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Victor Cousin e l’estetica fotografica nella Francia del XIX secolo / Victor Cousin et l’esthétique photographique au xix siècle

Pennisi, Paola 12 March 2014 (has links)
Cette thèse est organisé en trois chapitres: le premier chapitre traite de la naissance du daguerréotype et de sa propagation, de conditionnement, d'abord, à partir des besoins du progrès scientifique déterminés, pour une courte période, une plus grand diffusion des gravures de daguerréotype plutôt que ceux de calotype. D'où notre hypothèse d'un véritable art de la photographie a en effet pu commencer qu'avec la propagation de la procédure de Talbot , rendu public et mis au point par Blanquart Evrard.Le deuxième chapitre analyse le contexte philosophique contemporain à la diffusion des premières représentations photographiques.Cette œuvre se concentre, en particulier , sur la figure de Victor Cousin. Ce travail révèle en partie le climat historique et culturel dans lequel on va définir l'objet problématique de cette recherche. En fait , le beau de cette philosophe est une représentation vague de la nature qui, cependant, ne donnerait pas une relation directe avec les données des sens toujours présents.Le dernier chapitre conclut en examinant la dichotomie entre le beau et l’utile. La distinction est plus subtile qu'il n'y paraît à une première vue du traité: si les catégorisations traditionnelles parlaient de “arts utiles” et “beaux-arts”, Cousin garda seulement "utile" et "beau", cette position va permettre à tous les produits fabriqués la possibilité d'entrer dans le monde des arts, y compris la photographie. Il faut considérer que –dans le contexte– il été très diffusé la Scienza Nuova (traduit par Michelet ) de Vico, œuvre que Cousin commenta pendent ces leçons. / Cette thèse est organisé en trois chapitres: le premier chapitre traite de la naissance du daguerréotype et de sa propagation, de conditionnement, d'abord, à partir des besoins du progrès scientifique déterminés, pour une courte période, une plus grand diffusion des gravures de daguerréotype plutôt que ceux de calotype. D'où notre hypothèse d'un véritable art de la photographie a en effet pu commencer qu'avec la propagation de la procédure de Talbot , rendu public et mis au point par Blanquart Evrard.Le deuxième chapitre analyse le contexte philosophique contemporain à la diffusion des premières représentations photographiques.Cette œuvre se concentre, en particulier , sur la figure de Victor Cousin. Ce travail révèle en partie le climat historique et culturel dans lequel on va définir l'objet problématique de cette recherche. En fait , le beau de cette philosophe est une représentation vague de la nature qui, cependant, ne donnerait pas une relation directe avec les données des sens toujours présents.Le dernier chapitre conclut en examinant la dichotomie entre le beau et l’utile. La distinction est plus subtile qu'il n'y paraît à une première vue du traité: si les catégorisations traditionnelles parlaient de “arts utiles” et “beaux-arts”, Cousin garda seulement "utile" et "beau", cette position va permettre à tous les produits fabriqués la possibilité d'entrer dans le monde des arts, y compris la photographie. Il faut considérer que –dans le contexte– il été très diffusé la Scienza Nuova (traduit par Michelet ) de Vico, œuvre que Cousin commenta pendent ces leçons.
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Socrate : Autoportrait cubiste d'Erik Satie

Bourgault, Mélissa 15 May 2014 (has links)
Erik Satie fut toujours considéré comme un personnage énigmatique dans le monde musical français au tournant du siècle dernier. Sa personnalité marginale et ses œuvres dépouillées aux titres étranges ont maintes fois suscité questionnements et polémique. En 1917, Erik Satie écrivit une œuvre qui ne ressembla aucunement au répertoire antérieur du compositeur. Socrate, qui fut représenté publiquement pour la première fois en janvier 1920 à la Société Nationale de Paris, laissa le public et la critique perplexe et mitigé. Qu’avait donc de si particulier cette œuvre qui, d’un côté, passa pour une blague mais qui, pour certains dont le compositeur lui-même, fut considérée comme une manifestation pure de sagesse et de sincérité ? Socrate fut conçu au même moment où Satie entretenait des liens étroits avec le monde cubiste. Pablo Picasso et Georges Braque furent désormais les maîtres d’un courant artistique qui allait révolutionner le monde artistique. De concert avec les valeurs avant-gardistes prônées par Erik Satie, les cubistes cherchèrent à bousculer les attentes du public en modifiant l’approche visuelle de manière à stimuler les différentes perceptions sensorielles. Avec le ballet Parade, représenté en mai 1917, le compositeur collabora avec Picasso et ceci eût grandement influencé son style musical puisqu’il employa des techniques se rapprochant grandement du cubisme. Comme le soutient Daniel Albright, Satie trouva dans le cubisme son analogue artistique. Selon moi, outre Parade, Erik Satie bénéficiera de l’esthétique cubiste pour développer son œuvre Socrate. Cette thèse se concentre sur la signification de l’œuvre Socrate, plus particulièrement comment celle-ci pourrait représenter un autoportrait d’Erik Satie. De surcroît, elle examine comment cette représentation est camouflée derrière des méthodes cubistes traduites musicalement. La thèse s’appuie sur une littérature variée portant sur divers sujets relatant Socrate, dont la biographie du compositeur et sa relation avec des réseaux artistiques, intellectuels et sociaux. Cette thèse est la première étude d’envergure à suggérer une possibilité d’autoportrait cubiste musical puisque peu d’auteurs se sont attardés à résoudre cette problématique. Cette thèse décrit comment Socrate est une manifestation personnelle de sincérité et d’humilité d’un compositeur qui, persécuté tout au long de sa vie, se dévoila aux yeux de tous par le recours à cette figure emblématique de l’histoire : Socrate.
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Socrate : Autoportrait cubiste d'Erik Satie

Bourgault, Mélissa January 2014 (has links)
Erik Satie fut toujours considéré comme un personnage énigmatique dans le monde musical français au tournant du siècle dernier. Sa personnalité marginale et ses œuvres dépouillées aux titres étranges ont maintes fois suscité questionnements et polémique. En 1917, Erik Satie écrivit une œuvre qui ne ressembla aucunement au répertoire antérieur du compositeur. Socrate, qui fut représenté publiquement pour la première fois en janvier 1920 à la Société Nationale de Paris, laissa le public et la critique perplexe et mitigé. Qu’avait donc de si particulier cette œuvre qui, d’un côté, passa pour une blague mais qui, pour certains dont le compositeur lui-même, fut considérée comme une manifestation pure de sagesse et de sincérité ? Socrate fut conçu au même moment où Satie entretenait des liens étroits avec le monde cubiste. Pablo Picasso et Georges Braque furent désormais les maîtres d’un courant artistique qui allait révolutionner le monde artistique. De concert avec les valeurs avant-gardistes prônées par Erik Satie, les cubistes cherchèrent à bousculer les attentes du public en modifiant l’approche visuelle de manière à stimuler les différentes perceptions sensorielles. Avec le ballet Parade, représenté en mai 1917, le compositeur collabora avec Picasso et ceci eût grandement influencé son style musical puisqu’il employa des techniques se rapprochant grandement du cubisme. Comme le soutient Daniel Albright, Satie trouva dans le cubisme son analogue artistique. Selon moi, outre Parade, Erik Satie bénéficiera de l’esthétique cubiste pour développer son œuvre Socrate. Cette thèse se concentre sur la signification de l’œuvre Socrate, plus particulièrement comment celle-ci pourrait représenter un autoportrait d’Erik Satie. De surcroît, elle examine comment cette représentation est camouflée derrière des méthodes cubistes traduites musicalement. La thèse s’appuie sur une littérature variée portant sur divers sujets relatant Socrate, dont la biographie du compositeur et sa relation avec des réseaux artistiques, intellectuels et sociaux. Cette thèse est la première étude d’envergure à suggérer une possibilité d’autoportrait cubiste musical puisque peu d’auteurs se sont attardés à résoudre cette problématique. Cette thèse décrit comment Socrate est une manifestation personnelle de sincérité et d’humilité d’un compositeur qui, persécuté tout au long de sa vie, se dévoila aux yeux de tous par le recours à cette figure emblématique de l’histoire : Socrate.
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Les classifications des systèmes philosophiques d'Emmanuel Kant à Jules Vuillemin. Étude architectonique, logique et mathématique.

Mélès, Baptiste 06 December 2011 (has links)
À la suite d’Agrippa, maint sceptique a argué de la pluralité des systèmes pour ruiner toute ambition de vérité philosophique : des systèmes contradictoires ne pouvant être vrais simultanément, leurs prétentions respectives s’annulent. L’argument n’a pourtant de valeur que si la pluralité des systèmes est elle-même irrationnelle. Or plusieurs philosophes ont rationalisé la diversité des systèmes philosophiques, suggérant par là que la raison puisse s’approprier sa propre limite ; notamment Kant, dans l’« Histoire de la raison pure » qui conclut la Critique de la raison pure (1781) ; Hegel, dans les Leçons sur l’histoire de la philosophie (1805–1830) ; Victor Cousin, dans Du Vrai, du beau et du bien (1828) et l’Histoire générale de la philosophie (1863) ; Charles Renouvier, dans l’Esquisse d’une classification systématique des doctrines philosophiques (1885–1886) ; et Jules Vuillemin, dans Nécessité ou contingence (1984).Étudier de manière interne chacune de ces entreprises permet de déterminer quels en sont les critères fondamentaux, la forme mathématique générale, et le but philosophique. L’histoire kantienne de la raison pure, injustement dédaignée, repose sur les concepts fondamentaux du criticisme, structure maint chapitre des trois Critiques, et annonce la paix philosophique perpétuelle dont est porteur le criticisme. Les Leçons de Hegel ne sont ni un résumé empirique ni une histoire biaisée de la philosophie : fondées sur la Logique et la Phénoménologie, elles mettent au jour la dialectique interne des systèmes. La classification de Renouvier n’est pas, comme on le dit parfois, a posteriori, mais repose au contraire sur le jeu a priori d’une table des catégories et d’une théorie de la contradiction. Enfin, la classification vuilleminienne des systèmes, qui s’appuie sur une classification des formes de prédication, généralise la classification kantienne. Seule la classification de Victor Cousin s’avère finalement a posteriori.Ancrées dans les concepts fondamentaux de chacune de ces doctrines, ces classifications montrent qu’un système peut construire l’image des autres et de leurs relations aussi rigoureusement qu’il décrit le monde : les relations entre systèmes ne sont pas moins structurales que les systèmes eux-mêmes. / Following the example of Agrippa, a lot a sceptics argued that, because of the plurality of philosophical systems, there could be no unique philosophical truth: contradictory systems could not be true at the same time. But this argument presupposes that this plurality is itself irrational. And yet some philosophers took the diversity of philosophical systems as rational, suggesting that reason was able to take possession of its own boundary: Kant, in the “History of pure reason” of the Critique of Pure Reason (1781); Hegel, in the Lessons on the History of Philosophy (1805–1830); Victor Cousin, in his books Du Vrai, du beau et du bien (1828) and the Histoire générale de la philosophie (1863); Charles Renouvier, in the Esquisse d’une classification systématique des doctrines philosophiques (1885–1886); and Jules Vuillemin, in Necessity or Contingency (1984).By examining the internal structure of each of these attempts, we can show their main criteria, their general mathematical form, and their philosophical aim. Kant’s “History of Pure Reason” uses the fundamental concepts of criticism, plays a structuring role in the Critique of Pure Reason, and forecasts the perpetual peace of criticism. Hegel’s Lessons are neither an empirical summary nor a biased history of philosophy: they are grounded on Hegel’s Logic and Phenomenology, and reveal the internal dialectic of systems. Renouvier’s classification is not a posteriori, but combines an a priori table of categories with a theory of contradiction. Finally, Vuillemin’s classification of systems, which is grounded on a classification of elementary sentences, is a generalization of Kant’s classification. Only Victor Cousin’s classification is a posteriori.These classifications find their roots in the fundamental concepts of each of these systems. A philosophical system is thus able to account not only for the world, but also for other systems and for their relationship. The relationship between systems is not less structural than systems themselves are.
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Les classifications des systèmes philosophiques d'Emmanuel Kant à Jules Vuillemin. Étude architectonique, logique et mathématique.

Mélès, Baptiste 06 December 2011 (has links) (PDF)
À la suite d'Agrippa, maint sceptique a argué de la pluralité des systèmes pour ruiner toute ambition de vérité philosophique : des systèmes contradictoires ne pouvant être vrais simultanément, leurs prétentions respectives s'annulent. L'argument n'a pourtant de valeur que si la pluralité des systèmes est elle-même irrationnelle. Or plusieurs philosophes ont rationalisé la diversité des systèmes philosophiques, suggérant par là que la raison puisse s'approprier sa propre limite ; notamment Kant, dans l'" Histoire de la raison pure " qui conclut la Critique de la raison pure (1781) ; Hegel, dans les Leçons sur l'histoire de la philosophie (1805-1830) ; Victor Cousin, dans Du Vrai, du beau et du bien (1828) et l'Histoire générale de la philosophie (1863) ; Charles Renouvier, dans l'Esquisse d'une classification systématique des doctrines philosophiques (1885-1886) ; et Jules Vuillemin, dans Nécessité ou contingence (1984).Étudier de manière interne chacune de ces entreprises permet de déterminer quels en sont les critères fondamentaux, la forme mathématique générale, et le but philosophique. L'histoire kantienne de la raison pure, injustement dédaignée, repose sur les concepts fondamentaux du criticisme, structure maint chapitre des trois Critiques, et annonce la paix philosophique perpétuelle dont est porteur le criticisme. Les Leçons de Hegel ne sont ni un résumé empirique ni une histoire biaisée de la philosophie : fondées sur la Logique et la Phénoménologie, elles mettent au jour la dialectique interne des systèmes. La classification de Renouvier n'est pas, comme on le dit parfois, a posteriori, mais repose au contraire sur le jeu a priori d'une table des catégories et d'une théorie de la contradiction. Enfin, la classification vuilleminienne des systèmes, qui s'appuie sur une classification des formes de prédication, généralise la classification kantienne. Seule la classification de Victor Cousin s'avère finalement a posteriori.Ancrées dans les concepts fondamentaux de chacune de ces doctrines, ces classifications montrent qu'un système peut construire l'image des autres et de leurs relations aussi rigoureusement qu'il décrit le monde : les relations entre systèmes ne sont pas moins structurales que les systèmes eux-mêmes.

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