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Le manga : un dispositif communicationnel : perception et interactivité / The Manga : communicational device : perception and interactivity

Lechenaut, Emilie 11 October 2013 (has links)
Le terme manga a été utilisé pour la première fois en 1814 par le peintre Katsushika Hokusai pour désigner ses travaux. Littéralement ce terme signifie « esquisse rapide » ou encore « image dérisoire ». En France le mot manga a perdu cette signification et désigne la bande dessinée japonaise au même titre que l’on nomme comics la bande dessinée américaine. La bande dessinée japonaise est, en termes quantitatifs, le premier marché du monde dans ce secteur. Beaucoup plus diversifié dans les sujets abordés que ne le donnent à penser les dessins animés diffusés sur le petit écran en France, le manga a longtemps été un genre peu connu des « bédéphiles » européens. Aujourd’hui, le manga connaît un fort essor en France et tend à s’imposer comme produit et phénomène culturel, pour toute une génération qui a grandi avec son arrivée sur les postes de télévision. Dans ce travail de thèse, il s’agit de comprendre le manga en tant que dispositif communicationnel. En raison de ses spécificités graphiques et narratives nous pouvons appréhender un procédé visuel-narratif qui lui est propre. Celui-ci modifie le rapport iconique/linguistique, construit un nouveau mode de lecture et joue sur les perceptions. Il génère un jeu tensif entre ce que le lecteur-spectateur regarde et ce qu’il voit. Le manga diffuse dans notre société un univers graphique, mais aussi et surtout, une technique de la narration visuelle qui peut se passer de texte. L’image est à la fois vue et lue. Dans le manga, lire l’image c’est lire le texte ou pour le dire autrement, il y a du texte-image, de l’image-texte. Elle est en elle-même un dialogue qui agit sur les sensations et les perceptions. Au travers de ses représentations, le manga montre une image de sa culture. Il diffuse par ses personnages des normes et des valeurs ainsi qu’un imaginaire pouvant « influencer » son lectorat et générer de nouvelles pratiques sociales. Par ses spécificités l’image manga devient mouvante. Elle inclut le lecteur-spectateur : celui-ci a la possibilité de naviguer, d’errer dans l’image. Notre travail de recherche porte sur l’analyse des procédés « visuels-narratifs » du manga qui génèrent un nouveau rapport à l’image et un jeu d’interactions entre l’image et son « lecteur-spectateur », ainsi que sur le processus de transmission des messages dans le manga. / The manga term was used for the first time in 1814 by the painter Katsushika Hokusai to indicate his works. This term literally means “fast rough sketch” or “derisive image”. In France the original meaning of the manga word has been lost and it is now employed to indicate the Japanese comic strip in the same way as we name comics the American comic strip. The Japanese comic strip is, in quantitative terms, the first market of the world in this sector. The topics covered in the written manga are much more diverse than the “cartoon-manga” broadcasted on tv in France. Not so long ago, the manga was a little-known genre by the European comic readers, the “bédéphiles”. Nowadays, the manga is a growing genre in France and it tends to develop and become a cultural product and phenomenon, for all a generation who grew up with the first manga on tv. This thesis explores the manga culture and analyzes it as a primary device in a whole communication system. Its graphic and narrative aspects reveal a particular visual-narrative process, specific to the manga. It modifies the image and language combination, it builds a new reading mode and plays with perceptions. It generates a stretching game between what the reader-spectator looks at and what he sees. The manga spreads in our society a graphic universe but most of all, a specific visual storytelling technique that replaces narration words. At the same time, the image is seen and read. In the manga, to read the image it is to read the text. In other words, the picture is narrative and the narration is pictured. There is a text-image, an image-text. The image is in itself a dialogue which acts on the sensations and the perceptions. In its depiction, the manga reflects its culture. It spreads characters, norms, values and an imagination which can “influences” his readership and generates new social practices. By its specificities the manga image is unstable and moving. It involves the reader-spectator: this one has the possibility of navigating, of roving in the image. This research work analyzes the manga “visual-narrative” interactive processes which generates a new relationship to the image and creates a playful interaction between the image and its “reader-spectator”, and it becomes a narrative process to transmit messages in it.
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L’archipel du dialogue. De l’image du texte à l’anthropologie de la communication / The Archipelago of Dialogue. From the textual image to the anthropology of communication

Fournout, Olivier 23 October 2009 (has links)
La thèse produit une anthropologie du dialogue qui, outre l’observation des rencontres orales, reconnaît au texte de dialogue des moyens propres de construction de nos représentations de la communication. Elle ancre la pensée du dialogue dans l’analyse des formes visuelles des textes de dialogue. La recherche procède en trois étapes. La première problématise l’acte de description de l’objet « texte de dialogue », défini comme le côte à côte de fragments de textes, ou « diatextes », dont les instances d’énonciation sont différentes. La seconde décrit les formes d’organisation spatiale des textes de dialogue. La troisième étape explore la possibilité d’une phénoménologie du dialogue ancrée dans la plastique propre des textes de dialogue. La pratique du regard frotté aux formes diatextuelles en vient à accoucher de certaines conceptions de la communication – éthiques, systémiques, esthétiques – de sorte que ces modèles textuels intériorisés structurent notre pratique des conversations. / This thesis is designed to produce a theory of dialogue that does not only take into account the observation of face to face oral encounters, but also gives a chance to the written form of dialogues to build up some of our representations of communication. The purpose is to show how the way we think and talk about human dialogue depends upon some criteria of description embedded in the visual aspects of textual dialogues, ranging from theatre editions to email communications. The research is developed in three stages. The first one raises the question of how to describe an object such as a « textual dialogue », defined as the collage of textual fragments, called « diatexts », coming from different sources. The second stage fully describes the spatial organization of textual dialogues. The third stage explores the possibility of an anthropology of dialogue shaped by the plasticity of written dialogues. It argues that some of our ideas about communication – whether ethical, systemic, aesthetic or metaphysical – are influenced by the act of reading and looking at written dialogues taken as textual images. Thus, interiorized textual patterns may structure « natural » conversations.
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On est où là ? Dérision et distanciation dans l’analyse des séries télévisées ivoiriennes

Dénommée, Julie 06 1900 (has links)
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S’exposer en inquiétude. Le sujet fait et défait avec les médiations nouvelles sur sa santé

Romijn, François 24 April 2018 (has links)
Dans ce travail de recherche, nous sommes parti du constat que l’humain est de plus en plus souvent inscrit dans des contextes où lui est accessible un savoir nouveau – permis par les avancées technologiques et scientifiques – portant sur sa vie biologique. A portées de mains ou de clics, de plus en plus de données objectivantes sur son intériorité biologique éprouvent l’individu confronté à de nouvelles inquiétudes qu’il doit traverser. Nous avons interrogé ce phénomène de société en cherchant à préciser la variété des mouvements lui permettant d’intégrer ces données qui s’accompagnent d’une prétention à un réalisme fort. Nous proposons une approche sociologique renouvelant l’analyse des usages individuels de trois médiations situées dans le champ de la santé (consultation médicale, l’usage du web en matière de santé, l’usage de tests génomiques). Notre approche s’articule à un questionnement anthropologique singulier :Comment la personne s’arrange-t-elle de situations dans lesquelles elle est mise en relation non plus seulement avec d’autres humains mais au premier titre avec des données objectivantes relatives à son intériorité biologique ?Cette question anthropologique invite à porter au moins autant d’attention à ce qui nous relie à autrui et à notre environnement, qu’aux façons dont l’humain assure une continuité avec lui-même dans des situations où le vivant pose question. Nous privilégions l’usage d’outils sociologiques qui sous-tendent une conception plurielle du sujet et qui ne circonscrivent pas trop vite l’analyse à une conception de l’action et de la subjectivité comme d’emblée écrasée par une présomption stratégique ou managériale. Notre analyse pragmatique de l’exposition de l’inquiétude du sujet en train de se faire et de se défaire met notamment en exergue le caractère marginal de l’autonomie – comme prise en charge de soi éclairée par une connaissance partagée qui le rend disponible pour le débat public. Sur les trois sites enquêtés, l’examen attentif du maintien du sujet mis à l’épreuve de l’inquiétude tire l’analyse vers la nature composite des conduites. Plutôt que de considérer le caractère ambivalent, équivoque et parfois carrément ambigu de l’action comme un échec de l’analyse, ce travail de recherche contribue à une approche de la composition dans le rapport à soi et à autrui. / This work originates in the observation that individuals are more than ever before involved in contexts where new knowledge about their biological life – produced by the technological and scientific progresses – are directly accessible to them (about their bodies, neurons, genes). Within easy reach, an ever-growing number of objectifying signs and data related to the biological self puts the individuals to test. They are confronted to inquietudes they have to cope with. We are investigating this societal phenomenon in a manner that the very diverse movements allowing the individual to integrate these data can be precised. Building on an anthropological problematic questioning how human beings find arrangements with situations in which they are not only confronted to others but also with objectifying data related to their biological life, the research focuses on the dynamics of individual users integrating the findings made while using three different health-related mediations (the classic medical examination, health-related information on the Internet, health-related direct-to- consumer genomic tests). We adopt a set of complementary sociological tools based on a plural conception of the subject; which do not limit the analysis of the action ‘taking place’ in a situation as guided only by a strategic or a managerial assumption.Through a pragmatic approach of the uneasiness exposed, we shed light on insightful dynamics irreducible to the often expected autonomy of an individual taking decisions informed by a shared knowledge required to participate to public debates. A careful analysis of the subject’s action highlights dynamics that have received little attention with regards to ‘what is worth in a given situation’. Moving from a fieldwork to another, we did not focus on the action’s heterogeneity as much as the way the individual brings together different positions that s/he can hold in order to arrange with these discoveries related to one’s biology. On the three sites investigated, the examination of the subject’s consistence draws the analysis toward the composite nature of the action. Rather than considering the equivocal features and sometimes the outright ambiguity of the conducts as a failure of the analysis, our research effort contributes achieving a better understanding of the pervasiveness of composition in our relationship to our self and the others in the social context related to biology. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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