This is a biographical case study of Mexican industrialization, focusing on expatriate U.S. businessman William O. Jenkins (1878-1963). I trace Jenkins' career in textiles, land speculation, sugar, banking, and film, using it as a forum for themes that flesh out the economic and political history of modern Mexico. Chief among these themes are Mexico's substantial but socially unequal capitalistic development; interdependent relationships between business elites and the state; the role of the regions in Mexican development; and a tradition of viewing U.S. industrialists as enemies of national progress. I use Jenkins to illustrate the ability of Mexico's business elite to negotiate the hazards of the 1910-1920 Revolution and the property expropriations that followed. Industrialists, many of them immigrants, helped to forge rapid economic development between 1933 and 1981. However, their behavior was often characterized by monopolistic and rent-seeking practices, to the qualitative detriment of industries including film and textiles. I demonstrate how the success of industrialists owed much to their relations with politicians, and how the persistence of authoritarian regimes at regional and national levels owed much to industrialists' support. For Jenkins, this symbiosis involved loans to state governors, campaign contributions, and support for the federal government by channeling cheap entertainment to urban populations. Such links help explain why fifty years of development saw little electoral democracy or progressive distribution of wealth. I "de-center" Mexico's economic and political narrative by focusing on the state of Puebla, showing how alliances between industrialists and authorities often begin in provincial arenas and how they can impact national economic and political trends. I also address the underdevelopment of Puebla City, long Mexico's second metropolis, which after 1900 fell significantly behind Guadalajara and Monterrey. Finally, I trace how Jenkins functioned rhetorically as the epitome of the grasping U.S. capitalist. His controversial image afforded leftist politicians, business rivals, and labor leaders with an inflammatory object of protest. Such "gringophobia" in turn contributed to a polarization within Mexican society that proliferated after the 1959 Cuban Revolution. I complement this theme with intermittent commentary on rarely-remarked similarities between business practice in Mexico and the United States. / text

Les métropoles contemporaines sont marquées par des regroupements et des séparations des citadins, connus sous le terme de ségrégation. Ce phénomène est généralement appréhendé sur la base des localisations résidentielles. L'importance de la mobilité quotidienne dans les reconfigurations spatiales métropolitaines et dans les modes de vie individuels nous incite alors à l'étude et la caractérisation de la relation entretenue par les citadins avec les espaces urbains. Cela permet de passer de la ségrégation résidentielle (immobile) vers la ségrégation dans les espaces de la vie quotidienne (mobile). Parallèlement, c'est l'individu, et non le ménage, qui est au cœur des dynamiques ségrégatives telles que nous les abordons. Quatre métropoles contemporaines ont été analysées avec une visée comparative. Ce choix a imposé la mise au point d'une méthodologie originale, commune aux quatre cas et basée sur des données d'enquêtes-ménages transports. Les résultats obtenus permettent de souligner l'interprétation économique des comportements individuels de proximité (immobilité et vie locale) et des accès aux pôles d'attraction (parmi lesquels le centre). La proximité, avant d'être un objectif des politiques de villes durables, est une réalité pour les populations défavorisées. Ces comportements de replis dépendent plus de caractéristiques individuelles que d'effets liés au quartier de résidence. Ces tendances fortes, communes aux quatre cas, sont complétées par diverses spécificités. Des dynamiques spatiales et sociales différentes se révèlent dans les villes du Nord et du Sud, et les effets des formes urbaines héritées de l'histoire s'affirment (en particulier à Niamey). Notre analyse permet finalement d'enrichir la perspective usuelle de la ségrégation urbaine dans plusieurs contextes urbains contrastés.

Les métropoles contemporaines sont marquées par des regroupements et des séparations des citadins, connus sous le terme de ségrégation. Ce phénomène est généralement appréhendé sur la base des localisations résidentielles. L’importance de la mobilité quotidienne dans les reconfigurations spatiales métropolitaines et dans les modes de vie individuels nous incite alors à l’étude et la caractérisation de la relation entretenue par les citadins avec les espaces urbains. Cela permet de passer de la ségrégation résidentielle (immobile) vers la ségrégation dans les espaces de la vie quotidienne (mobile). Parallèlement, c’est l’individu, et non le ménage, qui est au cœur des dynamiques ségrégatives telles que nous les abordons. Quatre métropoles contemporaines ont été analysées avec une visée comparative. Ce choix a imposé la mise au point d’une méthodologie originale, commune aux quatre cas et basée sur des données d’enquêtes-ménages transports. Les résultats obtenus permettent de souligner l’interprétation économique des comportements individuels de proximité (immobilité et vie locale) et des accès aux pôles d’attraction (parmi lesquels le centre). La proximité, avant d’être un objectif des politiques de villes durables, est une réalité pour les populations défavorisées. Ces comportements de replis dépendent plus de caractéristiques individuelles que d’effets liés au quartier de résidence. Ces tendances fortes, communes aux quatre cas, sont complétées par diverses spécificités. Des dynamiques spatiales et sociales différentes se révèlent dans les villes du Nord et du Sud, et les effets des formes urbaines héritées de l’histoire s’affirment (en particulier à Niamey). Notre analyse permet finalement d’enrichir la perspective usuelle de la ségrégation urbaine dans plusieurs contextes urbains contrastés. / Both divisions and concentrations of population characterize contemporary metropolitan areas. Known as segregation processes, these dynamics are usually studied through the analysis of residential locations. Our thesis, however, proposes another lens to uncover urban change. It focuses on daily mobility that shape urban spaces and individual ways of life. This leads us to organize the reflexion from residential segregations to daily urban spaces segregation (from immobile to mobile segregation). Furthermore, we put the individual, and not the household, at the heart of segregative dynamics. Four contemporary metropolitan areas are considered, in a comparative framework. These examples were analyzed through the same specific methodology, based on transport households surveys data. The study highlights the economic understanding of proximity individual behaviors (immobility and local life) and of attraction areas accesses. Proximity, once a measure for sustainable urban policies, indeed becomes a reality for poor citizens. Spatial isolation nowadays relates to individual characteristics rather than residential locations. Some specificities are added further to these strong tendencies. Different social and spatial dynamics clearly appear in Southern and Northern cities and effects of urban forms inherited from History are asserted (especially in Niamey). Our work finally complete the usual perspective of urban segregation in several contrasted urban contexts.

§ 1- La thèse cherche à décrire les processus de changement et d'engagement des Églises catholiques d'Amérique Centrale, spécialement la prise de conscience ecclésiale des chrétiens de la base, dans des contextes socio-politiques et ecclésiaux fort complexes et mouvants. § 2- Traditionnellement, en Amérique Centrale, l'Église et notamment sa hiérarchie ont vécu en bonne intelligence avec les classes dirigeantes. Cette liaison, héritage de l'histoire du continent, est aussi conforme à une certaine conception de la religion comme instance légitimatrice des pouvoirs dominants actuellement en place. Les Églises d'Amérique centrale adoptent, à la fin années cinquante et au début des soixante, l'idéologie desarrollista (« développementaliste ») et promeuvent, dans ce but, le développement d'écoles et de centres de formation. Ceci dans l'optique d'un combat pour le progrès et d'une liaison étroite entre la promotion sociale et individuelle à l'évangélisation qui attendent de l'Église la sanctification du « mystère de l'ordre social ». § 3- Le Concile Vatican II va ébranler ces certitudes et remettre en question une « paix constantinienne » qui profite à des régimes autoritaires qui se prétendent défenseurs des « valeurs de l'Occident chrétien ». C'est l'époque d'une actualisation pastorale où l'enseignement social se renouvelle à partir des encycliques sociales de Jean XXIII et Paul VI qui éclairent l'ensemble des problèmes socio-économiques contemporains. Le réveil théologique, spirituel et social de l'Église rencontre un écho profond en Amérique Latine et tout particulièrement dans l'isthme centraméricain. La graine du renouveau est tombée sur un terrain fertile : une Amérique centrale en pleine mutation sociale qui, dans les années septante et quatre-vingts se trouve confrontée à une crise sociale grave, à des répressions violentes et à des guerres révolutionnaires. § 4- Dans le sillage de Vatican II, les Églises catholiques d'Amérique Centrale se mettent en devoir de répondre aux exigences du monde de ce temps, en assumant le destin de « tous les hommes et tout l'homme ». L'Église assume alors de nouveaux choix, qui la rapprochent du « peuple de Dieu » et l'encourage à s'engager dans la promotion et la formation du laïcat : les pastorales spécialisées, les mouvements d'Action Catholique, la pastorale d'ensemble, la création des centres de formation et des « communautés ecclésiales de base » (CEBs), sont les moyens choisis pour manifester « l'option préférentielle pour les pauvres ». Cette option essentielle est conforme aux nouvelles priorités et la formation systématique d'un laïcat plus actif et plus conscient de son rôle dans l'Église et dans la société. Les grandes assemblées des évêques à Medellin (Colombie, 1968), à Puebla (Mexique 1979), et à Santo Domingo (République Dominicaine, 1992) ont largement contribué à cet élan rénovateur initié par Vatican II. Les expériences vécues par les laïcs à la base, permettent de rapprocher l'Église des fidèles, tout en palliant le manque des prêtres. Elles sont encouragées par le clergé progressiste et par la « théologie de la libération » en Amérique Centrale. Ces expériences à la base ecclésiale, engendrent une « conscientisation » des participants, qu'ils soient paysans, ouvriers, indigènes, étudiants, etc. On assiste à un effort de conscientisation des masses par les Délégués de la Parole, laïcs formés grâce à des cours de pastorale et d'évangélisation de manière à pouvoir dénoncer à bon escient les « structures de péché ». L'organisation et l'engagement des laïcs, animés par les « délégués de la Parole » reflètent une conception de la foi marquée par de nouvelles orientations pastorales. § 5- Quel modèle d'Église sous-tendaient ces expériences ? Il s'agit en fait de la mise en pratique d'une « nouvelle manière d'être Église », laquelle n'excluait pas le conflit. Celui-ci se développa à l'intérieur de l'Église elle-même comme vis-à-vis des pouvoirs en place. Ce sont de nombreux laïcs qui deviendront, par la suite, les piliers de cette nouvelle orientation grâce à leur participation aux organisations populaires et, parfois, aux luttes armées menées dans la région. Devait se poser, dans ce contexte, la question des rapports entre foi et politique, entre foi et conflits sociaux, bref entre la foi et la vie. Les Églises, en particulier leur hiérarchie, tenteront de répondre à cette situation très particulière par des lettres pastorales, par des plans pastoraux ou même, quand le conflit devient plus aigu, par des mesures disciplinaires. A l'arrière-plan de la problématique sociale et ecclésiale en Amérique Centrale, c'est bien un modèle d'Église qui est en crise. D'où la nécessité de proposer, voire de chercher une manière originale d'« être Église », qui puisse réagir à la situation spécifique d'une région frappée en outre par des guerres, des inondations et de tremblements de terre meurtriers.

Made available in DSpace on 2016-04-29T14:27:30Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Antonio Carlos Iancoski Portes.pdf: 672134 bytes, checksum: b37830c5c8390962b20c316af6292689 (MD5) Previous issue date: 2010-08-25 / The present essay has a goal an analytical indenture in History, in the Sixties and Seventies, analyzing the Latin American Catholic Church performance in this period, especially, in the texts and contexts of the general Assemblies of the Medellin and Puebla CELAM. In that time, many worldwide sociocultural manifestations of contesting character were taking place, their mainly characteristic was the dissatisfaction with the reality. At the political scope, idealism, the enthusiasm in the fighting spirit of the people and the anxiety to social transformation, mainly the youth, which adhered more and more to the revolutionary movements were evident. All this social effusion comes to Latin America very strongly. Against that conjuncture, the Catholic Church, as a human institution that is not above History and is taken by it because it s involved by the social, political, cultural and economical aspects of that time, assumed the mission to enlighten these realities using evangelical values. Through a bibliographical research and oral sources we realized that, against the current social effusion, the Catholic Church, fitting into the social reality, supported the communal fights, which were seeking the transformation of the injustice and violent realities that were so evident in Latin America in the period. The Catholic Church stopped being just an observer or a distant advisor about the social problems and became the leading part in the indispensable changes to the Latin America people. Major Ecclesiastic sections, overcoming the ideology of the medieval Christianity and alliances with the elites and constituted powers in behalf of a social order maintenance, assume the communal fights to complete liberation of the people in the continent. The Latin American bishops, in Medellin and Puebla, knew how to realize the society s call and helped in the process of transformation. Interpreting the new signs of the time , the bishops encourage the catholic people to take the responsibility to the evangelical values. Because of this, the documents of Medellin and Puebla Assemblies became efficient instruments that base on the performance of the Christian Catholics in the society. From these, the Catholic Church moves form social place and becomes a special organization place of the communal fights for transformation / O presente trabalho de pesquisa objetivou um recorte analítico na História, a saber, nas décadas de 1960 e 1970, analisando a atuação da Igreja Católica Latino-Americana nesse período, sobretudo, nos textos e contextos das Assembléias Gerais do CELAM de Medellín e Puebla. Fervilhavam, nessa época, em âmbito mundial manifestações sócio-culturais de caráter contestatório, cuja característica mais importante era o inconformismo com a realidade. No âmbito da política era evidente o idealismo, o entusiasmo no espírito de luta do povo e o anseio por transformação social, principalmente da juventude, que aderia em grande escala aos movimentos revolucionários. Toda essa efervescência social chega à América Latina com muita força. Frente àquela conjuntura, a Igreja Católica, enquanto instituição humana que não está acima da História, e é condicionada pela mesma, estando envolvida pelos aspectos sociais, políticos, culturais e econômicos de cada época, assumiu de maneira ímpar a missão de iluminar essas realidades com os valores evangélicos. Por meio de uma pesquisa bibliográfica e fontes orais constatamos que, diante da ebulição social em andamento, a Igreja Católica, inserindo-se na realidade social, colocou-se ao lado das lutas populares que buscavam a transformação das realidades de injustiça e violência em evidência na América Latina naquele período. A Igreja Católica deixou de ser apenas uma observadora e conselheira à distância sobre os problemas sociais e se fez agente e protagonista nas mudanças imprescindíveis para os povos latino-americanos. Grandes setores eclesiásticos, superando a ideologia da cristandade medieval, de alianças com as elites e poderes constituídos em nome da manutenção da ordem social, assumem as lutas populares em vista da libertação integral do ser humano do continente. Os bispos latino-americanos, presentes em Medellín e Puebla, souberam perceber os clamores que surgiam da sociedade e deram respaldo ao processo de transformação. Interpretando os novos sinais dos tempos , os bispos incentivam os cristãos católicos a assumirem seu compromisso com os valores evangélicos. Por isso, os documentos das Assembléias de Medellín e Puebla se tornam instrumentos eficazes que fundamentam a atuação dos cristãos católicos na sociedade. A partir deles a Igreja Católica muda de lugar social e torna-se espaço privilegiado de organização das lutas populares por transformação

Submitted by Filipe dos Santos (fsantos@pucsp.br) on 2018-03-26T12:27:54Z No. of bitstreams: 1 Reuberson Rodrigues Ferreira.pdf: 1536708 bytes, checksum: 347378dc1131b128e106f867d0bf1486 (MD5) / Made available in DSpace on 2018-03-26T12:27:54Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Reuberson Rodrigues Ferreira.pdf: 1536708 bytes, checksum: 347378dc1131b128e106f867d0bf1486 (MD5) Previous issue date: 2018-02-22 / Aliança de Misericordia - ADVENIAT / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / This research draws a parallel line between the Conferences of Medellín and Puebla regarding the pastoral usage of the Bible. In order to reach this goal, the text presents an overview of the socio-political-economic-ecclesial elements encountered in the two Conferences of the Latin American Episcopate. At the same time, the research focuses on the content of the final documents of these Conferences. Aware of the context and content of the documents of the two conferences it is reported what appears to them as guidelines for the use of the Bible. It also presents how these orientations reverberate ideas that, ultimately, go back to Vatican II. Finally, a parallel between the two is sought to give evidence of the continuity and discontinuity regarding guidelines for the use of the Holy Bible. The perspective of this research approach is of literature review. The text is written trying to contribute historical and theological elements implicit presents in the conclusions of Medellin and Puebla conferences with the purpose of consummating the proposed parallel / A presente pesquisa faz um paralelo entre as Conferências de Medellín e Puebla no que diz respeito ao uso pastoral da Bíblia. Para atingir esse objetivo o texto apresenta uma panorâmica dos elementos sócio-político-econômico-eclesial que secundavam as duas Conferências do Episcopado Latino Americano. Ao mesmo tempo a pesquisa detém-se em apontar o conteúdo dos documentos conclusivos das Conferências. Cientes do contexto e do conteúdo dos documentos das duas conferências é relatado o que delas depreende-se como orientações para o uso da Bíblia. Apresenta-se, ainda, como essas orientações fazem reverberar ideias que, em última análise, remontam ao Vaticano II. Faz-se por fim, um paralelo entre ambas buscando evidenciar continuidade e descontinuidade no que diz respeito as orientações para o uso da bíblia. A perspectiva de abordagem desta pesquisa é a de revisão de literatura. O texto é escrito tentando aportar elementos históricos e teológicos implícitos nas conclusões de Medellín e Puebla com a finalidade de consumar o paralelo proposto

This thesis is a research project that aims to build, in the first instance, a historical, theoretical, and methodological frame of reference and protection of cultural property, and more precisely of the territorial cultural heritage. The starting point is the analysis of the concepts of culture, heritage, landscape and territory, in addition to others such as management, tourism, social heritagization and development, all this through a detailed study starting from the perspective of the human sciences and culture, with the aim to approach to the positions on these ideas that are being debated today. The ultimate objective is the design of an instrument that serves to make readings of landscapes and in the same way, as a platform to design strategies in favour of the enhancement, protection, conservation, interpretation and management of the landscape as an asset of the territorial culture heritage. / Esta tesis es un trabajo de investigación que tiene como objetivo construir, en primera instancia, un marco de referencia histórica, teórica, metodológica y de tutela de los bienes culturales, y más precisamente del patrimonio cultural territorial. El punto de partida es el análisis de los conceptos de cultura, patrimonio, paisaje y territorio; además de otros como gestión, turismo, patrimonialización social y desarrollo, todo ello a través un estudio pormenorizado desde la perspectiva de las ciencias humanos y de la cultura,con la intención de acercarse a las posiciones que sobre estas ideas se debaten hoy. Se trata de establecer un instrumento que sirva para realizar lecturas de los paisajes y de la misma manera,el diseño estrategias a favor de la puesta en valor, la protección, la conservación, la interpretación y el manejo del paisaje como un bien del patrimonio cultura territorial.

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As the focus of over 70 years* of archaeological research, Oaxaca, Mexico, is one of Mesoamerica*s best understood regions. Yet, despite the volume of work in Oaxaca, information about one of its key resource areas, the central Pacific coast, remains limited. Specifically, the ambiguous role of Oaxaca*s Central Coast in interregional relationships during pre-Hispanic times to the sites of Monte Alban and Tututepec has been a chronic problem and major source of debate for decades. The purpose of this thesis is to begin clarifying the role of Oaxaca*s Central Coast in interregional networks and its pre-Hispanic history. Analysis utilized surface observations, surface collections, and information from limited excavations performed by the Proyecto Arqueologico Laguna de Manialtepec (PALM) in the Manialtepec Basin, located on the Central Coast of Oaxaca. The data was then mapped using ArcGIS software to render settlement and artifact patterns. Based on the results of this project I suggest a history of settlement for this area. I also argue that the Basin contained three centers, maintained interregional interactions, and was invaded by the Mixtecs of highland Oaxaca during the Late Postclassic Period (A.D. 1200-1500).