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Le monde, l'autre et moi : méditation sur le phénomène de la connaissance

Bonenfant, Hugues 05 November 2021 (has links)
L'amour de la sagesse impose à la connaissance rationnelle de trouver ses propres assises et celles-ci, depuis l'oracle delphique, ne peuvent émerger clairement que d'un repli radical et critique du je sur lui-même, hors de la turbulance du Monde. À ce titre, l'intentionnalité réflexive dans la phénoménologie de Husserl se dévoile comme fondation possible, à la fois originaire et ultime, de toute connaissance pouvant être jugée certaine. Cependant, l'Homme vit dans le monde, il ne se réduit pas en la sublimation d'un pur ego. Comment pourra-t-il espérer connaître le Monde s'il en est partie prenante? Comment pourra-t-il espérer connaître Autrui si ce dernier peut aussi se mettre en marge du Monde? Et Soi-même? Il nous semble que seul l'Amour bien compris nous permette d'unir réellement tant l'immanence que la transcendance, au sein de la subjectivité connaissante. Tout notre présent effort tend à l'harmonisation concrète de la subjectivité et de la connaissance véritable.
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Saisir la main

Létourneau, Isabelle. 04 March 2021 (has links)
Une étonnante convergence de témoignages et une abondance de faits se rapportant à l'atrophie de la main dans notre société techniciste, nous amènent à renouveler la réflexion sur la main humaine. Plus précisément, l'objet de notre travail consistera à chercher réponse à la question suivante: Pourquoi l'homme est-il pourvu de mains? Pour ce faire, nous tâcherons de saisir ce qu'est la main humaine. D'abord, nous aborderons quelques notions préliminaires touchant les êtres animés et exposerons la méthode à suivre en philosophie naturelle et en biologie. Suivant cela, nous étudierons le mot main afin d'y dégager les conceptions communes relatives à la main humaine. De là, la recherche des causes de la main sera entreprise. Nous y verrons alors en quoi son origine, son anatomie, ses fonctions, son principe et sa fin se rapportent tous, à leur façon, à l'intelligence humaine. Ainsi, nous serons amenés à voir que la main est instrument de la perfection de l'homme en tant qu'homme.
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Les racines philosophiques et anthropologiques du destin de l'ordre catallactique chez Friedrich August von Hayek

Rowley, John Eric January 2016 (has links)
Cette thèse s’intitule Les racines philosophiques et anthropologiques du destin de l’ordre catallactique chez Friedrich August von Hayek. Von Hayek fut économiste, psychologue théorique, juriste et historien. Mais l’étude de son oeuvre montre aussi qu’il fut philosophe et anthropologue. Et, dans une certaine mesure, même s’il ne respectait pas toujours les politiciens, il fit, à sa manière, de la politique, dans son acception non politicienne, puisqu’il eut une réelle compréhension et un très grand respect pour la démocratie. Il tenta plutôt d’influencer, à l’université, lors de conférences internationales, dans ses ouvrages, les intellectuels, spécialement les rationalistes constructivistes, les hommes d’État ou de gouvernement, particulièrement les socialistes et les conservateurs, et, surtout, l’homme de la rue, finalement sur qui portait tout le poids de l’avenir de la civilisation occidentale. À ce sujet précis, il eut tellement de choses à dire. Et ces choses furent le prétexte à l’écriture d’un ouvrage philosophique. En effet, 1943 fut une date importante, pour lui. Il fit paraître La Route de la servitude. Déjà le titre était annonciateur. Dans cet ouvrage, von Hayek voulait alerter le monde des intellectuels, des hommes politiques et administratifs et de l’opinion publique au sujet de la prison vers laquelle tout ce monde, nonchalamment, volontairement, se dirigeait. Et en s’asservissant ainsi, l’homme du XXe siècle menaçait de mort ou d’appauvrissement, à terme, insidieusement, l’Occident. La mort ou l’appauvrissement de la civilisation occidentale, pour von Hayek, serait cataclysmique. Des milliards de personnes, au XXe siècle, survivaient justement grâce à ce qui avait permis à cette grande civilisation de la liberté de l’homme d’apparaître, de se développer et de se maintenir : il s’agissait de l’ordre catallactique. Mais qu’arrivait-il, au XXe siècle, à cet ordre catallactique riche de vies humaines? En fait, ce questionnement portait justement sur cet ordre et surtout sur son destin de plus en plus incertain. L’ordre catallactique, qui apparut, se développa et se maintint, s’affaiblissait ou disparaissait de plus en plus au XXe siècle et ce, malgré le fait qu’il favorisa, il y a des millénaires de cela, la vie à travers un mode différent et nouveau de survie. C’est pourquoi la déchéance de cet ordre, au XXe siècle, le préoccupa et le fit penser et écrire. L’objet de ses réflexions à l’égard du destin incertain de l’ordre catallactique est précisément ce que vise cette thèse : élucider et exposer, dans une perspective exégétique, les racines philosophiques et anthropologiques qui, dans la pensée de von Hayek, ont favorisé l’apparition, le développement et le maintien de l’ordre catallactique et de son déclin. Ainsi, nous avons eu besoin de nous appuyer sur quatre parties, qui sont, elles-mêmes, distribuées en sept chapitres. Première partie et ses deux chapitres. D’abord, nous avons tracé le profil biographique de Friedrich August von Hayek et enfin nous avons présenté une thématique intégratrice autour de laquelle gravite sa réflexion à l’égard du destin de l’ordre catallactique : il s’agit de la vie qui est essentiellement comprise comme une survie. Deuxième partie et son seul chapitre. Nous avons présenté la théorie de la connaissance de von Hayek, qui pourrait se ramener à l’idée suivante : l’homme ou l’intellectuel, du reste, reste un être de limites et d’ignorance. Cette conception, qui peut sembler étrange, possédait le mérite, selon von Hayek, de pouvoir voir au-delà de ce que les sens offrent à l’observation : l’invisible, l’inobservable et l’intangible qui caractérisent les pratiques économiques et les règles juridiques catallactiques qui apparurent, se développèrent et se maintinrent de façon spontanée, abstraite et complexe. Troisième partie et ses trois chapitres. En fait, ils viendront élucider et exposer les racines philosophiques et anthropologiques du destin incertain de l’ordre catallactique. D’abord, nous présenterons les concepts économiques et juridiques d’ordre et de catallaxie, qui sont à la base de l’ordre catallactique. Ensuite, nous tracerons le profil psychologique et anthropologique de l’homme : l’homme sensoriel ou phénoménal, l’homme biologique et l’homme culturel, qui furent à la base de la naissance de l’ordre catallactique et de son déclin. Enfin, nous avons repéré cette biologie immémoriale et psychophysiologique, et cette culture récente et lente au sein de l’histoire de l’évolution humaine afin d’y détecter des mouvements d’évolution – de la biologie à la culture – et d’autres de retour en arrière – de la culture vers la biologie. Quatrième partie et son chapitre. Nous avons présenté la problématique morale ou éthique que le destin de l’ordre catallactique, incertain au XXe siècle, portait en lui. En effet, pour certaines raisons, le système moral ou éthique catallactique n’arrivait plus, au XXe siècle, à concurrencer le système moral ou éthique socialiste ou socialisant issu de la pensée rationaliste constructiviste.
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Le rôle des idées dans la connaissance singulière chez John Locke

Kado, Déborah January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif de présenter le rôle des idées dans la connaissance singulière chez John Locke. Les « idées » constituent la pierre angulaire de la théorie de la connaissance chez Locke. Selon lui, la connaissance est la « perception d'une liaison » de concordance ou de discordance entre les idées. L'idée est, pour lui, le matériau de notre connaissance. Le rôle des idées dans la connaissance singulière est de nous représenter les existants réels. Les idées singulières sont reçues et perçues par l'esprit pour former des propositions singulières. La perception de la liaison de concordance ou de discordance entre les idées constitue la connaissance singulière ou la connaissance générale. Dès lors le rôle des idées consiste à faire connaître les êtres qui existent, à établir une correspondance entre le sujet connaissant et la réalité extérieure. L'idée en tant que fondement épistémologique est le principe de toute connaissance et, précisément, de la connaissance singulière. Nous utiliserons la principale oeuvre de Locke, à savoir l'Essai sur l'entendement humain, pour réaliser cette étude. Il s'agit donc de réexaminer la pensée de Locke en épistémologie en reconstruisant les concepts du corpus de sa théorie de la connaissance sous l'angle spécifique du rôle que jouent les idées dans la connaissance singulière. Pour réaliser cette étude, nous procéderons à une analyse systématique en exposant d'abord, dans une première partie, le cadre conceptuel de la théorie lockienne des idées, puis, dans une seconde partie, nous montrerons en quoi celles-ci consistent dans la connaissance singulière. Dans la première partie du mémoire, nous présentons, la conception lockienne des idées en montrant leur origine sensible. Pour montrer le caractère sensible des idées, nous utilisons particulièrement le livre 2 de l'Essai sur l'Entendement humain. Dans le chapitre 1, nous présentons les deux sources de la connaissance. Nous discutons, ensuite, dans le chapitre 2, la cause des idées tout en nous attachant à montrer que les idées sont causées par les pouvoirs des objets extérieurs que Locke appelle qualités. Et, dans le chapitre 3, nous analysons les opérations de l'esprit en montrant le rôle des idées en général. Après l'analyse de la théorie des idées, nous essayons de montrer comment les idées se déterminent en connaissance, dans la connaissance singulière, ce qui constitue l'objet des chapitres de la seconde partie. Le livre 4 de L'Essai sur l'entendement humain est ici notre référence principale. Dans notre chapitre 4, nous tentons de définir la connaissance singulière. Dans le chapitre 5, nous analysons la connaissance de l'existence des êtres réels en montrant le rapport des idées aux choses existantes et la certitude. Ensuite, dans le chapitre 6, nous examinons les limites de la connaissance singulière liées à l'impossibilité de connaître la substance. Et, enfin, dans le chapitre 7, nous pouvons avancer ce qui nous apparaît être la position sceptique de Locke en épistémologie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Philosophie, Épistémologie, Connaissance, Idée, Existence, Êtres réels, Locke.
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Sartre et le problème de la connaissance

Joannis, David Guy. January 1994 (has links)
Le problème de la connaissance est essentiel à une juste compréhension de la pensée de Sartre. Conscience et liberté se donnant pour leur propre fondement, l'alternative à l'éthique est d'aborder la question de l'homme en tentant de concilier la subjectivité avec la certitude et la vérité de la connaissance. Ni la science ni le Cogito cartésien ne permettent d'accéder à une connaissance véritable : la conscience est existence concrète et préréflexive. Il ressort de l'ontologie une dualité de la connaissance que résout une dialectique de la conscience; il y a, dans la connaissance, une nécessité incontournable de recourir à la rationalité, alors que la réalité qu'elle vise est irréductible à la rationalité. La théorie de la conscience fonde épistémologiquement cette dialectique et assure la vérité et l'intelligibilité de l'homme et de l'histoire: la connaissance est située. Existence et savoir ne font qu'un; la vérité est l'acte de la liberté.
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Quelle épistémologie pour les mathématiques appliquées ? : des débats classiques aux approches structurelles / Which epistemology for applied mathematics ? : from classical debates to critical accounts

Imocrante, Marina 20 July 2017 (has links)
Alors que l’applicabilité des mathématiques est devenue un sujet d’intérêt pour le débat philosophique récent, celui-ci n’a pas encore clairement mis l’accent sur les questions épistémiques posées par l’intervention des mathématiques dans les sciences et dans la vie quotidienne. Ces questions peuvent être formulées comme suit : comment pouvons-nous connaître la vérité d’une proposition scientifique, ou plus généralement d’une proposition sur certaines caractéristiques du monde naturel, lorsque cette proposition comprend des éléments mathématiques? Quelle sorte de justification avons-nous pour les parties mathématiques de notre connaissance empirique? Cette thèse de doctorat a un double objectif : d’une part, offrir une systématisation critique du débat philosophique en cours sur l’applicabilité. D’autre part, clarifier le problème épistémique posé par l’applicabilité des mathématiques et le séparer des problèmes métaphysiques corrélés. La première partie du travail est consacrée à la formulation des questions propres à une enquête épistémologique sur les mathématiques appliquées, ainsi qu’à la présentation de l’analyse classique de l’applicabilité offerte par Steiner. Dans la partie II, la présentation du débat récent sur l’applicabilité est organisée autour d’une distinction entre les approches qui considèrent les mathématiques pures et appliquées sur le même niveau épistémique, et celles qui distinguent le niveau de mathématiques pures du niveau des applications. Les positions étudiées sont, respectivement, les points de vue fregéen et néo-fregéen, et ce que l’on considère comme des points de vue ‘structurels’, à savoir le structuralisme mathématique (à la fois ante rem et éliminatif), la position de Field et la théorie de la mesure. La partie III introduit le débat sur l’indispensabilité des mathématiques dans les sciences, pour montrer comment les différentes formulations des arguments d’indispensabilité et les critiques qui leur sont adressées renouvellent l’attention sur les questions philosophiques liées à l’applicabilité, et clarifient la séparation entre les questions épistémiques sur les mathématiques pures (par exemple, le problème de l’accès) et les questions épistémiques sur les applications (par exemple, la justification des parties mathématiques de notre connaissance scientifique). La position de Christopher Pincock, qui théorise un traitement épistémique distinct pour les mathématiques pures et appliquées, est spécifiquement analysée. Enfin, la dernière partie en conclut ce que peuvent être les caractéristiques d’une théorie épistémologique adéquate pour les mathématiques pures et pour les mathématiques appliquées, et présentent plusieurs problématiques connexes et cruciales pour de futures recherches. / While the applicability of mathematics has become a topic of great interest in recent philosophical debate, the debate has not yet clearly focused on the fundamental epistemic questions that arise from the use of mathematics in science and in daily life. These questions can be basicallystated as follows: how can we affirm to know the truth of a scientific statement, or more generally that of any statement about a feature of the natural world, when that statement includes some elements of mathematics? What kind of justification do we have for the mathematical portions of our empirical knowledge? My PhD dissertation has a twofold purpose: on the one hand, it offers a critical systematization of the on-going philosophical debate on applicability. On the other hand, the epistemic problem posed by the applicability of mathematics is clarified and separated from correlated metaphysical issues. The first part of the work is devoted to the definition of the specific epistemic questions and the presentation of the classic analysis of applicability problem(s) offered by Steiner. In Part II, the recent debate on applicability is organized around a distinction between those approaches that take pure and applied mathematics to be on the same epistemic level, and those that keep the level of pure mathematics separate from the level of application. The positions investigated are, respectively, Fregean and Neo-Fregean views for the one-stage side, and what I refer to as ‘structural’ views for the two-stageside, namely, mathematical structuralism (both ante rem and eliminative), Field’s account, and measurement theory. Part III takes into account the related debate on the indispensability of mathematics to science, showing how the different formulations of indispensability arguments and the criticisms led to renewed attention to the philosophical questions about applicability in the early 2000s, along with a clarification of the separation between epistemic questions about pure mathematics (e.g. the access problem) and epistemic questions about applications (e.g. the justification of the mathematical portions of scientific knowledge). The account offered by Christopher Pincock, which provides a separate epistemic treatment for pure and appliedmathematics, is specifically analyzed. Finally, in the last part of the work, we draw particular conclusions about what would be, following our analysis, the features of a suitable epistemological treatment of both pure and applied mathematics, while several connected issues are identified as crucial for further inquiry. / L’applicabilità della matematica è diventata un argomento di grande interesse per il dibattito filosofico recente, ma il dibattito non si è ancora focalizzato sulle fondamentali questioni epistemologiche poste dall’uso della matematica nella scienza e nella vita quotidiana. Queste domande possono essere formulate come segue: come possiamo dire di conoscere la verità di un asserto scientifico, o più in generale di qualsiasi asserto su alcune caratteristiche del mondo naturale, quando tale asserto include elementi matematici? Che tipo di giustificazione possiamo avere per le porzioni matematiche della nostra conoscenza empirica? La presente tesi di dottorato ha un duplice scopo: da un lato, si offre una presentazione sistematica deldibattito filosofico in corso sull’applicabilità. Dall’altro lato, il problema epistemico posto dall’applicabilità della matematica è chiarito e separato dai correlati problemi metafisici. La prima parte del lavoro è dedicata alla definizione delle specifiche domande epistemiche sulla matematica applicata; si presenta inoltre l’analisi classica dei problemi legati all’applicabilità offerta da Steiner. Nella seconda parte, la presentazione del dibattito recente sull’applicabilità è organizzata attorno ad una distinzione tra le posizioni che considerano matematica pura e applicata sullo stesso livello epistemico e quelle che mantengono il livello della matematica pura separato dal livello applicativo. Le posizioni indagate sono, rispettivamente, la posizionefregeana e neo-fregeana da un lato, e le posizioni che definiremo ‘strutturali’ dall’altro, ovvero lo strutturalismo matematico (sia ante rem che eliminativo), la posizione di Field e la teoria della misura. La terza parte del lavoro affronta il dibattito sull’indispensabilità della matematica nella scienza, mostrando come le diverse formulazioni degli argomenti di indispensabilità e le critiche ad esse rivolte contribuiscano a rinnovare l’interesse per le domande filosofiche sull’applicabilità, oltre che a chiarire la separazione tra domande epistemiche sulla matematica pura (ad esempio Il problema dell’accesso) e domande epistemiche sulle applicazioni (ad esempio la giustificazione delle porzioni matematiche della nostra conoscenza scientifica). La proposta teorica di Christopher Pincock, che tratta separatamente l’epistemologia di matematica pura e applicata, è analizzata in modo specifico. Nell’ultima parte del lavoro, si traggono alcuni conclusioni su quali potrebbero essere, in seguito allo studio svolto, le caratteristiche di un trattamento adeguato dell’epistemologia della matematica pura e applicata. Infine, alcuni ulteriori problemi connessi sono individuati come cruciali per indagini future.
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La théorie de la connaissance chez Descartes et Vico : imagination et raison / Descartes and Vico theory of knowledge : imagination an reason

Gue, Loudmie 09 October 2017 (has links)
Au XVIIème siècle, la Querelle des Anciens et des Modernes donne l’occasion de s’interroger sur la manière dont l’homme construit ses connaissances. Deux facultés rentrent en jeu : l’imagination et la raison. Descartes, semble-t-il, a fait de la raison la seule faculté permettant à l’homme de connaître. Par ailleurs, Vico met en évidence l’imagination qui participe activement à la cognition chez l’homme. Ainsi, la tradition philosophique a tendance à faire de l’un l’opposé de l’autre. Mais, pouvons-nous prendre pour acquis une telle opposition ?En s’adonnant à une analyse du corpus cartésien, qu’est-il possible de faire ressortir au sujet de l’imagination ? Que dire de Vico qui, dans sa Scienza Nuova, prend en compte, d’une manière originale, ces deux facultés qui jouent un grand rôle dans la question de la cognition.D’un côté, des critiques font de Vico le farouche opposant de Descartes. D’un autre côté, une relecture de la position cartésienne de l’imagination nous conduit à une reconsidération de l’opposition Descartes/ Vico. La position de Vico permet de considérer l’imagination et la raison dans une relation de hiérarchisation et de complémentarité. Ainsi, l’imagination est chronologiquement la première faculté qui apparaît chez l’Homme. La raison la suit. Mais, ceci signifie t-il que l’une prime sur l’autre ou que l’une relève d’une plus grande importance que l’autre? Aussi, où Vico puise-t-il ses idées ? Comment agence-t-il celles-ci pour une nouvelle perspective dans la construction des connaissances ? Ces questions nous invitent à considérer le rapport Descartes/ Vico comme complexe et ambigu.Notre travail consiste à fixer le statut de l’imagination et son rapport avec la raison chez les deux philosophes et apporter un caractère scientifique à la première. Ceci nous amène à étudier le statut des deux facultés, la relation profonde qui existe entre elles lors de l’appréhension du réel. / In the 17th century, the Quarrel of the Ancients and the Moderns gives the opportunity to wonder about the way in which men build knowledge. Two faculties come into play: imagination and reason. Descartes, it seems, has made reason the only faculty enabling men to know. In addition, Vico highlights the imagination that actively participates in cognition in humans. Thus, the philosophical tradition tends to make the one the opposite of the other. But can we take such opposition for granted?By indulging in an analysis of the Cartesian corpus, what is it possible to bring out about the imagination? What about Vico, who in his Scienza Nuova takes into account, in an original way, those two faculties that play a great role in the question of cognition.On the one hand, critics make Vico the fierce opponent of Descartes. On the other hand, a re-reading of the Cartesian position of the imagination leads us to a reconsideration of the opposition Descartes / Vico. Vico's position allows us to consider the imagination and the reason in a relation of hierarchization and complementarity. Thus, imagination is chronologically the first faculty which appears in men. The reason follows. But does this mean that the one over the other or that one is of greater importance than the other? So where does Vico get his ideas? How does he organize these for a new perspective in the construction of knowledge? These questions invite us to consider the Descartes / Vico report as complex and ambiguous.Our work consists in fixing the status of the imagination and its relationship with reason in the two philosophers and bringing a scientific character to the first. This leads us to study the status of the two faculties, the deep relationship that exists between them when apprehending the real.
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La justification argumentative: vers une théorie de la rationalité

Danblon, Emmanuelle January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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De la crise de la sociologie au problème de son objet

Boukra, Liess January 1992 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Contribution à l'étude de la distinction entre connaissances implicites et explicites: une approche des difficultés méthodologiques de l'évaluation des connaissances du sujet dans des tâches de contrôle dynamique

Marescaux, Pierre-Jean January 1990 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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