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La statuaire animalière sous Aménophis IIIGuichard, Hélène. Goyon, Jean-Claude January 2003 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Langues, histoire et civilisations des mondes anciens : Lyon 2 : 2003. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Regard des hommes et représentations animalières /Rolet, Alain. January 1992 (has links)
Mémoire(M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1992. / Ce travail de recherche a été réalisé à l'Université du Québec à Chicoutimi dans le cadre du programme de maîtrise en arts plastiques extensionné de l'Université du Québec à Montréal à l'Université du Québec à Chicoutimi. CaQCU Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La piste entre les mondes ; : À la rencontre des figures animalesCougnaud, Charlotte Marie Victoria 13 December 2023 (has links)
Ce mémoire n'est pas un dénouement. Il est une tentative, s'inscrivant dans un processus de recherche en arts visuels qui, elle aussi, est une tentative. Il est un nœud de problématiques autour duquel je gravite, dans lequel je m'empatouille parfois. J'ai essayé dans les pages qui suivent d'en tirer quelques fils, et de tisser, au fil de mes réflexions, un ensemble cohérent. Ce mémoire est un chemin que j'essaie de tracer jusqu'aux présences animales. Ces présences, voilà plusieurs années que je cherche à les représenter, à m'en approcher, à en parler ; en peignant, en allant dans les bois, en écrivant... Ce mémoire-chemin commence par un constat : la difficulté éprouvée à se sentir profondément reliée aux autres êtres vivants, chats, chevreuils, chênes, mésanges... dans toutes les formes riches, diverses et polymorphes que pourraient prendre ces relations. Ainsi, sont contées au fil de ces pages les tentatives de formulations des voies d'accès jusqu'à ces mondes non humains et leur articulation avec ma pratique de la peinture. Pour cela est apparue la nécessité d'aborder ce texte par le biais de différentes tonalités d'écriture, à la manière d'une marche en forêt durant laquelle on adopterait de multiples rythmes, en espérant secrètement se perdre par moment, pour finalement retomber sur nos étranges pattes d'animaux humains. Mon souhait serait que ce mémoire soit, pour qui s'aventure entre ses lignes, un parcours au sein duquel existerait la possibilité d'être soi-même parcouru (par quoi, ou par qui ? Allons le découvrir). Un dernier mot, ce mémoire est écrit parallèlement à la présentation de l'exposition La piste entre les mondes dans laquelle seront présentées mes peintures. Exposition qui clôture ces deux années passées à la maîtrise en arts visuels. Le dernier chapitre de ce mémoire est dédié à la présentation de ce projet d'exposition.
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Au-delà de l'hégémonie humaine : examen de deux œuvres équestres de Rosa Bonheur : Le marché aux chevaux (1853-1855) et Rocky Bear and Chief Red Shirt (1889)Bienvenue, Valérie 08 1900 (has links)
Rosa Bonheur, artiste animalière du 19e siècle se révèle, par ses représentations humaines/ équines, être pionnière dans l’avènement d’une éthique animale. Bien qu’ayant joui d’une popularité enviable de son vivant, les études posthumes faites à son sujet sont majoritairement biographiques et principalement intéressées à examiner son célèbre Marché aux chevaux (1853-1855), sous la loupe de sa sexualité. Cette approche limitée, en plus de ne pas rendre justice à la position artistique adoptée par Bonheur, asservit les sujets équins de ses œuvres. Ce mémoire propose un angle alternatif de lecture de ses tableaux, qui se veut plus en adéquation avec son éthique animale. Inspiré par les recherches récentes des animal studies, particulièrement celles influencées par la déconstruction, il sera démontré que les représentations des relations inter-espèces de Bonheur soulèvent d’importants questionnements éthiques. Dans ce contexte, Rocky Bear and Chief Red Shirt (1889), une œuvre indûment négligée par les études en histoire de l’art, s’avère essentielle, lorsque considérée aux côtés du Marché aux chevaux, comme moyen de saisir l’éthique équine de l’artiste. Par l’analyse de ses oeuvres, ce mémoire invite à une réévaluation de l’art de Bonheur comme étant l’expression de son engagement pour l’avènement d’une manière plus éthique d’être avec le cheval. De plus, il cherche à contribuer, de façon significative, à la compréhension des rôles que les pratiques de représentation, en général et spécifiquement dans l’art, peuvent jouer dans la transformation de nos perceptions de l’animal non-humain. / Through her depictions of the human/horse relationship, the animal painter Rosa Bonheur has shown herself to be a pioneer in the advent of animal ethics. In life she enjoyed an enviable popularity and posthumously her work has continued to attract attention with most studies focussing on her biography, reading her famous The Horse Fair (1853-1855) through the prism of her sexuality. Such approaches are too limited and fail to do justice to Bonheur’s artistic philosophy, overwriting the importance of the horse, a key subject in many of her works. This dissertation takes an alternative approach, one more in keeping with the artist’s animal ethics. Inspired by recent research in animal studies, particularly research informed by deconstruction, the thesis demonstrates how Bonheur’s representation of interspecies relations raises key ethical questions. In this context, Rocky Bear and Chief Red Shirt (1889), a painting which has been unduly neglected in existing art historical scholarship, forms a vital work, one which is considered alongside the celebrated The Horse Fair as a means to understand Bonheur’s equine ethics. Through an analysis of these paintings in particular, the thesis invites a reassessment of Bonheur’s art as an expression of her commitment to the ethical treatment of horses and also seeks to make a significant contribution to understanding the role practices of representation more generally, including art, can play in the transformation of our perception of non-human animals.
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Le cheval à cru : pour une éthique relationnelle, visuelle et textuelle de l'équin en art du XVIIIe siècle à aujourd'huiBienvenue, Valérie 12 1900 (has links)
Ma thèse porte sur l’évolution de la réception des chevaux dans l’art européen du XVIIIe siècle à aujourd’hui. En examinant minutieusement des œuvres d’artistes tels que Rosa Bonheur, George Stubbs, Sawrey Gilpin, Pablo Picasso, Art Orienté Objet et plusieurs autres, dans des contextes artistiques variés – peinture, dessin, sculpture, bioart ou encore danse –, j’entends démontrer que les façons de voir (ou de ne pas voir) les chevaux dans toute leur complexité sont historiquement limitatives et changeantes. Selon une approche transdisciplinaire, ma recherche combine l’histoire de l’art animalier, les études animales, ma formation en beaux-arts, et une vaste expérience sur le terrain auprès des chevaux. Elle cherche également à modifier et à nuancer les lectures contemporaines de l’art mettant en scène des chevaux, en plus de proposer des façons alternatives, plus accueillantes, d’écrire au sujet de cet Autre. La première moitié de la thèse se concentre sur la façon dont le cheval a été représenté dans l’art aux XVIIIe et XIXe siècles, tandis que la seconde moitié, qui couvre les XXe et XXIe siècles, poursuit ce thème en mettant en exergue les pratiques d’écriture au sujet des œuvres d’art représentant les chevaux et la façon dont elles ont souvent été inhospitalières. Cherchant à dépasser le dualisme linguistique actuel au sein de la discipline pour décrire les dynamiques interespèces, cette thèse propose des avenues de réflexion innovantes sur le binaire cheval/humain, qui ont puisé dans des ressources inusitées en histoire de l’art, soit les idées de la déconstruction en lien avec les animaux, où la notion d’hospitalité est particulièrement importante.
Puisque l’historienne de l’art dispose d’une certaine latitude quant à la structuration de « l’histoire qu’elle raconte », les récits de la thèse sont transmis de manière à être plus empathiques aux réalités équines. Dans cette veine, l’ambition globale de ma thèse est de mettre l’accent sur l’importance de conscientiser le regard posé sur l’œuvre d’art équine ou équestre et sur les responsabilités de l’auteur, de manière à sensibiliser le regardeur à des responsabilités relevant de l’éthique interespèces. Chaque cheval est unique, physiquement et psychologiquement. À l’intérieur d’une pratique qui souhaite étudier l’art qui le représente, (re)connaître la valeur singulière de cet Autre impose des défis particuliers. Aujourd’hui, les contacts avec les chevaux sont pour la majorité des historiens de l’art inexistants, ce qui engendre généralement une vision et une compréhension plus superficielle de l’Autre. Ma thèse apporte de nouvelles perspectives aux débats contemporains sur les possibilités de voir les chevaux dans l’art et sur les paramètres à prendre en compte pour le faire, et elle fournit des modèles potentiels quant à la manière d’écrire sur cet Autre en tant qu’être familier. Bien que mon sujet soit les chevaux dans l’art et dans les écrits sur l’art, les interprétations que je développe ici ont une résonance et une pertinence plus larges, notamment pour les études animales. / My thesis considers the shifting reception of equine themed European art from the 18th Century to today. Through a series of close readings of works encompassing diverse media such as painting, drawing, sculpture, bio art and dance, by artists including Rosa Bonheur, George Stubbs, Sawrey Gilpin, Pablo Picasso and Art Orienté Objet, I demonstrate that the ways horses have been seen (or not seen) in all their complexity are historically contingent and changeable. My transdisciplinary approach combines insights from the history of animal art, animal studies, my training in fine art and my substantial practical knowledge of actual horses gleaned from my time teaching bareback riding and rehabilitating horses suffering from physical and psychological trauma. As well as seeking to shift and nuance contemporary readings of art featuring horses, I also strive to develop a mode of writing about horses that is more welcoming to this Other, the horse, than many previous art historical analyses. The first half of the thesis focusses on how horses were represented in 18th and 19th century European art. The second half considers 20th century and 21st century art and also examines how ways of writing about horses in art history have been restrictive and unwelcoming. I seek to move beyond the dualistic language conventionally employed by art history to refer to equine subject matter because it constrains efforts to rethink interspecies dynamics and impedes attempts to reconceptualise the horse/human binary. My attempts to transcend dualism have required me to engage with deconstruction, a way of thinking rarely embraced by art history. In this context, the notion of hospitality has been particularly important.
As art historians possess a measure of agency regarding the structuring of the stories they tell, my own endeavours are organized around the need to show empathy towards horses in their lived reality. In this vein, the overarching concern of my thesis is to emphasize the need for a critically reflexive way of looking at art with equine subject matter, one that foregrounds the viewer’s and the writer’s responsibilities in relation to interspecies ethics. Every horse is physically and psychologically unique and acknowledging this singularity, the singularity of an Other, as it manifests in and through representation, poses specific challenges. Today most art historians have no day-to-day knowledge of horses, a reality that leads to a superficial and unempathic perception of this Other. My thesis, grounded in an intimate familiarity with equines, in lived experience, in fieldwork of a kind, contributes new insights to contemporary debates about the parameters and possibilities for seeing horses in art and provides potential models for how to write of this Other as a familiar. Although my subject is horses in art and in writings about art, the understandings I develop here have a broader resonance and relevance for animal studies.
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L'animal en droit public / Animals in public lawKirszenblat, Joël 06 December 2018 (has links)
Les animaux, longtemps considérés comme des êtres appartenant au régime juridique des biens, tendent aujourd’hui à s’éloigner de cette catégorie. Si en France le droit leur refuse le statut de personne non-humaine, la qualification d’être sensible leur est toutefois attribuée et reconnue. Cette singularité juridique – où l’animal est à la fois un être vivant et appartient à la catégorie juridique des biens – a fait l’objet de nombreux travaux, et certains chercheurs sont parvenus à résoudre ces paradoxes. Toutefois, si l’animal a été abondamment abordé sous le prisme du droit privé, peu de travaux spécialisés ou d’ensemble ont été menés en droit public. Pourtant, il semble que l’étude de l’animal en droit public apporte des questionnements et des réponses tout aussi intéressantes. C’est ainsi que la présente thèse, « L’animal en droit public », a suivi deux choix principaux et complémentaires : celui de l’inventaire, puis celui de la théorisation. Enfin, le droit public offre de nouvelles perspectives dans la réalisation d’un véritable droit de l’animal. Cette construction, qui a pour principal résultat d’apporter de nouveaux éléments de déréification, et d’éviter certaines incohérences, permettrait une mise en avant des intérêts animaliers, notamment en les assimilant à un nouvel ordre sociétal à protéger ou en apportant une nouvelle approche dans la personnification des animaux. En outre, l’étude du droit public comparé nous offre des perspectives différentes dans la défense de la cause animale, notamment par le biais de la constitution / Animals, which for a long time were legally classified as property, are nowadays beginning to be recategorised. Even if French law denies them the status of non-human persons, they are nonetheless recognized as being sentient. This legal oddity, in which animals are at one and the same time both living beings and property, has been the subject of numerous studies, and certain researchers have succeeded in resolving these paradoxes. However, if the status of animals has been frequently examined from a legal angle, little specific or overall research has been undertaken in the domain of public law. And yet, it appears that the study of animals in public law raises questions and answers that are equally interesting. That is why the present thesis, « Animals in public law », follows two main, complementary choices: that of being an inventory, and that of theorizing. Charting, first of all, the reality of the situation seems essential in order to facilitate doctrinal or jurisprudential interpretation. Secondly, this study has made possible the theorizing of certain judicial questions. Finally, public law offers new perspectives for the creating of a true system of laws concerning animals. This work, whose main outcome is to contribute new elements to dereification and to avoid certain inconsistences, would foreground animal interests – notably by placing animals in a new societal order to be protected, or by setting forth a new approach to the personification of animals. Moreover, the study of comparative public law offers us different perspectives in the defence of animal rights – notably through the constitution
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Un monde de silence : musique pour documentaires aquatiquesLavoie, Mathieu 08 1900 (has links)
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Représentations et exercice du pouvoir : les fables du "Calila et Dimna" castillan du XIIIe siècle, un miroir animalier du monde de cour / Representations and exercise of power : The fables of the 13th century Castilian version of "Calila et Dimna", an animal mirror of the courtiers worldDalbion, Mathilde 02 December 2016 (has links)
Dans un certain nombre d’œuvres didactiques et sapientiales du Moyen Âge, l’animal est utilisé comme représentation du prince et de son entourage. L’animal est tantôt filtre, tantôt masque, un regard porté sur les cours princières par des auteurs plus ou moins impliqués dans celles-ci, et qui trouvent en l’animal l’outil le plus expressif pour exposer certaines valeurs ou dénoncer certains comportements. Notre étude se fonde sur un ensemble de sources, essentiellement le Calila et Dimna composé en Castille au milieu du XIIIe siècle pour l’infant Alphonse (futur Alphonse X) ; l’analyse inclut une étude de l’itinéraire textuel du Calila et Dimna : quelles différences présentent les versions indienne (Panchatantra), persane, arabe (Kalila wa Dimna), hébraïque, castillane, et les versions latines (Jean de Capoue et Raymond de Béziers). L’étude est étayée par une comparaison avec des textes indiens, persans et arabes qui offrent un rapport thématique avec ce traité dans la représentation du monde animalier. Textes latins et français (Roman de Renart, Roman de Fauvel accessoirement) complètent le corpus. Nous nous interrogeons aussi sur l’influence de la fable antique gréco-latine sur le traité (Ésope, Avianus), dans le choix des animaux et de leurs caractéristiques, notamment ; et sur les modalités de la transmission à l’Occident d’autres textes ayant suivi des itinéraires parallèles (Sendebar, Secret des Secrets, Roman des Sept sages de Rome). Nous nous demanderons si le Calila et Dimna n’était pas – comme le Renart ou le Fauvel – la caricature d’un certain milieu curial que les lecteurs contemporains n’avaient aucun mal à reconnaître ; et ce qu’il s’agisse de la version arabe ou de la version castillane du traité, étant entendu que chaque traducteur successif a contextualisé cette vision de la cour. Nous chercherons à comprendre la fonction et les mécanismes de ces masques animaliers : au-delà d’un bestiaire complexe, que nous nous attacherons à analyser de façon détaillée, en quoi et comment l’animal sert-il de filtre aux critiques politiques, comment constitue-t-il le miroir d’une vie de cour, et quelles images nous renvoie-t-il des courtisans ? Quels animaux sont-ils choisis (selon les versions) pour incarner tel ou tel homme de cour ? Quels préceptes moraux, traits de caractères, ou valences symboliques chaque animal « humanisé » véhicule-t-il ? Pourquoi utiliser des animaux ? Sont-ils là pour distraire les princes ou permettent-ils aux auteurs d’en dire plus qu’ils ne pourraient se l’autoriser, avec des héros humains ? L’animal est-il donc masque ou miroir ? / In a number of didactic and sapiential works of the Middle Ages, the animal is used as a representation of the prince and his entourage. The animal is sometimes a filter, sometimes a mask, looking at the princely courts by more or less involved authors. They find in the animal the most expressive tool to expose some values or to denounce some behaviours. Our study is based on a variety of sources, mainly the Calila et Dimna composed in Castile in the middle of the 13th century for the Infante Alfonso (future Alfonso X); the analysis includes a study of the Calila et Dimna textual path: what are the differences between Indian (Panchatantra), Persian, Arabic (Kalila wa Dimna), Hebrew, Castilian and Latin (Jean de Capoue and Raymond de Béziers) versions ? The study is supported by a comparison between some Indian, Persian and Arabic texts offering a thematic relevance in the animal world with this treatise. Latin and French (Roman de Renart, Roman de Fauvel secondarily) texts complete the corpus. We are also wondering about the Greco-Latin antique fable influence on the treatise (Esope, Avianus), concerning the choice of the animals and their characteristics. The modes of transmission to the Occident of other texts that followed parallel ways (Sandbar, Secret des Secrets, Roman des Sept Sages de Rome) are reviewed. We will be wondering whether the Calila et Dimna was not, as le Roman de Renart or le Roman de Fauvel, the caricature of a certain curial milieu that contemporary readers had no difficulty to recognise; Both the Arabic and the Castilian version of the treatise are concerned, on the understanding that each successive translator contextualised this vision of court. We will seek to understand the function and the mechanisms of these animal masks: beyond the complex bestiary, which will be thoroughly analysed, how and to what extent the animal is used as a filter for political criticism, how it constitutes the mirror of a court life, and what are the reflected images of the courtiers ? What animals are chosen (depending on the version) to embody one courtier or another ? Which moral precepts, character traits or symbolic values, each « humanised » animal is transmitting ? Why use animals ? Are they there to amuse princes or to allow the authors to tell more than they could with human heroes ? Is the animal a mask or a mirror ?
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