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Les canons de la formation scientifique dans les écoles normales primaires de la réforme de 1880 à la réforme de 1905 : l'académie de Montpellier / The ideals of scientific training in teacher training colleges from the 1880 reform to the 1905 reform

Martinez, Jean-Michel 13 December 2016 (has links)
Au moment de l'instauration de la IIIe République, la politique scolaire menée pour l'instruction publique contribua au développement de l'enseignement scientifique dans les classes de l'élémentaire. Les écoles normales primaires qui avaient vocation à fournir aux écoles leurs instituteurs et leurs institutrices furent l'objet d'une attention particulière de la République naissante et l'action des pouvoirs institutionnels pour mettre en place en leur sein un enseignement scientifique continua à s'exercer tout au long du quart de siècle qui suivit. La formation scientifique dispensée dans les écoles normales avait pour finalité de former des enseignants capables d'apporter des connaissances appropriées aux besoins des couches populaires et selon des démarches d'enseignement qui étaient jugées conformes aux normes de l'instruction publique. Les connaissances tirées des sciences de la nature se spécifiaient pour le primaire par leur utilité pour la vie des futurs adultes, ce qui se traduisait dans la formation normale par la présence d'enseignements comme l'enseignement de l'agriculture, des travaux manuels, de l'économie domestique, de l'hygiène. En même temps, l'enseignement des sciences qui participait d'une éducation intellectuelle dans les écoles élémentaires se voyait réévalué dans les écoles normales. La confrontation des documents de portée nationale avec les sources collectées au plan local des dix écoles normales de l'académie de Montpellier conduit à adopter une approche originale pour l'étude des canons de la formation scientifique normale. Les transformations du curriculum scientifique ainsi que la comparaison des discours sur la formation dispensée par les écoles normales à différents moments de la période permettent de mettre en évidence des changements significatifs. Ces transformations se traduisirent par une réorientation dans les finalités de la formation scientifique des élèves-maîtres et des élèves-maîtresses. Les places respectives des matières d'enseignement constituant le parcours d'études des écoles normales évoluèrent conduisant à resituer les applications des sciences par rapport à l'enseignement des sciences physiques et naturelles. Avec l'enseignement de l'agriculture dans les écoles normales et l'introduction de l'enseignement des travaux manuels la forme donnée au curriculum évolua. La mise en évidence de ces évolutions ainsi que la recherche de leurs causes dans les conditions historiques liées à la question de la dualité des ordres du primaire et du secondaire et dans les conditions de fonctionnement de l'institution normale chargée de la certification des maîtres du primaire sont au cœur de cette étude des canons de la formation scientifique normale entre 1880 et 1905. / When the French Third Republic was established, the academic policy conducted for public education contributed to develop scientific teaching in elementary classes. The nascent republic gave particular attention to teacher training colleges (écoles normales primaires), the mission of which was to provide masters for primary schools ; then public authority kept on exerting its action in order to set up scientific training in colleges for the following quarter century. Scientific training was meant to give future school teachers – men and women in separate entities – the ability to bring appropriate knowledge to the lower classes, through teaching processes that were in compliance with the standards required for public education. Knowledge, learnt from natural science, then taught in primary schools was supposed to be useful for the lives of future adults ; that specificity came out in teacher training as schemes including courses on agriculture, arts and crafts, home economics and hygiene. While it pertained to intellectual education in elementary schools, science teaching was also revalued in training colleges. Comparing documents of national significance to references collected at local level – from ten teaching colleges under the Montpellier Teaching Authority – leads to adopt an original approach for studying the ideals of scientific training for teachers. Alterations to the scientific curriculum together with the analysis of lines that were taken on training offered in colleges, at different times through that period, help to stress significant changes. Those changes resulted in redirecting the purpose of scientific training for future teachers. Respectively the status of each subject taught in training colleges evolved and urged public authority to relocate scientific applications in relation to physical and biological science. Teaching agriculture along with arts and crafts in colleges brought changes to the curriculum. Highlighting the changes and researching their causes in the historical conditions regarding the issue of duality between primary and secondary education, through the operating of colleges, are at the heart of this study on the ideals of scientific training for primary school teachers from 1880 to 1905.
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Les femmes à l'Académie royale de peinture et de sculpture (1663-1793) : sociabilité, pratique artistique et réception / Women in the royal academy of painting and sculpture : sociability, artistic practice and reception

Vigroux, Perrine 14 December 2016 (has links)
Quinze femmes artistes seront admises à l’Académie royale de peinture et de sculpture entre 1663 et 1793. Depuis laRenaissance, en Europe et en France, un petit nombre de femmes bénéficie d’une certaine renommée aussi biennationale qu’internationale, dans les arts, la littérature et les sciences, ouvrant ainsi la voie à de nouveaux talents. Cesfemmes sont notamment encouragées par les thèses philosophiques de François Poulain de la Barre (1647-1723) quivont leur permettre d’occuper une place de plus en plus privilégiée au sein d’une société qui se cristallise autour dessalons. Ce sont de petites réunions où savantes et artistes invitent chez elles hommes et femmes pour discuter delittérature, de philosophie, d’art mais aussi de politique. Ces lieux très courus connaissent un grand succès à la fin duXVIIe siècle et tout au long du XVIIIe siècle. La réception des premières femmes à l’Académie se fait dans ce climattout à fait favorable aux femmes tant sur le plan social et culturel, que politique.Mais cette admission n’en reste pas moins précaire. Effectivement après l’entrée de Catherine Perrot, le 31 janvier 1682,il faudra attendre près de quarante ans, soit le 26 octobre 1720, pour que soit à nouveau admise une peintre : RosalbaCarriera. Certes, elles ouvrent les portes de cette institution, mais elles ne restent pas moins exclues de nombreusesactivités et de plusieurs privilèges. Elles n’ont pas le droit d’assister aux cours d’après le modèle vivant – lequel pose nu– leçons pourtant fondamentales dans l’enseignement promu par l’Académie, ni de concourir aux grands prix, pourtantau coeur du système d’émulation, en fait les académiciennes n’auront jamais accès aux postes à responsabilité. Pourtantelles ont contribué à réinventer le paysage artistique français et plus particulièrement le genre du portrait. Prônant lenaturel, elles contribuèrent à renouveler le vestiaire féminin avec des tenues plus légères et vaporeuses. Mal perçues parla critique, ces nouvelles chemises appelées gaules, participèrent à la simplification des portraits officiels. En mêmetemps, la féminisation des portraitistes de cour offre de plus grandes possibilités aux femmes peintres. Poussant leslimites toujours plus loin, elles réussirent par le biais des portraits historiés à investir la peinture d’histoire, genre réservéaux peintres les plus aboutis et qui maîtrisent bien l’anatomie.Leurs contemporains à travers leurs écrits ou leurs oeuvres artistiques proposèrent une image idéalisée, truquée parfoistrompée de ces académiciennes. Femmes de talent, femmes ambitieuses, les académiciennes réussirent malgré tout àimposer une nouvelle vision de la femme peintre. / Fifteen women artists will be admitted to the Royal Academy of Painting and Sculpture between 1663 and 1793. Sincethe Renaissance, Europe and France, a small number of women enjoys a certain reputation both nationally andinternationally, in arts, literature and science, thus opening the way for new talent. These women are particularlyencouraged by the philosophical theses of Francois Poulain de la Barre (1647-1723) which will enable them to occupy amore privileged in a society that crystallizes around lounges. They are small and scholarly meetings where artists invitehome men and women to discuss literature, philosophy, art but also politics. These very popular places with greatsuccess in the late seventeenth century and throughout the eighteenth century. The reception of the first women to theAcademy is in this climate quite favorable to women both socially and culturally, and politically.But this admission only remains precarious. Indeed after the entry of Catherine Perrot, January 31, 1682, it will takealmost forty years, October 26, 1720, that is again admitted a painter Rosalba Carriera. Certainly, they open the doors ofthis institution, but they are nonetheless excluded from many activities and many privileges. They do not have the rightto attend classes of the living model - which poses naked - yet fundamental lessons in teaching promoted by theAcademy, nor to compete with great prices, yet in the heart of the system emulation in fact the academicians will neverhave access to positions of responsibility. Yet they have helped to reinvent the French artistic landscape and especiallythe portrait genre. Advocating natural, they helped to renew the female locker room with more light and gauzy outfits.Badly perceived by critics, these new shirts called saplings, took part in the simplification of official portraits. At thesame time, the feminization of court portraitists offer greater opportunities to women painters. Pushing the limits stillfurther, they succeeded through portraits to invest storied history painting, genre reserved for the most accomplishedpainters and good command of anatomy.Their contemporaries through their writings or artistic works proposed an idealized image, faked sometimes deceivedthese academicians. talented women, ambitious women, academicians still managed to impose a new vision of thewoman painter.
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Auguste Couder, peintre d’histoire (1790-1873). Catalogue raisonné de l'oeuvre / Auguste Couder, a historical painter (1790-1873). Descriptive catalogue of his works

Walkowska-Boiteux, Joanna 03 June 2010 (has links)
Peintre d’histoire actif dès le début de la Restauration jusqu’au Second Empire, membre de l’Académie des beaux-arts et officier de la Légion d’honneur, Auguste Couder représente parfaitement toute une génération d’artistes reconnus de leur vivant, mais oubliés par la suite. Méconnue de nos jours, son œuvre, riche et variée, mérite pourtant d’être redécouverte. Elève fidèle de David, fortement marqué par l’enseignement de son maître, Couder se distingua en tant qu’un excellent dessinateur qui ne négligeait pas pour autant la couleur. Sollicité pour de nombreuses commandes officielles et privées, il réalisa un grand nombre d’œuvres inspirées tantôt de l’histoire – aussi bien antique que nationale, tantôt de la religion ou de la littérature. Peintre prolifique, exposant régulièrement aux Salons des années 1814-1848, il participa également à plusieurs travaux de décoration d’édifices civils et religieux. Pourtant, jusqu’à présent, sa création ne fit l’objet d’aucune étude. Cette thèse a pour objectif de combler cette lacune, en retraçant la carrière de Couder d’une part, et en établissant le premier catalogue raisonné de son œuvre, d’autre part. Comprenant près de 400 peintures et dessins, dont plusieurs sont inédits, ce catalogue met en évidence la richesse de la création artistique de Couder laquelle retrouve ainsi sa place dans l’histoire de la peinture du XIXe siècle. / Auguste Couder, a historical painter active from the outset of the French Restauration to the Second Empire, a member of the Académie des beaux-arts (Academy of Fine Arts) and an Officer of the Legion of Honour, is a true representative of a whole generation of painters who were recognised as such during their lifetime but forgotten afterwards. Little known today, his works, abundant and varied, well deserve to be rediscovered. As a loyal student of David whose teaching greatly influenced him, Couder stood out as an excellent drawer but was nevertheless much interested in colours. He was commissioned numerous orders, from official and private sources, for paintings of a historical nature – both ancient and national – and inspired by religion and literature. A prolific artist, he participated regularly in the Salon held between 1814 and 1848 ; he also took part in several decorative works for official and religious edifices. Yet, his works have never been the subject of any study. The object of the present thesis is to remedy this situation by reviewing his whole career as well as drawing up, for the first time, a full descriptive catalogue of his works. This catalogue, which comprises some 400 paintings and drawings – several of which are unpublished, highlights the rich creation of Couder, reinstating him in the history of the 19th century arts.
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Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687)

Zhu, Cui 01 1900 (has links)
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle. / The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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Nicolas Besnier (1686-1754) : architecte, orfèvre du roi, directeur de la Manufacture royale de tapisseries de Beauvais, et échevin de la Ville de Paris / Nicolas Besnier (1686-1754) : architect, goldsmith of the king, director of the Royal Manufacture of Tapestry of Beauvais, and alderman of the city of Paris

Huchet de Quénétain, Christophe 04 March 2017 (has links)
Nicolas Besnier (1686-1754) est le fils de François Besnier, chef du gobelet du roi, et d’Henriette Delaunay. Son oncle est Nicolas Delaunay et son parrain est Corneille Van Clève. Comme architecte, Nicolas Besnier fait le voyage en Italie de 1709 à 1712 ; étudiant à l’Académie de France à Rome, il obtient le premier prix d'architecture de l’Académie de Saint-Luc en 1711. Maître orfèvre en 1714, associé à Delaunay, logé aux galeries du Louvre à partir de 1718, il est nommé orfèvre du roi par un brevet en 1723. Il travaille pour la cour de France, notamment pour le remplacement de la vaisselle ordinaire du roi et pour les Affaires étrangères, ainsi que pour les comtes de Tarroca, de Pontchartrain, les duchesses de Retz, d'Harcourt, le maréchal de Castries, les ducs de Bouillon, de Levy, Horatio Walpole, Gaspard-César-Charles de Lescalopier, William Bateman, l'église Saint-Louis-en-l'ile, la cour de Wurtemberg, etc… Il devient échevin de la ville de Paris en 1729. A cette époque, il décide de collaborer avec son gendre Jacques Roëttiers de La Tour, à qui il laissera la conduite de son atelier d’orfèvre. De 1734 à 1753, il est directeur de la Manufacture royale de tapisserie de Beauvais. Il supervise la création de nouvelles tentures par Jean-Baptiste Oudry - Métamorphoses d'Ovide, Verdures fines -, par Charles Joseph Natoire - Histoire de don Quichotte - et par François Boucher - les Fêtes italiennes, Histoire de Psyché,Seconde tenture chinoise, les Amours des dieux, la Noble pastorale, les Fragments d'opéra ; cette période est vraiment « l'âge d'or » de la manufacture. Il quitte son logement aux galeries du Louvre en 1739 et il remet son poinçon d'orfèvre en 1744. / Nicolas Besnier (1686-1754) is the son of François Besnier, head of the Gobelet du Roi and Henriette Delaunay. His uncle is Nicolas Delaunay and his godfather is Corneille Van Clève. As an architect, Nicolas Besnier traveled to Italy from 1709 to 1712. As student at the Academy of France in Rome, he obtained the first prize of architecture of the Académie de Saint-Luc in 1711. He became master goldsmith in 1714, partner with Delaunay, and was housed in the Galeries du Louvre from 1718. He was appointed goldsmith of the king by a patent in 1723. He worked for the court of France, notably for the replacement of the king's ordinary serveware and for the Foreign Affairs, as well as for the Counts of Tarroca, of Pontchartrain, the Duchess of Retz, of Harcourt, the Marshal de Castries, the Dukes of Bouillon, of Levy, Horatio Walpole, Gaspard-Caesar-Charles de Lescalopier,William Bateman... He became the alderman of the city of Paris in 1729. At that time, he decided to collaborate with his son in law Jacques Roëttiers de La Tour, who led the his workshop of goldsmith. From 1734, and until 1753, he was director of the Royal Manufacture of Tapestry of Beauvais. He supervised the creation of newhangings by Jean-Baptiste Oudry - Metamorphosis of Ovide, Fine verdures, by Charles Joseph Natoire - History of Don Quixote and by François Boucher - Italian festivals, Story of Psiché, the second Chinese hangings, the Loves of the gods, the Noble pastoral, Fragments of opera. This period is truly the « golden age » ofmanufacturing. He left his lodging at the galleries of the Louvre in 1739 and in 1744 gave back his hallmark of goldsmith.
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Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687)

zhu, cui 01 1900 (has links)
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle. / The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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Erkenntnistheorie im ausgehenden 18. Jahrhundert in Frankreich : eine Neubetrachtung des Pariser Wettbewerbs zur Frage nach dem Einfluss der Zeichen auf das Denken (1797/99) / Théorie de la connaissance à la fin du 18eme siècle en France : une nouvelle interprétation du concours de Paris sur la question de l’influence des signes sur la pensée (1797/99) / Epistemology at the close of the 18th century in France : a reconsideration of the Paris contest regarding the question of the impact of symbols on reasoning (1797/99)

Ohligschlaeger-Lim, Kerstin 06 October 2015 (has links)
Le travail suivant porte sur le concours lancé à Paris en 1797/99 par la Classe des sciences morales et politiques de l’Institut National, aujourd’hui l’Académie des Sciences Morales et Politiques, sur la question de l’influence des signes sur la pensée.Quelques années seulement après l’introduction d’une nouvelle terminologie dans le domaine de la chimie, la question se posait de savoir s’il était possible d’établir en philosophie une terminologie aussi précise que dans les Sciences Naturelles. Cette thématique embrasse ainsi des questions relevant des théories de la connaissance, des théories du signe et de l’épistémologie.Sur les 23 réponses anonymes au concours, seules les trois réponses suivantes ont été jusqu’ici publiées et de ce fait suffisamment connues et analysées, celles de Joseph Marie Degérando (1772--‐1842), Pierre-François Lancelin (1769--‐1809) et Pierre Prévost (1751--‐1839).Les autres réponses, qui se trouvent aux Archives de l’Institut de France, sont jusqu’à ce jour pour la plupart inconnues et non publiées.Pour la première fois, dans ce travail, elles sont mises au jour et analysées dans le cadre des théories du langage du 18ème siècle et du courant de la philosophie du langage des Idéologues .L’un des enjeux est en particulier de traiter les différentes réponses comme constituant une série et de les analyser toutes de la même manière, sans mettre l’accent sur la dissertation de Degérandos qui a reçu le prix. Cela permet ainsi de faire ressortir les structures des arguments sur l’indépendance de la pensée scientifique et des signes ou sur la réévaluation différente de la fonction cognitive des signes sur la construction des idées. / This thesis examines the question of the Paris contest and the impact of symbols on reasoning in 1797/99, tendered by the Classe des sciences morales et politiques at the Institut National which is called Académie des Sciences Morales et Politiques today. The aim was to find out whether, a couple of years after a new terminology had been introduced in chemistry, a terminology which should be as precise as the one for natural science could also be established in philosophy.The epistemic and semiotic elements of the topic are considered, as are any further questions and issues that develop. Out of the 23 anonymous entries sent in for the contest only three have been analysed scientifically so far.These are the entries sent in by Joseph Marie Degérando (1772-‐1842), Pierre-­‐François Lancelin (1769-1809) and PierrePrévost(1751-1839), which have been published and are familiar to many people.The remaining entries, which can be found today in the Archives des Institut de France are mostly unknown and have not been published yet. In this thesis they will be assessed and put into the wider context of linguistic theory at the close of the 18th century and the linguistic philosophy of the so called Idéologues. A main focus will be on the fact that they need to be seen as a series of texts and to make sure that each entry gets the same attention with no special focus on Degérandos award‐winning work.In the process a couple of overarching structures of argument emerged, such as the independence of scientific thought from symbols or the different weighing of the cognitive function of symbols for the emergence of ideas.
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Les Fêtes de l'Hymen et de l'Amour de Jean-Philippe Rameau : étude historique, génétique et critique / Les Fêtes de l'Hymen et de l'Amour by Jean-Philippe Rameau : historical, genetic and critical study

Soury, Thomas 24 January 2013 (has links)
Cette thèse porte sur Les Fêtes de l’Hymen et de l’Amour, ballet héroïque de Jean-Philippe Rameau sur un livret de Louis de Cahusac, créé le 15 mars 1747 à Versailles à l’occasion du second mariage du Dauphin. L’étude se consacre à l’histoire de l’œuvre, explorant ainsi ses diverses représentations, ses remaniements successifs en passant par le rayonnement de l’opéra sur le spectacle lyrique de l’époque. Elle s’intéresse également à la figure de Louis de Cahusac, à ses théories sur l’opéra et le ballet, aux sources d’inspirations de son livret puisant dans l’égyptologie et la franc-maçonnerie. Elle aborde par ailleurs le traitement musical du compositeur. Pour finir, cette étude propose une édition du livret et de la partition accompagnée d’un apparat critique et du catalogue des sources de l’opéra. / This thesis focuses on Les Fêtes de l’Hymen et de l’Amour, an heroic ballet written by Jean-Philippe Rameau with a libretto by Louis de Cahusac, created on March 15th, 1747 in Versailles for the Dauphin’s second wedding. The study is about the history of the piece, exploring its various representations, its successive changes and the influence of this opera on the lyric show of the xviiith century. It is also interested in the figure of Louis de Cahusac, his theories on opera and ballet, the inspirations of his libretto drawing Egyptology and Freemasonry. It also addresses the composer’s musical treatment. Lastly, this study offers an edition of the libretto and the score accompanied by a critical apparatus and a catalog’s sources of the opera.
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Le Grand motet dans les pratiques musicales lyonnaises (1713–1773) : Étude des partitions et du matériel conservés à la bibliothèque municipale de Lyon / The “Grand motet” in Lyonnais musical practices (1713–1773) : Study of scores and material conserved at the Lyon public library

Hertz, Bénédicte 07 July 2010 (has links)
La thèse, s’appuyant sur le fonds de motets à grand chœur conservés à la bibliothèque municipale de Lyon, tente de répondre à la problématique de la pratique musicale lyonnaise au XVIIIe siècle. Les quatre-vingt dix-neuf manuscrits et imprimés conservés se présentent sous forme de partitions ou de parties séparées et viennent pour la plupart de l’ancienne académie des beaux arts ou Concert. La première partie présente les cadres d’exécution du Grand motet à Lyon, dont le Concert, actif entre 1713 et 1773, mais aussi l’éphémère académie des Jacobins, la cérémonie annuelle du vœu pour le salut du roi Louis XV, les fêtes et réjouissances publiques et les concerts spirituels. Le corpus des motets conservés à Lyon est l’objet d’une analyse rigoureuse : la deuxième partie s’attache au catalogue de l’académie, au support musical (papiers à musique, filigranes et graphies musicales), ainsi qu’aux éléments musicaux dont témoignent les sources. La troisième partie présente le répertoire lyonnais du genre. Lalande représente la moitié du corpus conservé et la majorité des compositeurs sont des maîtres de musique de la Cour ou de la capitale, mais l’on trouve également des compositeurs d’autres provinces (Pétouille, Valette de Montigny, …) et des Lyonnais (Estienne, Bergiron du Fort-Michon, Belouard, …). La réception des œuvres à Lyon est mise en évidence par des comparaisons de sources, tandis que quelques particularités locales apparaissent, telles que la composition en « fragments ». Cette étude permet d’affirmer que, si la musique à Lyon est inscrite dans son époque, elle développe néanmoins des caractéristiques qui lui sont propres. / This thesis is founded on the corpus of french “grands motets” which are part of the collection of the Lyon public library, and tries to explain the question of musical practice in Lyon in the 18th century. The ninety-nine manuscripts and engraved sources conserved in the collection are scores and material which come mostly from the ancient “académie des beaux-arts”, also known as Concert. The first part of the thesis presents the context of Grand motet performances in Lyon, namely the Concert, which was active from 1713 to 1773, the short-lived “académie des Jacobins”, the yearly ceremony of the vow for salvation of the king Louis XV, and also public festivities and spiritual concerts. The corpus of motets conserved in Lyon is the subject of a rigorous analysis: the second part is dedicated to the catalogue of the Concert, the musical support (music papers, watermarks and musical handwritings) and to musical elements which appeared in the sources. The third part presents Lyon’s repertory of the motet genre. Half of the corpus is made up of Lalande’s works; most of the composers are from the Court or the capital, but there are musicians from other French provinces (Pétouille, Valette de Montigny, …) and also from Lyon (Estienne, Bergiron du Fort-Michon, Belouard…). The specific nature of the treatment of the motet in Lyon is brought to the fore by a comparison of the sources, while local particularities appear, like the composition by “fragments”. This study shows that if Lyonnais music belonged to its time, it nevertheless developed its own characteristics.
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Maupertuis et ses critiques : textes et controverses / Maupertuis and his critics : texts and controversies

Storni, Marco 26 June 2018 (has links)
Si la pensée des lumières a parfois été célébrée par l’historiographie pour sa contribution significative au développement culturel et scientifique de la modernité, elle a le plus souvent été critiquée pour sa superficialité spéculative, ainsi que pour sa confiance aveugle dans les résultats des enquêtes scientifiques. La figure de Pierre-Louis Moreau de Maupertuis (1698-1759), à laquelle notre travail est consacré, rentre de plein droit dans ce cadre interprétatif : mentionné dans quelques récits historiques comme scientifique de premier plan, notamment pour sa contribution décisive à la diffusion des théories newtoniennes en France, il est relégué au second plan dans les travaux d’histoire de la philosophie et de l’épistémologie. L’un des objectifs principaux de notre travail est précisément de proposer une relecture de l’œuvre de Maupertuis qui emphatise l’intérêt spéculatif de ses doctrines, afin de montrer la place éminente qu’il occupe dans l’histoire de la pensée moderne. Nous nous pencherons ainsi sur quelques textes importants de Maupertuis, en soulignant le rôle capital qu’y jouent les questions épistémologiques et métaphysiques. L’analyse critique de la pensée scientifique et philosophique de Maupertuis n’est pourtant pas le seul aspect significatif de notre recherche : notre ambition est de proposer un récit plus vaste que la simple étude des travaux de Maupertuis, qui puisse contextualiser son œuvre dans les dynamiques de la République des Lettres au début du XVIIIe siècle. En ce sens, nous attribuons une importance toute particulière à l’étude des controverses de Maupertuis avec d’autres savants et philosophes. Il sera notamment question de deux controverses. La première, qui concerne la forme de la Terre, éclate au sein de l’Académie des Sciences de Paris entre 1733 et 1740. La deuxième, qui porte sur les monades et la philosophie wolffienne, a pour cadre l’Académie de Berlin entre 1746 et 1750. L’intérêt du travail sur les controverses de Maupertuis est double. Tout d’abord, il s’agit d’un aspect de la vie et de l’œuvre du savant que les commentateurs ont peu étudié : certes, il existe quelques études particulières sur les controverses maupertuisiennes, notamment de celle qui porte sur la figure de la Terre, mais la question n’est jamais thématisée de manière systématique dans les monographies publiées jusqu’ici. Ensuite, les controverses de Maupertuis nous paraissent intéressantes comme étude de cas pour comprendre le fonctionnement concret des controverses scientifiques et philosophiques. Nous ne prétendons évidemment pas présenter les conclusions que nous allons tirer de l’examen de ces controverses en tant que normes universelles pour l’étude de toute controverse scientifique ou philosophique du passé. Toutefois, comme les historiens travaillant sur les controverses privilégient souvent les scientifiques et les philosophes du XVIIe siècle, il nous semble intéressant de présenter une étude de cas provenant du XVIIIe siècle, qui appartient à un contexte intellectuel et social profondément différent de celui du siècle précédent. Nous pourrons ainsi apporter de nouveaux éléments de réflexion sur la nature du désaccord scientifique et philosophique, qui puissent intégrer et compléter les travaux existants. Ce que nous présentons ici, en définitive, n’est pas seulement une étude sur Maupertuis, mais un travail qui, à travers l’analyse de sa pensée et des controverses qu'elle a suscitées, vise à la reconstruction des rapports et des échanges qui constituent le réseau de la République des Lettres au début du XVIIIe siècle. L’œuvre de Maupertuis est ainsi envisagée comme un prisme, à travers lequel nous observons les lignes principales de développement de la science et de la philosophie de son époque. / Whereas historians have sometimes acknowledged the momentous contribution the Enlightenment provided to the cultural and scientific development of the modern world, more often they have criticized its speculative shallowness, and its overconfidence in the results of the scientific inquiry. The figure of Pierre-Louis Moreau de Maupertuis (1698-1759), holding a central place in our study, suffered the same fate as many other Enlightenment thinkers: mentioned in some historical narratives as a leading scientist and experimenter, most notably for the decisive contribution he gave to the circulation of Newtonian theories in France, he is relegated to the background in histories of modern philosophy and epistemology. One of the main objectives of the present research is to advance an interpretation of Maupertuis’ works which insists on the speculative depth of his doctrines, in order to display the preeminent place epistemological and metaphysical stakes occupy therein. The critical analysis of Maupertuis’ texts, however, is not the only important aspect of our study: we aim indeed at creating a wider narrative, which might contribute to clarify Maupertuis’ place within the intellectual network of the early 18th-century Republic of Letters. In this sense, we attribute a special importance to the study of Maupertuis’ controversies with other scientists and philosophers. The two controversies on which we concentrate are the controversy over the shape of the Earth, which took place at the Paris Academy of Sciences between 1733 and 1740, and the controversy over monads and Christian Wolff’s philosophy, taking place at the Berlin Academy of Sciences between 1746 and 1750. The interest of studying Maupertuis’ controversies is twofold. Firstly, it is an aspect of Maupertuis’ life and work commentators have overlooked: although there are a few essays dealing with Maupertuis’ controversies, which are for the most part focused on the question of shape of the Earth, monographs hitherto published do not discuss this aspect in detail. Secondly, Maupertuis’ controversies are an interesting case study to understand how scientific and philosophical controversies concretely work. We do not intend to claim that our study of Maupertuis’ controversies might function as a universally valid model for the study of each and every controversy in the history of science and philosophy. However, since historians studying controversies privilege case studies drawn from the 17th century, it seems useful to discuss an episode from another century, which belongs therefore to a different intellectual and social context. In this way, we will provide new elements of reflection on the nature of philosophical and scientific disagreement, which might integrate the existing literature on the subject. Ultimately, our study is not only a work on Maupertuis’ thought, but a survey that, through the analysis of Maupertuis’ texts and controversies, reconstructs the network of relations and exchanges which constitute the early 18th-century Republic of Letters. The work of Maupertuis functions therefore as a prism through which we observe the main lines of development of science and philosophy of his time.

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