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Der Bund deutscher Mädel : ein Beitrag über die ausserschulische Mädchenerziehung im Nationalsozialismus /

Kinz, Gabriele, January 1900 (has links)
Diss.--Bielefeld--Universität, 1989.
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Politische Affinität zwischen geographischer Forschung und dem Faschismus im Spiegel der Fachzeitschriften : ein Beitrag zur Geschichte der Geographie in Deutschland von 1920 bis 1945 /

Heinrich, Horst-Alfred. January 1991 (has links)
Diss.--Giessen--Justus Liebig-Universitä̈t. / Titre de dos : " Geographische Forschung und Faschismus" Liste des articles des revues géographiques citées dans le texte et bibliogr. p. 397-418.
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Être socialiste dans l'Algérie coloniale : pratiques, cultures et identités d'un milieu partisan dans le département d'Oran, 1919-1939 / Being a socialist in colonial Algeria : practices, cultures andidentities of a political milieu in the Oran Department, 1919-1939

Marynower, Claire 04 December 2013 (has links)
Ce travail s’intéresse au milieu des militants de la SFIO dans le cadre du département d’Oran dans l’entre-deux-guerres, dans une « approche sociétale » qui dépasse les frontières du parti pour s’intéresser à son inscription dans l’environnement. L’évolution idéologique du groupe mise en lumière – le passage d’une réticence extrême face au nationalisme à une ouverture aux revendications des organisations de la population colonisée créées à cette époque, Association des ‘ulamā musulmans et Fédération des élus musulmans en tête – est restituée dans ses multiples réalités, politique mais aussi culturelle, sociale et sociabilitaire. Le changement des discours et des idées fut en effet à la fois accompagné et permis par une évolution des pratiques, des langues utilisées à la façon de mobiliser en passant par le vêtement, aussi bien que par celle des identités, avec l’entrée de militants issus de la population colonisée à la SFIO mais aussi l’évolution des réseaux militants, rapprochant le Parti socialiste des organisations revendicatives algériennes. Les principales conclusions de ce travail permettent d’élargir les récits du nationalisme algérien, en prenant en compte les transferts réciproques, organisationnels et théoriques, entre la gauche française et les premières organisations politiques algériennes. Elles éclairent aussi notre compréhension des sociétés coloniales, en montrant comment le Parti socialiste fut au cœur, en Algérie, d’une « transaction hégémonique impériale » : tout en contestant la façon dont la colonisation française fonctionnait, il en assura paradoxalement la solidité, en faisant vivre le langage, largement fictionnel, de l’assimilation, par delà la frontière coloniale. / My dissertation deals with the French Socialist group in the Western department of Algeria, Oran, during the interwar period. At first very reluctant about any proposition that could be considered similar to nationalism, this group progressively opened up to wider views: in the mid 1930s, it included a significant number of Algerian members and had added some of the major claims of the proto-nationalist movements to its political platform – mainly those of the Federation of Muslim elected representatives and the Association of Algerian Muslim ‘Ulamā. The process of cultural change in the Oran socialist milieu was accompanied and facilitated by mutations in both the socialist practices and sociability. Thus socialist ways of operating – mobilizing, campaigning and demonstrating – evolved: during the 1930s, the Socialists increasingly positioned themselves to attract the native Algerian population. But socialist ways of being – identities and social configurations – also mutated considerably, as the Socialist Party grew closer to the Algerian proto-nationalist organizations. The Socialist Party in Algeria can be understood as constituting an interstitial world, challenging the binary division of colonial societies into colonizing and colonized populations. The socialist activists of the Oran region challenged the “colonial border” in a significant albeit limited way. They opened a dialogue around the idea of colonial reform in a coercive context and constituted a “hegemonic imperial transaction”. The study of this short-lived community challenges the historiography as it analytically recalibrates the genesis of Algerian nationalism, taking into account a form of “colonial encounter” with the French left.
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Die Neue französische Linke von 1958- 1968 : Engagement, Kritik, Utopie / La Nouvelle Gauche française de 1958 à 1968 : engagement, critique, utopie

Götze, Susanne 11 October 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie les courants politiques de la Nouvelle Gauche dans la période 1958 jusqu’à 1968, qui se sont développés en France à la fin des années 1950, au-delà des structures des partis déjà établis et de la pensée traditionnelle socialiste. Selon le concept développé par Pierre Bourdieu du « champ social », l’analyse met en avant – dans l’optique de développement des concepts alternatifs de la société – des interactions entre les structures du nouveau Parti Socialiste Unifié (PSU), des intellectuels, des clubs politiques, des magazines (classique Nouvelle Gauche), ainsi que des mouvements culturels (tels que les situationnistes). Le point commun de ces différents acteurs est qu'ils ont développé, et ce avant les émeutes de 1968, des nouvelles approches théoriques de l'objet de travail, d’un «socialisme démocratique», de la démocratie directe, du colonialisme, l'auto-gouvernement, le public, et la relation entre l’art et la politique. Les mouvements intellectuels, artistiques et politiques de la « Nouvelle Gauche » se sont positionnés contre la logique de la «mentalité de camp» de la guerre froide et ont développé leurs propres programmes politiques d'une « troisième voie » au-delà du dogmatisme marxiste et de la démocratie socialiste réformiste «discrédité» dans les pays occidentaux industrialisés. La recherche est guidée par la question des discours et des débats sur une «troisième voie» ou un «socialisme démocratique» qui ont eu lieu à l’époque – par contraste au modèle soviétique et des concepts démocratiques et socialistes établi en Ouest. La question qui se pose est la suivante : pour quelle raison les intellectuels, artistes et politiciens ont renoncé à faire partie du discours dogmatique du PCF ou celle-ci du SFIO qui a fait partie de gouvernement et rejoint des nouvelles pensées et non-dogmatiques et pourquoi et comment ils sont commencé à développer des concepts d`une « troisième voie » entre les fronts existants de la guerre froide ? Dans ce contexte, il est également probable d’avoir des nouvelles réponses sur la question évoquées comment la gauche «non-dogmatique» ou «Nouvelle Gauche» était l’impulsion et «incubateur théorique» pour les troubles en mai 1968. / This work examines the political tendencies of the "Nouvelle Gauche" in France in the period 1960-1968, which have developed (or : constituted themselves) beyond the established party structures and conventional (or better: traditional?) socialist paradigms since the end of the 1950s. Based on the concept of the "Social Field" developed by Pierre Bourdieu, the interactions between the new party structures (Parti Socialiste Unifié), intellectuals clubs, magazines (classic Nouvelle Gauche) as well as cultural movements shall be studied from the viewpoint of developing alternative approaches for the society. These different actors have in common that they developed before the riots of 1968 new theoretical approaches to the subject of work, "democratic socialism", direct democracy, colonial policy, self-government (or better: self-administration?), the public and the relationship between art and politics. The intellectual, artistic and political movements of the "new left" opposed the logic of "camps mentality” of the Cold War and developed their own political programs of a "Third Way" beyond the Marxist dogmatism and the "discredited" reformist social democracy in the Western industrialized countries.This work combines policy- and cultural-historical problems, which are handled by methods of the critique of ideology as well as discourse analysis, and starts with the foundation of the Parti Socialiste unifié (PSU) in 1960, that acted as "the amalgam of the discarded" and as "new left". 18 months before, the party Socialiste Autonome (PSA) was founded, whose followers had broken away from the socialist SFIO and are placed now in the political landscape of France between SFIO and PCF.Usually, the focus of previous studies has been and is still the history of parties in the context of international and domestic political events (war in Algeria, appeasement in the era of Khrushchev, transition from the Fourth to the Fifth Republic, rebellions in Eastern Europe against the Soviet domination). In contrast, this work shall on the one hand deal with the political, extra-parliamentary, intellectual and artistic field of the "Nouvelle Gauche" under programmatic and intellectual historical point of view, and on the other hand work out biographical and social interdependencies. The question which discourses and debates about a "Third Way" or a "democratic socialism" were held – in contrast to the Soviet model and Western social democratic or socialist concepts – is prepended this investigation. The question is risen for which reasons intellectuals, artists as well as politicians seceded from the dogmatic course of the KPF, joined undogmatic, new ways of thinking and started to develop "Third Ways" between the existing fronts of the Cold War. With respect to this background, new answers are expected to the problem how the outlined "Undogmatic" or "New Left" has been impulse and "theoretical incubator" (bin mir nicht sicher, ob das im englischen geht) for the rebellions in May 1968.
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Socialistes et enseignants : le Parti socialiste et la Fédération de l'Education nationale de 1971 à 1992 / Socialists and teachers : the Parti socialiste and the Fédération de l’éducation nationale from 1971 to 1992

Ferhat, Ismaïl 12 November 2013 (has links)
Les relations entre socialistes et enseignants sont à la fois marquées par une grande proximité et la crise entraînée par les tensions entre les deux champs entre 1997 et 2000. Les rapports entre ce milieu professionnel et ce courant politique sont supposés étroits. Pourtant, peu d’études ont été faites. La thèse propose une analyse des rapports entre le Parti socialiste et la Fédération de l’éducation nationale. Elle propose une analyse multidisciplinaire sur les interactions entre ces deux organisations, du congrès du PS à Epinay en 1971 à l’éclatement de la FEN en 1992. / Teachers and socialists had experienced, in contemporary France, a traditional alliance but also a major crisis under the left-wing government of 1997-2002. These interactions are supposed to be intense, but have entailed few scientific studies. This PhD paper focuses on a specific aspect of this relation, the partnership between the Parti socialiste and the Fédération de l’éducation nationale (the leading teacher union in France from 1946 to 1992. It studies on the interactions linking those organizations, from the socialist congress at Epinay in 1971 to the scission of the FEN in 1992.
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Ensayo sobre el socialismo y la transición a la democracia en Cuba

Álvarez García, Alberto F. 05 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Cuba est le seul pays de l'hémisphère occidental qui continue d'avoir un régime politique unipartiste de type soviétique, tout en entreprenant des transformations du modèle économique et en s'insérant dans l'économie mondiale. Ces caractéristiques font de ce cas un objet d'études particulièrement intéressant pour les sciences sociales, plus particulièrement pour la science politique. Le principal problème de cette recherche est énoncé par la question suivante: Les conditions actuelles à Cuba permettent-elles le passage à un régime démocratique? Cette recherche comporte deux objectifs fondamentaux: 1. Analyser le niveau actuel du processus de réforme dans le pays, tout en offrant un ensemble de scénarios prévisibles de changements; 2. Exposer les programmes de transition proposés par l'opposition démocratique auxquels participent les forces politiques modérées, libérales, de la démocratie chrétienne, social-démocrates, néo-marxistes, syndicalistes, etc, de même que la situation de ces groupes dans les années plus récentes. Ce texte comprend trois parties: Le premier chapître présente le cadre théorico­conceptuel de la recherche et englobe l'apport essentiel de la «transitologie» aux conceptions de la démocratie et les particularités importantes pour la compréhension du processus de transition d'un gouvernement autoritaire à la démocratie. Dans le deuxième chapitre, nous analysons les contradictions principales de la République néo-coloniale qui menèrent a la Révolution de 1959, puis à la transition au socialisme en 1961, et à l'institutionnalisation du modèle soviétique au cours des années 1970. Le troisième chapitre reflète les aspects essentiels de la crise du socialisme d'État, qui apparaissent dans la seconde moitié des années 1980, les difficultés plus sérieuses auxquelles il fallait faire face dans la transition vers un régime politico-dérnocratique, et des bases prograrnrnatiques de la transition mise en place par l'opposition pacifique modérée. Les conclusions générales de la recherche sont les suivantes: La politique officielle cubaine privilégie la réforme économique contr6lée, tout en refermant les espaces à l'opposition et en maintenant l'unipartisme ainsi qu'une conception «susbstantive» de la démocratie, comme étant la seule permise pour le pays; 2. Les changements du modèle économique commencés durant les années 1990, orientés principalement vers l'ouverture à une économie de marché, et vers la réduction de la planification centralisée - dans le sens large du terme -, peuvent favoriser la modification du régime, mais ne peuvent produire à eux seuls des changements politiques. La transition politique à la démocratie, comme le démontre une bonne partie des études de la transitologie, requiert des facteurs contingents dont entre autres, le rôle des leaders, les stratégies d'actions choisies, la nature des accords conclus entre les forces politiques et par les agissements des acteurs externes; 3. Le post-totalitarisme charismatique vers lequel a évolué la révolution, s'est révélé incapable de construire un régime politico­démocratique en dépit de la mise en place de politiques sociales méritoires, parce que celui-ci n'a pas incorporé une conception plus engagée de la démocratie incluant les droits politiques et les libertés civiques. Pour l'opposition, la transition à la démocratie est un processus incompatible avec l'option gouvernementale de la Période Spéciale d'ouverture au marché, qui a cependant maintenu l'unipartisme; 4. Un aspect important de la politique cubaine dans l'étape post-totalitaire s'explique par la confrontation entre deux projets de changement. Le premier est celui des secteurs «durs» du gouvernement et de l'opposition qui sont en faveur de la subversion violente. Les partisans ce ce projet adoptent une position intransigeante de confrontation et refusent toute négociation avec l'adversaire. Le second projet est celui des forces politiques modérées qui luttent pour arriver au dialogue, à la négociation pacifique et à une transition étroitement liée à la démocratie. La relation entre ces deux projets est caractéristique de la dynamique des changements actuels à Cuba, en même temps qu'elle asseoit les bases des scénarios futurs de la transition; 5. La réforme gouvernementale avec le passage vers l'économie de marché, tout en étant incomplète, place le pays sur la route d'une possible transition politique. Les scénarios futurs de cette transition sont nombreux, peuvent de réaliser à travers des méthodes pacifiques ou violentes, et sont susceptibles de ne pas conduire à la démocratie. Ces scénarios incluent: Scénarios de transitions avec un role prédominant de l'élite: La succession imposée controlée par le secteur dur (le scénario chinois) qui se déroule actuellement; la transition imposée et controlée par le secteur modéré de la coupole (le scénario soviétique); et la transition pactée (le scénario espagnol). Les scénarios de la transition dans un axe des acteurs de masses: La transition par réformes (le scénario tchécoslovaque); 2. La transition révolutionnaire (le scénario roumain); et 3. Sont aussi prévisibles certains scénarios mixtes. La méthodologie de recherche est basée sur l'apport de la «transitologie» développée par des auteurs comme Philippe C. Schmitter, Guillermo ODonnell, Adam Prezeworski, Terry L. Karl, Juan J. Linz et autres. Ce cadre théorico-explicatif analyse la démocratisation comme étant un phénomène complexe, résultant de l'influence primordiale de facteurs subjectivo-contingents, du choix stratégique des acteurs et de configurations particulières locales et historiques. Le point de départ de la transitologie est une interprétation Schumpetérienne de la démocratie, définie comme un ensemble de procédés légitimes et stables, comme une pratique politique au cours de laquelle les citoyens élisent leurs gouvernements par un vote libre et compétitif. En suivant cette orientation, la définition de la democratie utilisée dans cette étude est la suivante: «La démocratie politique moderne est un système de gouvernement dans lequel les gouvernants sont faits responsables de leurs actes dans le domaine public auprès des citoyens, qui eux agissent indirectement à travers la compétition et la coopération de leurs représentants élus» (Schimitter y Karl, 1993, 18). Ce concept se réfère à quatre dimensions de la démocratie: 1. La concurrence, pour des postes et des politiques; la participation à travers les partis et d'autres organisations; la responsabilité (accmmtability) des gouvernants et le contrôle des militaires par le pouvoir civil. La transitologie est associée à une approche néo-évolutionniste qui reconnaît le caractère non linéaire du processus social, la rationalité et la connaissance limitée des acteurs, l'apprentissage des expériences en cours, l'incertitude, la diversité des niveaux d'analyse, la sélection limitée et la semi-causalité. Quelques-uns des auteurs cités plus haut, signalent que leur analyse n'est pas fondée sur «les principes déductifs d'un choix rationel ou d'inertie historique», mais plutôt sur «l'observation inductive d'une gamme limitée d'expériences récentes faites en Europe et en Amérique Latine et sur leur application .. en Europe de l'Est ... légères différences et des options de peu d'importance - dont la pertinence est ignorée par ceux-là mêmes qui en font l'expérience - mais qui peuvent avoir de graves conséquences et orienter un système de directions bien distinctes et durables» (Karl y Schmitter 1991, 284). Cette méthode appliquée à l'étude des transitions menant à la démocratie, représente une alternative aux théories conventionnelles sur la démocratie des décennies antérieures, et témoigne d'une méthodologie plus modeste et dénuée des prétentions globalisantes du changement social. Une seconde orientation méthodologique de l'étude est qu'elle récupère la convergence des aspirations normatives existant entre le néo-pluralisme et le néo­marxisme en termes de préoccupations communes sur les inconvénients pour un gouvernement démocratique contemporain ce qui revient à dire que : « . .la base restreinte de ressources de nombreux groupes empêche une pleine participation; la distribution du pouvoir politique et socio-économique donne des opportunités et des limites pour les options politiques et la participation inégale en politique: le gouvernement n'est pas suffisamment accessible » (Held 1987, 247). Cet élément nous amène à conclure en précisant sur les conditions d'une transition d'un régime socialiste. Nous mettons en avant qu'une proposition démocratique émanant du socialisme -- mais différente du modèle «soviétique», devra : établir un lien entre le politique et le social, sans oublier la pluralité de la société; donner une plus grande crédibilité à la participation des citoyens; admettre le pluralisme; réinterpréter les relations entre l'État, les acteurs politiques, la société civile et veiller au r-espect des libertés individuelles. Un tel projet suppose qu'il va falloir créer des façons nouvelles de fonctionner en politique: il faut contrer les excès étatistes, des partis politiques et corporativistes du populisme, ainsi que le développementalisme et le socialisme bureaucratique. En faisant l'analyse du futur modèle politique de Cuba, cette recherche s'inscrit dans une tradition d'interprétation qui a ses lointaines racines dans le marxisme. Selon cette interpretation, il n'est pas possible de construire une démocratie socialiste tant et si longtemps qu'on n'y incorpore pas les aspirations de libertés civiles et politiques qui ont leur origine dans le libéralisme, et si celle-ci n'est pas accompagnée des réclamations de liberté et d'égalité sociales, propulsées par les courants démocratiques radicaux, et la pensée socialiste universelle. La conclusion centrale de cette recherche est que la démocratisation de la société cubaine implique : l'ouverture à un système pluraliste, l'institutionnalisation de la pluralité politique, la dépersonnalisation des pouvoirs de l'État, la création d'une culture de tolérance et l'ouverture des canaux de négociation et de dialogue avec l'opposition interne, l'exil et les États-Unis. Pour réaliser cette étude, nous avons fait appel à diverses sources de recherces telles que: l'analyse de la bibliographie scientifique, l'étude des articles de la presse spécialisée sur les questions cubaines, des recherches réalisées par les équipes de travail du Centre d'Études sur l'Amérique durant sa première époque avant mars 1996, en plus de nombreuses entrevues réalisées par l'auteur auprès de chercheurs, professeurs universitaires et des dirigeants tant gouvernementaux que de l'opposition à Cuba et en exil.
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The socialist movement in Pakistan : an historical survey, 1940-1974

Leghari, Iqbal 25 October 2021 (has links)
No description available.
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Littérature et socialisme: Georges Eekhoud et Emile Verhaeren dans l'expérience belge de l'art social (1880-1914)

Aron, Paul January 1984 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Work Analysis and Self-Determination. On the Relevance of "Socialisme ou Barbarie" . / Arbeitsanalyse und Selbstbestimmung. Zur Bedeutung und Aktualität von „Socialisme ou Barbarie“

Gabler, Andrea 22 October 2007 (has links)
No description available.
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La transformation systémique dans la Moldavie post-soviétique : " Intellectuels " et capital social

Rosca, Dorina 07 December 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur l'analyse du changement systémique en République de Moldavie. Elle mobilise la problématique du capital social, au sens de Pierre Bourdieu, afin d'analyser la diversité de stratégies et de trajectoires des " intellectuels " - définis au sein de la société moldave de type soviétique par la possession d'un diplôme d'études supérieures ou supérieures incomplètes et par l'accomplissement d'un travail non manuel - dans le post-socialisme. Appuyant les résultats de deux enquêtes de terrain, par questionnaire et par entretien semi-directif, ce travail met en avant l'idée que cette diversité peut dégager les traits caractéristiques du type de capitalisme post-socialiste moldave. Il rompt ainsi avec une vision téléologique et universaliste d'un système pour le penser selon ses propres particularités institutionnelles, historiques, politiques, culturelles, etc. S'inscrivant dans une démarche socio-historique et conjuguant différents champs des sciences sociales, cette thèse propose alors une lecture comparative entre la trajectoire de ces " intellectuels ", de 1980 à 2000, période couvrant trois régimes spécifiques d'accumulation : un propre à la fin du système socialiste de type traditionnel, un autre propre au système socialiste réformateur, et un troisième relevant du système post-socialiste moldave. Elle montre que les tensions engendrées par les différents régimes d'allocation et de distribution des ressources peuvent être régulées par le volume du capital social accumulé par les individus. La problématique du capital social apparaît ainsi centrale, permettant de voir comment s'articulent la dynamique institutionnelle et l'action sociale.

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