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El discurso de la reciprocidad en dos crónicas coloniales indígenas : elementos para una ética del diálogo interculturalBeauclair, Nicolas January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les cortèges de la fortune : dynamiques sociales et corporelles chez les danseurs de morenada (La Paz, Bolivie) / The parades of wealth : social and bodily dynamics among morenada dancers (La Paz, Bolivia)Fléty, Laura 22 June 2015 (has links)
Lors de la grande célébration de Jesús del Gran Poder qui mobilise chaque année en Bolivie toute la ville de La Paz, la morenada, danse centrale du rituel, met en scène des personnages aux visages noirs portant de lourds costumes, démesurés et opulents. Ces corps-objets ostentatoires sont mis en mouvement par les danseurs, créant une esthétique complexe de la richesse et de l’abondance. La morenada est exécutée par une population urbaine d’artisans et commerçants issus des flux de la migration indigène aymara, qui construisent laborieusement une réussite socio-économique leur permettant de s’imposer en ville. A travers une ethnographie des pratiques corporelles des danseurs de morenada pendant la préparation et la réalisation de la performance, ce travail montre comment la danse peut être un outil de compréhension des processus de reconfiguration des positions individuelles et des identités collectives. En effet, dans l’espace de la morenada, les représentations et pratiques économiques, corporelles et dévotionnelles interagissent pour se transformer mutuellement. Plus largement, ce travail interroge la manière dont dynamiques corporelles et sociales concourent à inventer un rapport singulier à la prospérité : la danse n’est pas seulement le registre expressif de la réussite urbaine, elle en est sa mesure et sa condition. / In Bolivia, the great celebration of Jesús del Gran Poder, mobilizes every year the entire city of La Paz. The morenada, main dance of this ritual, stages characters with black faces, wearing heavy, opulent and disproportionate costumes. These ostentatious body-objects are moved by the dancers, creating an intricate aesthetic of wealth and abundance. The morenada is performed by an urban population of artisans and traders of rural Aymara background. They painstakingly build the socio-economic success that allows them to establish themselves in town. Based upon an ethnography of the morenada dancers’ bodily practices, during the preparation and realization of their performance, this work intends to show that dance can be a powerfull tool for understanding how individual positions and collective identities are constantly reshaping. Indeed, in the space of morenada, economic, bodily and devotional beliefs and practices, interact to transform each other. At a broader scale, this work questions the way bodily and social dynamics contribute to invent a specific relationship to prosperity: dance is not only the expression of urban success, but its measure and condition.
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Caractérisation des espaces et pratiques de conservation dans les systèmes de production familiale en Colombie : quelles contributions pour la conservation des paysages?Corrales Roa, Elcy 28 September 2012 (has links) (PDF)
La recherche vise à établir si les modes de gestion des ressources naturelles et sociales des producteurs familiaux, dont les exploitations sont majoritairement de petite taille, ont pu contribuer à la construction de systèmes de production et de paysages durables. Quelles stratégies ces paysans mettent-ils en œuvre pour garantir les conditions de production de leurs fermes, de reproduction de leurs familles, et de conservation des ressources naturelles ? Ensuite, peut-on découvrir dans ces stratégies des pistes pour la conception de systèmes durables ? Notre étude a été menée dans une zone tropicale des Andes du nord située en territoire colombien, sur les communes de Riosucio et Supia, département du Caldas. Lors de la crise du café (années 1990), les producteurs vont réagir de manières diverses. Une réaction particulièrement intéressante, que nous analysons en profondeur, est la proposition de l'Association des producteurs indigènes et paysans de Riosucio et Supia, ASPROINCA : recomposition des systèmes productifs, recherche de la durabilité par une diversification des stratégies fondées sur une approche agro-écologique et une gestion intégrée des systèmes productifs, et renforcement du capital social et humain. Au-delà des unités d'exploitation, la proposition est élargie à l'espace du micro-bassin et au paysage régional, ce qui implique la coexistence avec d'autres formes de production, la conclusion d'accords sur la gestion des ressources d'usage commun, en particulier l'eau, et la mise en œuvre de pratiques partagées pour leur conservation.
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Le choix entre une zone de libre-échange et une union douanière : causes et impacts de la crise péruvienne dans le pacte andin durant les années 1990Calero, Jean-Paul 04 1900 (has links) (PDF)
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Ethnographie des mémoires de la guerre au Pérou (1980-2000) : vivants, morts et souffrants dans les communautés paysannes andines / An ethnography of the memories of the war in Peru (I980-2000) : the living, the dead, and the suffering in Andean peasant communitiesDelacroix, Dorothée 08 December 2014 (has links)
Ce travail interroge la nature multidimensionnelle du processus mémoriel qui fait suite au conflit armé interne du Pérou (1980-2000). Il met en évidence la fluidité du statut de victime qui varie selon le contexte social d’énonciation et le type de discours auquel il correspond. Le regard que portent les militants de défense des droits de l’Homme sur les paysans des Andes, principales victimes de la guerre, est confronté aux regards que portent ces derniers sur eux-mêmes et sur leur place dans la société nationale. L’analyse des modalités et des enjeux politiques, sociaux et économiques des commémorations collectives autour de El Ojo que Llora (L’Œil qui pleure), un monument aux morts érigé à Lima puis reproduit dans une communauté paysanne des Andes, constituent un premier axe de ce travail. L’attention portée aux conceptions de la personne amène, dans un second temps, à aborder la complexité des expériences individuelles de la guerre et du rapport au monde des survivants. Le passage de la sphère publique à l’ethnographie de l’entre soi permet de mettre au jour l’importance que jouent, dans la construction mémorielle de ces communautés paysannes de l’Apurímac, les relations quotidiennes entre voisins et celles qui sont nouées avec les proches décédés durant le conflit. L’étiologie de certaines maladies, notamment, constitue un langage alternatif qui permet de parler de la guerre et de ses protagonistes autrement qu’à travers leur évocation explicite. Ainsi, vivants, morts et souffrants apparaissent comme autant de figures structurantes de cette recherche qui oscille entre dits et non-dits. / This work examines the multidimensional nature of the memory process that took place following Peru's internal armed conflict (1980-2000). It highlights the fluidity of the status of victimhood, which varies according to the social context of enunciation and the type of discourse to which it corresponds. The perspective of human right activists regarding Andean peasants, the main victims of the war, is compared with the manners in which these people see themselves and their place in national society. The first axis of this work is an analysis of the modalities and the political, social and economic stakes involved in the collective commemorations around El Ojo que Llora (The Eye that Cries), a monument to the dead erected in Lima, and then reproduced in an Andean peasant community. The attention placed on conceptions of the individual then leads to the second section that addresses the complexity of individual experiences’ of the war and the relationship to the world of those who survived. The shift from the public sphere to an ethnography of people among themselves allows for an emphasis on the important role of everyday relationships between neighbors, and other people linked to those who died during the conflict, in the construction of memory in Apurimac peasant communities. The etiology of some illnesses, noticeably, constitutes an alternative language that allows for talk about the war and its protagonists without explicit reference to them. Thus, the living, the dead and the suffering appear as other structuring figures of this research that shifts between what is said and left unsaid.
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La comunidad andine, du village au quartier : l’invention d’une culture andine urbaine à Ayacucho (Pérou) / The Andean comunidad, from the village to the city : the invention of an urban Andean culture in Ayacucho (Peru)Chagnollaud, Fanny 26 January 2012 (has links)
Située dans les Andes sud-centrales du Pérou, la ville d’Ayacucho a connu une expansion urbaine accélérée à partir des années 1950, nourrie par l’arrivée massive de migrants andins originaires des districts ruraux de la région. Aujourd’hui peuplée de plus de 151.000 habitants, elle apparaît comme un ensemble de quartiers agglomérés autour du centre historique colonial. La très grande majorité de ces quartiers est le résultat d’une invasion collective de terrains organisée par les migrants. Ce travail analyse les processus de formation et les modalités du fonctionnement quotidien de ces quartiers. Il montre comment, pour les fonder et assurer leur pérennité, les migrants ont reproduit les structures et les mécanismes sociaux andins traditionnels en les accommodant au milieu urbain. L’objectif de cette étude est de montrer comment ces migrants ont ainsi inventé une culture andine urbaine. Ces quartiers qu’ils ont construits constituent en effet une transposition en milieu urbain de la « comunidad » andine, généralement considérée comme une institution rurale. / Located in the south-central Andes of Peru, the city of Ayacucho underwent an accelerated urbanization process from the 1950’s, nourished by the massive arrival of immigrants from the Andean rural districts of the area. Peopled today with more than 151.000 inhabitants, it appears like a conglomerate of settlements gathered around the historical colonial centre of the city. A large majority of these settlements is the result of collective lands invasions organized by the immigrants. This work analyses the formation process and daily functioning of these settlements. It shows how, to found them and ensure their permanence, the immigrants reproduced the traditional Andean social structures and mechanisms, adapting them to the urban context. The objective of this study is to show that, by doing so, these immigrants invented an urban Andean culture. Those settlements they built are indeed a transposition in the urban environment of the Andean “comunidad”, generally considered a rural institution.
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L'internationalisation pluraliste du droit public de l'intégration régionale : une comparaison d'après la jurisprudence de la CJUE et du TJCA / The pluralistic internazionalisation of regional integration public law : a comparative approach through the ECJ's and AJC case lawSierra Cadena, Grenfieth de Jesús 12 December 2014 (has links)
L’internationalisation du droit communautaire de l’UE a engendré le développement de nouveaux centres de production juridique en dehors de l’espace juridique européen comme la CAN. Ce processus a stimulé un phénomène de pluralisme juridique mondial à double dimension : on note d’une part la création , à l’échelle régionale, de modèles alternatifs d’intégration ; d’autre part, au niveau national, l’émergence d’une discussion sur l’identité constitutionnelle et administrative des Etats au regard des systèmes juridiques supranationaux. La comparaison jurisprudentielle entre la CJUE et le TJCA montre une expansion du pluralisme juridique en Amérique latine et dans l’Union européenne, tant à l’échelle nationale que régionale ; constitutionnelle qu’administrative. Un tel pluralisme appelle la construction d’une jurisprudence de coordination-harmonisation régionale plutôt qu’une standardisation juridique mondiale telle qu’elle est envisagée par le droit économique de l’OMC, la doctrine du Global Administrative Law ou celle proposant des standards constitutionnels mondiaux. La jurisprudence comparée explique comment le dialogue –«spontané et débridé»- de juges nationaux et régionaux révèle les rapports conflictuels entre le droit économique du marché mondial (OMC) et la protection de l’ordre public à l’échelle régionale. La thèse aborde cette problématique du pluralisme juridique au prisme de la jurisprudence comparée de la CJUE et du TJCA. D’un point de vue constitutionnel tout d’abord, la notion de « savoir-pouvoir du juge » (se substituant à la notion d’activisme des juges) propose de comprendre le juge communautaire en tant que garant du pluralisme juridique national afin d’aborder une nouvelle configuration complexe du pouvoir juridique à l’échelle supranationale. D’un point de vue administratif ensuite, la notion de gouvernabilité régionale (se substituant à la notion de gouvernance mondiale) appelle à un espace d’étatisation juridique des pouvoirs économiques régionaux pour les placer sous le contrôle du droit. Il s’agit d’imaginer un droit public régional capable d’étatiser les pouvoirs régionaux en tant que contre-pouvoirs de régulation du marché face à l’indéfinition juridique de la gouvernance mondiale. / The internationalization of Community Law in the EU has led to the development of new centers of legal production outside the European legal space such as CAN. This process has stimulated a two -dimensional global phenomenon of legal pluralism: on the one hand there is the creation of alternative regional integration models and on the other hand, the emergence of a discussion on national level about the constitutional and administrative identity of States under supranational legal systems. The comparison between different jurisprudences shows an expansion of legal pluralism in Latin America and in the EU, as much as in a national or regional scale than in a constitutional or administrative scale. Such pluralism demands the construction of a regional coordination-harmonization rather than a standardization of the legal world as envisaged by the WTO's economic Law, the doctrine of Global Administrative Law or the constitutional providing of global standards. Comparative jurisprudence explains how the national and regional judges’ “spontaneous and unrestrained” dialogue reveals the conflicting relationship between the beneficial owner of the world market (WTO) and the protection of public order at a regional level. The thesis addresses the problem of pluralism through the comparative analysis of both the ECJ's and the ACJ's jurisprudences. First, from a constitutional point of view, the notion of “power-knowledge of the judge” (replacing the concept of judicial activism) suggests the understanding of the community judge as the protector of the national legal pluralism to address a new complex configuration of legal authority at a supranational level. Secondly, from an administrative point of view, the notion of regional governability (replacing the concept of global governance) demands the judicial nationalization of regional economic powers to place it under the control of law. The aim is to imagine the regional public law capable of nationalizing the regional authorities as counter-powers regulating the market to face the lack of legal definition of the global governance.
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An ethnolinguistic study of the Yanesha’ (Amuesha) language and speech community in Peru’s Andean Amazon, and the traditional role of Ponapnora, a female rite of passageDaigneault, Anna Luisa 09 1900 (has links)
Thesis written in co-mentorship with Richard Chase Smith Ph.D, of El Instituto del Bien Comun (IBC) in Peru. The attached file is a pdf created in Word. The pdf file serves to preserve the accuracy of the many linguistic symbols found in the text. / La langue Yanesha’ est parlée sur la frontière de deux mondes, les Andes et l’Amazonie, au Pérou central. Un travail de terrain ethnolinguistique parmi le peuple Yanesha’ a été effectué en mai-août 2008 pour étudier cette langue et les facteurs menant possiblement à sa disparition. Ce mémoire porte sur les traits caractéristiques de la langue Yanesha’ et sa place à l’intérieur de la famille linguistique Arawak. L’auteure discute aussi à propos de ponapnora, un rituel de puberté qui joue un rôle important dans la préservation d’héritage musical et linguistique auprès des femmes Yanesha’. / The Yanesha’ language is spoken on the edges of two worlds, the Andes and the Amazon, in southcentral Peru. Ethnolinguistic fieldwork was carried out among the Yanesha’ people in May-August 2008 to learn about their language and the possible factors leading to its endangerment. This thesis examines the unique linguistic features of Yanesha and its place within the Arawak language family. It also discusses a puberty ritual that plays an important role in preserving musical and linguistic heritage among Yanesha’ women: the ponapnora female initiation ritual.
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Representación de la naturaleza y el espacio en la pintura andina de los siglos XVII y XVIIIFerrero, Sebastian 02 1900 (has links)
Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée des documents visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Pendant la période coloniale, le grand sujet de la nature fut différemment instrumentalisé selon les intérêts particuliers des secteurs distincts de la société coloniale péruvienne. Fondamentale comme outil d'évangélisation, mais surtout comme espace de canalisation de la religiosité et de la spiritualité coloniale, la nature a su se manifester de manière diverse dans la production artistique de la vice-royauté du Pérou.
Dans cette thèse, nous nous penchons sur le phénomène de la représentation de la nature dans la peinture andine coloniale, en nous concentrant en particulier sur la région occupée actuellement par le Pérou et la Bolivie, et sur une périodisation qui comprend principalement les XVIIe et XVIIIe siècles. Ce travail cherche à approfondir une problématique qui a été majoritairement oubliée ou sous-estimée par le discours critique de l’histoire de l’art de la période coloniale.
Nous aborderons cette problématique à partir de différentes perspectives. Cependant, l'aspect religieux semble l’élément fondamental pour expliquer les principaux enjeux derrière ce geste pictural. La peinture de la nature et de l'espace fut représentative des valeurs et des fondements spirituels de la religiosité coloniale. Les andins ont pensé la nature comme un moyen de visualiser des expériences métaphysiques profondes, de repenser les identités religieuses et d’accorder aux images des pouvoirs magico-religieux qui s’avéraient essentiels pour le bien-être de différentes communautés.
Bien que l’étude des rapports religieux soit indispensable pour élucider cette structure symbolique complexe, tant pour la peinture de paysage (comme unité organique), que pour la représentation des éléments individuels, la représentation de la nature a révélé, dans bien d'autres cas, des préoccupations concrètes directement liées aux circonstances, autant politique qu’ historique, de la société coloniale, en s’adaptant aux changements constants d’un espace et d’une société en transformation.
Loin d'être uniquement soumis à l'exercice décoratif, ou dans le cas de la peinture religieuse, de remplir la fonction de contexte pictural, les peintres coloniaux ont valorisé cet élément en l'abordant comme un objet individuel, chargé de pouvoir symbolique et capable de transmettre des messages et de produire des discours, toujours en lien avec les préoccupations des différents secteurs de la société coloniale. / In the colonial period, the great subject matter of nature was instrumentalized by different sectors of Peruvian vice regal society. Essentially as an evangelization tool, but also as a space where colonial religiosity was manifested, the representation of nature was interpreted in different ways by artists and consumers of vice regal paintings.
In this dissertation, we analyze the representation of nature in colonial Andean painting, focusing especially on the Central Andean region (currently covered by Peru and Bolivia) in the seventeenth and eighteenth centuries. This work seeks to move forward on an issue that has been largely underestimated by critical discourse of art history regarding the Latin American colonial period.
We will discuss this problem from different perspectives. However, the religious aspect seems to be above all a fundamental element to explain the key issues behind this pictorial manner. The representation of nature was consistent with spiritual values that forged colonial religiosity. Andean people considered nature as a way to visualize deep metaphysical experiences by rethinking religious identities and granting to the images magical-religious powers essential for the well-being of communities.
Beyond the religious aspect, we focus on the analysis of other consequences and interests that are related to the different forms of representation of territories and elements of nature, allowing different social groups to assert their ideological, political and cultural positions.
The representation of nature and space in colonial painting was never a simple decorative object, nor, in the case of religious painting, did it fulfil the role of scenographic framework and background to pictorial stories. The colonial painters treated this element with particular concern, conceding it special value and narrative powers, according to different preoccupations in colonial society.
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An ethnolinguistic study of the Yanesha’ (Amuesha) language and speech community in Peru’s Andean Amazon, and the traditional role of Ponapnora, a female rite of passageDaigneault, Anna Luisa 09 1900 (has links)
La langue Yanesha’ est parlée sur la frontière de deux mondes, les Andes et l’Amazonie, au Pérou central. Un travail de terrain ethnolinguistique parmi le peuple Yanesha’ a été effectué en mai-août 2008 pour étudier cette langue et les facteurs menant possiblement à sa disparition. Ce mémoire porte sur les traits caractéristiques de la langue Yanesha’ et sa place à l’intérieur de la famille linguistique Arawak. L’auteure discute aussi à propos de ponapnora, un rituel de puberté qui joue un rôle important dans la préservation d’héritage musical et linguistique auprès des femmes Yanesha’. / The Yanesha’ language is spoken on the edges of two worlds, the Andes and the Amazon, in southcentral Peru. Ethnolinguistic fieldwork was carried out among the Yanesha’ people in May-August 2008 to learn about their language and the possible factors leading to its endangerment. This thesis examines the unique linguistic features of Yanesha and its place within the Arawak language family. It also discusses a puberty ritual that plays an important role in preserving musical and linguistic heritage among Yanesha’ women: the ponapnora female initiation ritual. / Thesis written in co-mentorship with Richard Chase Smith Ph.D, of El Instituto del Bien Comun (IBC) in Peru. The attached file is a pdf created in Word. The pdf file serves to preserve the accuracy of the many linguistic symbols found in the text.
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