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Living Impaired and Other Stories of the UnderemployedHoffman, Dustin M. 29 June 2009 (has links)
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L’absurde dans le cinéma de Sono Shion et Ishii Katsuhito : portrait extrême de la « génération perdue » japonaiseGuilbert, Alice 12 1900 (has links)
Ce projet de recherche propose de déceler les manifestations formelles et narratives du « sentiment d'absurdité » camusien dans Suicide Club (2001) de Sono Shion et The Taste of Tea (2004) réalisé par Ishii Katsuhito. En vue de déterminer la part de responsabilité détenue par la crise économique japonaise des années 1990 dans le traitement absurde de ces œuvres, le caractère inconséquent de la violence représenté chez Sono et le traitement de la solitude chez Ishii sont analysés. Abordant tous deux le concept de rupture générationnelle, la présence d’absurde au sein de ces films illustre la réalité préoccupante de la « génération perdue » japonaise, de jeunes gens confrontés à l’absence d’offre d’emplois et à un isolement sociétal forcé. / This project aims to identify the formal and narrative manifestations of the Camusian “sense of absurdity” in Sono Shion’s Suicide Club (2001) and The Taste of Tea (2004) directed by Ishii Katsuhito. In order to determine the extent to which the Japanese economic crisis of the 1990s contributed to the absurd treatment in these works, the project analyzes the inconsistent nature of the violence represented in Sono’s film and the treatment of solitude in Ishii’s. Both films address the concept of generational rupture. In doing so, the presence of the absurd within these films illustrates the worrying reality experienced by young people faced with the absence of job offers and forced societal isolation, known as the Japanese "lost generation".
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Le Ludique et l'absurde dans la littérature du XXè siècle : Raymond Devos et Raymond Queneau / The "Ludic" and absurd in the literature of the XXth Century : Raymond Devos and Raymond QueneauBencze-Rovez, Ludovic 27 April 2011 (has links)
L'amorce repose sur une contradiction quasi-résorbée : Les ludique et absurde négligés par la littérature, s'imposent au XXe siècle, comme composants utiles à une manifestation intellectuelle plus en phase avec la pensée humaine contemporaine. L'analyse littéraire repose sur l'observation d'aptitudes que manifestent les notions de ludique et d'absurde pour s'adapter aux contraintes inhérentes aux écritures romanesques, théâtrales et poétiques, aujourd'hui. Pour définir les compétences accrues d'un message littéraire en contexte ludique et/ou absurde, la première partie est une relecture ciblée d'auteurs que la critique ne classe pas dans un registre ludico-absurde. La seconde précise et illustre la nature de ces nouvelles compétences, par l'étude d'expérimentations de R. Devos et R. Queneau, dont les rhétoriques ludico-absurdes renvoient à une surréalité toujours populaire car déjà intellectuellement intégré par le récepteur. La dernière aborde la dimension socioculturelle de la littérature, témoin-artisan d'une pensée collective férue de valeurs ludico-absurdes, et qui après s'être souvent fait le chantre de la philosophie de l'absurde, esquisse de l'individu, sa nouvelle manière d'être au monde. / The absurd along with that of the “ludic” can no longer be confirmed to the domain of literary prose, but are in fact essential elements to twentieth-century intellectual thought at large. The literary fundamentals are based on the observation of the capacity of the absurd and the “ludic” to adapt to inherent constraints of the novelistic, theatrical and poetic. Our first section argue for a re-evaluation of that message focusing on specific writers that critics thus far have failed to appreciate as part of a distinctive “ludico-absurd” form. The second section focus on this emerging capacity based on studies of the work of R. Devos and R. Queneau, whose “ludico-absurd” rhetoric holds in common a surrealism. It remains popular as audiences are ever sensitive to the message of the “ludico-absurd”, while the latters having integrated it intellectually. The third section focus on the socio-cultural dimensions of the literature, concentrating on the position of the artist as well as that of the beholder. Ultimately, this paper look at the way in which the philosophy of the Absurd continue to elaborate and indeed herald a new relationship between the individual and the contemporary world.
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Bruce Nauman : the true artist is an absurd fountainTrapani, Alex 02 1900 (has links)
Link to dataset: https://doi.org/10.25399/UnisaData.14152106.v1 / The work of Bruce Nauman can be understood as an enquiry into the absurd. His work is a critique of art, the artist and society, and is in part viewed as a mediation of stereotypical ‘truth’. The absurd is defined and analysed to elucidate the nature of art and human behaviour by means of literary comparison, in particular of Camus, Sartre and Wittgenstein. This research focusses on Nauman’s subversive performance- based work and analyses how he simulates a particular work of Duchamp. I propose that Nauman espouses human activity into the functionality of objects, such as fountains. My artworks expand on Nauman’s interrogation of the concept of a ‘true artist’ by embodying an absurd fountain as a Sisyphean construct. In contextualising my work in relation to incessant duty, insecurity and double negatives, I offer a regenerative vigour against idolisation of success through contemplation of the artist’s doubt and the absurd. / Art History, Visual Arts and Musicology / M.A. (Visual Arts)
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Le mythe de la fin du monde dans Les chaises de Ionesco et Fin de partie de BeckettManascurta, Calin 04 1900 (has links)
À partir d’un dispositif théorique et méthodologique emprunté au structuralisme figuratif de Gilbert Durand, ce mémoire propose une exploration du Mythe de la Fin du Monde dans quelques unes de ses manifestations romanesques et théâtrales. Les postulats de base qui fondent notre démarche sont au nombre de trois : a) l’œuvre littéraire possède toujours un substrat mythique ; b) un mythe représente un noyau de mythèmes, dont le trait définitoire est la redondance ; c) il n’y a pas de version privilégiée ou primitive du mythe, qui doit être vu comme une constante de l’esprit humain. Au niveau des applications pratiques, notre travail s’articule en deux démarches complémentaires, reprises d’une section à l’autre. Dans un premier temps, en nous appuyant sur le corpus romanesque – où le mythe nous semble abondant et complet – nous identifions les redondances internes et génériques que nous qualifions de «mythèmes». Dans un second temps, nous vérifions la présence et le fonctionnement de ces mythèmes dans le corpus dramatique. / Within the theoretical and methodological framework of the figurative structuralism devised by Gilbert Durand, this work sets out to explore the Myth of the End of the World based on two corpora: five novels and two plays. Three main postulates underlie our research: a) the literary work is always based on a mythical substratum; b) myth is an aggregation of mythemes, whose defining characteristic consists in their redundancy; c) myth is a constant of the human spirit and therefore none of its versions takes precedence over another. As far as the applications of the theory are concerned, our work is articulated in two distinct phases, repeated form one section to another. Based on the body of novels, where the myth manifests itself in its most complete and abundant form, phase 1 is devoted to the identification of redundancies, both internal to each work and generic, that are categorized as mythemes. Phase 2 verifies their presence in the body of plays.
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Vers un cinéma de l'absurde : les films de Roman PolanskiBrassard, Félix 09 1900 (has links)
La notion de l'absurde a pris dans la pensée et le langage courant un très grand nombre de significations, parfois très éloignées les unes par rapport aux autres. Il est arrivé à au moins deux reprises que le terme « absurde » soit entendu dans le sens d'un courant : dans la philosophie absurde théorisée par Albert Camus en 1942, et dans le Théâtre de l'absurde (Beckett, Ionesco, etc.), qui lui a connu son apogée dans les années cinquante. Ces deux mouvements pourraient être envisagés comme l'expression d'un seul et même courant, l'absurde, qui prend ses racines dans une Europe ébranlée par les horreurs de la guerre et l'affaissement de la religion chrétienne. Pour les contemporains, l'hostilité et le désordre de l'univers, de même que la solitude irrémédiable de l'individu apparaissent comme des vérités à la fois douloureuses et difficile à ignorer.
Roman Polanski (1933-), cinéaste à la fois prolifique et éclectique, ouvre à l'absurde de nouveaux horizons, ceux du septième art. L'analyse de son oeuvre (et des éléments autobiographiques qui la sous-tendent parfois) met à jour d'indéniables parentés avec les figures-clés de l'absurde que sont Camus, Kafka, Nietzsche et les dramaturges européens de l'après-guerre. Ces parentés se repèrent tout autant dans les thématiques récurrentes de ses films que dans leurs obsessions formelles. / The idea of absurd has taken a huge amount of different meanings in thought and current speech. Some of these meanings may present important differences with others. There is at least two occurrences where the word “absurd” has been understood as a current: first, in the philosophie absurde, theorized by Albert Camus in 1942, and second, in the Theater of the Absurd (Beckett, Ionesco and others), who had his hours of glory during the 1950s. These two movements can be seen as two branches of a single current, the Absurd, who has its roots in Europe after World War II. The horrors of the conflict and the loss of faith in Christianity pushed the intellectuals and artists of this period to become very sensitive to ideas such as hostility (of men, of world...) and loneliness.
Roman Polanski (1933-), film director well-known for the eclecticism of his work, showed very notable acquaintances with Absurd in many of his movies. The analysis of his art (and of the autobiographical elements that sometimes appear in it) proves a clear relation with important figures of the Absurd current, such as Camus, Kafka, Nietzsche, and European playwrights of the post-war era. This relation can be observed in themes as well as in the mise en scène of Polanski's films.
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L'intertextualité avec les textes religieux dans l'oeuvre d'Albert Camus / Intertextuality with religious texts in the works of Albert CamusAl-Ibadi, Khudhair Abbas Mathi 22 June 2012 (has links)
Cette thèse traite de la présence des textes religieux dans l'œuvre d'Albert Camus. Il s'agit de mettre en évidence l'intertextualité qui apparaît, sous différentes formes, dans les ouvrages romanesques et philosophiques de l'auteur. La thèse s'organise en deux axes parallèles et complémentaires, le premier est la mise en relief de la présence directe et effective de l'intertexte biblique dans les textes de Camus, qui s'effectue par l'emprunt directe au registre religieux ; le deuxième est la présence de l'intertexte religieux par le biais d'autres écrivains-philosophes, antérieurs ou contemporains de l'auteur (Saint Augustin, Pascale, Kierkegaard, Dostoïevski, Nietzsche, et Heidegger). Ainsi, l'intertextualité apparaît dans l'œuvre de Camus sous des formes explicites (déclarées) ou implicites (latentes ou suggérées.) La thèse se focalise, à chaque étape, sur les techniques intertextuelles utilisées, sur le rôle joué par l'intertexte dans l'analyse du texte camusien, et son action sur le lecteur sensibilisé à la perception de l'œuvre. En conclusion, l'implication systématique de l'œuvre de Camus dans un enjeu intertextuel progressif, depuis la forme simple du commentaire jusqu'aux formes plus élaborées d'une intertextualité devenue trame de l'œuvre. / This thesis deals with the occurrence of the religious texts in the works of Albert Camus. The point is to find out the different aspects of intertextuality embodied in the novels and the philosophical essays of the author. The thesis is organized around two axis. The first one has to do with the biblical intertext that is found in the texts of Camus. In fact, this process is done by the direct borrowing from the religious register. The second axis deals with the occurrence of the religious intertext linked to some previous and contemporary authors-philosophers : Saint Augustin, Pascal, Kierkegaard, Dostoïevski, Nietzsche or Heidegger. As a matter of fact, the intertextuality appears in the works of Camus in an explicit way or an implicit one. The thesis focuses, at each step, on the intertextual techniques that are used by Camus, on the role played by the intertext in the analysis of the camusian text, on the effect of the intertext on the reader and who is aware of the perception of the work. To conclude, this work shows the systematic implication of Camus’s masterpieces in a progressive intertextual process. It starts by the use of a simple form of commentary to a most complex form of intertextuality which becomes the framework of Albert Camus’s works.
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Le mythe de la fin du monde dans Les chaises de Ionesco et Fin de partie de BeckettManascurta, Calin 04 1900 (has links)
À partir d’un dispositif théorique et méthodologique emprunté au structuralisme figuratif de Gilbert Durand, ce mémoire propose une exploration du Mythe de la Fin du Monde dans quelques unes de ses manifestations romanesques et théâtrales. Les postulats de base qui fondent notre démarche sont au nombre de trois : a) l’œuvre littéraire possède toujours un substrat mythique ; b) un mythe représente un noyau de mythèmes, dont le trait définitoire est la redondance ; c) il n’y a pas de version privilégiée ou primitive du mythe, qui doit être vu comme une constante de l’esprit humain. Au niveau des applications pratiques, notre travail s’articule en deux démarches complémentaires, reprises d’une section à l’autre. Dans un premier temps, en nous appuyant sur le corpus romanesque – où le mythe nous semble abondant et complet – nous identifions les redondances internes et génériques que nous qualifions de «mythèmes». Dans un second temps, nous vérifions la présence et le fonctionnement de ces mythèmes dans le corpus dramatique. / Within the theoretical and methodological framework of the figurative structuralism devised by Gilbert Durand, this work sets out to explore the Myth of the End of the World based on two corpora: five novels and two plays. Three main postulates underlie our research: a) the literary work is always based on a mythical substratum; b) myth is an aggregation of mythemes, whose defining characteristic consists in their redundancy; c) myth is a constant of the human spirit and therefore none of its versions takes precedence over another. As far as the applications of the theory are concerned, our work is articulated in two distinct phases, repeated form one section to another. Based on the body of novels, where the myth manifests itself in its most complete and abundant form, phase 1 is devoted to the identification of redundancies, both internal to each work and generic, that are categorized as mythemes. Phase 2 verifies their presence in the body of plays.
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Existencialismus a jeho pojetí člověka / Existentialism and its conception of manRAPČANOVÁ, Anna January 2017 (has links)
The diploma thesis examines the specific work of Albert Camus and Gabriel Marcel, focusing on the question of human values. The aim is to show two forms of existential philosophy concerning human existence in their chosen dramas. The work is divided into chapters. In the first chapter we can find the basic characteristics of existentialism and its development. The second and third chapter deals with Camus' and Marcel's conception of philosophy. In these chapters will present the Camus' problem of suicide, revolt, absurd and sense of being. In the case of Marcel will be dealt with the issue of duality of being and have, relationship I-You, love, hope, death, freedom and faith. Diploma thesis results in subsequent chapters where you can find comparison existential themes in the works of authors.
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Le paradoxe "vitalogique" comme source et horizon de la pensée philosophique en rapport à l'homme chez Albert CamusKasongo Mbuyu, Joseph 12 May 2004 (has links)
En commençant son étude critique sur Camus, Pierre de Boisdeffre,dans (Métamorphose de la littérature, Proust, Valéry, Cocteau, Anouilh, Camus, Sartre, Verviers, Marabout Université, 1974, p.309), fait le constat suivant:"l'Europe depuis Nietzsche, est à la recherche d'un cinquième Evangile. Qu'elle exalte les nourritures terrestres ou qu'elle communie à sa propre nausée, la littérature contemporaine n'a plus qu'une seule certitude: elle sait que Dieu est mort et s'efforce de le remplacer par l'Homme." En méditant la pensée de Camus à travers ses essais philosophiques, il semble que, même si dans un entretien sur la révolte, ce dernier déclare qu'"il n'est pas humaniste", la question du comment l'homme doit vivre avec ses semblables dans le monde et en société, est au centre de la réflexion philosophique camusienne. Car, l'époque de Camus fut celle où la vie humaine comme valeur et la dignité de l'être humain, furent soumises à une dure épreuve d'être respectées par chaque homme et en tout homme. D'où l'intérêt que l'oeuvre de Camus porte sur la question de la "vitalogie": L'homme peut-il vivre heureux sans le secours de Dieu? Oui ou non, l'homme, peut-il se tuer volontairement ou bien tuer les autres sans raison? L'homme peut-il détruire le monde qui le porte sans détruire sa propre vie? En effet, loin de voir dans la mort raisonnée et dans le suicide une valeur, Camus considère qu'ils sont plutôt un mal que les hommes doivent éviter et faire éviter les autres dans le "vivre-ensemble." C'est pour cette raison que la pensée philosophique chez Camus présente comme l'une des caractéristiques majeures, la "passion de vivre" de l'homme et pour l'homme, car la vie est, selon lui, une valeur cardinale qui doit être respectée en tout être humain dans la communauté qui voudrait être juste, paisible, libre, solidaire et unie. A cet effet, nous soutenons la thèse suivante: La pensée camusienne est une "vitalogie" paradoxale, c'est-à-dire qu'elle est debat philosophique sur la vie de l'être humain, en tant que valeur fondamentale, dans ses rapports avec Dieu, le monde et les autres. Par conséquent, une société dans laquelle les hommes sont habités par la passion de bien vivre et mieux vivre ensemble, il y a une exigence impérieuse pour eux de promouvoir et de crer les valeurs qui favorisent le respect de l'être humain et de sa vie. La vitaogie camuusienne est indissociable de la vision qu'on se fait sur l'homme ici et maintenant, en tenant compte des contradictions ou des antinomies du "oui" et du "non" de l'existence. Selon Camus, en effet, la mission principale de l'homme dans le monde est de vivre: "Oui, mais je n'aurai rien manqué de ce qui fait toute ma mission et c'est de vivre." (Carnets I.p.92). La pensée camusienne est donc une vitalogie. Mais comment l'homme doit-il vivre? Celui-ci, pense Camus, doit devenir "créateur" des valeurs de la justice, de la liberté, de la solidarité, de la paix, de l'amitié et de la fraternité entre les hommes et être courageux, pour assumer la responsabilité de sa vie et de son destin dans le monde, en évitant d'aliéner son esprit dans les illusions, dans quelque absolutisme qu'il soit ou dans un pessimisme tétanisant. Au total, l'homme doit prendre en main sa destinée, en vue de la "joie vivre", sans pour autant perdre de vue que celle-ci ne se sépare pas non plus du "désespoir de vivre." <p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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