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Marseille et sa classe dirigeante à la Renaissance (env. 1460 - env. 1560). D'une principauté méditerranéenne au royaume de France. / Marseilles and its ruling class during the Renaissance (1460s - 1560s). From a Mediterranean principality to the kingdom of France. / Marsiglia e la sua classe dirigente nel Rinascimento (1460 - 1560). Da un principato del Mediterraneo al regno di Francia.

Maret, Auderic 25 March 2017 (has links)
Jusqu’en 1481, Marseille fait partie d’un Etat indépendant, le comté de Provence et en est la plus grande ville sans en être toutefois la capitale. Or, en 1481, le dernier comte de Provence meurt sans héritier et il lègue l’ensemble de ses territoires au roi de France, Louis XI. Cependant, en Provence, les structures et pratiques politiques sont différentes du royaume de France, et Marseille appartient à un espace politico-culturel méditerranéen où la vie politique des villes est marquée par le modèle de la commune, également présent en Italie du nord et du centre. L’objectif de cette thèse est d’observer le passage d’un espace politico-culturel marqué par l’héritage des comtes de Provence et des cadres politiques de la commune à un espace politico-culturel dominé par le roi de France, où la relation entre le souverain et les villes s’inscrit dans le cadre de la « bonne ville ». Pour mener à bien ce travail, nous avons choisi de nous intéresser au conseil de ville, qui est la pièce maîtresse du pouvoir municipal, et à ses membres, afin d’observer les mutations introduites par ce transfert de souveraineté. Nous avons décidé de voir ces mutations en ce qui concerne la culture et l’identité du groupe dirigeant de la ville afin de s'inscrire dans une histoire culturelle du pouvoir municipal. Toute ville peut se définir comme un système politique où différents pouvoirs coexistent et se réajustent en permanence les uns par rapport aux autres au gré des événements et des changements qui peuvent surgir. La première partie examine les réajustements aux XIVe et XVe siècles à Marseille, qui permettent au pouvoir municipal de devenir dominant à Marseille face aux autres pouvoirs sous le règne de René Ier d’Anjou (1434-1480). La deuxième partie étudie les hommes à le tête du conseil de ville, les fondements de leur pouvoir et leurs modifications autour du rattachement de 1481. Enfin, la dernière partie examine les changements de culture et d’identité du groupe introduits par le transfert de souveraineté et les nouvelles ambitions en Méditerranée du groupe dirigeant, qui jettent les bases d’une véritable thalassocratie qui s’épanouira au XVIIe siècle. / Until 1481, Marseilles is a part of an independant state, the county of Provence and it’s the biggest city, even if it’s not the capital. But, in 1481, the last count of Provence died without a son and he gives in his testament all his goods and territories to the king of France Louis XI. After that, Marseilles, like the rest of the former county is integrated in the French royal domain. But, in Provence the cultural and political structures and practices are different from the kingdom of France, and Marseilles belongs to a politico-cultural space where the political life is influenced by the model of “commune”, we can also see in the north of Italy. My aim in this thesis is to study the mobility between a politico-cultural space influences by the counts of Provence and the political structures and culture of the “commune” to a politico-cultural space dominated by the king of France thanks to a structure called “bonne ville”. I decided to study the council of the city which is the main structure of the municipal power and the leaders who are in this council in order to see the modifications after 1481 about the culture and the identity of this ruling class. I propose with this thesis an essay of cultural history of the municipal power. Each city is a political system, where different powers coexist. Those powers move and fix themselves towards the other ones. In the 1st part, I study how the municipal power becomes the most important one in Marseilles during the reign of René the 1st of Anjou. Then, in the second part, I study the leaders of the council, the foundations of their power and the modifications after 1481. Finally, in the 3rd part, I study the new ambitions of the leaders of Marseilles which lead in the 17th century to build a real thalassocracy in the Mediterranean world. / Fino al 1481, Marsiglia è la città più grande della contea di Provenza, uno stato indipendente, pur senza esserne la capitale. In quell’anno, l'ultimo conte di Provenza muore senza eredi e dona la sua contea al re di Francia, Luigi XI. Le strutture e le pratiche politiche della Provenza sono però molto diverse rispetto a quelle del regno di Francia: Marsiglia fa parte di uno spazio politico-culturale del Mediterraneo, dove la vita politica urbana è segnata da un modello comunale del tutto simile a quello che si riscontra nelle città dell'Italia centro-settentrionale. L’obiettivo di questa tesi è di studiare il passaggio di questo spazio politico-culturale, segnato dall’eredità angioina e da un governo di tipo comunale, a quello dominato dal re di Francia, nel quale la relazione tra il sovrano e le città è costruita attorno al modello della "bonne ville". Per studiare questo tema, si è scelto di concentrarsi sul consiglio della città di Marsiglia, l'istituzione simbolo del potere municipale, e sugli uomini che lo componevano, al fine di apprezzare le mutazioni dovute al cambiamento di sovranità avvenute al suo interno. L’intento è di analizzare i cambiamenti legati alla cultura e all’identità della classe dirigente, nell’ottica di una storia culturale del potere municipale. Tutte le città possono definirsi come un sistema politico all’interno del quale si trovano a coesistere diversi poteri, che si relazionano fra loro in base agli avvenimenti e ai cambiamenti interni ed esterni alla città stessa. La prima parte della tesi si concentra sul processo mediante il quale il potere municipale ha preso il sopravvento a Marsiglia sotto il regno di Renato I (1434-1480). Nella seconda, invece, si analizzano gli uomini che formano il consiglio della città, l’origine del loro potere e le mutazioni che avvengono dopo il 1481. Infine, l’ultima parte ha per oggetto le trasformazioni nell’identità e nella cultura del gruppo dirigente cittadino in seguito al cambiamento di sovranità, evento che getterà le basi della talassocrazia marsigliese del XVII secolo.
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Vivre de la musique à Rome au XVIIIe siècle : lieux, institutions et parcours individuels / Living on music in 18th-century Rome : places, institutions and individual careers

Oriol, Élodie 06 December 2014 (has links)
L'objectif de la thèse est de saisir, pour Rome en tant que capitale européenne de la musique, et dans la continuité des récents travaux historiques sur les capitales culturelles, les modalités et les temporalités d'une profonde transformation des milieux musicaux et des conditions sociales et culturelles de l'exercice de la musique au cours du XVIIIe siècle, phénomène qui a accompagné l'évolution des styles et des goûts musicaux en Europe. La recherche est centrée sur l'étude des « métiers de la musique » : elle analyse les lieux et institutions d'exercice, les pratiques observables dans chacun d'eux, en prenant en compte leurs singularités comme leurs imbrications ou porosités, ainsi que le déroulement des carrières, à partir d'évaluations quantitatives comme de la reconstitution de parcours individuels. Elle vise, grâce à des archives variées (archives de la Congrégation de Sainte-Cécile, archives privées des grandes familles aristocratiques, archives notariales, archives paroissiales, archives des chapelles et des théâtres), à appréhender les conditions sociales des musiciens, en s'attachant aux revenus, aux hiérarchies, aux protections et aux mobilités. Au cours du XVIIIe siècle, on assiste à une recomposition du paysage musical romain. Bien que la désaffection pour la musique sacrée fragilise le marché musical urbain, Rome reste l'un des principaux foyers musicaux européens. La ville se convertit progressivement, mais avec succès, à la musique profane, en particulier à l'opéra, ce qui conduit à modifier non seulement l'offre musicale, mais aussi l'organisation de la profession. / The aim of this thesis is to catch how and when musical circles as well as social and cultural conditions in musical practice deeply changed in Rome - as the European capital of music- during the 18th century ; and that, as part of the recent historical work on cultural capitals. This phenomenon went hand in hand with the evolution of musical styles and tastes in Europe.The research is based on the study of "musical professions": it is an analysis of the places and institutions in which music was practised, the different practices with their peculiarities as well as their abilities to mingle together. It also analyses how careers develop, using quantitative assessments and records of individual careers.It aims, thanks to various archives (from the Congregation of St Cecily, great aristocratic families, notary offices, parishes, choirs and theatres) at understanding the living conditions of the musicians: incomes, hierarchy, protections, mobility. It has been necessary to study the social network and the family environment of the musicians, as well as their relations with other people, and their professional environment. During the 18th century, a reshaping of the Roman musical landscape can be observed. In spite of the declining interest for sacred music, which weakens the market of music in town, Rome remains one of the most important musical places in Europe. The town slowly but successfully converts itself to secular music, and more especially to opera music; and this leads to a change, not only in musical offers, but also the organization of the profession. / Lo scopo della tesi è di capire, per Roma capitale musicale europea, nella continuità dei recenti lavori storici sulle capitale culturali, le modalità e le temporalità di una profonda trasformazione dei “milieux” musicali e delle condizioni sociali e culturali della prassi musicale nel corso del Settecento, fenomeno che ha accompagnato l’evoluzione dei stili e dei gusti musicali in Europa. La ricerca s’incentra sullo studio degli “mestieri della musica”: analizza i luoghi, le istituzioni legate alla musica e la prassi osservabile in ciascuna di loro, tenendo in conto la loro singolarità, i loro intrecci o le loro porosità, lo sviluppo delle carriere, a partire da valutazioni quantitative e dalla ricostituzione di percorsi individuali. Grazie all’analisi di vari archivi (archivi della Congregazione di Santa Cecilia, archivi privati di grandi famiglie aristocratiche, archivi notarili, archivi parocchiali, archivi di cappelle musicali e di teatri), mira a comprendere le condizioni sociali dei musicisti, facendo riferimento ai redditi, alle gerarchie, alle protezioni e alle mobilità. E’ stato necessario interrogare le rete sociali e l’entourage familiale, relazionale e professionale dei musicisti, localizzare i luoghi di residenza nel tessuto urbano e studiare le realtà istituzionali, economiche e sociali che facevano da sfondo alla loro vita professionale. L’adattamento degli individui o delle famiglie di musicisti alle diverse offerte e risorse della città, le dinamiche d’inserimento nel “mercato musicale” e la società urbana, sono stati al cuore di questa riflessione. Il discorso è partito, per quanto possibile, dalle prassi all’interno di questi mestieri, predendo in conto le loro singolarità. E’ quindi stato studiato l’insieme della comunità musicale nelle sue diverse componenti e i suoi multipli aspetti. Nel corso del Settecento, si assiste ad una ricomposizione del paesaggio musicale romano. Anche se la disaffezione per la musica sacra rende fragile il mercato musicale urbano, Roma rimane uno dei principali centri musicali europei. La città si convertì, progressivamente ma con successo, alla musica profana, in particolare all’opera, questo condusse a modificare non soltanto l’offerta musicale ma anche l’organizzazione della professione.

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