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Les espaces publics urbains à l'épreuve des actions artistiques

Aventin, Catherine 27 June 2005 (has links) (PDF)
Les actions artistiques font de plus en plus partie de la vie urbaine. Ces interventions, et particulièrement celles des artistes de rue, ont un lien étroit avec la ville par une action directe sur les espaces publics, pris comme matériau, comme élément premier aux créations. La thèse aborde le thème du rapport qu'entretiennent les espaces publics urbains avec les actions artistiques et, plus précisément, nous avançons l'hypothèse que les spectacles de rue sont des révélateurs des qualités des espaces publics urbains et que ces actions artistiques jouent le rôle singulier de modificateur de perception de ces espaces. Ce travail de recherche, exploratoire, se propose d'examiner les relations entre les arts de la rue et l'espace public sous des aspects essentiellement spatiaux en observant les liens entre les formes urbaines et architecturales, l'ambiance du lieu et les arts de la rue. On essayera aussi de connaître les habitudes et les modifications perceptives et comportementales du public, des habitants, à l'égard de leur environnement urbain ordinaire.
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Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, Sénégal

Gilbert, Véronique 21 August 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.
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Les effets de l'expérience carcérale sur la construction identitaire des jeunes de la rue à Montréal

Larouche, Annie January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche se penche sur les effets de la gestion répressive actuelle à l'égard des jeunes de la rue à Montréal, menant de plus en plus à des séjours d'incarcération, souvent pour des motifs non criminels tels que le défaut de paiement d'amende. L'objectif principal de cette étude est de comprendre les effets que l'expérience carcérale peut avoir sur la construction identitaire de ces jeunes. Cette recherche qualitative est basée sur 10 entretiens semi-directifs centrés sur l'expérience carcérale de jeunes vivant ou ayant vécu la rue pendant une période d'au moins six mois. Tous les répondants ont fait un séjour ou plus en prison, d'au minimum un mois, pour des motifs relatifs à leur vie de rue. Un questionnaire rempli par l'ensemble des répondants a complété la collecte de données. Notre hypothèse est que l'expérience carcérale a un impact sur la construction identitaire du jeune de la rue qui est amené à se repositionner sur le plan identitaire afin d'arriver à concilier de manière plus satisfaisante ses besoins de reconnaissance sociale et d'accomplissement personnel et de parvenir le plus possible à une consonance existentielle. Notre analyse s'appuie principalement sur la théorie de la gestion relationnelle de soi de Bajoit (1997, 2000, 2003, 2004) et sur les travaux de Chantraine (2004), Kokoreff (2004) ainsi qu'Otero, Poupart et Spielvogel (2004). Elle a permis de voir comment les transformations identitaires varient selon le rapport de l'individu à sa détention, allant du maintien de l'identité pré-incarcération au repositionnement identitaire majeur. Trois types de rapports ont été identifiés chez les répondants: l'incarcération inéluctable, marquée par une routine d'enfermement et la vie de rue; l'incarcération parenthèse, marquée par une toxicomanie enveloppante et la prostitution; et l'incarcération bifurcation, marquée par un changement de mode de vie ou de « carrière ». Enfin, des effets sur d'autres plans que l'identité ont été relevés dans les récits des répondants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jeune de la rue, Incarcération, Prison, Construction identitaire, Identité.
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Devenir jeune de la rue : étude des récits de vie de leurs parents

Tassé, Emmanuelle January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche, de nature qualitative et exploratoire, a pour but de comprendre, par l'entremise de récits de vie, dans quel contexte familial, économique et social se trouvaient les parents de jeunes de la rue. Pour recueillir le point de vue des parents au cours des sept entrevues que nous avons effectuées, nous avons eu recours à la méthode du récit de vie, qui « consiste à enquêter sur un fragment de réalité sociale-historique dont on ne sait pas grand-chose a priori » (Bertaux, 1997 : 22). Ces parents sont le produit d'une société donnée: la nôtre. Nous voulions savoir ce qu'ils avaient à raconter. Les jeunes de la rue, visibles depuis une vingtaine d'années au Québec, constituent en effet un phénomène contemporain. Nous reconnaissons au savoir des parents une valeur sociologique et estimons que le récit de vie constituait une méthode privilégiée pour ce type d'investigation. Nous pensions à la base que ces parents, comme tous les autres, avaient élevé leurs enfants sous l'influence de nombreuses pressions sociales et émettions l'hypothèse que des éléments d'explication en lien avec les transformations économiques, l'individualisme, l'éclatement de la famille et la crise actuelle de l'autorité se retrouveraient dans leurs discours. Ce fut effectivement le cas. Pourtant, tous les enfants de notre époque n'ont pas le même parcours alors que leurs parents sont plus ou moins confrontés aux mêmes réalités. Alors, pourquoi les enfants de ces familles se sont-ils, eux, retrouvés à la rue? Nous avons observé, dans chacun des cas, une accumulation de difficultés pour les enfants, avec, comme base commune, une rupture que le pédiatre et psychanalyste anglais Winnicott (1994) nomme « déprivation ». Elle a pu se traduire par l'abandon de la part d'un parent, la séparation des parents ou le décès d'un membre de la famille. À ce contexte familial viennent s'ajouter des éléments extérieurs dont l'influence est forte: la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), les différentes ressources qui hébergent et nourrissent les jeunes de la rue, et, bien sûr, la présence de jeunes dans la rue qui crée un précédent et attire leurs pairs. Nous vivons en effet dans une société qui permet le départ à la rue en ce sens qu'elle propose des structures par l'entremise desquelles les jeunes pourront échapper à l'autorité parentale, une autorité parfois impossible à rétablir pour les parents. Le constat n'est pas simple. La DPJ et les organismes « de rue », pensés pour venir en aide aux jeunes en difficulté, peuvent aussi bien les protéger que contribuer à les maintenir en situation de rue. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jeunes de la rue, Parents, Parentalité, Transformations économiques et sociales, Individualisme, Crise de l'autorité.
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Les desseins de la couleur seule : peinture et monochromie chez Guy Pellerin, Stéphane La Rue et Francine Savard

Beaupré, Marie-Ève January 2009 (has links) (PDF)
Cette recherche prend le monochrome comme objet d'étude, un genre pictural qui, malgré le scepticisme formulé à son égard au début du siècle dernier, ne cesse, encore aujourd'hui, de se renouveler. L'objectif de ce mémoire est de mettre en perspective la pratique de la peinture monochrome dans une histoire de l'art québécois. Pour ce faire, dans un premier temps, une synthèse des préalables au développement de la monochromie est formulée de manière à présenter le contexte historique et culturel qui fut propice à l'éclosion du genre. Les artistes précurseurs de la pratique sont donc présentés de manière à envisager des liens entre les différentes générations de praticiens. À la suite de ce premier chapitre, trois études de cas sont réalisées en vue de définir la démarche de trois peintres contemporains québécois: Guy Pellerin, Stéphane La Rue et Francine Savard. Les traits constitutifs de leur pratique sont définis et les procédés employés par ces derniers sont décrits dans le cadre d'analyses d'oeuvres. Ces études de cas sont élaborées en vue de comprendre les desseins motivant leur pratique de la monochromie, de cerner les problématiques que convoquent leurs oeuvres et de dresser un constat des similitudes et des différences entre leurs méthodes. Cet exercice nous permet de situer la démarche évocative de Guy Pellerin, une pratique interprétative qui fait usage de la citation chromatique et procède par saturation; de circonscrire la démarche autoréférentielle de Stéphane La Rue, qui propose une réflexion sur la nature du médium pictural et procède par épuration; et de comprendre comment la démarche référentielle de Francine Savard, qui participe à une réactualisation de l'histoire de l'art, fait usage du procédé de la citation et implique un travail rigoureux de condensation. Ce mémoire résulte donc sur une forme de médiation de leur emploi de la couleur seule. Il interroge le tableau monochrome, tente de saisir les mécanismes de cette forme de visible silencieux et constate que la prolifération de ses desseins, qui lui permet d'osciller entre les pôles du matériel et de l'immatériel, génère implicitement un renouvellement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Peinture, Monochrome, Guy Pellerin, Stéphane La Rue, Francine Savard.
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L'imaginaire de l'espace urbain montréalais dans Bienvenue à et Ascension, deux déambulatoires audioguidés d'Olivier Choinière

Ducharme, Francis January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire se penche sur une forme théâtrale, les déambulatoires audioguidés, qu'écrit et met en scène l'auteur dramatique québécois Olivier Choinière. Contrairement à la plupart des pièces de théâtre de rue, le texte occupe ici une large place grâce au dispositif de l'audioguide, offert aux participants, qui leur indique aussi l'itinéraire à suivre. De la production de Choinière, ce mémoire retient un corpus de deux déambulatoires audioguidés joués dans des rues et des lieux publics montréalais: Bienvenue à (2005), et Ascension (2006). L'objectif est de situer le propos de ces oeuvres par rapport aux discours sociaux sur l'espace urbain et de montrer l'apport spécifique de cette forme inusitée de théâtre dans la manière de concevoir la ville. La question du sens de l'espace est centrale dans ces pièces, mais elle est soulevée implicitement et avec ambivalence. Le texte, l'ambiance sonore enregistrée et la mise en scène produisent des effets de proximité et de décalage entre l'espace réel et l'espace fictionnel. Ils expriment et suscitent un profond malaise face à la viIle. Différents enjeux de cet inconfort psychologique sont discutés dans l'analyse: la solitude dans la foule, l'écologie, l'urbanisme, l'insécurité, le tourisme, la valeur sacrée, historique ou affective de certains lieux. L'ambivalence et l'ironie complexe des oeuvres par rapport à ces aspects du sens du lieu provoquent des réflexions chez le public, l'incitent à l'engagement, mais sans lui imposer une prise de position donnée. Les deux déambulatoires sont étudiés dans des chapitres distincts pour mieux souligner leurs dissemblances sur ces questions et l'évolution dans la démarche de l'auteur.Le préambule théorique du mémoire rend compte d'abord d'une recherche sur les diverses formes esthétiques dont s'inspire Choinière, en considérant notamment la dimension institutionnelle du choix du lieu scénique. Il présente les figures de marcheur évoquées, surtout celles du touriste, du myste, du pèlerin et de l'écrivain flâneur. Ces figures sont introduites par une synthèse des enjeux de l'imaginaire de la ville, selon des théories d'urbanisme, de sociologie, de géographie et d'anthropologie. La perspective géopoétique, qui, sur le plan de l'analyse, convoque des théories de l'espace pour étudier la littérature, est une influence théorique majeure de cette recherche. Sur le plan de la création, l'atelier québécois de géopoétique La Traversée privilégie le contact direct avec l'environnement et le territoire comme source d'inspiration, notamment par la déambulation (Carpentier). On observe des motivations semblables dans les déambulatoires de Choinière, mais aussi plusieurs différences. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Théâtre de rue, Déambulatoire, Audioguide, Olivier Choinière, Récréotourisme initiatique, Espace urbain, Ville, Montréal.
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Anomalies synthétiques : analyse de modèles d'infiltration artistique en territoire urbain des années '70 à aujourd'hui, suivie de dix semaines d'infiltration aboutissant à la création d'un parcours dans le Centre-Sud de Montréal

Lalonde, Catherine 09 1900 (has links) (PDF)
Nous poursuivons ici une réflexion sur la ville en tant qu'espace de représentation et source d'inspiration artistique. Notre mémoire-création rassemblera différentes approches d'infiltration artistique afin de mieux en comprendre les composantes. Nous tenterons de définir une esthétique générale de l'infiltration et poserons la question suivante : l'infiltration artistique ne correspondrait-elle pas à une nouvelle forme de dramaturgie urbaine par la fragmentation et l'articulation d'un récit dans l'espace urbain? Cette recherche présente les mutations de certaines pratiques artistiques qui, depuis les quarante dernières années, ont adopté une approche plus sociale. Notre sélection d'exemples présente des artistes qui ont délaissé les lieux de diffusion institutionnels pour aller vers la création in situ et l'espace public. Ces démarches de création cherchent, entre autres, à rendre l'art plus accessible à l'ensemble de la communauté. Nous nous efforçons également d'utiliser l'art comme moyen pour retrouver un lien collectif et donner aux espaces communs des symboles auxquels nous pouvons nous identifier. La création d'Anomalies synthétiques, œuvre en deux temps, vient appuyer cette recherche. Sur une période de dix semaines, nous avons fait vivre une fiction en utilisant différentes formes d'infiltration. Un parcours urbain présenté sur trois soirs a conclu cet essai. Le spectateur a pu découvrir la fiction urbaine sous forme de marche autoguidée par une carte géographique. Ce parcours se voulait une synthèse des dix semaines d'infiltration, soit l'expérience de la représentation transposée à l'espace urbain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : infiltration artistique, art interdisciplinaire, théâtre hors les murs, performance, art urbain
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Le dojo du karaté-do : un espace de socialisation pour un jeune de la rue?

Loutfi, Mohamed 04 1900 (has links) (PDF)
L'étude liée au phénomène des jeunes de la rue représente un défi de taille pour la recherche sociale. Au cours des dernières années, le monde de la science a connu un nombre croissant de recherches ayant comme sujet les pratiques martiales d'origine extrême-orientale. Les dimensions étudiées sont liées à la biomécanique, la tactique, la médecine ou la philosophie. Nos vingt-cinq ans d'expérience dans la pratique et l'enseignement de divers arts martiaux et notre implication dans quelques recherches auprès de jeunes en difficulté nous ont motivé à rejoindre le peu de chercheurs qui ont accordé de l'importance à la dimension psychosociale de ces pratiques. Dans notre recherche nous avons opté pour l'approche qualitative afin de vérifier si le dojo peut être un espace de socialisation pour un jeune de la rue. Nous avons opté pour une approche phénoménologique. L'interactionnisme symbolique a servi de cadre d'analyse pour cette étude de cas. Notre but était de comprendre, d'organiser et d'analyser le sens que donne un sujet, Ben, à son expérience dans le dojo. Quatre angles relationnels forment le cadre de notre analyse : le rapport au sensei (l'enseignant d'un art martial), le rapport au dojo (à l'activité du karaté-do et au lieu de la pratique du karaté-do) le rapport à soi et le rapport aux autres (les pratiquants du karaté-do et les amis). Ce que nous nous sommes efforcés de faire avec la plus grande rigueur mais aussi avec la plus grande ouverture d'esprit est de vérifier le possible lien entre le processus de socialisation et ces quatre angles relationnels. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : jeunes de la rue, socialisation, art martial, karaté-do, soi.
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La surveillance policière dans les bars de Montréal

Boivin, Rémi January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Trajectoires d'enfants de la rue d'Haïti ayant bénéficié d'une intervention d'une ONG visant l'insertion sociale : que sont devenus ces enfants? /

Lubin, Irdèle. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. 298-311. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.

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