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Le mouvement de jeunes « Nachi » ou une progéniture de la démocratie dirigée russe (2005-2009)

Lasnier, Virginie January 2009 (has links) (PDF)
Afin de mieux comprendre le régime postsoviétique russe et ses rapports avec la société civile, en particulier avec la jeunesse, ce mémoire propose d'étudier le mouvement de jeunes pro-Kremlin Nachi (« Les nôtres »), mis sur pied au printemps 2005 par l'administration présidentielle russe (le Kremlin). L'intérêt de se pencher sur Nachi réside dans le fait que ce mouvement représente un excellent exemple des politiques mises en place sous le régime de Vladimir Poutine (2000-2008), qualifié par plusieurs analystes de démocratie dirigée. En effet, les nombreuses mesures de contrôle instaurées au cours de sa présidence, visant à bloquer l'apparition d'une quelconque opposition pouvant se développer au sein de la société, ont grandement confirmé le caractère dirigé des libertés laissées à la population. Mais plus encore, le Kremlin s'est employé à élaborer des structures dépendantes de son pouvoir pour étouffer dans l'oeuf l'apparition de mouvements sociaux indépendants. Ces progénitures du régime russe, telles que Nachi, servent aussi plus subtilement à tracer une ligne de démarcation claire entre ce qui doit être vu, par la nation russe, comme la société civile légitime versus la société civile illégitime. Cette étude de Nachi sert donc à éclairer les intentions, les moyens, le contenu idéologico-politique, le degré de succès et les limites de ces politiques implantées par le haut, et par le fait même, tente de mettre en lumière les réactions des groupes sociaux visés, soit dans le cadre de ce travail, la jeunesse. Après tous les bouleversements survenus à la suite de l'effondrement de l'URSS et la disparition soudaine du Komsomol (l'aile jeunesse du Parti communiste de l'Union soviétique), les rapports entre l'État et la jeunesse ont inévitablement dû se redéfinir. Ainsi, bien que les raisons de la création de Nachi ne semblent correspondre qu'au désir du pouvoir de renforcer son contrôle sur la société, le régime justifie sa création avec des arguments étatistes, prétextant vouloir reprendre son rôle de mentor auprès de la jeunesse, un rôle qu'il avait délaissé pendant la période eltsinienne. D'une façon ou d'une autre, il faut comprendre que les effets et les conséquences des actions quotidiennes du mouvement sur les activistes et sur la société peuvent parfois ne pas correspondre à ce qu'avaient imaginé ses auteurs. La complexité structurelle et l'évolution de cette organisation doivent également être prises en compte dans l'analyse. Il importe donc de mieux cerner les motivations de ces jeunes activistes, afortiori lorsqu'une sérieuse remise en question a rendu l'avenir du mouvement bien incertain après les élections 2007-2008. Ce mémoire essaie ainsi de mieux comprendre, dans le contexte postsoviétique; (a) comment l'État russe cherche à construire ses rapports avec la société, en particulier avec la jeunesse; (b) l'idéologie sur laquelle il cherche à appuyer sa légitimité; (c) les attitudes des jeunes face à ces efforts du régime, au régime lui-même, et à son idéologie.
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Le cas des assemblées de quartier du grand Buenos Aires : entre barbarie et civilisation, entre acteur et espace

Robert, Stéphanie January 2009 (has links) (PDF)
Dans un contexte de « crises » des démocraties contemporaines et de fractures entre les partis politiques et les « citoyens », cette recherche se penche sur le phénomène des assemblées de quartier du grand Buenos Aires. S'inspirant de la sociologie compréhensive de type « culture studies », cette étude questionne un mouvement « citoyen ». Ce parcours « narratif » à travers les imaginaires politiques argentins aura comme point d'ancrage la dichotomie constituante de la civilisation / barbarie cristallisée au moment de la construction de l'État-nation moderne (argentin). Cette dichotomie servait encore de repère entre le « eux » et le « nous » pour les assemblées de quartier. Celles-ci naquirent en force à la fin de 2001 avec une participation élevée et enthousiaste. Toutefois, en 2005, lors des observations et des entrevues semi dirigées conduites sur le terrain par l'étudiante, cette participation avait diminué au point de rendre le phénomène marginal et en voie de disparition. L'isolement des assemblées les unes envers les autres et envers le reste de la population nous porte à les considérer comme les tribus postmodernes décrites par Michel Maffesoli. Dans la foulée des réflexions sur les nouvelles formes démocratiques, nous nous posons la question suivante: comment surmonter les problèmes de la non-participation? Les assemblées survivantes semblent avoir trouvé une solution: se transformer en espace politique plutôt qu'en acteur politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Argentine, Démocratie participative, Assemblées de quartier, Maffesoli, Mouvements sociaux et altermondialistes.
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La société civile globale: une «chimère insaisissable» à l'épreuve de la reconnaissance juridique

Amouroux, Mathieu 05 1900 (has links)
La prolifération des acteurs non étatiques, favorisée par la mondialisation, est un phénomène marquant de notre histoire contemporaine. Rassemblés sous le vocable de «société civile», ils ont contribué à créer un foisonnement de normes sur le plan international allant, pour certains commentateurs, jusqu'à concurrencer l'État sur sa capacité de dire le droit. Parmi ces acteurs privés, les organisations non gouvernementales (ONG) et les entreprises multinationales jouent un rôle prépondérant. Notre imaginaire collectif oppose cependant trop souvent l'ONG, symbole du désintéressement, à la multinationale assoiffée de profit. Le présent mémoire vise à relativiser ce constat manichéen et simplificateur. En analysant, dans une perspective de droit international, les moyens d'action des ONG et des multinationales, on se rend compte que les passerelles entre les deux «mondes» sont en réalité nombreuses. ONG et multinationales se retrouvent d'ailleurs dans leur aspiration commune à être reconnues formellement sur la scène internationale. L'opportunité d'une reconnaissance juridique de la société civile sera discutée. / The multiplication of non state actors that emerged as a consequence of globalization is a striking phenomenon of contemporaneous history. These actors otherwise referred to under the concept of «civil society», have contributed to a proliferation of norms in the international arena. Some commentators even convey the idea that the State is being overtly rivalled in this respect. Among these private actors, non governmental organizations (NGOs) and multinational firms play a significant role. In this regard, a common assumption is that NGOs are the symbol of selflessness, while multinationals would be profit-thirsty monsters. This master's thesis aims at relativizing this over-simplification. Under an international law perspective, the analysis of NGOs and multinationals' means of action, leads to the realization that many links do exist, between these two supposedly closed «worlds». Moreover, NGOs and multinationals share a common quest for formaI recognition on an international scale. The potential for legal recognition will be discussed.
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Le contrôle social des établissements de détention : les cas de la France et du Canada

Lehalle, Sandra January 2006 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Un possible, impossible, la co-production des connaissances entre science et société : étude de recherches collaboratives entre chercheurs et acteurs dans le cadre du dispositif "Partenariat Institutions Citoyens pour la Recherche et l‘Innovation" (PICRI) en Ile de France / A possible, impossible, the coproduction of the knowledge between science and society : study of collaboratives researches between researchers and civil society actors within research funding arrangement PICRI in Ile-de-France

Audoux, Christine 17 December 2015 (has links)
Un possible, impossible, la coproduction des connaissances entre science et société. La recherche est une activité sociale principalement déléguée aux chercheurs professionnels au sein des laboratoires académiques ou privés, dans une certaine mise à distance du reste de la société. A la faveur du « tournant participatif », des acteurs de la société civile sont invités aux côtés des chercheurs professionnels, par de nouveaux dispositifs de financement de la recherche, à contribuer à la production de connaissances nouvelles dans des domaines d’intérêt sociétal. Que se passe-t-il dans ces recherches collaboratives? Des connaissances scientifiques peuvent-elles y être co-construites ? Et de telles collaborations sont-elles en mesure de renouveler les modes de production de la connaissance déléguée aux chercheurs ? C’est au travers d’un regard qui postule la question de la traduction comme majeure dans l’émergence d’une possible co-construction entre acteurs et chercheurs qu’est conduite cette étude de dispositif de recherche collaborative. La traduction implique des plans multiples de l’interaction qui sont autant des manières de passer entre les registres de connaissances et les intérêts des uns et des autres que des interprétations qu’ils produisent pour leur donner du sens. Cette dimension centrale de la traduction entre des mondes scientifiques et associatifs est abordée dans une double perspective épistémologique. Une première approche issue de la sociologie de la traduction permet de saisir comment acteurs et chercheurs s’associent et relient leurs différentes identités et intérêts, ainsi que leurs savoirs et les différents objets de recherche pour réaliser des inscriptions scientifiques. Il en émerge des agencements collaboratifs dont les configurations plurielles témoignent de conditions de co-construction. Une seconde approche mobilise l’herméneutique de la traduction pour rendre compte des capacités d’interprétation et d’apprentissage qui peuvent émerger de ces collaborations de recherche. Elle place au cœur des interactions les capacités de délibération et de reconnaissance qui orientent les agencements collaboratifs vers une capacité collective de recherche.A l’issue de cette analyse, l’identification de conditions d’interaction favorisant la co-construction de connaissances entre acteurs de la société civile et chercheurs professionnels permet de réinterroger la possibilité d’inscrire, au côté des modes dominants de production scientifique, un mode de coproduction qui participe d’un renouvellement des rapports entre science et société. / A possible, impossible, the co-production of knowledge between science and society. Research is primarily a social activity delegated to professional researchers in academic and private laboratories, with a certain distancing from the rest of society. Taking advantage of the "participatory turn", actors in civil society are invited alongside professional researchers, with new research funding arrangements, to contribute to the production of new knowledge in areas of societal interest. What is happening in this collaborative research? Can scientific knowledge be co-constructed? And are such collaborations able to renew the modes of production of knowledge delegated to researchers?It is from this way of looking at things that the question is posited regarding translation as a major premise in the emergence of a possible joint construction between civil society actors and researchers who are driving this collaborative research plan. Translating involves multiple planes of interaction which are in as many ways, ways of passing between different people's different registers of knowledge and interests as they are interpretations which are produced to give these registers meaning. This central dimension of translation between scientific and associative worlds is addressed in a double epistemological perspective. A firstly sociological approach to translation captures how actors and researchers combine and link their different identities and interests and their knowledge and different research objects to achieve scientific inscriptions. Collaborative arrangements emerge from this with various configurations which demonstrate the conditions of co-construction. A second approach mobilizes the hermeneutics of translation to account for interpretation and learning abilities that can emerge from these research collaborations. It places deliberation and recognition capabilities at the heart of interactions, which guide collaborative arrangements towards a collective research capacity.Following this analysis, the identification of interaction conditions favouring the co-construction of knowledge between civil society actors and professional researchers can re-examine the possibility of including, alongside the dominant modes of scientific production, a way of co-producing which is part of a renewal of the relationship between science and society.
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La communauté politique dans le cinéma de Chris Marker / The political community in Chris Marker’s cinema

Mary, Nathalie 12 July 2010 (has links)
Ce travail tente d’analyser de quelle manière la communauté politique cherche en vain l’unité et l’entente, quelle représentation le cinéma en général et celui de Chris Marker en particulier donnent à cette recherche, ainsi qu’aux rapports entre les différents acteurs de cette communauté (Etat, société civile), au fonctionnement de celle-ci, aux événements qui la traversent (révoltes, révolutions, guerres). Il étudie aussi comment l’utopie, désir de fonder des communautés plus justes, se trouve au coeur du destin de l’humanité, à tel point que les pouvoirs, les idéologies et les totalitarismes ont toujours su manipuler cette aspiration, en utilisant, par exemple, le cinéma pour rendre compte d‘une union, en apparence réalisée, de la communauté politique. Cette thèse examine encore la place de l’individu et les différentes formes de regroupement social se trouvant, selon les cas, à l’intérieur ou en dehors de la communauté politique. Elle rend compte enfin de l’originalité d’une oeuvre exceptionnelle d’un point de vue politique, celle du cinéaste Chris Marker. / This work tries to analyse how the political community searches in vain for unity and harmony ; how cinema in general, and that of Chris Marker in particular, portrays this search, as well as the relationships between different actors of this community (state, civil society), its workings, and the events which run through it (uprisings, revolutions and wars). It also considers how utopia - the wish to create fairer communities - is at the heart of mankind’s destiny, so much so that authorities, ideologies and totalitarianisms have always been able to manipulate this aspiration, for instance by using cinema to show a seemingly accomplished union of the political community. Then, this thesis examines the place of the individual and the different types of social gathering being, depending on circumstances, within or outside of the political community. It finally shows the originality of a politically exceptional work, that of the filmmaker Chris Marker.
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Universalité des droits de l'homme et mondialisation / Non communiqué

Konaté, Woyo 18 June 2011 (has links)
Les droits de l’homme sont véritablement nés sous la plume des Constituants français lors de la révolution de 1789. Ils sont le produit d’un long processus de maturation de la conception du droit, qui a commencé depuis le jusnaturalisme classique en passant par le droit divin pour aboutir au jusnaturalisme moderne, le droit naturel, qui reconnaît à l’homme des droits qu’il possède par sa nature. Après avoir fait l’objet de critiques souvent virulentes, les droits de l’homme ont gagné du terrain. De nombreux textes les ont consacrés aussi bien au niveau international que régional, et ont fait l’objet de constitutionnalisation dans des Etats démocratiques. Ainsi, leur revendication est devenue universelle. Mais dernière cette universalité théorique se cache une réalité pratique catastrophique. Ils sont partout permanemment et abondamment bafoués. En effet, l’obstacle fondamental qui s’obstrue à leur universalisation est la mondialisation capitaliste. Cette dernière, de par son organisation selon la seule logique du marché, génère des difficultés d’ordre culturel, économique et politique, qui privent les hommes des capacités de pouvoir jouir de leurs droits. Mais force est de reconnaître que ces difficultés qui font de la pratique universelle et effective des droits de l’homme un vœu pieux sont loin d’être une fatalité. Ainsi, pour une universalisation réelle de cette norme, il faut une refonte du système mondial en substituant à la mondialisation économique la mondialisation des droits de l’homme. / Human rights are really born with the writings of French Constituents during the 1789 revolution. These rights are the outcome of a long process of maturity of the conception of the right, which started since the classical jusnaturalisme through the divine right to result in modern jusnaturalisme, the modern natural right, which recognize for man rights by his nature. In fact, after being subject of poignant criticisms, the human rights have gained ground. They have been made legal by many bills of rights at the international as well as the regional level, and they have been constitutional thanks to democratic states. So their claim has become universal. But behind this theoretical universality is hidden a catastrophic practical reality. They are permanently and strongly violated. In fact, the fundamental obstacle which hinders the universalisation of these rights is the capitalistic globalization. This one, from its organization according to the only one logic of the market, raises difficulties of cultural, economic and political nature which prevent men from being able to enjoy their rights. But these difficulties which make the effective and universal practical of the human rights impossible are not a fatality. In fact, for a real universalisation of this norm we must remake the mondial system in substituting at the economical globalization the human rights globalization.
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Institutional changes, water accessibility strategies and governance in the Cameroon western highlands : the case of Bali, Kumbo and Bafou small cities / Changements institutionnels, statégies d'approvisionnement et de gouvernance de l'eau sur les hautes terres de l'Ouest Cameroun : exemples des petites villes de Kumbo, Bafou et Bali

Ngefor, Gillian Sanguv 29 January 2014 (has links)
L’objectif de cette étude consistait à explorer la contradiction naissante entre d’une part, la politique de l’eau menée au Cameroun depuis l’indépendance et d’autre part, les réalités urbaines de contrôle et d’usage informels de l’eau. Les concepts de « gouvernance » et de « communauté » ont été utilisés pour analyser comment les populations affirmaient, de façon individuelle ou collective, leurs droits sur l’eau et comment de telles revendications étaient légitimées. Les concepts de « négociabilité » et de « flexibilité » ont permis de comprendre comment les droits d’utilisation et d’accès à l’eau étaient négociés et contestés en fonction de conditions changeantes. Le concept de « société civile » a été employé pour refléter le caractère multi scalaire du pouvoir et sa normalisation dans des réseaux de la vie quotidienne, régulant ainsi les pratiques et les relations sociales. Les résultats montrent l’existence d’un grand nombre d’arrangements institutionnels de niveau local qui régissent l’accès à l’eau potable dans les communautés. Les leaders traditionnels, les représentants élus et les comités de gestion des points d’eau potable tendent à se compléter dans le développement et l’application des arrangements institutionnels. L’étude conclut que l’informalité des institutions et des droits de propriété dans la gouvernance de l’eau des petites villes semblent entretenir des situations socio-économiques complexes. Il s’agit là d’un point commun entre les trois sites étudiés. En définitive, la multiplication des acteurs de l’eau a débouché sur une sorte de chevauchement des compétences de contrôle et de gestion tant dans l’espace que dans le temps. / The objective of this study was to explore the emerging contradiction between on the one hand, the water policy conducted in Cameroon since independence and secondly, the urban realities of “informal” water control and use on the other. The concepts of "governance" and "community" were used to analyze how people individually or collectively claimed, their water rights and how such claims were legitimized while the negotiability/flexibility and hybrid concepts were used to analyze how resource rights and access are negotiated (informal and formal) and contested in view of changing conditions. The concept of "civil society" was used to reflect the multiscale nature of power and its standardization in networks of daily life, thereby regulating the practices and social relations. Results show that there are a number of local level institutional arrangements that govern access to potable water in communities which may vary depending on the source, ownership (privately owned or communally owned) interest and the purpose for which the water will be used. Traditional leaders, “elected” leaders and the relevant water point committees tend to complement each other in developing institutional arrangements and enforcing these. The study concludes that the informality of institutions and property rights in small town water governance harbor complex socio-economic situations, which is a common feature in the three study sites (Bali, Bafou and Kumbo), where rights overlap in both time and space with a variety of different degrees of intensity being applied in the management of different water schemes. Such processes are not predictable, because of the specific characteristics of each community, and one has to deal with setbacks and conflicts.
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Les opérations de maintien de la paix en Afrique et les organisations de la société civile : les cas de l’ONUMOZ (Mozambique) et de la MONUSCO (Congo)

Kayembe Mayaya, Nick January 2017 (has links)
Depuis sa toute première mission en 1956, les opérations de maintien de la paix de l’ONU ont été renforcées pour devenir « Robuste » (Diehl, 2008; Clark 2011), c’est-à-dire avoir recours aux moyens coercitifs, et être centrées vers l’individu. Toutefois, les missions présentement en cours montrent que l’organisation peine encore à trouver l’équilibre entre expertise internationale et le savoir faire local. Partant de ce constat, ce travail voulait savoir : De quelles manières les relations entre les opérations de maintien de la paix de l’ONU et les organisations locales de la société civile influencent-elles sur la production de la paix dans les pays en conflit? Le regard porté sur l’opération des Nations unies au Mozambique (ONUMOZ) et la Mission des Nations unies pour la stabilisations en République Démocratique du Congo (MONUSCO) a permis de soutenir que : les relations plus denses et intégrées entre l’ONUMOZ et les organisations locales de la société civile mozambicaine ont contribuées à l’instauration d’une paix durable au Mozambique, alors que les interactions limitées et faibles entre la MONUSCO et les organisation locales de la société civile congolaise expliquent, en partie, l’incapacité de la mission a atteindre pleinement son objectif de paix dans l’est du pays.
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Jürgen Habermas, Eric Weil et les limites politiques de la société civile contemporaine : contribution à la réflexion sur le sens de l'engagement politique citoyen / Jürgen Habermas, Eric Weil and civil society political boundaries : contribution to reflection on the meaning of citizen political engagement

Ametepe, Koffi 07 March 2015 (has links)
La présente investigation sur le thème «Jürgen Habermas, Eric Weil et les limites politiques de la société civile» se veut une «contribution à la réflexion sur le sens de l’engagement politique citoyen». En effet, en conférant à la société civile la vocation politique de légitimation de l’Etat, le philosophe et sociologue allemand, Jürgen Habermas, postule que la prise de parole sous forme d’exercice public de la raison suffirait pour enclencher un Agir communicationnel à même de faire du citoyen l’acteur et le destinataire des lois et des institutions qui le gouvernent. Mais cet aboutissement ne va pas de soi. Elle dépend, selon le philosophe français, Eric Weil, de conditions particulières induites par la nature et le fonctionnement de la société moderne. La principale préoccupation de cette investigation qui, ose un dialogue virtuel entre les deux penseurs, est de montrer que, si le triomphe planétaire de l’ idée de société civile contribue à l’accélération de l’avènement d’une société universellement administrée dans les limites de la simple raison, l’atteinte de cet objectif reste minée par l’omniprésence de la violence et du non-sens dans la sphère politique contemporaine. Aussi, pour sortir de cette double impasse à laquelle s’expose l’exercice public de la raison, le dialogue entre Jürgen Habermas et Eric Weil s’achève par la primauté de la question du sens. Un aboutissement qui se justifie et justifie par conséquent l’engagement politique citoyen. Car, c’est en continuant à agir de façon raisonnable et non-violente, seul et/ou avec les autres pour l’avènement d’un Etat vrai, malgré la persistance de l’irrationalité, de la violence et du non-sens, que le citoyen contribue au renouvellement du sens de son existence individuelle et collective. / The present investigation on “Jürgen Habermas, Eric Weil and civil society political boundaries” is intended to be a “contribution to the reflection on the meaning of citizen political engagement”. Indeed, by giving civil society the political vocation of legitimation of the state, the German philosopher and sociologist Jürgen Habermas, posits that speaking in the form of public speaking exercise of reason would be enough to trigger a Communicational Action making the citizen the actor and the recipient of the laws and institutions that govern him. But this achievement does not happen by itself. It depends, according to the French philosopher Eric Weil, of special conditions created by nature and functioning of modern society.The main aim of this investigation which dares a virtual dialogue between the two thinkers, is to show that if the global triumph of the idea of civil society contributes to the acceleration of the advent of a universally administered society within the limits of simple reason, the achievement of the goal remains undermined by the omnipresence of violence and nonsense in contemporary political sphere.Therefore, to get out of this double impasse to which the public exercise of reason is exposed, dialogue between Jürgen Habermas and Eric Weil ends with the primacy of the question of meaning. An outcome which is justified and therefore justifies the citizen political engagement. It is by continuing to act reasonably, non-violently, alone and/or with others for the advent of a Real State, despite the persistence of irrationality, violence and nonsense that the citizen contributes to the renewal of the meaning of its individual and collective existence.

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