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Fumonisin toxicity in ducks and turkeys / Toxicité de la fumonisine chez les canard et les dindes

Benlashehr, Imad 18 December 2013 (has links)
Les fumonisines (FBs) sont les principales mycotoxines produites par Fusarium verticillioides et Fusarium proliferatum, qui se retrouvent partout dans le monde dans le maïs et ses produits dérivés. Les doses toxiques et les signes cliniques de toxicité provoqués par les FBs varient dune espèce à lautre. La toxicité des FBs est généralement liée à leur capacité à bloquer le métabolisme des sphingolipides chez les espèces animales, y compris chez les espèces aviaires. De précédentes études ont démontré que les canards présentent une plus grande sensibilité à la toxicité des FBs que les dindes, alors que laccumulation de sphinganine (Sa) dans les tissues est plus importante chez les dindes que chez les canards. Lobjectif de nos travaux était de comprendre les différences de toxicité entre les dindes et les canards los dune exposition aux FBs. Les trois hypothèses suivantes ont été explorées : i) La toxicocinétique de la fumonisine B2 chez les dindes et les canards. ii) La capacité des cellules aviaires à se protéger de limportante accumulation de sphingolipides libres en augmentant leur catabolisme (phosphorylation). iii) Des mécanismes de toxicité des FBs autre que leur altération via le métabolisme des sphingolipides (stress oxydatif et les réponses inflammatoires). Lanalyse des paramètres de toxicocinétique de la fumonisine B2 na pas mis en évidence de différence significative entre les dindes et les canards. Les mesures de la toxicité simultanée de plusieurs FBs chez les dindes et les canards ont confirmé la forte sensibilité des canards. Laccumulation de shingasine-1-phosphate (Sa1P) dans le foie a également été corrélée avec la quantité de Sa mais pas avec les paramètres hépatiques de toxicité. De plus cette étude a mis en évidence que la quantité de Sa dans le foie était fortement dépendante de la teneur en FBs. Cependant les FBs nont eu aucun effet sur les paramètres de stress oxydatif pour les deux espèces. De manière intéressante, les FBs ont eu une légère réponse inflammatoire chez les canards mais pas chez les dindes. Des investigations plus poussées sur les effets des FBs sur le métabolisme des céramides et sur les processus inflammatoires seraient nécessaires pour comprendre les différences de toxicité entre les dindes et les canards exposés aux FBs. / Fumonisins (FBs) are the major mycotoxins produced by Fusarium verticillioides and Fusarium proliferatum, which are found worldwide in maize and maize products. FBs toxic dose and clinical signs of toxicity vary from one species to another. FBs toxicity is commonly linked to their ability on blocking sphingolipids metabolism in all animal species, including avian species. Previous studies have demonstrated that ducks exhibit higher sensitivity to FBs toxicity than turkeys, whereas, the accumulation of sphinganine (Sa) in tissues is more pronounced in turkeys than in ducks. The objectives of our works were to investigate the causes which lead to different toxicity between ducks and turkeys to FBs exposure. The following three hypotheses were investigated: i) Toxicokinetics of fumonisin B2 in ducks and turkeys. ii) Ability of bird cells to protect themselves against high accumulation of free sphingolipids by increasing their catabolism (phosphorylation). iii) Other toxicity mechanisms of FBs rather than their alteration of sphingolipids metabolism (oxidative stress damage and inflammatory responses). The analysis of toxicokinetic parameters of fumonisin B2 did not provide a significant difference between ducks and turkeys. The measurement of simultaneous toxicity of FBs in ducks and turkeys confirmed higher sensibility of ducks. Also the accumulation of Sphingasine-1-Phosphate (Sa1P) in the liver correlated with the amount of Sa but not parameters of hepatic toxicity. Moreover, this study revealed that the amount of Sa in the liver was strongly dependent on the amount of FBs. On the other hand, FBs had no effect on oxidative damages parameters in both species. Interestingly, FBs had mild inflammatory response effect in ducks but not in turkeys. Further investigation on the effects of FBs on ceramide metabolism and inflammatory processes would be necessary to understand the different toxicity between ducks and turkeys to FBs exposure.
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Attitudes et comportements à l'égard de l'alimentation et du poids en fin de grossesse : une approche comparative entre les personnes enceintes avec ou sans antécédent de chirurgie bariatrique

Caredda, Chloé 27 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 novembre 2023) / La chirurgie bariatrique est aujourd'hui considérée comme le traitement le plus efficace pour traiter l'obésité sévère. En effet, elle présente des effets positifs sur les plans physiques et métaboliques. Parmi les personnes ayant recours à la chirurgie bariatrique, une majorité sont des femmes en âge de procréer et donc, susceptibles d'entamer une grossesse après cette opération. Or, les femmes enceintes avec antécédent de chirurgie bariatrique sont sujettes à d'importantes fluctuations de poids et débutent leur grossesse avec des antécédents physiques et psychologiques particuliers. Cependant, bien que les comportements alimentaires et attitudes à l'égard de la prise de poids soient d'importants facteurs à considérer lors d'une grossesse post-chirurgie bariatrique, à ce jour, à notre connaissance, aucune étude ne s'y est intéressée, et les professionnels de la santé sont peu outillés pour les considérer lors des suivis auprès de cette population. De ce fait, l'objectif du présent mémoire est de comparer, entre les personnes enceintes avec et sans antécédent de chirurgie bariatrique, les comportements alimentaires et les attitudes à l'égard de l'alimentation et du poids en fin de grossesse. Les principaux résultats obtenus suggèrent que, en fin de grossesse, les personnes enceintes avec antécédent de chirurgie bariatrique présentent des comportements alimentaires (restriction flexible et désinhibition situationnelle) et des paramètres liés à l'alimentation intuitive (confiance envers leurs signaux de faim et de satiété et autorisation inconditionnelle de manger) différents de ceux des personnes enceintes sans antécédent de chirurgie bariatrique. Ces résultats, d'une part, contribuent à enrichir la littérature relative aux comportements alimentaires et attitudes à l'égard de la prise de poids lors de grossesses suivant une chirurgie bariatrique et, d'autre part, mettent en évidence l'importance de les considérer au cours des suivis nutritionnels afin d'aider ces femmes à adopter des habitudes alimentaires optimales et des attitudes positives vis-à-vis la prise de poids. / Bariatric surgery is now considered the most effective treatment for severe obesity. Indeed, it has long-term positive effects on physical and metabolic aspects. Among the individuals undergoing bariatric surgery, a majority are women of childbearing age and therefore, likely to become pregnant after this procedure. However, pregnant women with a history of bariatric surgery experience significant fluctuations in weight and begin their pregnancies with specific physical and psychological backgrounds. Nevertheless, while eating behaviors and attitudes towards weight gain are important factors to consider during a post-bariatric surgery pregnancy, to date, no studies have addressed this issue, leaving healthcare professionals are ill-prepared to provide adequate care for this population. Therefore, the objective of this thesis is to compare the eating behaviors and attitudes towards food and weight at the end of pregnancy between pregnant individuals with and without a history of bariatric surgery. The main results suggest that pregnant individuals with a history of bariatric surgery exhibit certain eating behaviors and parameters related to intuitive eating that are different at the end of pregnancy compared to pregnant individuals without a history of bariatric surgery. These findings contribute, on the one hand, to enriching the literature on eating behaviors and attitudes towards weight gain during post-bariatric surgery pregnancies and, on the other hand, highlight the importance of offering more personalized care to encourage these women to adopt optimal eating habits and positive attitudes towards weight gain.
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Gain pondéral et antipsychotiques de seconde génération : comportements alimentaires et risque cardiovasculaire

Blouin, Mélissa. 13 April 2018 (has links)
Depuis les dernières années, les antipsychotiques de seconde génération (ASG) sont utilisés à grande échelle pour le traitement des troubles psychotiques et des symptômes associés à la schizophrénie. Bien que ce traitement montre une efficacité thérapeutique supérieure aux traitements précédents, il en résulte un gain de poids substantiel qui conduit à un profil de risque métabolique athérogène et diabétogène, exacerbant ainsi le risque cardiovasculaire des patients traités. Les mécanismes sous-jacents au phénomène du gain pondéral associé à la prise d'ASG demeurent hypothétiques et peu documentés. Ainsi, l'objectif général de ce projet de doctorat s'inscrit dans une problématique globale de compréhension des composantes de l'équilibre énergétique susceptibles d'être influencées par la prise d'ASG et de contribuer au gain de poids ainsi qu'aux désordres métaboliques associés qui sont engendrés par le traitement. Dans un premier volet, nous avons démontré que les patients traités avec des ASG présentent des comportements alimentaires altérés en comparaison à un groupe d'individus sains, sédentaires et non traités (témoins). De plus, les résultats obtenus dans le cadre de ce projet ont permis de documenter, de manière prospective, que le développement des comportements alimentaires problématiques semble influencer l'ampleur du gain de tissu adipeux abdominal total et viscéral, ce dernier étant associé, dans l'ensemble de la population, à l'apparition d'une constellation de désordres métaboliques. À cet effet, dans un second volet, nous nous sommes intéressés à la contribution du tissu adipeux ainsi qu'à la détérioration du profil de risque métabolique notée dans cette population. Les résultats ont démontré que le tissu adipeux viscéral n'explique qu'en partie la détérioration du profil de risque athérogène et diabétogène observée chez les patients traités avec des ASG. De plus, nous avons souligné que les désordres métaboliques engendrés par la prise d'ASG pourraient influencer la longueur de l'intervalle QTc, un marqueur du risque d'arythmie ventriculaire maligne pouvant conduire à des événements cardiovasculaires. Finalement, les résultats d'une étude pilote ont permis de mettre en lumière l'importance de la prise en charge de ces patients, puisqu'une intervention de 12 semaines axée sur une modification des habitudes de vie a permis d'induire une perte de poids modeste associée à une amélioration significative du risque cardiovasculaire chez les patients traités avec ces molécules.
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Profil hormonal, dysfonctions sexuelles et facteurs de risque de maladie cardiovasculaire chez des patients traités par des antipsychotiques de seconde génération

Vallières, Maggie 12 April 2018 (has links)
Ces travaux de maîtrise ont été réalisés dans le but de contribuer à l'étude de la schizophrénie et des impacts de son traitement pharmacologique sur la santé physique des patients en raison des effets indésirables que ces molécules peuvent engendrer au plan cardiométabolique et sur les fonctions sexuelles. Plus précisément, nous avons voulu documenter le profil hormonal, les dysfonctions sexuelles, les facteurs de risque de maladie cardiovasculaire et les liens possibles entre ces derniers chez des patients traités par deux antipsychotiques de seconde génération (ASG), soit l'olanzapine et la rispéridone. Les principaux résultats démontrent que les troubles sexuels observés chez ces patients peuvent être accompagnés d'une hyperprolactinémie, et ce, sans atteinte apparente de l'axe hypothalamo-hypophysaire-gonadique. De plus, la SHBG semble être un marqueur de choix du profil hormonal en ce qui a trait aux associations entre les indicateurs d'adiposité et de facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. Ainsi, les patients traités par l'olanzapine et la rispéridone semblent présenter des corrélations entre leurs profils hormonal et métabolique qui sont similaires à celles d'hommes non traités.
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Mode de vie, habitudes alimentaires et cancer du sein: Étude cas-témoins chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations des gènes BRCA

Bissonauth, Vishnee 10 1900 (has links)
Le cancer du sein (CS) est la deuxième cause de décès liés au cancer parmi les femmes dans la plupart des pays industrialisés. Les personnes qui ont le CS peuvent ne pas hériter des mutations causant le cancer de leurs parents. Ainsi, certaines cellules subissent des mutations qui mènent au cancer. Dans le cas de cancer héréditaire, les cellules tumorales contiennent généralement des mutations qui ne sont pas trouvées ailleurs dans l'organisme, mais peuvent maintenir des mutations qui vont répartir dans toutes les cellules. La genèse du CS est le résultat des mutations de gènes qui assurent la régulation de la prolifération cellulaire et la réparation de l’ADN. Deux gènes semblent particulièrement concernés par les mutations. Les gènes ‘Breast Cancer 1’ (BRCA1) et ‘Breast Cancer 2’ (BRCA2), sont impliqués dans la prédisposition génétique de CS. On estime que 5-10% des cas de cancer du sein sont attribuables à une prédisposition génétique. La plupart de ces cancers sont liés à une anomalie du gène BRCA1 ou BRCA2. Plusieurs études ont été menées chez les femmes atteintes de CS sporadique et quelques études se sont concentrées sur celles qui sont porteuses de mutations de BRCA. Alors, notre recherche a été entreprise afin de vérifier l’hypothèse d’une association entre le CS, le mode vie et les habitudes alimentaires chez les Canadiennes-françaises non porteuses des 6 mutations de BRCA les plus fréquentes parmi cette population. Nous avons mené une étude cas-témoins dans cette population. Quelque 280 femmes atteintes du cancer du sein et non-porteuses de mutations de BRCA, ont été recrutées en tant que cas. Les témoins étaient recrutés parmi les membres de la famille des cas (n=15) ou à partir d'autres familles atteintes de CS (n=265). Les participantes étaient de tous âges, recrutées à partir d’une étude de cohorte qui est actuellement en cours, menée par une équipe de chercheurs au Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) Hôtel-Dieu à Montréal. Les apports alimentaires ont été recueillis par un questionnaire de fréquence semi-quantitatif validé et administré par une nutritionniste, qui portait sur la période avant les deux ans précédant le premier diagnostic de CS pour les cas et la période avant les deux ans précédant l’entrevue téléphonique pour les témoins. Un questionnaire de base était administré par l’infirmière de recherche aux participantes afin de colliger des renseignements sociodémographiques et sur les facteurs de risque du CS. Une association positive et significative a été détectée entre l’âge (plus de 50 ans) auquel les sujets avaient atteint leur Indice de Masse Corporel (IMC) le plus élevé et le CS rapport de cotes (OR) =2,83; intervalle de confiance à 95% (IC95%) (2,34-2,91). De plus, une association positive a été détectée entre un gain de poids de >34 lbs comparativement à un gain de poids de ≤15 lbs, dès l’âge de 20 ans OR=1,68; IC95% (1,10-2,58). Un gain de poids de >24 lbs comparativement à un gain de poids de ≤9 lbs, dès l’âge de 30 ans a aussi montré une augmentation de risque de CS OR=1,96; IC95% (1,46-3,06). Une association positive a aussi été détecté entre, un gain de poids de >12 lbs comparativement à un gain de poids de ≤1 lb, dès l’âge de 40 ans OR=1,91; IC95% (1,53-2,66). Concernant le tabagisme, nous avons observé une association positive et significative reliée à la consommation de plus de 9 paquets-années OR = 1,59; IC95% (1,57-2,87). Il fut suggéré que l’activité physique modéré confère une protection contre le CS: une pratique de > 24,8 (‘metabolic equivalent’) MET-hrs par semaine par rapport à ≤10,7 MET-hrs par semaine, diminue le risque du CS de 52% OR = 0,48 ; IC95% (0,31-0,74). L’activité physique totale (entre 16,2 et 33,2 MET-hrs par semaine), a aussi montré une réduction de risque de CS de 43% OR = 0,57 ; IC95% (0,37-0,87). Toutefois, il n'y avait aucune association entre une activité physique vigoureuse et le risque de CS. L’analyse portant sur les macro- et micro-nutriments et les groupes alimentaires a montré qu’un apport en énergie totale de plus de 2057 Kcal par jour augmentait le risque de CS de 2,5 fois OR = 2,54; IC95% (1,67-3,84). En ce qui concerne la consommation de café, les participantes qui buvaient plus de 8 tasses de café par jour avaient un risque de CS augmenté de 40% OR = 1,40; IC95% (1,09-2,24). Les sujets ayant une consommation dépassant 9 g d’alcool (éthanol) par jour avaient également un risque élevé de 55% OR = 1,55; IC95% (1,02-2,37). De plus, une association positive et significative a été détectée entre le CS et la consommation de plus de deux bouteilles de bière par semaine OR = 1,34; IC95% (1,28-2,11), 10 onces de vin par semaine OR = 1,16; IC95% (1,08-2,58) ou 6 onces de spiritueux par semaine OR = 1,09; IC95% (1,02-2,08), respectivement. En résumé, les résultats de cette recherche supportent l’hypothèse selon laquelle le mode de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle important dans l’étiologie de CS chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations de BRCA. Les résultats nous permettent de constater que le gain de poids et le tabagisme sont liés à des risques élevés de CS, tandis que l'activité physique modérée aide à réduire ce risque. De plus, nos résultats suggèrent qu’un apport énergétique total relativement élevé et une consommation élevée de café et d'alcool peuvent accroître le risque de ce cancer. Ce travail a permis de mettre l’accent sur une nouvelle direction de recherche, jusqu'à présent non investiguée. Les résultats de ce travail de recherche pourraient contribuer à recueillir de nouvelles informations et des conseils pouvant influencer et aider la population à modifier son mode de vie et ses habitudes alimentaires afin de diminuer le risque de cancer du sein. / Breast cancer (BC) is the second leading cause of cancer-related deaths among women in most industrialised countries. Individuals who have breast cancer may not inherit cancer-causing mutations from their parents. Instead, certain cells undergo mutations that lead to cancer. In the case of hereditary cancer, tumor cells usually contain mutations not found elsewhere in the body, but also harbor a critical mutation shared by all cells. Autosomal dominant alterations in 2 genes, ‘Breast cancer 1’ (BRCA1) and ‘Breast cancer 2’ (BRCA2), are likely to account for familial cases of early-onset BC. It is estimated that 5-10% of breast cancers are due to a genetic predisposition. Most of these cancers are linked to an abnormality in the gene BRCA1 or BRCA2. Several studies have been conducted in women with sporadic BC but few studies have focused on those who carry BRCA mutations. Our research was undertaken to test the hypothesis of an association between the BC, lifestyle and eating habits among French-Canadian women who were non carriers of 6 frequently-occurring BRCA mutations. We conducted a case-control study in a French-Canadian population. Some 280 women with breast cancer and who were non-gene carriers of mutated BRCA gene were recruited as cases. Control subjects were women from families with breast cancer (n=265), except for 15 (5.4%) who came from the same families as cases. Participants of all ages were recruited from an on-going cohort studied by researchers at Centre Hospitalier Universitaire de Montreal (CHUM) Hôtel-Dieu in Montreal. A validated semi-quantitative food frequency questionnaire was administered by a nutritionist on telephone to ascertain dietary intake covering the period prior to 2 years before the initial diagnosis of BC among cases and the period prior to 2 years before the telephone interview for the controls. A core questionnaire was administered by the research team’s nurse to gather information on socio-demographic and lifestyle risk factors. BC risk was increased among subjects who reached their maximum body mass index (BMI) at an older age (more than 50 years) (OR=2.83; 95% CI: 2.34-2.91). In addition, a direct and significant association was noted between weight gain of >34 lbs compared to weight gain of ≤15 lbs, since age 20 (OR=1.68; 95% CI: 1.10-2.58). Moreover, a weight gain of >24 lbs compared to ≤9 lbs, showed an increased risk of BC since age 30 (OR=1.96; 95% CI: 1.46-3.06) and an increased BC risk was also observed with a weight gain of >12 lbs compared to ≤1 lb, since age 40 (OR=1.91; 95% CI: 1.53-2.66). Women who smoked more than 9 pack-years of cigarettes had a higher risk (59%) of BC (OR=1.59; 95% CI: 1.57-2.87). Subjects who engaged in >24.8 metabolic equivalent (MET)-hours per week compared to ≤10.7 MET-hours per week, of moderate physical activity had a 52% decreased risk of BC (OR=0.48; 95% CI: 0.31-0.74). Moreover, total physical activity between 16.2 and 33.2 MET-hours per week showed a 43% lower risk of BC (OR=0.57 95% CI: 0.37-0.87). However, there was no association between vigorous physical activity and BC risk. Energy intakes greater than 2,057 Kcal per day were significantly and positively related to BC risk (OR=2.54; 95%CI: 1.67-3.84). Women who consumed more than 8 cups of coffee per day had a 40% increased risk of BC: OR=1.40 (95%CI: 1.09-2.24). Subjects who consumed more than 9 g of alcohol (ethanol) per day had a heightened risk (55%) of BC: OR=1.55 (95%CI: 1.02-2.37). In addition, a positive and significant association was noted between the consumption of beer, wine and spirits and BC risk. The ORs were 1.34 (95%CI: 1.28-2.11) for >2 bottles of beer per week, OR=1.16 (95%CI: 1.08-2.58) for >10 oz of wine per week and OR=1.09 (95%CI: 1.02-2.08) for >6 oz of spirits per week, respectively. In summary, we found that weight history did affect breast cancer risk. Moreover, smoking appeared to raise the risk, whereas moderate physical activity had a protective effect. Our findings also indicate that relatively high total energy intake and high coffee and alcohol consumption may increase the risk of breast cancer. This work has highlighted an as-yet-untested research focus addressing relationships between lifestyle and dietary habits and BC among non-carriers of BRCA mutations. The report provides advice and guidance on what can be done to influence and change the lifestyle choices as well as dietary habits to help people to reduce their risk of breast cancer.
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Mode de vie, habitudes alimentaires et cancer du sein: Étude cas-témoins chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations des gènes BRCA

Bissonauth, Vishnee 10 1900 (has links)
Le cancer du sein (CS) est la deuxième cause de décès liés au cancer parmi les femmes dans la plupart des pays industrialisés. Les personnes qui ont le CS peuvent ne pas hériter des mutations causant le cancer de leurs parents. Ainsi, certaines cellules subissent des mutations qui mènent au cancer. Dans le cas de cancer héréditaire, les cellules tumorales contiennent généralement des mutations qui ne sont pas trouvées ailleurs dans l'organisme, mais peuvent maintenir des mutations qui vont répartir dans toutes les cellules. La genèse du CS est le résultat des mutations de gènes qui assurent la régulation de la prolifération cellulaire et la réparation de l’ADN. Deux gènes semblent particulièrement concernés par les mutations. Les gènes ‘Breast Cancer 1’ (BRCA1) et ‘Breast Cancer 2’ (BRCA2), sont impliqués dans la prédisposition génétique de CS. On estime que 5-10% des cas de cancer du sein sont attribuables à une prédisposition génétique. La plupart de ces cancers sont liés à une anomalie du gène BRCA1 ou BRCA2. Plusieurs études ont été menées chez les femmes atteintes de CS sporadique et quelques études se sont concentrées sur celles qui sont porteuses de mutations de BRCA. Alors, notre recherche a été entreprise afin de vérifier l’hypothèse d’une association entre le CS, le mode vie et les habitudes alimentaires chez les Canadiennes-françaises non porteuses des 6 mutations de BRCA les plus fréquentes parmi cette population. Nous avons mené une étude cas-témoins dans cette population. Quelque 280 femmes atteintes du cancer du sein et non-porteuses de mutations de BRCA, ont été recrutées en tant que cas. Les témoins étaient recrutés parmi les membres de la famille des cas (n=15) ou à partir d'autres familles atteintes de CS (n=265). Les participantes étaient de tous âges, recrutées à partir d’une étude de cohorte qui est actuellement en cours, menée par une équipe de chercheurs au Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) Hôtel-Dieu à Montréal. Les apports alimentaires ont été recueillis par un questionnaire de fréquence semi-quantitatif validé et administré par une nutritionniste, qui portait sur la période avant les deux ans précédant le premier diagnostic de CS pour les cas et la période avant les deux ans précédant l’entrevue téléphonique pour les témoins. Un questionnaire de base était administré par l’infirmière de recherche aux participantes afin de colliger des renseignements sociodémographiques et sur les facteurs de risque du CS. Une association positive et significative a été détectée entre l’âge (plus de 50 ans) auquel les sujets avaient atteint leur Indice de Masse Corporel (IMC) le plus élevé et le CS rapport de cotes (OR) =2,83; intervalle de confiance à 95% (IC95%) (2,34-2,91). De plus, une association positive a été détectée entre un gain de poids de >34 lbs comparativement à un gain de poids de ≤15 lbs, dès l’âge de 20 ans OR=1,68; IC95% (1,10-2,58). Un gain de poids de >24 lbs comparativement à un gain de poids de ≤9 lbs, dès l’âge de 30 ans a aussi montré une augmentation de risque de CS OR=1,96; IC95% (1,46-3,06). Une association positive a aussi été détecté entre, un gain de poids de >12 lbs comparativement à un gain de poids de ≤1 lb, dès l’âge de 40 ans OR=1,91; IC95% (1,53-2,66). Concernant le tabagisme, nous avons observé une association positive et significative reliée à la consommation de plus de 9 paquets-années OR = 1,59; IC95% (1,57-2,87). Il fut suggéré que l’activité physique modéré confère une protection contre le CS: une pratique de > 24,8 (‘metabolic equivalent’) MET-hrs par semaine par rapport à ≤10,7 MET-hrs par semaine, diminue le risque du CS de 52% OR = 0,48 ; IC95% (0,31-0,74). L’activité physique totale (entre 16,2 et 33,2 MET-hrs par semaine), a aussi montré une réduction de risque de CS de 43% OR = 0,57 ; IC95% (0,37-0,87). Toutefois, il n'y avait aucune association entre une activité physique vigoureuse et le risque de CS. L’analyse portant sur les macro- et micro-nutriments et les groupes alimentaires a montré qu’un apport en énergie totale de plus de 2057 Kcal par jour augmentait le risque de CS de 2,5 fois OR = 2,54; IC95% (1,67-3,84). En ce qui concerne la consommation de café, les participantes qui buvaient plus de 8 tasses de café par jour avaient un risque de CS augmenté de 40% OR = 1,40; IC95% (1,09-2,24). Les sujets ayant une consommation dépassant 9 g d’alcool (éthanol) par jour avaient également un risque élevé de 55% OR = 1,55; IC95% (1,02-2,37). De plus, une association positive et significative a été détectée entre le CS et la consommation de plus de deux bouteilles de bière par semaine OR = 1,34; IC95% (1,28-2,11), 10 onces de vin par semaine OR = 1,16; IC95% (1,08-2,58) ou 6 onces de spiritueux par semaine OR = 1,09; IC95% (1,02-2,08), respectivement. En résumé, les résultats de cette recherche supportent l’hypothèse selon laquelle le mode de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle important dans l’étiologie de CS chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations de BRCA. Les résultats nous permettent de constater que le gain de poids et le tabagisme sont liés à des risques élevés de CS, tandis que l'activité physique modérée aide à réduire ce risque. De plus, nos résultats suggèrent qu’un apport énergétique total relativement élevé et une consommation élevée de café et d'alcool peuvent accroître le risque de ce cancer. Ce travail a permis de mettre l’accent sur une nouvelle direction de recherche, jusqu'à présent non investiguée. Les résultats de ce travail de recherche pourraient contribuer à recueillir de nouvelles informations et des conseils pouvant influencer et aider la population à modifier son mode de vie et ses habitudes alimentaires afin de diminuer le risque de cancer du sein. / Breast cancer (BC) is the second leading cause of cancer-related deaths among women in most industrialised countries. Individuals who have breast cancer may not inherit cancer-causing mutations from their parents. Instead, certain cells undergo mutations that lead to cancer. In the case of hereditary cancer, tumor cells usually contain mutations not found elsewhere in the body, but also harbor a critical mutation shared by all cells. Autosomal dominant alterations in 2 genes, ‘Breast cancer 1’ (BRCA1) and ‘Breast cancer 2’ (BRCA2), are likely to account for familial cases of early-onset BC. It is estimated that 5-10% of breast cancers are due to a genetic predisposition. Most of these cancers are linked to an abnormality in the gene BRCA1 or BRCA2. Several studies have been conducted in women with sporadic BC but few studies have focused on those who carry BRCA mutations. Our research was undertaken to test the hypothesis of an association between the BC, lifestyle and eating habits among French-Canadian women who were non carriers of 6 frequently-occurring BRCA mutations. We conducted a case-control study in a French-Canadian population. Some 280 women with breast cancer and who were non-gene carriers of mutated BRCA gene were recruited as cases. Control subjects were women from families with breast cancer (n=265), except for 15 (5.4%) who came from the same families as cases. Participants of all ages were recruited from an on-going cohort studied by researchers at Centre Hospitalier Universitaire de Montreal (CHUM) Hôtel-Dieu in Montreal. A validated semi-quantitative food frequency questionnaire was administered by a nutritionist on telephone to ascertain dietary intake covering the period prior to 2 years before the initial diagnosis of BC among cases and the period prior to 2 years before the telephone interview for the controls. A core questionnaire was administered by the research team’s nurse to gather information on socio-demographic and lifestyle risk factors. BC risk was increased among subjects who reached their maximum body mass index (BMI) at an older age (more than 50 years) (OR=2.83; 95% CI: 2.34-2.91). In addition, a direct and significant association was noted between weight gain of >34 lbs compared to weight gain of ≤15 lbs, since age 20 (OR=1.68; 95% CI: 1.10-2.58). Moreover, a weight gain of >24 lbs compared to ≤9 lbs, showed an increased risk of BC since age 30 (OR=1.96; 95% CI: 1.46-3.06) and an increased BC risk was also observed with a weight gain of >12 lbs compared to ≤1 lb, since age 40 (OR=1.91; 95% CI: 1.53-2.66). Women who smoked more than 9 pack-years of cigarettes had a higher risk (59%) of BC (OR=1.59; 95% CI: 1.57-2.87). Subjects who engaged in >24.8 metabolic equivalent (MET)-hours per week compared to ≤10.7 MET-hours per week, of moderate physical activity had a 52% decreased risk of BC (OR=0.48; 95% CI: 0.31-0.74). Moreover, total physical activity between 16.2 and 33.2 MET-hours per week showed a 43% lower risk of BC (OR=0.57 95% CI: 0.37-0.87). However, there was no association between vigorous physical activity and BC risk. Energy intakes greater than 2,057 Kcal per day were significantly and positively related to BC risk (OR=2.54; 95%CI: 1.67-3.84). Women who consumed more than 8 cups of coffee per day had a 40% increased risk of BC: OR=1.40 (95%CI: 1.09-2.24). Subjects who consumed more than 9 g of alcohol (ethanol) per day had a heightened risk (55%) of BC: OR=1.55 (95%CI: 1.02-2.37). In addition, a positive and significant association was noted between the consumption of beer, wine and spirits and BC risk. The ORs were 1.34 (95%CI: 1.28-2.11) for >2 bottles of beer per week, OR=1.16 (95%CI: 1.08-2.58) for >10 oz of wine per week and OR=1.09 (95%CI: 1.02-2.08) for >6 oz of spirits per week, respectively. In summary, we found that weight history did affect breast cancer risk. Moreover, smoking appeared to raise the risk, whereas moderate physical activity had a protective effect. Our findings also indicate that relatively high total energy intake and high coffee and alcohol consumption may increase the risk of breast cancer. This work has highlighted an as-yet-untested research focus addressing relationships between lifestyle and dietary habits and BC among non-carriers of BRCA mutations. The report provides advice and guidance on what can be done to influence and change the lifestyle choices as well as dietary habits to help people to reduce their risk of breast cancer.
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Le profil des hormones de la régulation de l'appétit dans la maigreur / Hormonal appetite regulation profile in thinness

Germain, Natacha 22 November 2010 (has links)
La première cause de maigreur chez les femmes dans les pays occidentaux est l’anorexie mentale (AM). La maigreur constitutionnelle (MC) regroupe des femmes d’Indice de masse corporelle identique aux AM mais sans les anomalies psychologiques, biologiques ou hormonales (pas d’aménorrhée) rencontrées dans l’AM. Les troubles du comportement alimentaire (TCA) comprennent l’AM restrictive pure (AM-R), l’AM avec crises boulimiques (AM-BP) et la boulimie nerveuse (BN). Notre travail explore ces troubles à la lumière de la régulation de l’appétit dont le centre organique (noyau arqué) reçoit des afférences de peptides périphériques tels que la leptine, le PYY, le GLP1 , la ghréline et l’obéstatine. Nous montrons un profil orexigène dans l’AM-R, témoignant d’une intégrité du système de régulation de la prise alimentaire et adaptatif, luttant contre la restriction alimentaire. Nous avançons le concept de ghrélino-résistance dans l’AM-R dont le substratum biologique est peut-être l’obéstatine. Nous montrons une ghréline basse chez les AM-BP comme chez les BN permettant un diagnostic différentiel précis et rapide. A l’inverse, nous montrons un profil anorexigène constitutif chez les MC participant au maintien du poids bas, proposant la MC comme un modèle humain de résistance à la prise de poids. Ces hormones peuvent agir comme arbitre organique objectif entre des entités cliniques parfois à tort confondues. Une leptine basse chez une jeune fille maigre signe une AM, une ghréline basse chez une AM signe la présence de crises boulimiques. Ces éléments forts nous poussent à continuer notre travail de précision et de phénotypage de ces entités pour mieux en comprendre la physiopathologie / The commonest group of underweight young women in the developed world is restrictive anorexia nervosa (AN). However, constitutional thinness (CT) is a condition described in the same low weight range as AN. CT women display normal menstruation an do not present with psychological or hormonal features of AN. Eating disorders (EA) displays Anorexia Nervosa with restrictive food behaviour (AN-R), Anorexia Nervosa with binge purge associated (AN-BP) and bulimia Nervosa (BN ). Food intake is controlled by the arcuate nucleus through integration of peripheral hormonal signals such as leptin, ghrelin, peptide YY (PYY) and glucagon like peptide 1 (GLP-1). Our objective was to understand thinness and EA through those hormonal signals. AN-R presents an orexigenic adaptative profile contrasting with the anorexigenic constitutive one in CT, proving the integrity of the appetite regulation system. We propose the ghrelin resistance concept with the putative obestatin. AN-BP presents a very different profile of appetite regulatory peptides when compared with AN-R, with low ghrelin levels. The hormones appear to be valuable biomarkers to distinguish AN and CT in severe underweight patients and to diagnose binge purge in AN. The assessment of ghrelin (and eventually obestatin) could be of particular interest for differential diagnosis between AN-R and AN-BP. The assessment of leptin could also be useful for differential diagnosis between AN and CT

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