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Au sujet de certaines fortifications de la Cisalpine romaineMassa, Gabriella A. 25 April 2018 (has links)
Les villes de la Cisalpine romaine sont le témoignage de l'esprit pratique des Romains. Aquileia, Rimini, Vérone (à l'est), Aoste et Turin (à l'ouest) qui ont été construites comme têtes de pont de la conquête romaine, sont des exemples uniques d'architecture militaire, à la fois solide, monumentale et d'harmonie de formes. Nous avons voulu étudier leurs structures et à l'aide des vestiges nous avons comparé les modes de constructions et les analogies avec les conseils que donnent les architectes anciens, au sujet de la fortification. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La vie domestique des officiers britanniques et canadiens résidant dans la maison Maillou au XIXe siècle : étude de la collection archéologiqueSheehan, Virginia 24 April 2018 (has links)
La vie domestique des officiers britanniques et canadiens à Québec au XIXe siècle est peu connue et n'a que très peu été abordée dans les études historiques et archéologiques. La collection archéologique de la Maison Maillou, située au 17 de la rue Saint-Louis à Québec, nous a permis d'étudier la vie domestique de ces maisonnées à partir des objets qui ont été utilisés et jetés. Les maisonnées en question sont celle d'un officier britannique ayant occupé la Maison Maillou au début du XIXe siècle (ca. 1818-1823) et celle d'un officier canadien-français du nom de Théodore Juchereau Duchesnay ayant habité la maison à la fin du XIXe siècle (ca. 1877-1896). La présente étude permet de connaître davantage la vie domestique et familiale de ces deux maisonnées à partir de la collection archéologique et de tirer des conclusions sur leur statut social et économique grâce à l'assemblage de céramiques. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Étude archéologique des artefacts de la collection subaquatique de la rivière Richelieu conservée au musée David M. StewartPothier, Louise, Pothier, Louise 16 April 2024 (has links)
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Des vestiges d'une arrière-cour à l'histoire de l'hygiène publique à Québec au XIXe siècle : la troisième campagne de fouilles archéologiques à l'îlot Hunt (1993) / Troisième campagne de fouilles archéologiques à l'îlot HuntGoyette, Manon 25 April 2018 (has links)
En 1993, l'école de fouille de l'Université Laval fouillait pour une troisième année consécutive le site de l'îlot Hunt dans la Basse-ville de Québec. Cette fois, elle mettait au jour les vestiges d'une arrière-cour gui fut intensément occupée de 1824 à 1960. Cette occupation se manifeste principalement par une succession de remblais de déchets et de structures sanitaires qui témoignent des habitudes d'hygiène des occupants du site au fil de son histoire. Par une approche écosystémique, l'analyse de ces vestiges a permis de constater que ceux-ci témoignaient d'une adaptation de l'être humain face à l'urbanisation rapide de la ville au XIXe siècle, et face aux problèmes d'insalubrité et d'épidémies dévastatrices qui en découlèrent. Par le fait même, cette étude a permis de constater toute 1'importance du rôle des arrière-cours dans l'écosystème de la ville à cette période. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les débuts de la sédentarisation et de l'agriculture dans le monde égéen (25 000-5 800 av. J.-C.)Chabot, Jacques 11 April 2018 (has links)
Analyse des divers renseignements fournis par les sites archéologiques égéens du Paléolithique Récent, du Mésolithique, du Néolithique précéramique et du Néolithique Ancien afin de découvrir si le passage de l'état de nomades-chasseurs-cueilleurs des populations qui occupaient alors le monde égéen à celui de sédentaires-agriculteurs-éleveurs est perceptible d'une période à l'autre. Après une introduction dans laquelle le problème est posé, chaque chapitre (4) décrit une période chronologique en suivant la même grille d'analyse: présentation, sites et habitats, culture matérielle, mode de vie. Chaque chapitre se clôt par une conclusion qui montre à quelle étape les populations de chaque époque en étaient rendues dans leur marche vers la sédentarisation et la domestication des plantes et des animaux. Ces conclusions par chapitre sont reprises et comparées entre elles dans la conclusion générale du mémoire qui, elle, essaie de démontrer si le passage du nomadisme à la sédentarité dans le monde égéen peut être décelé dans les périodes qui précèdent sa présence assurée au Néolithique Ancien. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'analyse spatiale des restes fauniques d'un site d'habitation des Inuits du Cuivre, au XIXe siècle, sur l'île Banks (T.N.O.), CanadaLévesque, Roxane 09 January 2020 (has links)
Ce mémoire examine les modèles de distribution de nourriture et d’échange réciproque des Inuits du Cuivre à travers l’analyse spatiale de restes fauniques, principalement des sections de bœufs musqués (Ovibos moschatus). La collection ostéologique du site de Kuptana (PjRa-18), excavée au début des années 1980 par Clifford Hickey, a été utilisé afin d’identifier des preuves des pratiques de partage. En raison de sa diversité taxonomique limitée et du degré de préservation des ossements, le site de Kuptana a été jugé comme un contexte parfait pour identifier les modèles de partage de nourriture grâce aux techniques de remontage des os et de l’analyse spatiale. L’analyse faunique a permis d’identifier les étapes de dépeçage, de mise en cache et de consommation sur le site tout en établissant des liens entre ces étapes grâce au remontage des ossements, au réassemblage des articulations, à l’identification de paires d’éléments et finalement à la cartographie de leur distribution sur le site. Ces éléments ont fourni un moyen de documenter les chemins que peuvent prendre les carcasses sur un site résidentiel et d’interpréter la mobilisation des ressources alimentaires dans une communauté de chasseurs-cueilleurs. Cette analyse présente une étude empirique détaillant la manière dont les sections de carcasses de bœufs musqués étaient partagées entre les membres d’un campement d’été inuit du XIXe siècle. Cette étude a permis de donner des preuves d’un échange de nourriture structuré entre les unités familiales composants le groupe résidentiel ainsi que d’évaluer l’égalitarisme des relations sociales dans une société de bandes. Finalement, elle permet l’évaluation d’une méthodologie capable de réaliser ce type de recherche en zooarchéologie. / This study examines Copper Inuit food distribution and reciprocal exchange practices through a spatial analysis of archaeological faunal remains, namely musk ox (Ovibos moschatus) osteological remains. A faunal collection from the Kuptana site (PjRa-18), excavated in 1981-82 by Clifford Hickey, Banks Island (N.W.T.), Canada, was used to provide evidence of food sharing practices. Because of it’s preservation and limited taxonomic diversity, the Kuptana site was deemed to be an ideal context for the application of bone refitting and spatial analysis techniques used to reveal food sharing patterns. The faunal analysis identifies butchering, storage and consumption areas on the site and established links between them by refitting comminuted bone, by rejoining articulated bones and through the identification of matched pairs of elements and by mapping their spatial distribution. These elements provide a means of documenting the complex paths carcasses may take at a residential site and of interpreting the mobilisation of food resources in a foraging community. The analysis provides an empirical case study detailing how parts of musk ox carcasses were shared amongst members of a 19th century Inuit summer camp. The study provides evidence of structured food exchange between family units comprising the residential group, and characterises egalitarian social relationships in a band society. Finally, it contributes an evaluation of methods available to zooarchaeologist for pursuing these goals.
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Les tumulus gallo-romains dans la cité des Tongres: structures architecturales, rites, matériel funéraire / Gallo-Roman barrows in the Civitas TungrorumMassart, Claire M.-A.G. 30 April 2010 (has links)
Les sépultures sous tumulus, dont l’origine remonte à l’aube de la Protohistoire dans toute l’Europe, connaissent une nouvelle mode dans les provinces septentrionales de l’Empire, aux trois premiers siècles de notre ère. Un aperçu de ces monuments aux époques protohistoriques et un état de la question concernant le paysage funéraire dans les premières décennies qui ont suivi la conquête sont essentiels pour comprendre la filiation de ce type de signalisation traditionnelle, en terre, à une époque où l’architecture en pierre connaît un essor sans précédent.<p>Les tumulus de la cité des Tongres s’inscrivent dans des faciès sociaux et régionaux correspondant à des situations économiques et politiques qui ont évolué de manière très différente. Leur densité en Hesbaye contraste avec une présence beaucoup plus disséminée en Condroz et dans le nord de l’Ardenne. <p>Le groupe hesbignon occupe la région fertile du centre de la cité, où se situe le caput civitatis. Les grands tumulus y apparaissent à la fin de l’époque flavienne. Leurs caveaux en bois et leurs opulents mobiliers à service du banquet sont d’emblée très uniformisés, révélant des funérailles ostentatoires qui se sont déroulées selon des conventions et des codes communs, puisés dans les symboles de l’idéal aristocratique celtique. Les structures rituelles et le matériel liturgique, préservés sous plusieurs tertres, renvoient à certaines pratiques religieuses propres au monde celto-germanique, en même temps qu’à des actes sacrificiels empruntés au culte romain.<p>Dans les régions situées au sud du sillon sambro-mosan, les tertres sont de taille souvent plus modeste. Ils ont généralement abrité des dépositions simples, tandis qu’une autre catégorie de tombes, à monument en pierre, recèle des mobiliers en coffre comparables aux dépôts hesbignons. <p>L’étude des tumulus tongres a permis d’appréhender, par de multiples aspects, l’autoreprésentation de la classe dirigeante de la cité, son niveau d’acculturation et ses conservatismes, l’idéologie que ces notables ont instaurée au sein de la nouvelle structure politique, contribuant à affirmer des valeurs sociales construites dans la mixité des traditions, des nouveaux devoirs civiques et des influences culturelles méditerranéennes. L’étude du matériel a mis en évidence les panoplies funéraires, leur signification et leurs particularismes régionaux. Elle a, par ailleurs, apporté de nombreuses informations dans des domaines aussi variés que ceux des réseaux commerciaux, de la composition des services et de l’évolution du vaisselier gallo-romain.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les sarcophages du haut Moyen Âge en Gaule du Nord: production, diffusion, typo-chronologie et interprétationsFinoulst, Laure-Anne 09 May 2012 (has links)
Outre le recensement d’environ 1400 sarcophages, monolithes et bipartites, en Gaule du Nord, l’intérêt de cette recherche réside dans la démonstration des apports pétrographiques, technologiques, économiques et culturels de ces sépultures. Afin de travailler sur un groupe cohérent, seuls les sarcophages de production lorraine, avec une diffusion septentrionale le long de la Meuse, de la Moselle et du Rhin, ont été retenus.<p><p>\ / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'alabastre attique: origine, forme et usages / Attic alabastron: origin, shape and uses.Algrain, Isabelle 22 January 2011 (has links)
L’alabastre attique est une forme de vase à parfum en céramique produite à Athènes entre le milieu du VIe s. av. J.-C. et le début du IVe s. av. J.-C. L’objet de cette thèse est de présenter une étude globale, inexistante à ce jour, sur l’alabastre attique. En plus d’un examen typologique de la forme, généralement mené dans le cadre de ce type de recherche, nous avons voulu proposer une lecture économique, culturelle et sociale de l’alabastre.<p><p>La première partie de cette thèse est consacrée à l’identification de l’origine de l’alabastre et à sa diffusion en Méditerranée orientale. L’alabastre est originaire d'Égypte, où les premiers exemplaires en albâtre se développent à partir du VIIIe s. av. J.-C. Après avoir tracé son évolution morphologique, la thèse met en évidence les diverses régions de la Méditerranée orientale telles que le Levant, la Mésopotamie ou la Perse, où la forme est exportée et copiée, le plus souvent par des ateliers qui produisent des vases en pierre. Cette première partie met également l’accent sur le statut particulier de l’alabastre en pierre en Orient et en Égypte, où il restera longtemps associé au pouvoir royal ou aristocratique. Elle traite enfin de l’apparition de l’alabastre et de son statut dans le monde grec oriental. Ces importations déclenchent une réaction presque immédiate chez les artisans de ces régions qui produisent des alabastres en argent, en verre, en faïence, en ivoire, en bois et en céramique.<p><p>La seconde partie de cette étude aborde la production de l’alabastre attique en céramique qui s’étend du VIe s. av. J.-C. au début du IVe s. av. J.-C. Un premier chapitre est consacré à l’étude de son introduction dans le répertoire formel au milieu du VIe s. av. J.-C. par l’atelier d’Amasis et aux inspirations probables de cet artisan. Cette section s’est également penchée sur le difficile problème des phases de la production et de l’organisation interne des différents ateliers. Pour ce faire, nous avons élaboré une méthode d’analyse basée à la fois sur l’examen minutieux du travail du potier grâce aux variations dans les profils des vases et sur les données obtenues par les études ethno-archéologiques pour tenter de différencier les alabastres produits au sein d’ateliers différents et d’identifier, quand cela s’avérait possible, différents potiers au sein d’un même atelier. Cette étude formelle a distingué trois phases différentes de production qui présentent des caractéristiques typologiques distinctes. L’examen de l’organisation interne des ateliers a également mis en évidence les caractéristiques morphologiques des vases et a identifié les potiers les plus importants. L’examen attentif des pièces céramiques a permis de regrouper au sein d’un même atelier des artisans dont les liens étaient jusqu’alors insoupçonnés. Enfin, la deuxième partie se clôture par une analyse de la carte de distribution des alabastres attiques<p><p>La troisième partie de ce travail porte sur la fonction et les différents usages de l’alabastre sur base des sources littéraires, épigraphiques, iconographiques et archéologiques. Cette section se penche plus particulièrement sur l’identification des utilisateurs privilégiés des alabastres. En effet, de nombreuses études lient, de manière presque systématique, l’alabastre au monde féminin. Ce propos mérite d’être nuancé car, si le vase apparaît à maintes reprises dans des contextes féminins tels que ceux de la toilette et de la parure, il ne constitue pas exclusivement un symbole du monde des femmes. Cette troisième partie met en évidence le fait que l’alabastre est également utilisé dans un grand nombre d’autres contextes, notamment rituels, et représente souvent un symbole de luxe et de raffinement à l’orientale. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier / Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret ILorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais.<p>Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain.<p><p>La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon.<p>La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres.<p>La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi.<p><p>Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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