• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 71
  • 12
  • 7
  • Tagged with
  • 103
  • 103
  • 103
  • 103
  • 103
  • 103
  • 49
  • 44
  • 36
  • 33
  • 32
  • 29
  • 23
  • 23
  • 23
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

Learning and Adjustment Outcomes in Socialized and Unsocialized Newcomers : An Ex- Post-Facto Comparative Study

Hass, Carolyn 02 1900 (has links)
Les restructurations et les mutations de plus en plus nombreuses dans les entreprises font évoluer la trajectoire de carrière des employés vers un cheminement moins linéaire et amènent une multiplication des changements de rôle (Delobbe & Vandenberghe, 2000). Les organisations doivent de plus en plus se soucier de l’intégration de ces nouveaux employés afin de leur transmettre les éléments fondamentaux du fonctionnement et de la culture qu’elles privilégient. Par contre, la plupart des recherches sur la socialisation organisationnelle portent sur les « meilleures pratiques », et les résultats qui en découlent sont mixtes. Cette étude comparative cherche à déterminer si et sur quelles variables les nouveaux employés socialisés par leur entreprise diffèrent des nouveaux employés « non socialisés ». Premièrement, cette étude vise à comparer ces deux groupes sur 1) les résultantes proximales (la maîtrise du contenu de la socialisation organisationnelle et la clarté de rôle) et 2) les résultantes distales (l’engagement organisationnel affectif, la satisfaction au travail et l’intention de quitter) du processus de socialisation organisationnelle, ainsi que sur 3) les caractéristiques des réseaux sociaux d’information, en contrôlant pour la proactivité. Dans un second temps, cette étude a pour objectif d’explorer si le processus de socialisation organisationnelle (les relations entre les variables) diffère entre les nouveaux employés socialisés ou non. Cinquante-trois nouveaux employés (moins d’un an d’ancienneté) d’une grande entreprise québécoise ont participé à cette étude. L’entreprise a un programme de socialisation en place, mais son exécution est laissée à la discrétion de chaque département, créant deux catégories de nouveaux employés : ceux qui ont été socialisés par leur département, et ceux qui n’ont pas été socialisés (« non socialisés »). Les participants ont été sondés sur les stratégies proactives, les résultantes proximales et distales et les caractéristiques des réseaux sociaux d’information. Pour le premier objectif, les résultats indiquent que les nouveaux employés socialisés maîtrisent mieux le contenu de la socialisation organisationnelle que les nouveaux employés non socialisés. En ce qui a trait au deuxième objectif, des différences dans le processus de socialisation organisationnelle ont été trouvées. Pour les nouveaux employés « non socialisés », la recherche proactive d’informations et la recherche de rétroaction sont liées à certaines caractéristiques des réseaux sociaux, alors que le cadrage positif est lié à la satisfaction au travail et à l’intention de quitter, et que la clarté de rôle est liée uniquement à la satisfaction au travail. Les nouveaux employés socialisés, quant à eux, démontrent des liens entre la maîtrise du contenu de la socialisation organisationnelle et chacune des résultantes distales (l’engagement organisationnel affectif, la satisfaction au travail et l’intention de quitter). Globalement, l’intégration des nouveaux employés non socialisés serait plutôt influencée par leurs stratégies proactives, tandis que celle des nouveaux employés non socialisés serait facilitée par leur maîtrise du contenu de la socialisation organisationnelle. De façon générale, cette étude comparative offre un aperçu intéressant des nouveaux employés rarement trouvé dans les recherches portant sur les « meilleures pratiques » de la socialisation organisationnelle. Des recommandations pour la recherche et la pratique en suivent. / Careers today are becoming increasingly multi-organizational (Howard, 1996), as workers are becoming more mobile and less loyal to a single organization (Fang, Duffy, & Shaw, 2011). Retention is a growing problem, and organizations are more and more preoccupied with the successful socialization and integration of their newcomers. However, best practice research on the subject of newcomer socialization has come up with mixed results over the course of the last 25 years of research. This comparative study sought to explore the differences between socialized newcomers and unsocialized newcomers in terms of organizational socialization process variables. Specifically, in its first objective, this study aimed at comparing these newcomer groups in terms of (1) proximal outcomes (learning of socialization content and role clarity) and (2) distal outcomes (affective organizational commitment, job satisfaction, and intention to quit) of the organizational socialization process, as well as in terms of (3) information network characteristics (network size, status, range, strength, and density), controlling for newcomer proactive strategies. In its second objective, this study sought to explore how the organizational socialization process (relationships between variables) differed between newcomer groups. The participants were new employees in a large multi-media company (n = 53), all with a tenure of less than one year in the organization. This organization had a sanctioned socialization practice in place, but allowed department managers to socialize their newcomers at their discretion. This resulted in two newcomer groups: those who were socialized by their respective departments (“socialized” newcomer group) and those who were not (“unsocialized” newcomer group). Participants completed a questionnaire measuring proactive behaviors, mastery of socialization content, role clarity, affective organizational commitment, job satisfaction, intention to quit, and information network characteristics. The results indicated that, with regards to the first objective, socialized and unsocialized newcomers differ in terms of their mastery of socialization content, namely, learning of job/task, group, and organization knowledge was significantly greater for socialized newcomers than for unsocialized newcomers. No differences in distal socialization outcomes or network characteristics were observed. As for the second objective, the organizational socialization process was different depending on the newcomer group. Unsocialized newcomers showed a significant positive relationship between proactive information seeking and network size, as well as between feedback seeking and network status. Proactive positive framing was positively related to job satisfaction and negatively related to intention to quit, and role clarity was related to job satisfaction in unsocialized newcomers. These relationships were not found in socialized newcomers. Instead, socialized newcomers showed significant relationships between learning of socialization content and each of the distal socialization outcomes (affective organizational commitment, job satisfaction, and intention to quit). Overall, unsocialized newcomers’ adjustment seems related to their proactive strategies, while socialized newcomers’ adjustment is facilitated by a greater mastery of socialization content. This study’s unique sample offers interesting insights into the different experiences of newcomers not normally found in popular best practice research. Recommendations for research and practice are discussed accordingly.
22

Patterns of discrepancy in perceptions of workgroup and organizational cultures and their relationships to well-being, commitment and organizational citizenship behavior

Shoham, Amir 07 1900 (has links)
La culture organisationnelle influence la manière dont les organismes relèvent les défis externes auxquels elle fait face et façonnent les comportements normatifs de leurs membres. Des études portant sur le degré d’acceptation et d’adoption d’une culture organisationnelle indiquent une grande variance en fonction de multiples facteurs (p. ex. : l’âge, l’occupation, la hiérarchie, etc.) et leurs liens aux résultats subséquents. Différentes évaluations culturelles considèrent les sondages d’auto-évalulation comme étant des moyens acceptables de créer des liens entre les perceptions et les résultats. En effet, ces instruments mesurent les croyances, les suppositions et les valeurs d’une personne, mais l’un des facteurs pouvant compromettre les réponses est le manque de cadre de référence. Un des objectifs de l’étude est de déterminer la manière dont la mesure des perceptions culturelles est reliée à la contextualisation des questions du sondage. À l’aide de deux orientations, nous tentons de déterminer si les perceptions de la culture en lien avec l’organisation entière sont différentes de celles en lien avec le groupe de travail immédiat. De plus, l’étude explore la manière dont les différences algébriques entre les perceptions des deux référents sont simultanément reliées au bien-être psychologique au travail, à l’engagement et aux comportements de citoyenneté organisationnelle. Comme objectif final, nous déterminons lequel des deux référents prédit le mieux ces résultats. Les cent quatre-vingt-neuf participants de l’étude faisaient partie d’un établissement d’enseignement postsecondaire de langue anglaise du Québec. En premier lieu, les participants recevaient, de façon aléatoire, l’un des deux questionnaires - soit celui orienté sur l’organisation entière, soit celui orienté sur le groupe de travail immédiat -, puis, en deuxième lieu, son référent opposé correspondant. Les résultats indiquent que les perceptions de culture en lien avec l’organisation entière sont significativement différentes de celle en lien avec le groupe de travail immédiat. L’étude démontre que les similitudes entre les perceptions sont directement proportionnelles au bien-être ainsi qu’aux engagements organisationnels et de groupe de travail. De plus grandes différences perceptuelles sont associées à des niveaux plus élevés de bien-être et d’engagement organisationnel normatif. Ces associations sont plus fortes lorsque les perceptions de la culture organisationnelle sont plus positives que les perceptions de la culture du groupe de travail. Les différences algébriques opposées sont liées à des niveaux plus élevés de comportements de citoyenneté organisationnelle ainsi que d’engagements affectifs et de continuité envers le groupe de travail. Les résultats de l’étude suggèrent aussi que les perceptions de la culture du groupe de travail sont plus liées aux résultats pertinents que les perceptions de la culture organisationnelle. Les implications théoriques et pratiques des mesures de perceptions de culture sont examinées. / Organizational culture influences how organizations respond to environmental challenges and shape the normative behaviors of its members. Studies that address the extent to which a culture is accepted and practiced indicate much variance as a function of a multitude of factors (e.g. age, tenure, hierarchy, etc..) and their relation to subsequent outcomes. Various cultural assessments utilize self-report surveys as an acceptable avenue to link between perceptions and outcomes. While these instruments measure one’s beliefs, assumptions, and values, one of the factors that may implicate responses is the lack of frame of reference. One of the study’s objectives is to determine how measurements of cultural perceptions are related to contextualization of survey items. Using two orientations, we investigate whether perceptions of culture, in respect to the entire organization, are different from those in reference to the immediate workgroup. The study further explores how patterns of discrepancies between perceptions of the two referents are simultaneously related to psychological well-being at work, commitment and organizational citizenship behavior. As a final goal, we test which of the two referents better predict those outcomes. One hundred eighty nine participants in the study were part of a post-secondary, English educational institution in Quebec. Participants were randomly assigned to questionnaires with two different orientations - the entire organization or the immediate workgroup - at time one, and in corresponding opposite referent at time two. Results indicate that perceptions of culture in relation to the entire organization are significantly different from those in relation to the immediate workgroup. The study demonstrates that similarities between perceptions are positively related to well-being, organizational and workgroup commitments. Greater perceptual differences are associated with higher levels of well-being and normative organizational commitment. These associations are strongest when perceptions of organizational culture are more positive than perceptions of workgroup culture. Opposite patterns of discrepancy are related to higher levels of organizational citizenship- behavior, affective and continuance workgroup commitments. The results of the study also suggest that perceptions of workgroup culture are related to relevant outcomes more than perceptions of organizational culture. Theoretical and practical implications for measurement of perceptions of culture are discussed.
23

La congruence des valeurs : un facteur à considérer pour rehausser le leadership transformationnel et son efficacité ?

Lajoie, Denis 06 1900 (has links)
Les théories sous-tendant le leadership transformationnel suggèrent que la congruence des valeurs personnelles et organisationnelles est au cœur du fonctionnement du leadership transformationnel. Or, l’examen de cette proposition soulève certaines questions. Par exemple, il y a lieu de s’interroger quant à l’importance du type (subjective ou objective) et de la cible (équipe, organisation) de congruence considérés, du contenu des valeurs utilisées pour juger de la congruence, des contingences situationnelles modulant l’importance de la congruence, et du rôle de la congruence des valeurs des leaders eux-mêmes. Ainsi, afin d’enrichir les connaissances sur le rôle des valeurs en regard du leadership transformationnel, cette thèse propose trois articles dans lesquels ce rôle des valeurs et de leur congruence est abordé sous trois angles. Les données utilisées dans cette thèse proviennent d’une grande organisation canadienne, et des sous-ensembles de données sont créés pour répondre aux objectifs de chaque article. Le premier article s’intéresse aux liens qu’ont a) les valeurs personnelles des gestionnaires, b) les valeurs qu’ils perçoivent dans leur organisation et c) la congruence de ces deux ensemble de valeurs avec l’émission de comportements de leadership transformationnel tel que perçus par leurs subordonnés. Les résultats suggèrent que la congruence des valeurs n’a pas de lien avec le leadership transformationnel, mais que c’est le cas pour certaines valeurs au niveau personnel et organisationnel qui présentent effectivement un lien. Le deuxième article porte sur le potentiel rôle modérateur de la congruence des valeurs personne-organisation des subordonnés dans la relation entre le leadership transformationnel et les comportements d’habilitation. Les résultats montrent que la congruence des valeurs peut effectivement modérer cette relation, et que la forme de la modération peut dépendre de l’ancienneté des employés. Le troisième article traite du rôle modérateur de la présence de valeurs et de leur congruence au niveau de l’équipe dans la relation entre le leadership transformationnel et les comportements d’habilitation. Les résultats suggèrent que les valeurs et leur congruence dans les équipes peuvent modérer l’efficacité du leadership transformationnel en regard des comportements d’habilitation. De façon générale, la présence et la congruence de cinq valeurs, parmi les sept testées, semblent rehausser la relation entre le leadership transformationnel et les comportements d’habilitation. Ainsi, la présente thèse, en ajoutant des considérations quant aux questions qui avaient été soulevées par l’examen de la proposition théorique du rôle des valeurs et de leur congruence dans le leadership transformationnel, permet d’améliorer la compréhension de ce rôle. Spécifiquement, les résultats de cette thèse suggèrent que globalement, la congruence des valeurs peut être plus importante pour l’efficacité du leadership transformationnel lorsque les valeurs considérées sont plus importantes dans l’équipe de l’individu, et lorsque l’individu a peu d’ancienneté dans son organisation. De plus, en ce qui a trait aux leaders, il semble que la présence de valeurs de bien-être collectif et d’ouverture au changement ait un lien avec l’émission de comportements de leadership transformationnel. Une discussion traite de ces résultats et indique les limites de la thèse ainsi que des pistes de recherche future. / Theories underlying transformational leadership suggest that value congruence is at the heart of transformational leadership’s effectiveness. However, the examination of this proposition evokes certain questions. For example, it is pertinent to question the importance of the type (subjective or objective) and target (team, organization) of congruence considered, of the contents of values used to judge congruence, of the situational contingencies for the importance of congruence, and the role of leaders’ value congruence As such, to extend knowledge on the role of values with regards to transformational leadership, this thesis proposes three articles in which this role of values and their congruence is considered from three point of views. The data used in this thesis comes from a large Canadian organisation, and subsets of data are created to match each article’s objectives. The first article concerns the link that a) managers’ values, b) the values they perceive in their organization, and c) the congruence of these values have with subordinates’ perception of managers’ transformational leadership behaviours. Results suggest that congruence has no link with transformational leadership, but that certain values at the personal and organizational level do present a link. In the second article, the potential moderating role of subordinates’ person-organization value congruence in the relationship between transformational leadership and empowered behaviours is examined. Results show that value congruence can effectively moderate this relationship, and that the shape of this moderation can depend on employee tenure. The third article presents the moderating role of values and their congruence in the relationship between transformational leadership and empowered behaviours at the team level. Results suggest that values and their congruence can moderate the impact of transformational leadership in teams. In general, the presence and congruence of five values, of seven tested, seems to enhance the relationship between transformational leadership and empowered behaviours. As such, this thesis, by adding considerations as to the questions that had been evoked by the examination of the theoretical proposition of the role of values and of their congruence in transformational leadership, permits an amelioration of the comprehension of this role. Specifically, this thesis’ results suggest that, globally, value congruence can be more important for the efficiency of transformational leadership when values considered are more important in one’s team, and when one has little experience in one’s organisation. Furthermore, as to leaders themselves, it appears that the presence of collective well-being and openness to change values is linked with the emission of transformational leadership behaviours.
24

Évaluation du développement et de la mise en oeuvre d'un référentiel de compétences pour favoriser l'utilisation des connaissances issues de la recherche en éducation

Briand-Lamarche, Mélodie 05 1900 (has links)
Afin de favoriser l’utilisation des connaissances issues de la recherche en éducation, le Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec et l’Équipe RENARD de recherche en transfert de connaissances ont souhaité habiliter certains acteurs du milieu de l’éducation à jouer le rôle d’agents facilitateurs dans leur milieu. Pour ce faire, ils ont développé et implanté, dans le cadre d’un projet-pilote le Référentiel d’agir compétent à l’intégration de connaissances favorables à la réussite éducative des jeunes du Québec. La présente thèse répond à trois objectifs : 1) présenter et analyser la démarche d’élaboration de cet outil; 2) présenter et analyser la théorie de programme du projet-pilote de mise en oeuvre de l’outil et finalement 3) présenter les résultats de l’évaluation des processus et des mécanismes de changement de ce projet-pilote. Pour ce faire, une méthodologie qualitative est utilisée, s’inspirant de l’approche intégrative d’évaluation des processus et des effets fondée sur la théorie de programme (Chen, 2015). Le premier article de la thèse permet de présenter la démarche d’élaboration de l’outil et de constater que celle-ci est conforme à la plupart des bonnes pratiques en la matière. Le deuxième article de la thèse présente les composantes du modèle d’action et celles de modèle de changement du projet-pilote. Cet article permet, en analysant les composantes de ces modèles en regard des écrits scientifiques pertinents, d’établir que la théorie de programme du projet-pilote est plausible, c’est-à-dire qu’il est possible de croire que la mise en oeuvre de ce projet peut mener aux déclenchements des mécanismes de changement et à l’obtention des effets prévus. Finalement, le troisième article démontre que le projet a eu une influence sur les perceptions des participants quant à leurs rôles dans le processus menant à l’utilisation des connaissances issues de la recherche et que ceux-ci ont réussi, dans une certaine mesure, à mettre en pratique dans leur milieu les ressources acquises dans le cadre du projet. Ce dernier article présente aussi une analyse des composantes du projet qui ont favorisé ou entravé l’obtention de ces résultats. / To foster research knowledge utilization, the Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec and the Équipe RENARD de recherche sur le transfert des connaissances wished to empower school practitionners to play the role of intermediate agents. To do so, they developped and implemented a competency model : the Référentiel d’agir compétent à l’intégration de connaissances favorables à la réussite éducative des jeunes du Québec. This thesis has three objectives : 1) present and analyze the program theory of this competency model’s elaboration process; 2) present and analyze the program theory of the implementation of this competency model and 3) present the results of the evaluation of the process and mecanism of the project. In order to achieve these objectives, a qualitative methodology has been used, based on the Integrative process/outcome evaluation approach described by Chen (2015). The first article of the thesis present the competency model’s elaboration process and analyze this process comparing it with the best practices in the field. The second article present the components of the action model and those of the change model. In comparing the action and change model’s components with the litterature, the second article demonstrate that the program theory of the project is plausible. The third and last article of the thesis shows that the project has had an influence on the way the participants perceive there role in fostering knowledge utilization. This article also reveals that the participants have been able, to some extent, to utilize in their practice the ressources they acquired in the project. Finally, this article also present an analyze of the components that have helped or hindered the achievements of the project.
25

L’habilitation individuelle au travail : validation d’une mesure d’habilitation comportementale et vérification du rôle de trois facteurs de l’environnement de travail

Pigeon, Marilyne 07 1900 (has links)
Depuis que le concept d’habilitation (empowerment) a été introduit dans le monde du travail, il est rapidement devenu à la mode dû à ses bénéfices anticipés à la fois pour les organisations et pour les travailleurs. Toutefois, bien que l’état d’habilitation psychologique des travailleurs ainsi que ses déterminants soient bien documentés (Seibert, Wang, & Courtright, 2011), il existe peu d’outils pour évaluer de façon comportementale l’habilitation des travailleurs (Boudrias & Savoie, 2006). Cette réalité nuit aux organisations qui tentent de mettre en place des programmes d’habilitation des employés et qui souhaitent en mesurer leurs effets comportementaux. En 2006, Boudrias et Savoie ont amorcé le travail pour pallier cette lacune en créant un cadre conceptuel de l’habilitation comportementale au travail composé de deux approches distinctes, soit l’approche émergente (comportements discrétionnaires) et l’approche structurelle (implication dans la gestion du travail) et en validant un premier questionnaire permettant de mesurer l’approche émergente. La présente thèse vise à poursuivre le travail amorcé, en instrumentant la seconde approche et en poursuivant la validation du concept d’habilitation comportementale. Plus spécifiquement, la thèse vise à : a) valider un questionnaire qui mesure l’implication des employés dans la gestion de leur travail, en deux versions, à savoir une version auto-rapportée ainsi qu’une version destinée au supérieur hiérarchique; b) établir la structure factorielle de l’habilitation comportementale à l’aide des deux approches opérationnalisées; c) vérifier la spécificité du construit d’habilitation comportementale par rapport à d’autres mesures connexes (p.ex. comportements de citoyenneté organisationnelle, comportements d’innovation, comportements d’auto-leadership et d’autogestion), et d) vérifier un modèle structurel incluant trois déterminants de l’environnement de travail, à savoir le style de supervision, le soutien des collègues et la latitude décisionnelle, comme prédicteur de l’habilitation individuelle au travail, évaluée à l’aide d’une mesure d’habilitation psychologique et des mesures des deux approches d’habilitation comportementale. Pour ce faire, trois études distinctes ont été réalisées auprès de travailleurs variés et quatre échantillons ont été constitués dont trois comprenant uniquement des données auto-rapportées (N = 274, 104, 249) et un quatrième incluant aussi des données rapportées par le supérieur (N = 151). Les résultats des analyses factorielles confirmatoires démontrent que la structure de l’instrument d’implication dans la gestion ainsi que celle de l’habilitation comportementale composée des deux approches sont constantes d’un échantillon à l’autre et dans ses deux versions. De plus, les propriétés métriques du questionnaire validé sont satisfaisantes. D’autre part, les résultats des analyses corrélationnelles indiquent que les mesures d’habilitation comportementale présentent une validité discriminante par rapport à des mesures d’autres construits connexes. Enfin, les analyses acheminatoires pour vérifier le modèle structurel anticipé indiquent que l’habilitation psychologique agit comme variable médiatrice dans les relations entre, d’une part, la latitude décisionnelle et les pratiques de gestion des supérieurs, et, d’autre part, les deux approches d’habilitation comportementale. Le soutien des collègues, de son côté, n’est pas relié à l’habilitation des travailleurs. / Since the concept of empowerment was introduced in the world of work, it quickly became fashionable due to its anticipated benefits for the organizations and the workers. However, although the state of psychological empowerment of workers, as well as its antecedents, are well documented (Seibert, Wang, & Courtright, 2011), there are few tools to assess behavioral empowerment. This reality undermines the efforts of organizations trying to implement employee empowerment programs and of those that wish to measure their behavioral effects. In 2006, Boudrias and Savoie began the work to address this gap by creating a framework of behavioral empowerment at work that consists of two distinct approaches, namely the “emerging approach” (discretionary behaviors) and the “structural approach” (involvement in work management). They also created the first questionnaire enabled to measure the emergent approach (Boudrias & Savoie, 2006). This thesis aims to pursue their work by creating a questionnaire to measure the second approach and by continuing validation of the concept of behavioral empowerment. More specifically, this thesis aims to: a) validate a questionnaire to measure employee involvement in managing their work in two versions, namely a self-reported version and one version for superior; b) establish the factorial structure of behavioral empowerment using the two approaches; c) verify the specificity of the construct of behavioral empowerment by comparing it to other related measures (e.g., organizational citizenship behaviors, innovation behaviors, self-leadership and self-management behaviors), and d) verify a structural model including three determinants of the work environment, namely the style of supervision, peer support and decision latitude, as predictor of individual work empowerment, measured using a scale of psychological empowerment and scales for both behavioral empowerment approaches. To do this, three separate studies were conducted with various workers and four samples were formed: three samples containing only self-reported data (N = 274, 104, 249) and a fourth sample that also includes data reported by the supervisors (N = 151). The result of confirmatory factor analyzes show that the structures of the scale of involvement in the management of work as well as the behavioral empowerment scale are consistent from sample to sample and in both versions. In addition, the psychometric properties of the scales are satisfactory. On the other hand, the results of the correlational analyzes indicate that measures of behavioral empowerment have discriminant validity in relation to measures of some related constructs. Finally, the results of path analyzes used to verify the anticipated structural model indicate that psychological empowerment acts as a mediating variable in the relationship between, on the one hand, decision latitude and superior management practices and, on the other hand, two approaches to behavioral empowerment. Meanwhile, peer support is not related to workers empowerment.
26

Personnalité et compétences en emploi : comparaison de la capacité prévisionnelle de deux configurations de la personnalité

Longpré, Philippe 05 1900 (has links)
Certaines études récentes confirment que les tests de personnalité sont largement utilisés à des fins de sélection dans les organisations nord-américaines et que leur fréquence d’utilisation continue de croître (Boudrias, Pettersen, Longpré, & Plunier, 2008; Rothstein & Goffin, 2006). Or, les résultats des recherches portant sur le lien prévisionnel entre la personnalité et le rendement global au travail sont peu convaincants (Morgeson et al., 2007b; Murphy & Dzieweczynski, 2005). La présente thèse vise à vérifier si une amélioration des liens prédictifs entre la personnalité et le rendement au travail pourrait être obtenue en modifiant la façon d’opérationnaliser les variables prévisionnelles issues des inventaires de personnalité et en précisant les critères à prédire de manière à les rendre plus spécifiques et mieux arrimés. Pour ce faire, la capacité prévisionnelle d’une approche centrée sur le critère, c’est-à-dire l’utilisation de composites de traits de personnalité, est comparée à l’approche traditionnelle centrée sur le prédicteur, dans ce cas-ci, les cinq grands facteurs de personnalité (Big Five). D’autre part, le rendement au travail est opérationnalisé sous l’angle des compétences en emploi, ce qui permet d’en différencier les dimensions et d’augmenter la spécificité des critères. Des hypothèses précisant les facteurs de personnalité qui devraient permettre de prédire chacune des compétences évaluées sont testées. De plus, des hypothèses précisant les traits de personnalité servant à créer les variables composites sont aussi testées. Finalement, une hypothèse portant sur la comparaison de la puissance prévisionnelle des deux approches est mise à l’épreuve. L’échantillon de la recherche est composé de 225 employés occupant divers emplois au sein d’une grande organisation québécoise. Ils ont complété un inventaire de personnalité au travail dans le cadre des processus de sélection de l’organisation. Leur supérieur immédiat a effectué une évaluation de leurs compétences et de leur rendement au moins six (6) mois après leur embauche. Les résultats démontrent que la maîtrise des compétences est mieux prédite par une approche centrée sur le prédicteur (c’est-à-dire les Big Five) que par une approche centrée sur le critère (c’est-à-dire les variables composites). En effet, seules trois hypothèses portant sur le lien entre certains facteurs de personnalité et les compétences se sont avérées partiellement soutenues. Les résultats d’analyses statistiques supplémentaires, réalisées a posteriori afin de mieux comprendre les résultats, laissent supposer la présence de variables modératrices, dont, notamment, les caractéristiques situationnelles. En somme, il nous semble plus probable d’arriver, dans le futur, à trouver une méthode structurée de création des variables composites qui permettrait d’obtenir des liens prévisionnels plus puissants que de découvrir des variables composites qui seraient elles-mêmes généralisables à tous les emplois et à toutes les organisations. Par ailleurs, nous encourageons les praticiens à porter attention à la façon d’utiliser les données de personnalité. Pour le moment, il semble que les facteurs de personnalité permettent de prédire, en partie, le rendement futur en emploi. Or, les preuves empiriques concernant l’efficacité d’autres approches demeurent relativement rares et, surtout, insuffisantes pour guider fidèlement les praticiens à travers les choix nécessaires à leur utilisation. / Recent studies confirm that personality tests are widely used for selection in North American organizations and that their frequency of use continues to grow (Boudrias, Pettersen, Longpre & Plunier 2008; Rothstein & Goffin, 2006 ). However, research shows that the predictive relationship between personality and overall job performance is generally weak and that it remains similar to the initial results on the subject (Morgeson et al, 2007b;. Dzieweczynski & Murphy, 2005). This thesis aims to determine whether an improvement in the predictive relationship between personality and job performance could be achieved by modifying the way data obtained from personality inventories is used and by specifying the criteria to predict. To do so, the predictive ability of an approach centered on the criterion, that is to say, the use of compound variables of personality, is compared with the traditional approach centered on the predictor, in this case, the five factors (Big five). Moreover, job performance is operationalized in terms of job competencies, which makes it possible to differentiate the criteria and to increase its specificity. Hypotheses specifying the personality factors that should predict each competency are tested. In addition, hypotheses specifying the personality traits used to create the compound variables are also tested. Finally, a hypothesis comparing the predictive power of the two approaches is tested. The sample consisted of 225 employees occupying various jobs in a large Quebec organization. These employees have completed a work-contextualized personality inventory through the selection process of the organization. Their immediate supervisor conducted an assessment of their competencies and of their performance at least six (6) months after being hired. Thus, the design of this research is predictive and the method used is based on a confirmatory strategy, which is similar to the normal practices of testing used by industrial and organizational psychologists. Results indicate that the competencies are better predicted by a predictor-centered approach. Indeed, only three hypotheses pertaining to the relationship between personality factors and competencies proved partially supported. The results of additional statistical analyzes, performed in order to better understand the initial results, suggest the presence of moderating variables, including, in particular, the situational characteristics. In conclusion, it seems, at this time, much more likely for researchers to find a structured method for creating compound variables that would provide stronger predictive relationship, than to discover new compound variables that would be predictive of performance in every job and every organization. In addition, we encourage practitioners to pay attention to the way they use personality data. For the moment, it seems that personality factors predict, in part, future job performance. However, empirical evidence on the effectiveness of alternative approaches is relatively rare, and insufficient to accurately guide practitioners through the choice necessary for their use.
27

La résilience sous l'angle de l'autodétermination pour une meilleure santé psychologique des enseignants : déterminer des types de résilience

Zacharyas, Corinne 08 1900 (has links)
Ce projet propose une nouvelle approche de la résilience en vue d’assurer le bien-être chez les enseignants. Les raisons qui nous amènent à un tel intérêt sont notamment le stress intense ressenti dans le corps professoral où la tâche est lourde et particulièrement difficile. Sera donc abordé au chapitre premier, le fait que l’environnement de travail, par ses caractéristiques, génère du stress et des effets néfastes. Par la suite, la résilience étant sollicitée pour retenir les travailleurs en poste, nous décrirons son historique, ce qui nous amènera à soulever une problématique d’importance, notamment le fait qu’elle ne soit pas nécessairement accompagnée d’un bien-être salutaire. En contrepartie, un des indicateurs du bien-être est la motivation autodéterminée. Nous détaillerons ces notions et verrons comment elles sont atteintes par les conditions mêmes de travail. Cette mise en contexte nous permettra, en chapitre deuxième, de concevoir la résilience sous un autre jour grâce à la mise en lien avec les motivations autodéterminées. S’y dessineront deux types importants, dans lesquels motivation et bien-être devraient différer sensiblement. Cela pourrait expliquer la raison d’un bien-être mitigé. Nous terminerons ce chapitre par nos hypothèses. Nous aborderons ensuite la vérification de la proposition de types de résilience sous-tendues par la motivation. Au chapitre troisième, la méthodologie décrira l’échantillon de 465 enseignants québécois du primaire et du secondaire, les différents questionnaires de résilience, motivation et bien-être aux fins de l’étude transversale. Le chapitre suivant traitera des résultats des ANOVA , MANOVA et ANOVA factorielles entreprises. Notamment, les différences statistiques de bien-être et de motivation seront détaillées, ainsi que la non interaction entre motivation et résilience. Les effets principaux de résilience à tous les niveaux de motivation seront décrits. Les résultats obtenus nous permettrons une discussion au chapitre cinquième avant de conclure qu’effectivement, des différences sont observables, que la résilience pourrait s’opérer en deux formes durant lesquelles les motivations et le bien-être sont différents. Il sera possible d’envisager la résilience non pas comme une caractéristique personnelle stable ou un résultat statique, mais comme un processus pouvant prendre différentes formes qu’il serait alors possible de promouvoir. En découle également une mise en garde contre le fait de penser qu’il n’est plus nécessaire d’agir auprès des personnes étiquetées de résilientes. Le soutien semble encore nécessaire pour soutenir un processus efficace. / This project proposes a new approach to resilience in order to ensure well-being among teachers. The reasons which lead us to such an interest include the intense stress experienced by teachers in their work due to the heavy and difficult workload. In Chapter 1 we will discuss the work environment and its characteristics, which generate stressors and adverse effects. We then turn to the concept of resilience which is sought for in the effort to retain workers. We describe its history which will lead into the important issue that resilience is not necessarily accompanied by healthy well-being. One indicator of well-being is self-determined motivation. We explore these concepts and see how they are affected by the conditions in the workplace. This background will allow us in Chapter 2 to develop the concept of resilience in a different way by bringing it into relation with self-determined motivation. We will distinguish between two important types of resilience in relation to which motivation and well-being should differ significantly. We will then examine the proposed types of resilience underpinned by motivation. In Chapter 3 we describe the methodology in a sample study of 465 primary and secondary school teachers including the questionnaires on resilience, motivation and well-being used in this transversal study. The following chapter will discuss the results of ANOVA, MANOVA and factorial ANOVA. In particular, statistical differences in well-being and motivation will be detailed as well as the non-interaction between motivation and resilience. Principal effects of resilience for all levels of motivation will be described. The results will show that resilience can occur in two types in which motivation and well being differ. It will be possible to consider resilience not as a static characteristic but as a process which can take different forms which can be promoted. It follows as well that one should not think that resilient people will never be in need of further intervention. Support remains necessary to ensure an efficient process.
28

Les déterminants de la présence du programme d'aide aux employés dans les entreprises du secteur privé au Canada

Cloutier-Labelle, Josie-Anne 06 1900 (has links)
L’objectif de la présente étude vise à déterminer les caractéristiques des entreprises et de leur main-d’œuvre qui adoptent un PAE. Cette pratique serait en effet distribuée inégalement entre les différentes entreprises du secteur privé au Canada. Les facteurs identifiés dans la littérature en lien avec la présence du PAE sont regroupés sous les caractéristiques de la main-d’œuvre, les caractéristiques organisationnelles ou les caractéristiques du marché du travail, de manière à faire ressortir leur valeur respective pour voir celle qui a le plus d’influence sur la présence du PAE. Pour chacun des facteurs, une hypothèse ou une proposition de recherche est formulée. Pour vérifier les hypothèses et les propositions de recherche, nous avons utilisé des données secondaires issues de l’Enquête sur le milieu de travail et les employés (EMTE), réalisée en 2005 par Statistique Canada. Nous avons principalement eu recours à la base de données des employeurs, mais à défaut d’y avoir toutes les variables importantes, celle des employés a aussi été utilisée en agrégeant les données à la moyenne échantillonnale par entreprise, et en les imputant à la composante des employeurs. Notre échantillon final se compose de 5630 établissements du secteur privé au Canada. Les résultats nous ont appris que les caractéristiques organisationnelles sont de meilleurs déterminants de la présence du PAE que les caractéristiques de la main-d’œuvre. Les PAE sont répartis de façon inégale entre les différentes entreprises au Canada. En effet, les entreprises qui adoptent un PAE ont souvent moins d’immigrants. Elles ont aussi plus de probabilité d’avoir une grande proportion d’employés ayant complété des études secondaires, et qui travaillent à temps plein. Les PAE sont de plus beaucoup plus présents dans les grandes entreprises qui sont syndiquées, et dont l’organisation du travail est plus flexible. Enfin, ce sont les entreprises du secteur primaire qui adoptent le plus de PAE. Les PAE ne couvrent alors qu’un secteur limité et privilégié de la main-d’œuvre puisque certains groupes, tels que les immigrants, y ont moins accès. Ainsi, les PAE bénéficient aux employés les plus avantagés financièrement, indiquant que ce sont surtout les plus « riches » qui accèdent aux meilleurs services de santé mentale et sociale. Mots clés : Programmes d’aide aux employés Caractéristiques de la main-d’œuvre Caractéristiques organisationnelles / This study aims to explore the links among the characteristics of firms and their workforce and the presence of an EAP. This practice should not be randomly distributed in firms operating in the private sector in Canada. In the literature, there are three factors that are identified to be related to the presence of an EAP : 1- workforce characteristics, 2- firm characteristics, and 3- labour market characteristics. This study search to evaluate the relative value of each factor in predicting the presence of an EAP. One hypothesis or one research proposal is made for each factor. In order to empirically test the hypotheses and the research proposals, secondary data from the Workplace and Employee Survey (WES) are used. This survey was conducted in 2005 by Statistics Canada. This survey collected data from employers and their employees. Almost all variables used in this study come from the employers’ database. The sample comprises 5,630 establishments operating in the private sector. Results show that organizational characteristics are better determinants of the presence of EAP than the characteristics of the workforce. EAPs are not randomly distributed in firms in Canada. Indeed, firms that adopt an EAP often have fewer immigrants. They are more likely to have a larger proportion of employees who have completed a high school level and working full time. EAPs are more likely to be found in larger companies that are unionized, and whose work organizations are more flexible. Compare to firms in the secondary and in the tertiary sectors, it is firms in the primary sector that are more likely to have adopted an EAP. Overall, the results of this study indicate that EAP are available only to the better off workers. These workers have access to the best social and mental services. Keywords: Employee Assistance Programs Characteristics of the workforce Organizational Characteristics
29

Comment le groupe informel agit sur la relation entre le leadership transformationnel et le climat organisationnel

Hass, Carolyn 08 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objet l’influence du groupe informel sur la relation entre le leadership transformationnel et le climat organisationnel. Dans un premier temps, nous examinerons la théorie sur le leadership transformationnel. Le lien entre ce style de leadership et le climat organisationnel est à l’étude, car il semble que ces deux variables sont liés aux perceptions qu’ont les employés de leur vécu en organisation. Les résultats de notre étude confirment effectivement cette première hypothèse. L’objectif central de notre recherche consiste à voir comment le groupe informel agit sur la relation entre le leadership transformationnel et le climat organisationnel. D’abord, nous nous intéresserons sur l’appartenance à un groupe informel comme variable modératrice de la relation entre nos deux autres variables. Par contre, les résultats des analyses présentés n’ont pas réussi à confirmer ce modèle. Ensuite, nous étudierons le groupe informel en tant que variable médiatrice, où le chemin entre le leadership transformationnel et le climat organisationnel serait plutôt indirecte. Nos analyses démontrent que nos trois variables sont corrélées entre-elles, mais qu’en contrôlant pour l’effet du leadership transformationnel, le groupe informel n’est plus lié au climat organisationnel. Nous sommes amenés à proposer que le leadership transformationnel contribue à un contexte organisationnel qui satisfait aux besoins des employés, de sorte que le soutien social fourni par le groupe informel ne comble pas un manque. Ceci viendrait nuancer la dynamique à l’intérieur d’un groupe informel par rapport à ce qu’il apporte à ses membres. / The purpose of this study is to examine how informal work groups influence the relationship between transformational leadership and organizational climate. First, transformational leadership theory will be presented in order to highlight its growing importance in today’s workplace. This particular leadership style and its relationship with organizational climate will be examined, as it would appear that both these concepts play a role in how employees perceive their experiences in the work environment. The results of our study confirm this hypothesis. The central objective of this study is to explore how informal work groups affect the relationship between transformational leadership and organizational climate. We are interested in whether simply belonging to an informal work group can moderate the relationship between transformational leadership and organizational climate. Our results did not succeed in confirming this model. In addition to this, we explore a more indirect pathway, where informal work groups mediate the relationship between our two other variables. We were able to establish correlations between our three variables. Interestingly, when controlling for the effect of transformational leadership, organizational climate and informal work groups are no longer linked. We thus conclude that an organizational situation where transformational leadership is present is better suited to respond to employees’ needs, and that such a situation reduces the necessity of having one’s needs met by informal work group members. If this is the case, the way that informal work groups function may need to be reexamined in regard to the extent that they benefit their members.
30

La contribution de la famille sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la consommation de médicaments psychotropes

Lengyel, Myriam 03 1900 (has links)
RÉSUMÉ: L’objectif de ce mémoire de recherche était double, soit de mesurer l’effet des conditions de l’organisation du travail sur la consommation de médicaments psychotropes ainsi que de mesurer l’effet modérateur de la famille sur cette relation dans la population de travailleurs canadiens. Les données utilisées pour mener à terme cette recherche sont des données secondaires provenant de l’Enquête sur la Santé dans les Collectivités Canadiennes (ESCC cycle 2.1) de Statistique Canada. La consommation de médicaments psychotropes fut mesurée sur une période d’un mois. La prévalence de consommation chez les travailleurs canadiens s’élève à 8.8%, plus particulièrement 6.3% pour les hommes et 11.7% en ce qui concerne les femmes. À l’égard des conditions de l’organisation du travail, le nombre d’heures travaillées est associé de manière négative à la consommation de médicaments psychotropes. Ainsi, plus le nombre d’heures travaillées augmente, plus le risque de consommer des médicaments psychotropes est faible. Quant à la situation familiale, le fait de vivre seul, ainsi que le fait d’avoir un revenu économique élevé sont tous deux associés à la consommation de médicaments psychotropes. Les résultats de cette étude suggèrent une influence de la part des conditions de l’organisation du travail et de la famille sur la consommation de médicaments psychotropes. Toutefois, il nous est impossible à cette étape de montrer un effet modérateur de la famille sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la consommation de médicaments psychotropes. MOTS CLÉS : Conditions de l’organisation du travail, médicaments psychotropes, famille, population active canadienne / ABSTRACT: The aims of this study were two-fold : first to examine whether there exists a significant relation between work organization conditions and drug use among members of the Canadian workforce; and secondly, to analyze the moderating effect of family situation status on the relation between work organization conditions and drug use. Analysis of data from a sample of Canadian workers, through the Canadian Community Health Survey of Statistics Canada (ESCC 2.1), determined that prevalence of consumption was 8.8%. More specifically, prevalence for women (11.7%) was higher that of men (6.3%). The findings of this research support one possible negative relation between the amount of working hours and drug use. We also found a positive association between celibacy and drug use. The same connection was found in regards to the total household income, more specifically to a higher household income. Finally, these results demonstrated a lack of the family’s moderating effect on the relation between work organization conditions and drug use. KEYWORDS: work organization conditions, psychotropics, drug use, family, active Canadian population

Page generated in 0.1197 seconds