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La victimisation par les pairs et le fait d'apporter des objets pouvant servir d'arme à l'école

Clouston, Catherine 17 December 2024 (has links)
Les élèves vivant dans la crainte d’être victimisés par leurs pairs peuvent se comporter de différentes façons, notamment en évitant de se rendre à l’école ou encore en imaginant différents moyens d’autoprotection (ex., apporter divers objets potentiellement dangereux à l’école). L’objectif de ce mémoire est de vérifier s’il existe des liens entre la victimisation par les pairs et le fait d’apporter des objets potentiellement dangereux et pouvant servir d’arme à l’école. L’échantillon est composé de 28 015 élèves de la première à la cinquième secondaire (12 à 17 ans) en provenance des écoles secondaires publiques du Québec. Les participants ont rempli le Questionnaire sur la Sécurité et la Violence à l’école Révisé (QSVE-R) visant à dresser le portrait de la violence dans les établissements scolaires du Québec. Les résultats démontrent que 5,1 % des élèves, davantage de garçons (8,2 %) que de filles (2,1 %) disent avoir déjà apporté un objet potentiellement dangereux à l’école. Le risque d’apporter ces objets augmente avec l’âge et c’est le couteau qui est l’objet le plus populaire auprès des répondants. L’étude confirme l’influence de la victimisation de type direct (insultes-menaces et agressions physiques), du sexe (garçons) et de l’âge (17 ans et plus) sur le fait d’apporter un objet pouvant servir d’arme à l’école. En plus de proposer des pistes d’études futures pour en connaître davantage sur ce que vivent les élèves victimisés à l’école, les conclusions de cette recherche soulèvent l’importance d’aider ces jeunes victimes à développer de meilleures stratégies afin de mieux gérer cette situation pénible, et amènent des réflexions pour orienter les interventions visant à créer des milieux scolaires sécurisants pour tous. / Students living in fear of being victimized by their peers can behave in different ways, including avoiding school or imagining different ways of self-protection (ex., bringing various objects to school). The purpose of this study is to examine the links between peer victimization and bringing potentially dangerous objects which can be used as weapons at school. Questionnaires were administered to a sample of 28 015 students ranging from secondary one to five (12 to 17 years of age) from seven different public high schools in the Province of Quebec. Participants completed the survey (QSVE-R) meant to portray the phenomenon of school violence in the Province of Quebec. The results showed that 5,1 % of students, a higher percentage of boys (8,2 %) than girls (2,1 %), reported bringing a potentially dangerous object to school. The risk of bringing these objects increases with age and the knife is the most popular object among students. Findings confirm the influence of direct victimization (insults, threats and physical attacks), gender (male) and age (17 and over) on the fact of bringing potentially dangerous objects which can be used as weapons at school. This study suggests ways to further investigate the experiences of victimized students at school. In addition, the research findings raise the importance of helping these young victims develop better strategies in order to better manage this painful situation. This study recommends actionable insights to guide interventions which in turn can create a reassuring school environment for everyone.
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L'étiologie génétique et environnementale de l'association entre le langage expressif au début du primaire et la victimisation durant le primaire : une étude de jumeaux

Chevrette, Eugénie 13 December 2023 (has links)
La victimisation par les pairs est associée à des conséquences importantes pour les enfants qui en subissent. On sait que certains enfants sont plus à risque d'être victimisés, notamment ceux qui présentent des difficultés langagières. Il a aussi été démontré que la victimisation est héritable. Ce mémoire vise à déterminer si le langage expressif est une caractéristique héritable de l'enfant pouvant contribuer à son risque d'être victimisé. Ainsi, il vise à tester s'il y a une corrélation génétique entre la victimisation et le langage expressif. L'échantillon (n = 742) provient de l'Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec, une étude longitudinale auprès de jumeaux nés entre 1995 et 1998 dans la grande région de Montréal. Le langage expressif a été évalué par les enseignantes lorsque les jumeaux étaient en maternelle (M[indice âge] = 6,04 ans), puis la victimisation a été mesurée, aussi par les enseignantes, lorsque les jumeaux étaient en maternelle, puis en première (M[indice âge] = 7,08 ans), troisième (M[indice âge] = 9,09 ans), quatrième (M[indice âge] = 10,02 ans) et sixième (M[indice âge] = 12,09 ans) années du primaire. Les résultats des analyses phénotypiques démontrent que chaque baisse d'un écart-type des habiletés de langage expressif en maternelle est associée à une hausse de 0,15 écart-type (p ˂ .01) de la victimisation par les pairs au primaire, en tenant compte des variables confondantes. Les analyses génétiques quantitatives démontrent que 37% de la variance du langage expressif en maternelle et 65% de la variance de la victimisation moyenne au cours du primaire sont expliqués par des facteurs génétiques. De plus, ces analyses démontrent une modeste corrélation génétique entre le langage expressif en maternelle et la victimisation au cours du primaire (r[indice g] = -.25, p ˂ .01). Ainsi, ces résultats identifient le langage expressif comme une caractéristique héritable propre à l'enfant contribuant à l'expérience de victimisation. / Peer victimization is associated with important consequences for children who experience it. We know that some children are at higher risk of experiencing victimization, such as children with language difficulties. Victimisation has also proven to be heritable. This study aimed to determine whether expressive language is a heritable characteristic that contributes to the risk of victimization. Thus, this study tested a genetic correlation between peer victimization and expressive language. The sample (n = 742) comes from the Quebec Newborn Twin Study, a longitudinal study of twins born between 1995 and 1998 in the Greater Montreal area. Expressive language was assessed by teachers when twins were in kindergarten (M[subscript age] = 6.04 years), and victimization was assessed - also by teachers - in kindergarten as well as 1ˢᵗ (M[subscript age] = 7.08 years), 3ʳᵈ (M[subscript age] = 9.09 years), 4ᵗʰ (M[subscript age] = 10.02 years) and 6ᵗʰ (M[subscript age] = 12.09 years) grades. Phenotypic results showed that a decrease of one standard deviation unit in expressive language in kindergarten was associated with an increase of .15 standard deviation units (p ˂ .01) in elementary school peer victimization, after taking into account confounding variables. Quantitative genetic analyses showed that 37% of the variance in expressive language in kindergarten, as well as 65% of the variance in mean peer victimization throughout elementary school could be explained by genetic factors. Further, a modest genetic correlation was found between kindergarten expressive language and elementary school peer victimization (r[subscript g] = -.25, p ˂ .01). Thus, these results identified expressive language as a heritable child characteristic contributing to the experience of peer victimization.
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Évolution de la victimisation durant le primaire selon la perspective des enseignants et rôle de l'agressivité réactive comme facteur de prédisposition

Bissonnette, Catherine 19 April 2018 (has links)
Certains enfants tendent à vivre de la victimisation durant tout le primaire. L’identification des victimes de même que les caractéristiques pouvant les prédisposer à être exposés de façon répétée à la victimisation apparaît importante. Cette recherche a évalué la validité de la perspective des enseignants comme source d’information, a documenté l’évolution de la victimisation durant tout le primaire et a évalué le rôle de l’agressivité réactive comme déterminant de la victimisation. L’échantillon composé de jumeaux monozygotes et dizygotes provient de l’Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec. Les associations entre la perspective des enseignants, des pairs, des auto-évaluations avec le rejet par les pairs entre la maternelle et la quatrième année ont d’abord été examinées. Le jugement des enseignants a présenté la plus forte association avec le rejet par les pairs en maternelle et première année. Des trajectoires de victimisation avec des modèles semi-paramétriques entre la maternelle et la sixième année ont ensuite été estimées. Trois trajectoires ont été identifiées dont une plus élevée qui s’est révélée constante à travers le temps mais qui a présenté un niveau de victimisation modéré (1 É.T. de la moyenne). Ce résultat évoque une difficulté possible des enseignants à cibler les enfants sévèrement victimisés. Les enfants appartenant à chacune des trajectoires se sont différenciés quant à leur score de victimisation et de rejet mesurés selon la perspective des pairs suggérant une cohérence entre le jugement des enseignants et celui des pairs. Des analyses génétiques basées sur des modèles d’équations structurelles ont été effectuées. La trajectoire de victimisation élevée a présenté une héritabilité de 67% laissant entendre que des caractéristiques héritables de l’enfant peuvent le prédisposer à vivre de façon répétée de la victimisation. Une étiologie génétique commune expliquant 37% de la variance génétique partagée a été observée entre l’agressivité réactive et la victimisation. Ce résultat suggère que ce type d’agressivité peut expliquer en partie l’héritabilité de la victimisation et prédisposer un enfant à être exposé de façon chronique à des difficultés interpersonnelles durant le primaire.
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Étude des liens entre le fait d'avoir subi de la violence à l'école et celui de défendre ses pairs victimisés au secondaire

Baril, Alexandre 22 May 2024 (has links)
Ce mémoire propose d'étudier les liens entre le fait d'avoir été victimisé à l'école et celui d'intervenir en faveur de ses pairs victimes de violence à l'école secondaire. L'échantillon est composé de 37 772 élèves de la première à la cinquième secondaire en provenance de 67 écoles secondaires du Québec. Les participants ont rempli de manière électronique, le *Questionnaire sur la sécurité et la violence à l'école (version révisée)* (QSVE-R). Les résultats des analyses descriptives démontrent que 65,6 % des élèves disent défendre la victime quand ils sont témoins d'une situation de violence. Les résultats de la régression logistique indiquent toutefois de très faibles liens entre le fait d'avoir subi différentes formes de violence et celui de défendre ses pairs victimisés. Les conclusions de ce mémoire soulèvent des préoccupations sur divers enjeux méthodologiques dans ce domaine. Finalement, certaines actions universelles et ciblées de mobilisation des témoins pour prévenir et contrer la violence sont explorées en fonction des résultats de cette recherche et en regard au modèle de l'action morale (Rest, 1984). / This dissertation proposes to study the links between having been victimized at school and intervening on behalf of peers who are victims of violence in secondary school. The sample is made up of 37,772 students from secondary 1 to 5 from 67 secondary schools in Quebec. Participants electronically completed the "School Safety and Violence Questionnaire (Revised)" (QSVE-R). The results of the descriptive analyzes show that 65.6% of students say they defend the victim when they witness a violence. The results of the logistic regression, however, indicate very weak links between having suffered different forms of violence and defending victimized peers. These links are so weak that they do not improve the ability to predict whether a student falls into the defense or omission category. The findings of this dissertation raise concerns about various methodological issues in this area. Finally, certain universal and targeted actions to mobilize bystanders to prevent and counter violence are explored based on the results of this research and with regard to the model of moral action (Rest, 1984).
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Factors affecting vulnerability to depression among gay men and lesbian women

Polders, Louise Alida 30 June 2006 (has links)
The present study explored factors affecting vulnerability to depression among gay men and lesbian women in metropolitan Gauteng, South Africa. Risk factors consistently cited in the literature on depression among gay men and lesbian women, namely self-esteem, social integration, hate speech, physical victimisation, fear of victimisation and alcohol and drug abuse, were examined to determine their ability to predict vulnerability to depression. Data was collected from 385 participants who self-identified as lesbian or gay, using a purposive quota sampling technique to ensure representation across age, gender, race and socio-economic status lines. Participants were selected through gay and lesbian organisations, support groups, counselling centres, the gay and lesbian Pride Parade, an online questionnaire, and via snowballing techniques. Multiple regression analysis indicated that self-esteem and hate speech were the only significant predictors of vulnerability to depression. The regression model accounted for 21.7% of the variance in vulnerability to depression scores. / Psychology / M. Sc. (Psychology)
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Survivre à la violence organisée : parcours et témoignage de deux femmes rwandaises

Martinez, Elssa 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur la survivance des femmes en contexte de violence organisée. Notre recherche s’appuie sur le témoignage de deux femmes rwandaises réfugiées au Canada dont le récit sera exploré afin de comprendre leurs points de vue sur trois dimensions de la survivance : la victimisation et la revictimisation qu’elles ont subi, les actes qu’elles ont pu poser pour survivre et le sens qu’elles ont donné aux situations vécues. D’abord, ces femmes rapportent qu’au-delà du génocide de 1994, elles ont vécu dans un climat d’insécurité, d’incertitude et d’impunité durant la guerre au Rwanda (1990-1994) et en exil, durant la guerre qui a visé le renversement de Mobutu, le massacre des ressortissants rwandais et le pillage des ressources naturelles par l’AFDL. Leurs récits confirment donc la continuité de la violence organisée d’un régime politique à un autre. De plus, les femmes témoignent de la non-reconnaissance de leur statut de réfugié par les bureaux qui traitent outre-mer les demandes d’asile, du traitement déshumanisant et accusateur des administrateurs de l’aide humanitaire et, de manière plus importante, de la non-reconnaissance des crimes commis par les forces armées du gouvernement actuellement au pouvoir au Rwanda et de leur impunité. Ensuite, les témoignages recueillis montrent des actrices sociales engagées dans l’activisme politique, l’action collective, la protection, la sécurité, la survie et l’établissement de leurs proches, du début du conflit jusqu’à leur arrivée au Canada. En effet, pour surmonter les difficultés engendrées par la violence organisée, elles ont mobilisé et transformé de manière créative toutes les ressources de leur capital humain, social et économique pour subvenir aux besoins de leurs proches et de leur communauté, et ce, tout au long de leur parcours migratoire. Enfin, au sujet du sens, nous verrons d’une part comment les femmes conçoivent leurs expériences individuelles de souffrances comme une histoire de victimisation collective, ce qui semble les aider à normaliser leurs expériences. D’autre part, nous verrons comment une identité de femmes fortes, résilientes et capables de s’adapter dans un climat d’adversité se dégage de leur témoignage, ce qui semble favoriser chez elles un sentiment de cohérence, de continuité et nourrir une certaine fierté. / This Master’s Thesis is about the survival of women in contexts of organized violence. Our research is supported by the testimonials of two women living in Canada who are refugees from Rwanda. We seek to explore their perspectives on three dimensions of survival: the victimization and re-victimization to which they were subjected, the actions they were able to perform to survive, and the meanings they gave to these experiences. First, these women express that in addition to the genocide in 1994, they lived in a climate of insecurity, uncertainty and impunity during the war in Rwanda (1990-94); in exile, during the war to overthrow Mobutu; the massacre of Rwandan refugees; and the pillage of natural resources by the AFDL. They describe the continuity of organized violence from one political regime to another. From the beginning of the war to their arrival in Canada, they were victims and witnesses of human rights violations perpetrated by various armed groups. In addition, these women testify to the non-recognition of their refugee status by the officials that deal with overseas requests for asylum, of the dehumanizing treatment by administrators of humanitarian aid, and more importantly, of the non-recognition and impunity of crimes committed by the military and the government currently in power in Rwanda. In addition, these testimonies show social actors engaged in political activism, collective action and the protection, security, survival of their loved ones, from the beginning of the conflict to their arrival in Canada. In fact, to overcome the difficulties imposed by organized violence, they creatively mobilized and transformed all of the resources available to them in their human, social and economic capital to meet the needs of their loved ones and of their community, and this, throughout the entire migration process. Finally, in regards to meaning, we discuss how women perceive their individual experiences of suffering as a history of collective victimization, which seems to help them normalize their experiences. We also see emanating from their testimony, the identity of strong, resilient women capable of adapting in a climate of adversity, which seems to encourage coherence, continuity and a sense of pride.
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Empowerment et système de justice pénale : l'expérience des victimes d'actes criminels

Cyr, Katie January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Survivre à la violence organisée : parcours et témoignage de deux femmes rwandaises

Martinez, Elssa 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur la survivance des femmes en contexte de violence organisée. Notre recherche s’appuie sur le témoignage de deux femmes rwandaises réfugiées au Canada dont le récit sera exploré afin de comprendre leurs points de vue sur trois dimensions de la survivance : la victimisation et la revictimisation qu’elles ont subi, les actes qu’elles ont pu poser pour survivre et le sens qu’elles ont donné aux situations vécues. D’abord, ces femmes rapportent qu’au-delà du génocide de 1994, elles ont vécu dans un climat d’insécurité, d’incertitude et d’impunité durant la guerre au Rwanda (1990-1994) et en exil, durant la guerre qui a visé le renversement de Mobutu, le massacre des ressortissants rwandais et le pillage des ressources naturelles par l’AFDL. Leurs récits confirment donc la continuité de la violence organisée d’un régime politique à un autre. De plus, les femmes témoignent de la non-reconnaissance de leur statut de réfugié par les bureaux qui traitent outre-mer les demandes d’asile, du traitement déshumanisant et accusateur des administrateurs de l’aide humanitaire et, de manière plus importante, de la non-reconnaissance des crimes commis par les forces armées du gouvernement actuellement au pouvoir au Rwanda et de leur impunité. Ensuite, les témoignages recueillis montrent des actrices sociales engagées dans l’activisme politique, l’action collective, la protection, la sécurité, la survie et l’établissement de leurs proches, du début du conflit jusqu’à leur arrivée au Canada. En effet, pour surmonter les difficultés engendrées par la violence organisée, elles ont mobilisé et transformé de manière créative toutes les ressources de leur capital humain, social et économique pour subvenir aux besoins de leurs proches et de leur communauté, et ce, tout au long de leur parcours migratoire. Enfin, au sujet du sens, nous verrons d’une part comment les femmes conçoivent leurs expériences individuelles de souffrances comme une histoire de victimisation collective, ce qui semble les aider à normaliser leurs expériences. D’autre part, nous verrons comment une identité de femmes fortes, résilientes et capables de s’adapter dans un climat d’adversité se dégage de leur témoignage, ce qui semble favoriser chez elles un sentiment de cohérence, de continuité et nourrir une certaine fierté. / This Master’s Thesis is about the survival of women in contexts of organized violence. Our research is supported by the testimonials of two women living in Canada who are refugees from Rwanda. We seek to explore their perspectives on three dimensions of survival: the victimization and re-victimization to which they were subjected, the actions they were able to perform to survive, and the meanings they gave to these experiences. First, these women express that in addition to the genocide in 1994, they lived in a climate of insecurity, uncertainty and impunity during the war in Rwanda (1990-94); in exile, during the war to overthrow Mobutu; the massacre of Rwandan refugees; and the pillage of natural resources by the AFDL. They describe the continuity of organized violence from one political regime to another. From the beginning of the war to their arrival in Canada, they were victims and witnesses of human rights violations perpetrated by various armed groups. In addition, these women testify to the non-recognition of their refugee status by the officials that deal with overseas requests for asylum, of the dehumanizing treatment by administrators of humanitarian aid, and more importantly, of the non-recognition and impunity of crimes committed by the military and the government currently in power in Rwanda. In addition, these testimonies show social actors engaged in political activism, collective action and the protection, security, survival of their loved ones, from the beginning of the conflict to their arrival in Canada. In fact, to overcome the difficulties imposed by organized violence, they creatively mobilized and transformed all of the resources available to them in their human, social and economic capital to meet the needs of their loved ones and of their community, and this, throughout the entire migration process. Finally, in regards to meaning, we discuss how women perceive their individual experiences of suffering as a history of collective victimization, which seems to help them normalize their experiences. We also see emanating from their testimony, the identity of strong, resilient women capable of adapting in a climate of adversity, which seems to encourage coherence, continuity and a sense of pride.
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Empowerment et système de justice pénale : l'expérience des victimes d'actes criminels

Cyr, Katie January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Factors affecting vulnerability to depression among gay men and lesbian women

Polders, Louise Alida 30 June 2006 (has links)
The present study explored factors affecting vulnerability to depression among gay men and lesbian women in metropolitan Gauteng, South Africa. Risk factors consistently cited in the literature on depression among gay men and lesbian women, namely self-esteem, social integration, hate speech, physical victimisation, fear of victimisation and alcohol and drug abuse, were examined to determine their ability to predict vulnerability to depression. Data was collected from 385 participants who self-identified as lesbian or gay, using a purposive quota sampling technique to ensure representation across age, gender, race and socio-economic status lines. Participants were selected through gay and lesbian organisations, support groups, counselling centres, the gay and lesbian Pride Parade, an online questionnaire, and via snowballing techniques. Multiple regression analysis indicated that self-esteem and hate speech were the only significant predictors of vulnerability to depression. The regression model accounted for 21.7% of the variance in vulnerability to depression scores. / Psychology / M. Sc. (Psychology)

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