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La gestion de la face et de la figuration lors d'interactions interculturelles au sein d'une organisation à but non lucratif

Ginoux, Laura 12 1900 (has links)
Dans une société où nous souhaitons désormais donner du sens à notre travail, remplir une mission, les organisations à but non lucratif (OBNL) constituent de plus en plus un milieu professionnel attrayant. Cet intérêt s’est également répandu au sein de la communauté scientifique qui cherche à comprendre la particularité de ce contexte organisationnel. Certain.e.s chercheur.e.s remarquent que les conflits sont mal perçus dans ce type d’organisations qui prône la collaboration, tandis que d’autres soulignent l’omniprésence de conflits dans toutes organisations. Les concepts de face et de figuration sont souvent utilisés pour analyser le conflit organisationnel. Cependant, peu de recherches, voire aucune, adoptent ce cadre théorique pour étudier le conflit dans des OBNL. La face et la figuration étant co-construites durant l’interaction, ce mémoire s’intéresse ainsi particulièrement à ce contexte analytique « méso ». Au sein de celui-ci, il est d’ailleurs primordial de prendre en compte la dimension interculturelle qui est intrinsèque à tout milieu organisationnel, notamment à Montréal. À partir d’une étude qualitative réalisée au sein d’une organisation à but non lucratif montréalaise, ce mémoire cherche à comprendre, au moyen d’observations de réunions d’équipe et d’entrevues, la manière dont les membres d’une OBNL gèrent leur face et leur figuration lors d’interactions interculturelles. Grâce à une analyse des actes de langage, les résultats de cette recherche révèlent que les tensions sont effectivement perçues comme inappropriées, mais que les participant.e.s utilisent des stratégies de figuration pour les diminuer ou les cacher et orienter leur figuration vers des objectifs transcendants. / In a society where many workers seek to engage in meaningful, mission-centered work, non-profit organizations (NPOs) are an increasingly attractive workplace. NPOs’ focus on employee engagement, participation and collaborative practices has sometimes meant that scholars have neglected the unique challenges of managing conflicts in this organizational context. Some researchers state that conflict is viewed as inappropriate for NPOs, whereas others argue that conflict is ubiquitous in all types of organizations. Although, the concepts of face and facework are often used to examine organizational and intercultural conflicts, few if any empirical studies have analyzed conflict in NPOs using this theoretical framework. As face and facework are co-constructed in and through interaction, this thesis focuses specifically on this “meso” analytic level, while also taking into account the intercultural dimensions of interactions. Based on observations of team meetings and interviews with team members of a culturally-diverse NPO in Montreal, this thesis aims to understand how members of the organization managed their face and facework during intercultural interactions. Relying on an analysis of speech acts, the results revealed that tensions are indeed viewed as inappropriate, but that participants used facework strategies that avoided or minimized them and oriented their facework to transcendent objectives.
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Une approche sémantique et dialogique de l'innovation "en train de se faire", entre co-construction de sens et activisme de la signification : une application au marché des nanotechnologies / A semantic and dialogical approach to « in the making » innovation, between co-construction of sense and meaning activism : an application to the nanotechnologies market

Bellion, Amélie 17 November 2014 (has links)
L’objet de notre thèse est de situer l’analyse de l’innovation au niveau précis de la signification. Le point d’ancrage de l’étude d’une innovation est déplacé d’un point de vue purement technique à une approche représentationnelle et dialogique de l’innovation. Il s’agit de proposer une approche interprétative de l’innovation en procédant à l’analyse des imaginaires et représentations de trois catégories d’acteurs (offre, consommateurs et résistants) participant à la construction de sens d’un marché innovant « en train de se faire » : les nanotechnologies. En envisageant l’innovation comme un signifiant aux signifiés variables selon les acteurs – i.e un praxème -, nous tentons à la fois de renverser les schémas traditionnels en marketing de l’innovation - qui proposent une lecture déterministe, mécaniste et linéaire du rapport entre offre et marché -, et d’instaurer une lecture dialogique entre les acteurs de l’offre, les consommateurs et les résistants à l’innovation. Par une approche qualitative, nous étudions les modalités discursives et rhétoriques que s’opposent les acteurs de « l’arène sémantique » que constitue l’innovation. Ces modalités s’inscrivent tantôt dans une co-construction de sens et de marché, tantôt dans une déconstruction-reconstruction de sens et de marché. Ce travail vise d’une part à valoriser l’importance du sens, des jeux rhétoriques et symboliques en contexte innovant et, d’autre part, à montrer en quoi la signification d’une innovation n’est pas prédéfinie unilatéralement par l’offre, mais procède davantage d’un affrontement sémantique entre acteurs engagés dans un rapport dialogique. / The purpose of our research is to situate the analysis of the innovation at the precise level of meaning. The basis for this innovation research is a move away from a purely technical perspective to a representational and dialogical approach.To achieve this aim, we propose an interpretive approach of innovation by analysing imaginaries and representations of three categories of actors (offer, consumers and opponents) who participate in the construction of meaning in an innovative « in the making » market : nanotechnologies. By considering innovation as a term with multiple meanings according to the different actors – i.e. a praxeme -, we attempt to overthrow traditional schemes in marketing of innovation which propose a deterministic, mechanistic and linear reading of the relation between the offer and the market -, and to encourage a dialogical reading between the offer, the consumers and the innovation resistants. By a qualitative approach, we study the discursive and rhetoric modes that are opposed by the actors of the « semantic arena » that constitutes the innovation. These modes, on the one hand, fit into a co-construction of meaning and a co-construction of the market. On the other hand, they fit into a deconstruction-reconstruction of sense and of the market. This work aims, on the one hand, to highlight the importance of meaning, of the rhetoric and symbolic games in the innovative context, and, on the other hand, to show that the meaning of an innovation is not predetermined unilaterally by the offer, but results more from a semantic confrontation between actors involved in a dialogical relation
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Cinq ans après : trajectoire de consommation et processus de changement dans un échantillon présentant une comorbidité psychiatrique

Acier, Didier January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Recherche qualitative des enjeux de la mise en lumière urbaine : création d’un modèle opératoire pour la conception des projets d’éclairage

Bertin, Sylvain 08 1900 (has links)
Cette étude traite de la complexité des enjeux de la mise en lumière urbaine et de sa conception. Le but est de déceler les mécanismes opératoires du projet d’éclairage afin de générer une analyse et une compréhension de ce type d’aménagement. Cette recherche met à jour les enjeux lumineux à différents niveaux comme l’urbanisme, l’environnement, la culture, la communication, la vision et la perception mais aussi au niveau des acteurs et de leurs pratiques sur le terrain. En utilisant une approche qualitative déductive, cette recherche théorique cherche à mieux comprendre les différentes significations du phénomène lumineux : comment dans la réalité terrain ces enjeux de la lumière sont compris, interprétés et traduits au travers de la réalisation des projets et des processus mis en place pour répondre aux besoins d’éclairage ? La pertinence de cette recherche est de questionner les enjeux complexes de la mise en lumière afin de savoir comment concevoir un « bon éclairage ». Comment se déroule un projet d’éclairage de sa conception à sa réalisation ? Quels sont les différents acteurs, leurs modes d’intervention et leurs perceptions du projet d’éclairage ? Le but est de vérifier comment ces enjeux se concrétisent sur le terrain, notamment au travers de l’activité et de l’interprétation des professionnels. Nous souhaitons créer un modèle opératoire qui rende compte des enjeux et du processus de ce type de projet. Modèle qui servira alors de repère pour la compréhension des mécanismes à l’œuvre comme le contexte, les acteurs, les moyens et les finalités des projets. Une étude des recherches théoriques nous permettra de comprendre la polysémie du phénomène lumineux afin d’en déceler la complexité des enjeux et de créer une première interprétation de ce type de projet. Nous déterminerons théoriquement ce que recouvre la notion de « bon éclairage » qui nous permettra de créer une grille analytique pour comparer notre approche avec la réalité sur le terrain. Ces recherches seront ensuite confrontées au recueil des données des études de cas, des stages en urbanisme et en conception lumière, et des interviews de professionnels dans le domaine. Nous confronterons les enjeux définis théoriquement aux collectes de données issues du terrain. Ces données seront collectées à partir de projets réalisés avec les professionnels durant la recherche immersive. La recherche-action nous permettra de collaborer avec les professionnels pour comprendre comment ils sélectionnent, déterminent et répondent aux enjeux des projets d’éclairage. Nous verrons grâce aux entretiens semi-dirigés comment les acteurs perçoivent leurs propres activités et nous interprèterons les données à l’aide de la « théorisation ancrée » pour dégager le sens de leurs discours. Nous analyserons alors les résultats de ces données de manière interprétative afin de déterminer les points convergeant et divergent entre les enjeux théoriques définis en amont et les enjeux définis en aval par la recherche-terrain. Cette comparaison nous permettra de créer une interprétation des enjeux de la mise en lumière urbaine dans toutes leurs complexités, à la fois du point de vue théorique et pratique. Cette recherche qualitative et complexe s’appuie sur une combinaison entre une étude phénoménologique et les méthodologies proposées par la « théorisation ancrée ». Nous procéderons à une combinaison de données issues de la pratique terrain et de la perception de cette pratique par les acteurs de l’éclairage. La recherche d’un « bon éclairage » envisage donc par une nouvelle compréhension l’amélioration des outils de réflexion et des actions des professionnels. En termes de résultat nous souhaitons créer un modèle opératoire de la mise en lumière qui définirait quels sont les différents éléments constitutifs de ces projets, leurs rôles et les relations qu’ils entretiennent entre eux. Modèle qui mettra en relief les éléments qui déterminent la qualité du projet d’éclairage et qui permettra de fournir un outil de compréhension. La contribution de ce travail de recherche est alors de fournir par cette nouvelle compréhension un repère méthodologique et analytique aux professionnels de l’éclairage mais aussi de faire émerger l’importance du phénomène de mise en lumière en suscitant de nouveaux questionnements auprès des activités liées au design industriel, à l’architecture et à l’urbanisme. / This study examines urban lighting, its conception and complexity. The study explores the operational mechanisms of lighting design projects, through an analysis and understanding of this type of project. Issues of urban lighting are studied to understand how these are perceived from different perspectives, including urban design, the environment, culture, visual communication, as well as the perception of various actors and their practices. This empirical research uses a qualitative research approach to understand the different meanings of light as a phenomenon and how these meanings are used within the creation of real projects. The fundamental question asked is what constitutes an appropriate lighting approach for urban lighting design in the context of an urban milieu? How does a project evolve from conception to final realisation? Who are the different actors and what are their perceptions of a lighting design project? The study investigates how professionals create lighting projects and how these get realised, through a complex understanding of multiple factors. The literature review explores different theories and meanings of light as a phenomena and how these become a catalyst to creating interpretations when designing in the urban milieu. The research proceeds with case studies and work experiences that demonstrate the complexities inherent in conceiving lighting projects. A complex research approach was used that integrates phenomenological and “Grounded theory” methods with case study analysis. This qualitative approach allows for an understanding of both the complexity in this type of projects and a perspective from the various players. Data is collected to combine practices from the field with the perception of this practice by the actors in lighting design. First, case studies both from urban sites and from lighting sites were used to situate the theoretical ideas explored. Second, the methodology included case study data collection and interviews with professionals who work on urban lighting projects. This data is collected using action research and semi-directed interviews to collect data about how the actors perceive their own activities. The analysis includes both interpretive and grounded theory methods. The data is analysed incorporating an interpretative approach, to determine the convergent and the divergent points between the theorical issues defined before and the issues defined after by the research on the field. This comparison will permit us to create an interpretation of the complexity of the issues of the urban lighting design, both from a theorical and a practical point of view. The results show how the complexity of lighting as a phenomenon demands complex tools for the conception and realisation of lighting projects. The emergent phenomenon from the analysis help to create a proposed model that shows these different complexities as an integrated system. This system could be used as a guide to understand the mechanisms which work from the point of the context, the actors, the means and the issues of the projects. The final theoretical model proposed suggests a way to understand this complexity of the urban lighting design project, what different elements constitute these projects, their roles and their inter-relationships. This model helps to form a basis for what determines the quality of a lighting design project and could be used as a tool for lighting professionals. This study contributes to providing a methodological and analytical guideline and reveals the importance of the lighting design phenomenon by questioning these activities linked to the industrial design, architecture and urbanism. Finally, we return back to the idea of what constitutes “good lighting” through an analysis comparing the theory to what actually occurs in the field.
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Recherche qualitative des enjeux de la mise en lumière urbaine : création d’un modèle opératoire pour la conception des projets d’éclairage

Bertin, Sylvain 08 1900 (has links)
Cette étude traite de la complexité des enjeux de la mise en lumière urbaine et de sa conception. Le but est de déceler les mécanismes opératoires du projet d’éclairage afin de générer une analyse et une compréhension de ce type d’aménagement. Cette recherche met à jour les enjeux lumineux à différents niveaux comme l’urbanisme, l’environnement, la culture, la communication, la vision et la perception mais aussi au niveau des acteurs et de leurs pratiques sur le terrain. En utilisant une approche qualitative déductive, cette recherche théorique cherche à mieux comprendre les différentes significations du phénomène lumineux : comment dans la réalité terrain ces enjeux de la lumière sont compris, interprétés et traduits au travers de la réalisation des projets et des processus mis en place pour répondre aux besoins d’éclairage ? La pertinence de cette recherche est de questionner les enjeux complexes de la mise en lumière afin de savoir comment concevoir un « bon éclairage ». Comment se déroule un projet d’éclairage de sa conception à sa réalisation ? Quels sont les différents acteurs, leurs modes d’intervention et leurs perceptions du projet d’éclairage ? Le but est de vérifier comment ces enjeux se concrétisent sur le terrain, notamment au travers de l’activité et de l’interprétation des professionnels. Nous souhaitons créer un modèle opératoire qui rende compte des enjeux et du processus de ce type de projet. Modèle qui servira alors de repère pour la compréhension des mécanismes à l’œuvre comme le contexte, les acteurs, les moyens et les finalités des projets. Une étude des recherches théoriques nous permettra de comprendre la polysémie du phénomène lumineux afin d’en déceler la complexité des enjeux et de créer une première interprétation de ce type de projet. Nous déterminerons théoriquement ce que recouvre la notion de « bon éclairage » qui nous permettra de créer une grille analytique pour comparer notre approche avec la réalité sur le terrain. Ces recherches seront ensuite confrontées au recueil des données des études de cas, des stages en urbanisme et en conception lumière, et des interviews de professionnels dans le domaine. Nous confronterons les enjeux définis théoriquement aux collectes de données issues du terrain. Ces données seront collectées à partir de projets réalisés avec les professionnels durant la recherche immersive. La recherche-action nous permettra de collaborer avec les professionnels pour comprendre comment ils sélectionnent, déterminent et répondent aux enjeux des projets d’éclairage. Nous verrons grâce aux entretiens semi-dirigés comment les acteurs perçoivent leurs propres activités et nous interprèterons les données à l’aide de la « théorisation ancrée » pour dégager le sens de leurs discours. Nous analyserons alors les résultats de ces données de manière interprétative afin de déterminer les points convergeant et divergent entre les enjeux théoriques définis en amont et les enjeux définis en aval par la recherche-terrain. Cette comparaison nous permettra de créer une interprétation des enjeux de la mise en lumière urbaine dans toutes leurs complexités, à la fois du point de vue théorique et pratique. Cette recherche qualitative et complexe s’appuie sur une combinaison entre une étude phénoménologique et les méthodologies proposées par la « théorisation ancrée ». Nous procéderons à une combinaison de données issues de la pratique terrain et de la perception de cette pratique par les acteurs de l’éclairage. La recherche d’un « bon éclairage » envisage donc par une nouvelle compréhension l’amélioration des outils de réflexion et des actions des professionnels. En termes de résultat nous souhaitons créer un modèle opératoire de la mise en lumière qui définirait quels sont les différents éléments constitutifs de ces projets, leurs rôles et les relations qu’ils entretiennent entre eux. Modèle qui mettra en relief les éléments qui déterminent la qualité du projet d’éclairage et qui permettra de fournir un outil de compréhension. La contribution de ce travail de recherche est alors de fournir par cette nouvelle compréhension un repère méthodologique et analytique aux professionnels de l’éclairage mais aussi de faire émerger l’importance du phénomène de mise en lumière en suscitant de nouveaux questionnements auprès des activités liées au design industriel, à l’architecture et à l’urbanisme. / This study examines urban lighting, its conception and complexity. The study explores the operational mechanisms of lighting design projects, through an analysis and understanding of this type of project. Issues of urban lighting are studied to understand how these are perceived from different perspectives, including urban design, the environment, culture, visual communication, as well as the perception of various actors and their practices. This empirical research uses a qualitative research approach to understand the different meanings of light as a phenomenon and how these meanings are used within the creation of real projects. The fundamental question asked is what constitutes an appropriate lighting approach for urban lighting design in the context of an urban milieu? How does a project evolve from conception to final realisation? Who are the different actors and what are their perceptions of a lighting design project? The study investigates how professionals create lighting projects and how these get realised, through a complex understanding of multiple factors. The literature review explores different theories and meanings of light as a phenomena and how these become a catalyst to creating interpretations when designing in the urban milieu. The research proceeds with case studies and work experiences that demonstrate the complexities inherent in conceiving lighting projects. A complex research approach was used that integrates phenomenological and “Grounded theory” methods with case study analysis. This qualitative approach allows for an understanding of both the complexity in this type of projects and a perspective from the various players. Data is collected to combine practices from the field with the perception of this practice by the actors in lighting design. First, case studies both from urban sites and from lighting sites were used to situate the theoretical ideas explored. Second, the methodology included case study data collection and interviews with professionals who work on urban lighting projects. This data is collected using action research and semi-directed interviews to collect data about how the actors perceive their own activities. The analysis includes both interpretive and grounded theory methods. The data is analysed incorporating an interpretative approach, to determine the convergent and the divergent points between the theorical issues defined before and the issues defined after by the research on the field. This comparison will permit us to create an interpretation of the complexity of the issues of the urban lighting design, both from a theorical and a practical point of view. The results show how the complexity of lighting as a phenomenon demands complex tools for the conception and realisation of lighting projects. The emergent phenomenon from the analysis help to create a proposed model that shows these different complexities as an integrated system. This system could be used as a guide to understand the mechanisms which work from the point of the context, the actors, the means and the issues of the projects. The final theoretical model proposed suggests a way to understand this complexity of the urban lighting design project, what different elements constitute these projects, their roles and their inter-relationships. This model helps to form a basis for what determines the quality of a lighting design project and could be used as a tool for lighting professionals. This study contributes to providing a methodological and analytical guideline and reveals the importance of the lighting design phenomenon by questioning these activities linked to the industrial design, architecture and urbanism. Finally, we return back to the idea of what constitutes “good lighting” through an analysis comparing the theory to what actually occurs in the field.
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Cinq ans après : trajectoire de consommation et processus de changement dans un échantillon présentant une comorbidité psychiatrique

Acier, Didier January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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