte trois parties. Nous proposons tout d’abord une introduction au traité, afin d’en présenter les principaux aspects – dont les problèmes historiques qu’il pose, les questions littéraires qu’il soulève et les aperçus qu’il offre sur la pensée d’Augustin. Nous en avons ensuite, à partir d’une étude de sa tradition manuscrite, établi l’édition (qui corrige celle du CSEL, datant du début du XXe siècle) et la traduction. Enfin, notre commentaire s’attache à éclairer les passages problématiques de la lettre, pour en dégager les principaux intérêts historiques, littéraires et théologiques. / The De gratia noui Testamenti (= epistula 140), which is both a treatise and a letter composed by the Bishop of Hippo Regius at the beginning of year 412, presents Augustine’s thoughts on the connections between divine grace and human freedom in a remarkably synthetic way, first because of the circumstances in which it was written, which place it at the junction of very different debates, and secondly because of its originality on a literary point of view, which links it to several genres. This thesis comprises three parts. First, we propose an introduction to the treatise, which presents its main aspects – among which, the historical problems it poses, the literary questions it raises and the insight it offers into Augustine’s way of thinking. Then we have established the edition (which corrects that of the CSEL, which dates from the beginning of the 20th century) and the translation from a study of its manuscript tradition. Finally, our commentary strives to enlighten the debatable passages of the epistle in order to highlight its main historical, literary and philosophical interests.
42

L’écriture inclusive en France : Étude comparative des arguments avancés dans le débat scientifique et dans la presse / Inclusive language in France : Comparative study between arguments in the scientific debate and inthe press

Biéla Enberg, Christina January 2022 (has links)
La langue française ne possède que deux genres: le masculin et le féminin. Grammaticalement, le genre masculin l’emporte sur le féminin, par exemple en accordantles adjectifs en genre et en nombre. L’écriture inclusive vise à neutraliser la langue pour la rendre non discriminante envers les femmes mais aussi envers les personnes non binaires. Le langage inclusif suscite des débats importants en France depuis la formation d’une commission de terminologie en 1984, chargée de la féminisation des noms de métiers et de titres. En 2017, le premier manuel scolaire rédigé en écriture inclusive est publié enflammant cette question rendue publique. Par cette étude, nous avons l’intention de comprendre dans quelle mesure le débat dans la presse sur l’écriture inclusive est construit sur les mêmes arguments que ceux développés par les chercheurs dans ce domaine. Dans cette optique, nous avons créé et étudié un corpus basé sur six articles scientifiques traitant de l’écriture inclusive, ainsi qu’un corpus d’étude composé de vingt-et-un articles de presse datant de 2017 à 2022. Nous avons ensuite analysé, catégorisé et comparé les arguments favorables et défavorables concernant l’écriture inclusive développés dans le corpus de presse avec ceux avancés dans les articles scientifiques. Nos données montrent que quasiment les mêmes sujets autour du langage inclusif sont traités par les journalistes de presse et par les chercheurs. Cependant, les angles d’approche diffèrent naturellement : les scientifiques creusent plus en profondeur le sujet afin d’étayer leurs arguments tandis que l’objectif des journalistes reste d’expliquer et de commenter une question d’actualité. Finalement, nous avons pu constater qu’il existe bien une symétrie entre les arguments avancés par les chercheurs et ceux présentés dans les articles de presse même si les perspectives sont relativement éloignées. / The French language has only two genders: the masculine and the feminine. Grammatically  speaking, the masculine gender prevails over the feminine gender, for example in the agreement of adjectives in gender and in number. Inclusive writing aims to neutralize the language as to make it non-discriminating towards women and, to a certain extent, towards non-binary people. The debate over the gender-neutralized language has been going on in France since the establishment of a terminology commission in 1984, in charge of the feminization of job names and titles. In 2017 the first textbook using inclusive writing was published, stirring up a hot public debate. Our intention with this study is to understand to what extent the debate in the press about inclusive writing is based on the same arguments as the ones developed by researchers in this field. To this end, we created and studied a reference-based corpus including six scientific articles dealing with inclusive language as well as a study corpus composed of twenty-one newspaper articles from 2017 to 2022. We then analysed, categorised, and compared the for and against inclusive writing developed in the press corpus with those put forward in the scientific articles. Our data show that practically the same topics around inclusive writing are discussed by press journalists and by researchers. However, the approaches are naturally different as the researchers go deeper into the subjects in order to support their arguments, whereas the purpose of the journalists is to explain and comment on current issues. Finally, we could see that there is a symmetry between the arguments put forward by the researchers and those presented in the newspaper articles even though their perspectives are relatively distant from one another.
43

Jacques Ferron : polémiste ou pamphlétaire? Analyse des lettres au Devoir (1960-1969)

Gélinas, Marc-André 13 April 2018 (has links)
Jacques Ferron a écrit 197 lettres dans différents journaux et revues du Québec. De cet ensemble, 47 lettres forment le corpus à l'étude. Toutes ces lettres ont été écrites entre 1960 et 1969 et on les retrouve dans les pages du Devoir. La pratique de la lettre ouverte chez Ferron est méconnue et très peu étudiée. La manière dont Ferron l'utilise pour s'exprimer est au coeur de ce mémoire. Le traitement des cibles et la construction de l'ethos sont les éléments importants qui ont été analysés pour comprendre comment Ferron entre en relation avec ses adversaires et comment il se présente dans les lettres pour assurer la crédibilité de sa parole. Par la suite, le choix d'un discours, polémique ou pamphlétaire, et les conséquences d'un tel choix sur l'écriture ont fait l'objet d'une analyse, tout en tenant compte d'une perspective chronologique. Observer la manière dont Ferron pratique la lettre ouverte nous a amené à constater qu'il entretient des relations conflictuelles surtout avec des cibles ayant un lien direct ou indirect avec le pouvoir. Dans ces confrontations, Ferron tente de présenter l'image de celui qui est instruit et solidaire des préoccupations de la population tout en défendant son indépendance d'esprit. Quant au choix des discours, Ferron semble privilégier, tôt dans la décennie, le discours polémique, voulant ainsi entretenir le dialogue avec l'autre. Par contre, plus la décennie avance, plus le discours pamphlétaire et une forme hybride (présence dans une même lettre du discours pamphlétaire et polémique) s'imposeront comme choix. Il semble évident que le discours public de Ferron dans les lettres aux journaux se radicalise avec le temps.
44

Contra Thomam : un aperçu de l’antithomisme à la fin du XIIIe siècle et au début du XIVe / Contra Thomam : an insight into Antithomism at the end of the XIIIth and beginning of the XIVth Centuries

Robin Fabre, Anne-Sophie 29 June 2013 (has links)
Cette thèse porte sur la pertinence du concept historiographique d’ « antithomisme » appliqué à l’histoire intellectuelle de la fin du XIIIe siècle et du début du XIV. Elle se compose d’une première partie sur le contexte historique de la période 1274-1323 et sur l’émergence de débats dans de nombreux centres intellectuels consacrés à l’héritage de la doctrine de Thomas d'Aquin. Elle s’attache pour cela à mettre en avant les différentes discussions qui apparaissent lors de la première réception des œuvres de Thomas d'Aquin : censures, polémiques entre dominicains et franciscains, apparition de législation sur la lecture des ses œuvres, etc. Le travail se poursuit, dans une seconde partie, avec l’étude plus approfondie de deux auteurs de la fin du XIIIe siècle ayant été qualifiés d’ « antithomistes » par l’historiographie contemporaine : Roger Marston, OFM, et Dietrich de Freiberg, OP. Leur rejet de la noétique thomasienne est ici étudié dans son aspect doctrinal et textuel. / The purpose of this PhD is to examine the accuracy of the concept of « antithomism » when applied to late XIIIth and early XIV th intellectual history. I firstly adress the historical context, from 1274 to 1324, and the arguments involving the theaching of Aquinas in various intellectual domains. In doing so I underline the various debates that occur about how to understand Aquinas(work looking specifically at censorship, the controversies between Franciscans and Dominicans and first rules about the various readings of Aquinas’works. The second part goes into further depth about the work of two scholars of the late XIIIthe century, who have been frequently labelled « antithomists » in today’s historiography : Roger Marston, OFM, and Dietrich of Freiberg, OP. I intend to examine how they refuse Thomas’noetic, from both a doctrinal and textual point of view.
45

L'exemple d'une polémique médicale au XVIe siècle : médecins contre apothicaires, une querelle de corporations / An example of a medical controversy in the 16th century : doctors against apothecaries, a corporate polemic

Di Paolo, Gaëlle 22 September 2018 (has links)
Ce travail de recherche s’appuie sur un corpus de cinq ouvrages de médecine, publiés entre 1532 et 1558. Ces ouvrages sont porteurs d’une dimension polémique en opposant deux corporations médicales : les médecins et les apothicaires. En 1532, un célèbre médecin lyonnais, Symphorien Champier, fustige les erreurs des apothicaires sur les simples médecines dans son Myrouel des appothicaires. En 1553, un médecin poitevin, Sébastien Colin, dénonce à son tour, dans sa Declaration des abuz et tromperies que font les Apothicaires, le manque de connaissances des apothicaires et s’indigne de leur peu de moralité. Face à l’animosité de cette deuxième attaque, l’apothicaire Pierre Braillier s’attèle à défendre l’honneur de ses pairs. Il publie en 1557 sa Declaration des abus et ignorances des Medecins, […] Pour responce contre Lisset Benancio dans laquelle il reprend point par point les accusations de Colin pour les retourner contre les médecins. En 1558, le médecin Jean Surrelh cherche alors à redorer l’image écornée de sa corporation dans son Apologie des medecins contre les calomnies, & grand Abus de certains Apothicaires. Pierre Braillier lui répond quelques mois plus tard dans ses Articulations […] sur l’apologie de Jean Surrelh. En parallèle du projet d’édition des cinq textes du corpus qui constituent le second volume de cette thèse, le premier volume propose une analyse de cette polémique médicale. Nous avons voulu observer comment le discours de chacun de ces quatre auteurs est influencé par son appartenance à la corporation des médecins ou bien à celle des apothicaires. Pour ce faire, nous avons privilégié trois angles d’analyse : un premier sur l’ancrage du discours des auteurs dans le contexte scientifique et idéologique de la Renaissance, un deuxième axé sur les divergences des pratiques entre ces deux corporations concurrentes et un dernier davantage orienté sur l’intérêt lexical et linguistique de cette polémique corporatiste. La contextualisation a ainsi permis d’observer comment chaque auteur se positionne en tant que professionnel par rapport aux principes fondateurs de l’art de médecine. Chacun revendique la vertu et la grandeur de sa corporation en s’appuyant sur la référence des auctoritates ou sur la Bible, ou bien au contraire en dénigrant les sources citées comme autorité par l’adversaire. Par la même occasion, chaque participant à cette polémique cherche à se construire un ethos positif tant comme professionnel que comme auteur, tout en discréditant les membres de la corporation adverse. Si l’apothicairerie est distincte de la médecine à la Renaissance – tant au niveau des pratiques, que du domaine d’intervention et du cadre légal d’exercice des professionnels – les pratiques concurrentielles entre médecins et apothicaires perdurent à la Renaissance et entachent les relations de ces collègues. Dans le corpus d’étude, l’intérêt du patient devient un objet secondaire du discours puisqu’il s’agit pour chaque auteur de blâmer la corporation adverse afin de défendre la légitimité de la sienne. Le lecteur se voit par la même occasion attribuer une place de choix puisqu’il est présenté comme juge de cette querelle, dans un double intérêt. En plus de revendiquer à la face du monde la reconnaissance sociale méritée, chaque auteur se justifie des traitements reçus, enjoignant de facto de potentiels patients à préférer sa corporation. L’appartenance corporatiste marque également le lexique scientifique et technique. Nous avons aussi interrogé le rapport de chaque auteur à la langue latine, tenue encore comme langue européenne du savoir à la Renaissance, et au français, langue dominante du corpus. Si les médecins utilisent encore un lexique scientifique en latin, l’apothicaire Pierre Braillier revendique l’usage exclusif du français, circonscrivant par la même occasion le latin à un usage parodique. / This research is built on a corpus of five medicals books, published between 1532 and 1558. The corpus takes a polemical dimension by opposing two medicals guilds: the doctors and the apothecaries. In 1532, a famous doctor from Lyons, Symphorien Champier, criticizes the apothecaries’ errors concerning the simples in his book, Myrouel des appothicaires. In 1553, a Poitevin doctor, Sébastien Colin, in his Declaration des abuz et trumperies que font les Apothicaires, also denounces the apothecaries’ absence of knowledge and deplores their lack of ethics. Facing the hostility with this second offensive, the apothecary Pierre Braillier wants to defend the honour of his peers. In 1557, he publishes his Declaration des abus et ignorances des Medecins, […] Pour responce contre Lisset Benancio. In his book, he takes the same criticisms as Colin has, but in order to charge the doctors. In 1558, doctor Jean Surrelh wants to restore the doctors’ reputation in his book, Apologie des medecins contre les calomnies, & grand Abus de certains Apothicaires. Pierre Braillier responds to him a few months later in his Articulation […] sur l’apologie de Jean Surrelh. In parallel with the edition of the five texts which constitute the second volume of this research, the first volume is a global study of this medical polemic. We have wanted to examine how the discourse of each of these authors is impacted by his corporate belonging. To that end, we have chosen three focuses: the first is about the anchoring of the authors’ discourse in the scientific and ideological environment, the second is focused in the divergent practices between the two guilds, and the third is about the lexical and linguistic interest of this corporate polemic. The contextualisation reveals how every author positions himself as a professional against the founding principles of the art of medicine. Building on the auctoritates or Bible references or denigrating the sources referred to by the opponent, everyone claims the morality and the greatness of his corporation. At the same time, each author wants to build a positive image of his corporation, discrediting the members of the opposing corporation. During the Renaissance, the apothecary is distinct from the medicine, concerning the activities as well as the legal framework of the exercising of the professionals. Indeed, the competitive practice between doctors and apothecaries continues and tarnishes the relations between these colleagues. In the corpus, the interest of the patient becomes a secondary object of the discourse, because every author wants to blame the opposing guild, in order to defend the legitimacy of her own. The reader is then assigned an important place because he’s presented as a judge in this polemic with a double interest. In addition to relying on the well-deserved social acknowledgement, every author wants to justify his treatments and enjoins the future patients to turn over his corporation. The corporatist affiliation also haunts the scientific and technic lexicon. We have also examined the relationship of every author with the Latin, still considered as the European language of knowledge in the 16th century, and the French, prevailing language in the texts’ corpus. The doctors use a scientific lexicon in Latin, but the apothecary, Pierre Braillier, claims the exclusive use of the French and he confines the Latin to a parodic use.
46

Anegnôn - Egnôn - Kategnôn. Aspects littéraires de la polémique antichrétienne dans l'Antiquité / Anegnôn - Egnôn - Kategnôn. Literary features of anti-Christian polemics in Antiquity

Piscini, Gianluca 13 December 2018 (has links)
Ce travail porte sur les fragments du Discours véritable de Celse, du Contre les chrétiens de Porphyre, du Discours ami de la vérité adressé aux chrétiens d’Hiéroclès et du Contre les Galiléens de Julien. Son but est d’étudier la façon dont ces traités antichrétiens se rattachent à la tradition littéraire de l’Antiquité. Dans une première partie, nous discutons des problèmes liés à l’étude de ces œuvres. Dans une deuxième partie, nous étudions l’emploi polémique des références littéraires chez les polémistes. Une troisième partie est consacrée aux attaques ad hominem contre les personnages bibliques et contre les chrétiens. Enfin, une quatrième partie étudie la forme littéraire de ces œuvres : le choix du titre et du public, mais aussi la structure et le genre littéraire. / This work deals with the fragments of Celsus’ True Discourse, Porphyry’s Against the Christians, Hierocles’ Truthful Discourse to the Christians and Julian’s Against the Galileans. Its purpose is to study the way these anti-Christian treatises use the literary tradition of Antiquity. In the first part, we discuss some problems related to the study of these works. In a second part, we study the polemical use of literary references in these texts. A third part is devoted to ad hominem attacks against biblical characters and against Christians. Finally, a fourth part studies the literary form of these works : the choice of the title and the audience, but also their structure and their literary genre.
47

Le Législateur incertain. Recherches sur la contribution ascétique de Basile de Césarée / The Uncertain Legislator Research on Basil of Caesarea’s Ascetic Contribution

Perrot, Arnaud 12 December 2016 (has links)
Dans la floraison d’écrits monastiques produits au IVe siècle, les Ascetica attribués à Basile de Césarée ont tenu une place particulière, qui est bien connue. Pourtant, la formation du corpus asceticum, le processus d’éditions multiples dont il a été l’objet, mais aussi les options doctrinales qu’il diffuse n’ont pas été éclaircis de façon satisfaisante. Sur la base d’éléments textuels jusqu’ici négligés, le présent travail se propose de réécrire l’histoire du texte et d’interroger la paternité basilienne de la collection. Il existe, en effet, depuis le Ve siècle au moins et jusqu’à l’époque moderne, un courant minoritaire qui doute de l’opportunité d’attribuer le « livre ascétique » au grand Basile et préfère lui donner pour auteur un autre évêque du IVe siècle, Eustathe de Sébaste, moins estimé de la tradition ecclésiastique. Si le doute sur la paternité basilienne des Ascetica est permis, alors il convient de réévaluer la place de Basile de Césarée dans l’histoire littéraire du mouvement monastique. C’est ce que nous nous proposons de faire dans cet ouvrage, en relisant de près des pièces littéraires qui, jusqu’à présent, n’étaient présentées que comme des « annexes » au dossier des Ascetica. / The Ascetica transmitted under the name of Basil of Caesarea have a special importance among the numerous monastic writings which emerged in the 4th century. If this point is very well-known, the gathering of the corpus asceticum, the multiple antique editions of the collection, and the doctrinal options which are found in this sum have not been really enlightened. On the basis of neglected textual and paleographic evidence, the present work aims at rewriting the history of the text and questioning the basilian paternity of the collection. From the 5th century to the Modern Times, some readers refused the attribution of the Ascetica to Basil the Great and preferred to ascribe them to another (but problematic) bishop of the 4th century: Eustathius of Sebasteia. If there are good reasons to reject the basilian paternity of the collection, it is necessary to reevaluate the role played by Basil of Caesarea in the literary history of the monastic movement. In the present volume, I try to re-read some literary texts which, until now, were just regarded as appendices to the dossier of the Ascetica.
48

Trajectoires de l’Aufklärung : autour de la polémique Kant-Herder

Ferland, Vincent 01 1900 (has links)
No description available.
49

Le rire des sages : l'humour dans la Mishna et la Tosefta / Laughing rabbis : humor in the Mishna and the Tosefta

Ohali, Avigail 15 September 2017 (has links)
Grâce à sa vaste production littéraire, le judaïsme rabbinique, d’abord minoritaire, est devenu l’orthodoxie juive à la fin de l’antiquité. Les écrits rabbiniques ne cherchent pas à faire rire, mais nous avons constaté que les études académiques sur l’humour des rabbins de l’antiquité contribuent de manière significative à la compréhension des textes rabbiniques. Ces études ainsi que les théories modernes sur l’humour, les outils d’analyse littéraire et notre propre développement méthodologique, nous ont permis d’analyser les récits humoristiques dans les écrits tannaïtiques. Les résultats des travaux sur l’humour dans le Talmud Yerushalmi, le Talmud Babli et le midrash aggada, trouvent un écho dans les résultats de notre étude. Nous avons découvert dans la Mishna et la Tosefta une très grande variété de formes et de fonctions de l’humour. L’étude exhaustive des récits humoristiques dans ces deux corpus nous a permis de développer des nouvelles perspectives sur ces textes et leurs protagonistes, notamment concernant les polémiques internes et externes au mouvement rabbinique, les traits de caractère de certains sages et leur manière d’étudier, l’évolution de l’humour entre la Mishna, la Tosefta et les Talmudim. La grande majorité des récits que l’on trouve dans la Mishna et la Tosefta n’est pas humoristique, mais cette proportion est inversée dans certaines thématiques : dans les polémiques internes au mouvement tannaïtique nous avons noté un équilibre entre les textes humoristiques et sérieux, et de surcroît, dans les polémiques avec des groupes extérieurs au mouvement tannaïtique, les textes humoristiques sont majoritaires. L’humour des tanna’im s’avère être complexe et varié, il permet de faire remonter les origines de l’humour juif à l’époque tannaïtique, d’expliquer certains textes énigmatiques, et de mieux connaître la pensée des tanna’im. / Thanks to their extensive literature, the rabbinic movement which was a marginal minority during the early centuries CE became, by late antiquity, the Jewish mainstream, and the rabbinic practice of Judaism became Jewish orthodoxy. Rabbinic writings do not aim to make one laugh, but we have noticed that academic research into the ancient rabbis’ humor contribute significantly to the understanding of rabbinic writings.Our tools for analyzing the humor in tannitic texts are based on previous studies, modern theories about humor, literary analysis techniques and our own personally developed methodology. The research results about humor in the Talmud Yerushalmi, the Talmud Babli and in Midrash Aggada are echoed in the results of our work.We have found in the Mishna and the Tosefta humor in various forms and functions. A comprehensive study of humorous anecdotes in these two textual corpora lends a new perspective about the rabbis and their writings: it also sheds light on the rabbis’ personalities and the house of study atmosphere, struggles within the rabbinic movement as well as with outside opponents, and the evolution of humor between the Mishna, the Tosefta and the Talmudim. The large majority of the stories found in the Mishna and the Tosefta are not humorous, but this proportion is reversed in certain themes: in polemics within the tannaitic movement we find an equal number of humorous and serious texts, and in polemics with opponents to the tannaitic movement, humorous texts are predominant. The tannaitic humor is complex and diversified, it traces the origins of modern Jewish humor not only to the Talmud but back to the tannaitic period, it helps explain some enigmatic texts, and to better know the tannaitic ideology.
50

Le théâtre polémique ou comment faire l'histoire sur la scène : la concurrence entre Comédie Française, Comédie Italienne et Théâtres de la Foire et ses effets sur la vie théâtrale pendant la première moitié du XVIIIe siècle / Polemical theatre, or how to make history on the stage : the competition between the Comédie Française, the Comédie Italienne and the Théâtres de la Foire and its impacts on the theatre during the 18th Century / Il teatro polemico, o come fare la storia sulla scena : La concorrenza tra Comédie Française, Comédie Italienne e Théâtres de la Foire e i suoi effetti sulla vita teatrale durante la prima metà del XVIIIe secolo

Lepore, Ilaria 18 December 2017 (has links)
Par le terme « théâtre polémique » on désigne la production dramatique telle qu’elle s’est structurée au cours de la première moitié du XVIIIe siècle dans le cadre du contexte politico-économique de concurrence, dans lequel se trouvent à opérer les trois théâtres parisiens, la Comédie Française, la Comédie Italienne et les Théâtres de la Foire. La pièce polémique se caractérise par la mise en œuvre d’un dispositif allégorique, fondé sur la tension dynamique entre procédé de fictionnalisation et renvoi à la référentialité. Elle appartient à la catégorie de la littérature de circonstance ou d’actualité, et elle peut s’inscrire dans l’univers des « pratiques transtextuelles ». L’auteur polémiste prend la parole, ou la plume, en réaction à un événement défavorable (une interdiction, une défense, une censure, etc.), et contre son adversaire; cet événement, qui se situe dans ce que l’on peut appeler le « hors-texte », est élaboré au moyen d’une fiction ; par cette fiction, l’auteur essaye de modifier le cours de l’histoire, d’inverser le rapport de forces, d’agir finalement sur le spectateur en gagnant son soutien. La place que le spectateur occupe dans la polémique détermine le passage d’une histoire en forme anecdotique, et donc marginale, vers une histoire qui touche un espace publique. On dira que bien loin d’« historiser le théâtre », le théâtre polémique « théâtralise l’histoire ». L'objectif de cette étude est de déterminer, dans la dialectique polémique, une des causes de l'affaiblissement du système des privilèges et de son corollaire esthétique, c’est-à-dire le principe de hiérarchisation et différenciation des genres dramaturgiques. / The term «polemical theatre» indicates the dramaturgical production which developed during the first part of the 18th Century, within the specific political-economic competitive framework that involved the three most active theatres in Paris at that time: the «Comédie Française», the «Comédie Italienne» and the «Théâtres de la Foire». The «polemical text» relies on an «allegorical device», which is based on the dynamical interaction between the fictionalisation and the relation to the referent. It belongs to the domain of the «littérature de circonstance» or «littérature d’actualité», and it can be considered a «trans-textual practice». The polemical author speaks or writes in reaction to an unfortunate event (interdiction, censorship, etc.), and to oppose a rival writer. This event, occurring outside of the text, becomes the subject of a theatrical fiction through which the author tries to modify the history path, to reverse the force relationships and to act on the audience in order to gain its consent. The role that the audience plays in the polemical comparison, makes the plot evolving from an anecdotal (and thus marginal) story to a public interesting one. So we could say that, far from «historicizing theatre», the polemical theatre does «dramatize History». In conclusion, my work aims at looking on polemical dialectics as one cause of the weakening of a system based on privileges, whose esthetical corollary is the precept of hierarchization and separation of the theatre genres. / Con il termine «teatro polemico» si designa la produzione drammaturgica che si sviluppa nella prima metà del XVIII secolo all’interno di uno specifico contesto politico-economico di concorrenza tra i tre teatri operanti a Parigi, la Comédie Française, la Comédie Italienne e i Teatri de la Foire. Il testo polemico si caratterizza per la messa in atto di un dispositivo allegorico, basato sulla tensione dinamica tra elementi finzionali e elementi referenziali. Esso appartiene, inoltre, alla categoria della letteratura di circostanza, o di attualità, e s’inscrive all’ambito delle “pratiche transtestuali”. L’autore polemico reagisce in reazione a un avvenimento sfavorevole (un’interdizione, una censura etc.), e contro un avversario; tale avvenimento, che si situa in una dimensione extra-testuale, costituisce la materia della finzione teatrale attraverso la quale l’autore cerca di modificare il corso della storia, di invertire il rapporto di forza, di agire infine sullo spettatore per guadagnare il suo consenso. Il ruolo che lo spettatore occupa nel confronto polemico determina il passaggio da una storia in forma aneddotica, et dunque marginale, a una storia di “interesse pubblico”, in cui si mobilitano strategie persuasive, attraverso l’individuazione dei portavoce legittimati a reclamare et gestire la controversia. Si può dire, infine, che invece che “storicizzare il teatro”, il teatro polemico, “teatralizza la storia”. L’obiettivo del nostro studio è di individuare nella dialettica polemica una delle cause dell’indebolimento del sistema dei privilegi e del suo corollario estetico, quello del principio di gerarchizzazione e differenziazione dei generi teatrali.

Page generated in 0.0442 seconds