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Saint Thomas et le Pseudo-Denis.Durantel, J. January 1900 (has links)
Thèse--Paris. / Bibliography: p. [271]-273.
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L'union à Dieu dans le système hiérarchique du Pseudo-Denys l'AréopagiteLefebvre, Arianne 19 April 2018 (has links)
Les écrits du Pseudo-Denys l’Aréopagite (fin Ve siècle) présentent le mariage de deux univers de réflexions concernant le rapport de l’homme avec le divin : le platonisme et le christianisme. Dans un cadre hiérarchique rigoureux où ordres célestes et terrestres collaborent en vue de l’assimilation à Dieu, le Pseudo-Denys développe les modalités de l’union divine non seulement en s’appuyant sur les Écritures saintes, mais en s’inspirant des idées développées par les néoplatoniciens. Chez Denys, la relation avec Dieu est intimement liée aux intermédiaires qui la permettent. Ce sont tantôt les anges, tantôt le rituel ou encore les symboles scripturaires. Certains traités dionysiens laissent pourtant penser qu’il y a plusieurs voies vers l’union : une à l’intérieur de la hiérarchie, et une qui s’en écarte. Explorant le corpus dionysien et différentes lectures de spécialistes, cette recherche propose quelques avenues en faveur d’une compréhension juste de l’union divine dans le système dionysien.
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« De scientia Dei ». La distinction 35 du commentaire de Thomas d’Aquin sur le Ier livre des « Sentences » : étude doctrinale et édition critique / « De scientia Dei ». Aquinas' Commentary on Sentences I, dist. 35. : A Doctrinal Investigation and a Critical EditionGibiino, Fabio 14 May 2012 (has links)
Cette thèse est consacrée à une analyse doctrinale et philologique du commentaire de Thomas d'Aquin sur la distinction 35 du premier Livre des Sentences de Pierre Lombard. Le sujet de cette distinction est la science que Dieu a de lui-même et des autres choses. La première partie de notre travail est une présentation conceptuelle et historique de l'arrière-fond de cette distinction. Elle est divisée en quatre étapes. Dans la première, nous nous sommes interrogé sur la science divine dans une perspective linguistique. Dans la seconde, nous avons discuté le rôle de l'autre, en tant qu'objet, dans la connaissance divine. Dans la troisième,nous avons étudié la synthèse chez Thomas des éléments aristotéliciens et pseudo-dionysiens, comme la notion d'actus purus et la notion d'esse. La quatrième étape, présente brièvement le contexte historique pour comprendre la méthode du commentaire des Sentences, ainsi qu'un bref panorama de l'Université de Paris au XIIIe siècle. La deuxième partie de la thèse offre une édition critique de la distinction 35. Après avoir collationné les témoins manuscrits selon les critères de la Commission Léonine, nous avons présenté le texte avec une introduction où nous établissons les différentes familles de la transmission textuelle. / This dissertation provides a doctrinal and philological study of Aquinas' Commentary on Book I, dist. 35 ofPeter Lombard's Sentences. At issue is the knowledge that God has of Himself and of the things other thanHimself. The first part of the dissertation investigates the conceptual and historical background of dist. 35. Itdivides into four sections. First, we approach the topic of the divine science from a linguistic perspective.Secondly, we examine the role of things other than God as objects of the divine knowledge. Thirdly, we drawattention to Aquinas' synthesis of Aristotelian and pseudo-Dionysian elements, namely the notions of actuspurus and esse. The fourth section provides an overview of the historical context and the XIIIth-centuryUniversity of Paris, in order to better understand the method of commentaries on the Sentences. The secondpart of the dissertation intends to provide, for the first time, the critical edition of Aquinas' Commentary onBook I, dist. 35 of Peter Lombard's Sentences. The manuscripts are collated according to LeonineCommission's criteria. The critical text is introduced by a philological study in which we investigate the textualtransmission of dist. 35 and we propose a stemma.
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La théologie négative : source de cohérence du Corpus dionysien / The negative theology : source of coherence of the dionysian CorpusBucă, Florin 13 December 2018 (has links)
L’ambition de cette thèse, qui se présente en sept chapitres regroupés en trois parties, est de reprendre l’ensemble du Corpus dionysien pour en définir un principe de cohérence : la théologie négative. Dans le sillage des recherches antérieures, souvent centrées sur une des œuvres qui lui sont attribuées ou sur une thématique particulière, on s’est interrogé sur l’histoire et la complexité de plusieurs concepts centraux de l’œuvre : théologie négative, symbole, hiérarchie. Et, en proposant de considérer la Hiérarchie ecclésiastique comme l’achèvement du Corpus – c’est au bref traité de la Théologie mystique qu’on attribuait volontiers cette place – nous montrons comment l’apophase ou la théologie négative s’enrichit, s’approfondit, d’une dimension liturgique, au-delà de l'affirmation et de la négation. / The purpose of this thesis, consisting of seven chapters grouped under three sections, is to reconsider the whole dionysian Corpus and to define the principle of its consistency, that is negative theology. Following the previous research, often focusing on one of the treatises or a main theme, we start with the history and the complexity of several key concepts within the Corpus: negative theology, symbol, hierarchy. We suggest that Ecclesiastical Hierarchy should be considered as the final step of Dionysius’ theology (rather than Mystical Theology as usually), and that leads us to study how the apophasis or the negative theology deepens into a liturgical dimension, beyond affirmation and negation.
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Théurgie et mystagogie chez le néoplatonicien ProclusVachon, David 04 1900 (has links)
Cette thèse a pour but de présenter en détails l’importance de la théurgie dans la philosophie de Proclus, ainsi que sa relation avec la mystagogie. Un des premiers objectifs de la recherche est d’expliciter les raisons du jaillissement de la théurgie au cours de l’Antiquité tardive. Nous présentons ainsi le cadre historique d’où émerge la notion de théurgie dans un contexte de christianisation de l’Empire à partir du IVe siècle. Il est ensuite primordial de définir clairement la théurgie, ce que les chercheurs n’ont pas fait jusqu’à maintenant, en tant qu’opération rituelle par laquelle un réceptacle matériel est animé par le divin. Puis, nous démontrons que, bien que le terme « théurgie » soit tardif, celui-ci trouve néanmoins ses racines dans la longue tradition platonicienne, de Platon lui-même jusqu’à Proclus, en passant notamment par Plotin, Porphyre et Jamblique.
À la suite du volet historique et après avoir présenté une définition claire de la notion de théurgie, il est important de préciser son statut au sein de la philosophie de Proclus, notamment en nous intéressant au passage-clef TP, I, 25 dans lequel le néoplatonicien présente la théurgie comme étant supérieure (κρείττων) à la philosophie. Nous nous intéressons ensuite à deux rites théurgiques concrets présentés dans l’œuvre proclienne en les analysant en profondeur : le rite de l’ensevelissement du corps (TP, IV, 9) et le rite de l’immortalisation d’Achille (In Remp., I, 152-152).
Après avoir exposé le lien intrinsèque de la théurgie avec la mystagogie, notamment autour de l’importance du silence (σιγή) mystique, nous développons sur les implications de la théurgie pour le système philosophique de Proclus. Nous constatons que ces implications sont monumentales et touchent une multitude d’aspects de sa pensée : le statut de l’âme, celui de la matière, l’ontologie, la primauté du véhicule (ὄχημα) de l’âme, la notion d’imagination (φαντασία), l’importance des symboles (σύμβολα et συνθήματα) et le rôle de l’amour (ἔρως). Nous terminons finalement la recherche en présentant l’héritage de Proclus, principalement à travers l’œuvre du néoplatonicien chrétien Pseudo-Denys. / This thesis has for goal to present in detail the importance of theurgy in the philosophy of Proclus, as well as his link with mystagogy. One of the first objectives is to describe the causes of the emergence of theurgy during the late Antiquity. So, we present the historical setting from where emerges the notion of theurgy in the context of the process of Christianisation of the Empire starting during the 4th century. It is after that primordial to propose a clear definition of theurgy, something that the researchers haven’t done yet, as the ritual operation by which a material receptacle is animated by the divine. Then, we demonstrate that, even if the term “theurgy” is late, it finds however his roots in the long platonic tradition, from Plato to Proclus, passing by Plotinus, Porphyry, and Iamblichus.
Following the historical aspect and after having clearly define the notion of theurgy, it is important to explain the status of theurgy in the philosophy of Proclus, especially by analyzing the crucial passage in TP, I, 25, where the Neoplatonist declares that theurgy is superior (κρείττων) to philosophy. Moreover, we examine two concrete theurgical rites presented in the Proclus’ works: the burial of the body (TP, IV, 9) and the immortalisation of Achille (In Remp., I, 152-152).
After having exposed the intrinsically relation between theurgy and mystagogy, notably with the mystical silence (σιγή), we develop the implications of theurgy in the vast philosophical system of Proclus. These implications are monumental and touch many aspects: the status of the soul, the one of the matter, the ontology, the primacy of the soul’s vehicle (ὄχημα), the notion of imagination (φαντασία), the importance of symbols (σύμβολα et συνθήματα) and the role of love (ἔρως). We finally end this research by presenting the legacy of Proclus, especially through the work of the Christian Neoplatonist Pseudo-Dionysius.
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