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Le style de leadership chez les gestionnaires de caisses et son incidence sur la performance des caisses populaires de la Fédération de Québec /

Nadeau, Daniel. January 1992 (has links)
Mémoire (M.P.M.O.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1992. / Bibliogr.: f. 62-63. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Cooking under the volcanoes : communal kitchens in the Southern Peruvian city of Arequipa /

Lenten, Roelie. January 1993 (has links)
Proefschrift--Amsterdam--Vrije universiteit, 1993.
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“O mundo está as avessas”: relações, tensões e enfrentamentos religiosos nos folhetos de Leandro Gomes de Barros – Recife (1900-1920)

Silva, Edivania Alexandre da January 2007 (has links)
Submitted by Suelen Reis (suziy.ellen@gmail.com) on 2013-04-17T18:15:40Z No. of bitstreams: 1 Dissertacao Edivania Silvaseg.pdf: 1310839 bytes, checksum: f450b02015c7e2d341125ea0bb248969 (MD5) / Approved for entry into archive by Rodrigo Meirelles(rodrigomei@ufba.br) on 2013-05-24T11:40:14Z (GMT) No. of bitstreams: 1 Dissertacao Edivania Silvaseg.pdf: 1310839 bytes, checksum: f450b02015c7e2d341125ea0bb248969 (MD5) / Made available in DSpace on 2013-05-24T11:40:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Dissertacao Edivania Silvaseg.pdf: 1310839 bytes, checksum: f450b02015c7e2d341125ea0bb248969 (MD5) Previous issue date: 2007 / Os folhetos populares começaram a ser impressos e divulgados no final do século XIX, tornando-se suporte de relações sociais e uma importante mídia de comunicação difundida pelo Nordeste brasileiro. Através de suas narrativas, é possível desvelar tensões culturais advindas de diferentes sujeitos que, originários de tradições orais, não letradas, manifestavam e registravam posições, valores, enfrentamentos e tradições através das poesias ali presentes. Nesse trabalho, examinamos o processo de formação e difusão de práticas culturais religiosas católicas, nas duas primeiras décadas do século XX, na cidade do Recife, principalmente a partir dos enfrentamentos empreendidos pelo poeta paraibano Leandro Gomes de Barros, um dos maiores autores da literatura de folhetos nordestina, possivelmente o primeiro a unir o advento das gráficas à impressão de narrativas. Ele é, sem sombra de dúvidas, sujeito de importância ímpar para o presente trabalho, pois, a partir de sua produção, retiramos materiais essenciais para entender aspectos da cidade e religiosidade ali presentes. A partir dos posicionamentos contundentes e incisivos desse poeta, partimos para outras fontes e desvelamos tradições, relações e tensões estabelecidas entre sujeitos de diferentes posições sociais, dando a ver aspectos da produção de um segmento da população muitas vezes excluído e invisibilizado pela historiografia. / Salvador
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Pratiques et représentations des langues chantées dans les musiques populaires en France : une approche par trois enquêtes autour du français, de l’anglais et de l’occitan / Practices and representations of languages in French popular music : Three case studies on French, English and Occitan

Spanu, Michael 20 June 2017 (has links)
Un discours assez répandu parmi les acteurs du monde de la musique tend àbalayer la question des langues chantées en la résumant à un simple choix stratégique desartistes dans un contexte de globalisation. Si la pratique musicale est certes liée à desquestions de reconnaissance et de rémunération, nous souhaitons approfondir l’étude durapport du musicien et de l’auditeur à la langue chantée. Plus précisément, nous nousintéressons à la manière dont prennent place différentes langues chantées dans l’espace socialfrançais. Pour ce faire, nous envisageons les langues comme des activités plutôt que commedes objets, c’est-à-dire comme des pratiques mimétiques sans cesse relocalisées. Celles-cis’insèrent logiquement dans les processus de circulation et d’appropriation d’oeuvresmusicales transnationales, mais renvoient aussi à des modes d’identification propres, quidépassent le seul domaine linguistique. En ce sens, la pratique d’une langue est souvent liée,de manière plus ou moins conflictuelle, à une appartenance plus large, comme la nation parexemple. C’est le cas, en France, où nous étudions, dans un premier temps, la manière depromouvoir la langue chantée par les pouvoirs publics. Après une approche sociohistoriquedes grands courants musicaux ayant renouvelé la situation des langues en France, nousproposons trois terrains d’enquête permettant d’observer, de manière circonstanciée, lespratiques et les représentations du français, de l’anglais et de l’occitan. / Language practices in popular music are generally understood to be a strategicchoice related to globalizing forces. If musical activities do indeed depend on questions ofrecognition and remuneration, we can therefore propose a more complex approach tomusicians’ and listeners’ attitudes towards language, and to consider how different languagescoexist within the French context of popular music. To do so, we must consider languages asmimetic practices that are constantly relocated, rather than fixed entities. Integrated inmusical works, they follow processes of transnational circulation and appropriation, but alsorelate to original forms of identification, that go beyond the sole linguistic field. As such, thepractice of a language is often linked, in more or less conflicting ways, to broader senses ofbelonging, such as the nation. This is specifically the case in France, where we locate ourinvestigation. We firstly study how, historically, the French State has promoted its nationalidiom within the field of music. We then propose a socio-historical review of the mainmusical trends that have renewed the configuration of languages in France over the past fiftyyears. We finally analyze three case studies that enable us to observe, within popular music,the specific practices and representations of French, English and Occitan.
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Pia! Só quer ser o que não é, e mora na favela: práticas de consumo e construção das identidades entre indivíduos de classes populares

Barbotin, Maria Angeluce Soares Perônico 14 March 2014 (has links)
Made available in DSpace on 2015-05-14T13:27:10Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 2662010 bytes, checksum: bab93a6dee067d039ad73760c8eabf4a (MD5) Previous issue date: 2014-03-14 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Considérant la consommationun phénomène social par lequel il est possible de comprendre les divers aspects de la sociétéactuelle, et le fait de prendre en compte que les études de cette thématique auprès des classes populairessontdes entreprisesrecentesdans le monde académique, par dessus tout au Brésil, ce travail, prenant comme matière empirique les pratiques de résidents de la communauté de São Rafael (de João Pessoa/ Paraíba), analyse la logique sociale qui oriente la consommation pratiquée par un groupe d'individus des classes populaires. En termes méthodologiques, ceci est une étude ethnographique, où la relation avec le terrain s'est déroulée d'une façon prolongée, s'est développé par des départs et des arrivées, par des observations participantes, la réalisation d'entretiens et de groupes focaux. L'analyse des représentations sociales que la consommation assume pour les participants de cette recherche a été développée à travers l'Analyse de Contenu et de l'Analyse du Discours. La consommation s'est révélée être un élément clé utilisé par les sujets ici enquêtés dans l'exercice de construction de leurs identités, dans l'entreprise pour la recherche d'insertion sociale et dans la lutte pour leur reconnaissance, une fois qu'il est mobilisé de manière stratégique quand les individus essayent une définition de soi et de la place qu'ils occupent dans la hiérarchie sociale.En affirmant l'espace pertinent occupé par la consommation, ce travail ne nie pas l'importance d'autres éléments comme le travail et le lieu de logement,qui sontaussi mobilisés de manière prépondérante pour questionner la légitimité des identités. C'estprenantla consommation comme déterminante pour la construction des identités, que se construit la représentation de ce groupe en relation aux différences sociales entre riches et pauvres. Vu que ne pas être pauvre signifie avoir tout ce que les autres possèdent, la consommation est vue comme capable de,superficiellement, s'égaler à tous. Cela n'implique pas àun manque de conscienceen relation à la situation de vulnérabilité, une fois quecelle-ci se révèle tant de thèmes comme justice sociale et santé qu'ils commencent à faire partie du débat. Telle forme de concevoir les différences sociales semble se justifier par l'anxiété à contester une identité de pauvre construite par ceux de dehors et capable stigmatiser les individuas porteurs de telle étiquette. Pour les sujets ici enquêtés la différence dans les styles de vie est ce qui, de fait, marque la distinction entre les pauvres et les riches. Cela signifie que, bien que les sujets ici enquêtés désirent etcroient être possible posséder tout ce que les autres possèdent, opérant ainsi un jeu de reconnaissance d'une norme de consommation considérée légitime et en serésignantà celui-ci, ils n'expriment pas le même désir en ce qui concerne le style de vie des autres : c'est dans cette sphère que se vérifie moins de résignation et plus de contestation. Ainsi, les sujets ici enquêtés sont fortement impactes par le désir d'adéquation au groupe social d‟origine, et dans ce sens, la crainte d‟être classé comme inférieur aux autres de son propre groupe, semble exercer une plus grande pression que de la volonté de passer à appartenir à une autre classe sociale. Il est possible de considérer que la logique socialequi oriente la consommation des personnes ici enquêtées, bien qu'elle soit fortement impactée par un goût de nécessité qui conditionne, mais ne détermine pas les différents choix de ces sujets, aussi est dans une large mesure, conditionnée par un ensemble de valeurs communautaires. Une fois que le désir d'être accepté dans le groupe d'origine est très fort entre les sujetsenquêtésle contrôle social communautaire, avant d'être perçu comme un embarras est naturalisé et passe à être considéré comme une forme de sortir de l'invisibilité. / Considerando o consumo um fenômeno social através do qual é possível compreender aspectos diversos da sociedade atual, e levando em conta que os estudos dessa temática junto às classes populares são empreendimentos recentes na academia, sobretudo no Brasil, este trabalho, tomando como material empírico as práticas dos moradores da comunidade São Rafael (João Pessoa/Paraíba), analisa a lógica social que orienta o consumo praticado por um grupo de indivíduos das classes populares. Em termos metodológicos, este é um estudo etnográfico, onde o relacionamento com o campo ocorreu de modo prolongado, se desenvolvendo através de idas e vindas, para observações participantes, realização de entrevistas e grupos focais. A análise das representações sociais que o consumo assume para os participantes dessa pesquisa foi desenvolvida através da Análise de Conteúdo e da Análise do Discurso. O consumo revelou-se um elemento chave utilizado pelos sujeitos aqui investigados no exercício de construção de suas identidades, na empreitada em busca de inserção social e na luta por reconhecimento, uma vez que ele é mobilizado de maneira estratégica quando os indivíduos intentam uma definição de si e do lugar que ocupam na hierarquia social. Ao afirmar o espaço relevante ocupado pelo consumo este trabalho não nega a importância de outros elementos como o trabalho e o local de moradia, que também são mobilizados de modo preponderante para questionar a legitimidade das identidades. É tomando o consumo como muito relevante para a construção das identidades, que se constrói a representação deste grupo em relação às diferenças sociais entre ricos e pobres. Uma vez que não ser pobre significa ter tudo o que os outros possuem o consumo é visto como capaz de, superficialmente, igualar a todos. Isso não implica numa falta de consciência em relação à situação de vulnerabilidade, uma vez que esta se revela quando temas como justiça social e saúde passam a fazer parte do debate. Tal forma de conceber as diferenças sociais parece justificar-se pela ânsia em contestar uma identidade de pobre construída pelos de fora e capaz de estigmatizar os indivíduos portadores de tal rótulo. Para os sujeitos aqui investigados a diferença nos estilos de vida é o que, de fato, marca a distinção entre pobres e ricos. Isso significa que, embora os sujeitos aqui investigados desejem e acreditem ser possível possuir tudo o que os outros possuem, operando assim um jogo de reconhecimento de um padrão de consumo considerado legítimo e resignando-se a este, eles não expressam o mesmo desejo no que se refere ao estilo de vida dos outros : é nesta esfera que se verifica menos resignação e mais contestação. Assim, os sujeitos aqui investigados são fortemente impactados pelo desejo de adequação ao grupo social de origem, e neste sentido, o receio de ser classificado como inferior aos demais de seu próprio grupo, parece exercer maior pressão do que a vontade de passar a pertencer à outra classe social. Portanto, é possível considerar que a lógica social que orienta o consumo dos indivíduos aqui investigados, embora seja fortemente impactada por um gosto de necessidade que condiciona, mas não determina as diferentes escolhas desses sujeitos, também é em grande medida, condicionada por um conjunto de valores comunitários. Uma vez que o desejo de ser aceito no grupo de origem é muito forte entre os sujeitos pesquisados, o controle social comunitário, antes de ser percebido como um constrangimento é naturalizado e passa a ser considerado como uma forma de sair da invisibilidade.
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Les politiques publiques liées aux musiques populaires en France : la dimension culturelle en question / French Popular Music Policies : The Cultural Dimension in Question

Kaiser, Marc 12 December 2012 (has links)
Cette thèse interroge la dimension identitaire des politiques publiques liées aux musiques populaires en France à partir d’une approche spatio-temporelle. En considérant une politique de représentations sonores dans une perspective communicationnelle post-critique, les cultures musicales populaires apparaissent comme le terrain privilégié pour envisager à la fois des moyens de représentation de mouvements culturels et des réalisations concrètes d’actions publiques. La notion de réglementation, en tant que discipline du corps et mode d’accessibilité, donne à voir les rapports de pouvoir et les conflits de définition au sein des médias et des espaces urbains liés aux esthétiques populaires. Cette étude montre d’abord, à partir de l’exploitation d’un fonds d’archives inédit, comment les éditeurs phonographiques français ont mené une politique du disque jusqu’à devenir les seuls représentants de l’industrie musicale auprès des pouvoirs publics. Les industries culturelles ne sont pas seulement l’un des enjeux mais également l’un des acteurs des politiques publiques. De là, nous avons associé une « spatio-analyse » des musiques populaires (au sein de scènes musicales comme des lieux de ressources, de luttes et d’actions) à une étude des médias (comme lieux de défense ou d’abandon d’identités). La mise en perspective de la scène parisienne avec celles de Sydney et de Québec permet de singulariser des ressources locales inscrites dans les problématiques contemporaines de transnationalisation et d’hybridation culturelle, et de situer plus largement les enjeux politiques de la culture. Dans le contexte de pluralisme et de droits culturels des sociétés modernes, nous proposons finalement de revoir les représentations nationales qui guident les modes de gouvernance culturelle. / This thesis studies the identity dimension of French popular music policies from a spatio-temporal approach. By considering politics of sound representations within a post-critical communication perspective, we have defined popular music cultures as the privileged site of study of both means of representation for cultural movements and cultural public policies. The notion of regulation as a discipline of the body and an accessibility mode, focuses on power relations and conflicts of definition in media and urban spaces associated with popular aesthetics. Using analyses based on unpublished archives, we first show in this study how the French phonographic publishers have conducted a policy towards music recordings to become the sole representatives of the music industry from the government’s point of view. Cultural industries are therefore not only the object of cultural policy, but also one of its actors. We then combine a « spatial analysis » of popular music (where scenes are places of resources, struggles and actions) with a media study (media as places of defense or abandonment of identities). Looking at the Parisian scene alongside those of Sydney and Quebec allows the singling out of local resources within the contemporary problematics of transnationalisation and cultural hybridisation and the locating of broader political issues of culture. We finally argue that, within the context of modern pluralist societies and cultural rights, national representations that guide the patterns of cultural governance need to be put into question.
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D’un orchestre vide à une mise en pratique orale des langues étrangères avec le karaoké : de nouvelles utilisations de la chanson populaire dans l’apprentissage dans l’enseignement

Blili, Leïla January 2017 (has links)
Cette étude a pour but d’explorer l’utilisation du karaoké instrument didactique de l’apprentissage des langues étrangères dans les pratiques orales. Chevrot et Malderez (1999), Detey (2005), Wachs (2011) évoquent la pertinence d’une sensibilisation phonétique de la langue étrangère cible. Jolly (1976) et Lum (2001) indiquent que le karaoké forme un lien entre l’individu et la culture. Förnas (1994), Hakki Erten (2015), Rengifo (2009) voient dans le karaoké un support didactique pour les langues étrangères. Pour ce faire notre posture de chercheure se fonde, pro parte, à partir de travaux de recherches sur l’impact des cultures populaires, et plus particulièrement de la chanson populaire, sur la cognition de l’individu. La collecte de données a été effectuée auprès de deux groupes francophones d’apprenants d’anglais langue étrangère, l’un en France en avant-dernière année de l’enseignement secondaire et l’autre au Québec en première année de l’enseignement supérieur. Chacun des deux groupes est composé d’une quinzaine de participants. Cette recherche exploratoire de type qualitatif se fonde sur les médiations entre l’apprenant et l’instrument ainsi que le sentiment d’efficacité suscité lorsqu’ils utilisent l’instrument karaoké. Les données ont été récoltées au Québec et en France à partir du rapport des apprenants à la langue anglaise, du rapport à la chanson populaire anglophone des apprenants, comment l’apprenant voit et vit son apprentissage avec le karaoké et leur motivation par rapport à l’utilisation de la chanson populaire via le karaoké et par rapport à la façon dont il est utilisé. Pour ce faire nous avons utilisé deux outils de collecte : l’observation non participante des deux groupes de participants et trois questionnaires à remplir par les apprenants. Cette recherche a permis de constater que les participants ont admis un sentiment d’efficacité à l’issue des trois séances karaoké. Nous considérons le potentiel didactique de l’instrument karaoké comme étant en vérification.
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Les "copropriétés populaires" de l'Avenida Brasil : étude d'une nouvelle forme d'habitat informel à Rio de Janeiro dans les années 2000 / "Popular co-ownerships" in the Avenida Brasil : study of a nex type of informal housin in Rio de Janeiro in the 2000's

Machado Martins, Maira 09 September 2011 (has links)
Les inégalités sociales et les politiques menées par les pouvoirs publics ont contribué à l'expansion de l'habitat précaire et spontané au Brésil. A Rio de Janeiro, les formes d'habitat populaire montrent une évolution au fil du temps, en s'adaptant aux différentes politiques urbaines et au développement urbain de la ville. L'habitat populaire, malgré son caractère spontané, accompagne ainsi les transformations urbaines. Depuis 2000, une nouvelle forme d'habitat populaire et spontané surgit aux abords d'une ancienne autoroute industrielle de la ville de Rio de Janeiro, l'Avenida Brasil. Il s'agit de l'invasion d'anciens terrains d'usines abandonnées par des habitants des favelas. Le processus d'occupation des terrains, la conversion de l'espace en habitat, et les règles établies à l'intérieur de celui-ci révèlent que les invasions présentent un nouveau cas de figure dans le cadre de l'habitat populaire spontané à Rio de Janeiro, que l'on dénomme « copropriété de fait ». Ce travail de recherche pose la question de la représentation de ce nouveau type d'habitat dans la ville et dans la société actuelle. Nous avons étudié le développement du territoire de la ville et de la favela d'origine des occupants, ainsi que les différentes politiques publiques concernant l'habitat précaire pour comprendre la production des « copropriétés de fait » et leur rapport avec l'évolution urbaine à Rio de Janeiro. L'analyse de l'espace construit de l'invasion se développe en relation avec l'espace social communautaire et révèle des nouvelles pratiques, issues de la forme d'habitat populaire en copropriété / Social inequalities and the policies of the public service contributed to the expansion of poor and spontaneous housing in Brazil. In Rio de Janeiro, the types of popular housings evolved through time, adjusting themselves to the different urban policies and to the city's urban development. Despite its spontaneous character, popular housings go along with urban transformation. Since 2000 a new type of popular and spontaneous housing has arisen on the borders of an old industrial highway called ‘Avenida Brasil', located in the city of Rio de Janeiro. Inhabitant from favelas invaded old lands of abandoned factories. The process of occupation of the lands, the conversion of space into housing, and the rules established therein, reveal that this type of invasion – ‘de facto shared ownership' – is a new case in terms of popular spontaneous housing in Rio de Janeiro. This research raises the question of the representation of this new type of housing in the city and in the actual society. I studied the urban development planning of the favelas of which the occupants came from originally, and the different public policies concerning precarious housing in order to understand the ‘de facto shared ownership' as a product of the urban evolution of Rio de Janeiro. The analysis of the constructed space of housing is developed in relation to urban and community social space. It stresses the transformation of a culture produced from the marginality of space in the city, and which is articulated to the type of co-ownership housing
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De la naissance du « Miami sound » : logiques de transnationalisation et de territorialisation de l’industrie musicale latino / “Miami Sound” : Transnationalization and Territorialization of the Latin American Music Industry

Bénistant, Alix 16 November 2016 (has links)
Cette thèse porte sur l’émergence d’une industrie musicale à Miami, spécialisée dans la production, la promotion et la distribution de la musique dite latino. Elle montre comment la ville floridienne s’est progressivement établie, à partir du début des années 1980, en un lieu central d’élaboration d’une catégorie musicale réifiée, co-construite par les industries culturelles, les médias et les musiciens. Cette recherche en sciences de l’information et de la communication s’inscrit dans une démarche au croisement de l’économie politique critique de la communication, de la socioéconomie des industries culturelles et des Latino studies. Elle a pour objectif de décrypter les mécanismes à l’œuvre dans la création de nouvelles formes musicales au sein d’environnements politiques et économiques spécifiques, la réappropriation et intégration de ces nouvelles esthétiques dans le circuit des industries culturelles, et, enfin, leur exploitation transmédiatique à des échelles multiples. / This thesis focuses on the emergence of a Miami music industry specializing in the Latin music production, promotion and distribution. It shows how the Floridian city has progressively been established as a central location for a reified musical category, co-constructed by cultural industries, media and musicians in the early 1980s. This research in information and communication sciences is at the crossroads of critical political economy and Latino studies approaches. It aims at describing the mechanisms that are at work in the creation of new musical forms, within specific political and economic contexts; the re-appropriation and integration of these new aesthetics in the cultural industries processes; and their transmedia exploitation on multiple scales.
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La Guardia Vieja : el vals criollo y la formación de la ciudadanía en las clases populares : estrategias de representación y de negociación en la consolidación del vals popular limeño (1885-­‐1930) / Strategies of representation and negotiation in the making of citizenship among Lima's popular classes : the Guardia Vieja and the consolidation of popular Creole waltz (1885--1930) / La Guardia Vieja : le vals criollo et la formation de la citoyenneté dans les classes populaires : stratégies de représentation et de négociation dans la consolitation du vals populaire de Lima (1885-­‐1930)

Rohner, Fred 06 December 2016 (has links)
Cette thèse analyse les formes d’autoreprésentation et de négociation mises en oeuvre dans le domaine musical par les classes populaires liméniennes afin de dépasser leur marginalité dans la société péruvienne de la fin du XIX ème siècle et du début du XXème. Tout au long de cette thèse l’analyse tend à démontrer comment la consolidation du vals criollo liménien, dans ce secteur précis de la population, obéit à un ensemble de stratégies destinées à présenter une nouvelle image du sujet populaire comme faisant partie des secteurs civilisés de la nation. Pour ce faire, on examine enpremier lieu l’espace occupé par le vals et celui de cette génération nommée Guardia vieja dans l’espace culturel liménien. Afin de comprendre le processus d’intégration du vals comme élément du capital sonore des liméniens de classe populaire on analyse les différents espaces musicaux qui ont permis le passage de ce genre musical des salons des élites aux demeures des artisans et des ouvriers. Enfin on analyse les modalités selon lesquelles ces sujets ont créé cette nouvelle représentation d’eux-mêmes à travers l’adoption et l’appropriation d’un ensemble de codes, d’objets musicaux et d’images sonores qui les montraient comme patriotes, modernes et lettrés / This dissertation examines the practices of self-representation and denial deployed by Lima’s popular classes to challenge, from the musical sphere, their marginal place in late 19th and early 20th-century Peruvian society. It demonstrates how the consolidation of the "vals criollo" allowed this social group to project a new image of the "popularsubject", now integrated into the civilized body of the Nation. For this purpose, I examine the role of the waltz and the generation of musicians known as "la Guarda Vieja" in Lima's cultural universe. To understand the process of inclusion of the waltz in the musical capital of the popular classes in Lima, I study the different musical spaces that allowed the migration of this genre from the elite's salons to the homes of the working class. Finally, the dissertation explores the ways in which these individuals created that new representation of themselves through the adoption and appropriation ofa code, musical objects and images that depicted them as patriots, modern and learned subjects / Esta tesis analiza las formas de autorepresentación y de negociación que pusieron en práctica las clases populares limeñas desde el ámbito musical para remontar el lugar marginal que ocupaban en la sociedad peruana entre fines del siglo XIX y las primeras décadas del siglo XX. A lo largo de este trabajo se demuestra cómo la consolidación del vals criollo limeño entre este sector de la población obedeció a un conjunto de estrategias destinadas a presentar una nueva imagen del sujeto popular que lo mostrara como parte del cuerpo civilizado de la nación. Para ello se examina en primer lugar cuál es el lugar del vals y de aquella generación denominada la Guardia Vieja en el universo cultural limeño. Con la finalidad de comprender el proceso de ingreso del vals como parte del capital sonoro de los limeños de las clases populares se analizan los distintos espacios musicales que permitieron el tránsito de este género musical desde los salones de las élites hasta llegar a las habitaciones del artesano y del obrero. Finalmente se analizan los modos en que estos sujetos crearon esa nueva representación de sí mismos a través de la adopción y de la apropiación de un conjunto de códigos, de objetos musicales y de imágenes sonoras que los mostrasen como patriotas, como modernos y como letrados

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