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Lei e liberdade na ADPF 130: uma leitura da decisão a partir de Hannah ArendtMASCARENHAS, Diego Fonseca 27 June 2013 (has links)
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Previous issue date: 2013 / Esta dissertação pretende analisar criticamente o julgado da ADPF 130, a luz do pensamento político de Hannah Arendt, em razão de conduzir o debate do significado da imprensa idônea para a promoção da liberdade de expressão quando torna efetivo o princípio da publicidade na esfera pública. O pensamento da autora contribui para avaliar criticamente a racionalidade do Poder judiciário brasileiro na decisão da ADPF 130 pelo fato deste conceber de modo questionável a imprensa ter o papel democrático de ser formadora de opinião pública e de compreender que qualquer lei para regulamentar a atividade midiática implica automaticamente em cair no risco da censura prévia. No capítulo I, o trabalho sumariza as argumentações propostas na ADPF para indicar que a maioria dos votos dos ministros se situa a partir das concepções gerais do liberalismo e as suas consequências para atuação da imprensa na democracia brasileira. Em seguida, na primeira parte do capítulo II serão apresentadas as principais características do pensamento político de Arendt contempladas nas obras A condição humana e Origens do totalitarismo, em uma perspectiva de situá-las na tradição política do pensamento político ocidental, expondo, de forma geral, os contornos de seu sistema político, como: distinção entre domínio público e domínio privado, vita activa e doxa e função da lei. Assim, passa-se a analisar, em momento posterior no capítulo II as manifestações do pensamento arendtiano em torno da liberdade de expressão e a repercussão do seu significado na imprensa idônea. O capítulo III posiciona o pensamento arendtiano na tradição política do mundo ocidental. Nele, Arendt aponta quando a liberdade política que se manifesta entre o eu-posso e eu-quero se dissocia, o qual ocasiona obstáculos para a aparição da doxa no agir em concerto entre os homens. Assim, equivocadamente a política passa a ser vista apenas como um velho truísmo de assegurar a liberdade. Compreendemos que, neste contexto, a imprensa é concebida pela maioria dos votos dos ministros com o papel de ser formadora de opinião pública pelo fato de considerarem implicitamente que vivemos numa democracia onde os homens não participam efetivamente na vida pública. / This thesis aims to analyze critically the judged case of ADPF 130 over the light of Hannah Arendt’s political thought, for this thesis leads the discussion of the meaning of reputable press in the promotion of freedom of expression, as it can make effective the principle of publicity in the public sphere. Arendt’s thought contributes to critically evaluate the rationality of the Brazilian Judiciary in the decision of ADPF 130 because Judiciary claims doubtfully that the press has a forming public opinion democratic role and that any law to regulate media activity implies an immediate falling into the risk of censorship. Chapter 1 summarizes the arguments proposed in the ADPF, in order to show that the votes of ministers are mostly based on general conceptions of liberalism and its consequences in the performance of the press in brazilian democracy. Then, the beginning of chapter 2 outlines the main characteristics of Arendt’s political thought in The Human Condition and in Origins of Totalitarianism. These descriptions were presented to place these works in the political tradition of western political thought, exposing the general contours of its political system, characterized by vita activa and doxa, by the function of the law and by the distinction between public and private domain. In its final part, chapter two analyzes the expressions of Arendt`s thought about the free speech and the meanings of ideal press in this situation. The aim is to test her political thought in practical elements, verifying its applicability in face of the concrete reality of the decision that revoked the press law. Chapter III puts Arendt's thought in the political tradition of the Western world. Arendt highlights when political freedom, manifested between the capacity and the will, dissociates, producing obstacles to the emergence of doxa in the acting in concert, among men. Thus, mistakenly, politics becomes, apparently, nothing more than an old truism to ensure freedom. In this context, it is understood that the press is conceived by the majority of the votes of the ministers, with the role of forming public opinion because, implicitly, they consider us living in a democracy where men do not participate effectively of public life.
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L'art dit le monde et ses possibles : une expérience dialogique entre peinture actuelle et philosophie politiqueBédard, Pascale January 2008 (has links) (PDF)
Comment la jeune peinture du Québec actuel exerce-t-elle une fonction réflexive à l'égard de la société? Le projet de ce mémoire consiste à répondre à cette question, par le biais d'une analyse des contenus formels et thématiques
d'oeuvres picturales. Devant les insuffisances méthodologiques de la sociologie de l'art contemporaine, une méthode originale d'approche des oeuvres a été conçue. Ainsi, la première partie du mémoire se consacre, en premier lieu, à brosser l'historique de la discipline afin d'en cerner les orientations et les débats actuels. En second lieu, l'armature de la recherche est exposée en détail, suivie d'une description du corpus d'oeuvres étudiées. La deuxième partie du mémoire présente une exploration théorique de la question des rapports entre l'art et le politique, dans les oeuvres de Hannah Arendt et de Michel Foucault. C'est à partir des acquis de ces études croisées, permettant de dégager des modalités de la fonction réflexive de l'art à l'égard de la société, que les oeuvres ont été analysées. Réunissant plus de cent oeuvres d'une soixantaine de peintres québécois nés après 1967, le corpus présente un panorama substantiel de cette production artistique particulière. Les résultats de la recherche sont multiples. D'abord, étant donné que la jeune peinture québécoise demeure à ce jour très peu documentée, on peut considérer que la constitution du corpus d'oeuvres de même que sa description sociographique et sa contextualisation sociologique participent à l'accroissement des connaissances sur l'art contemporain québécois. Ensuite, la méthodologie développée et testée dans ce mémoire s'avère fertile: des tendances ont été dégagées dans les manières dont les oeuvres picturales questionnent la société. Finalement, les deux études théoriques, sur Arendt et Foucault, font le point sur la question de l'art chez chacun des auteurs et induisent un dialogue original. La conceptualisation de la fonction réflexive de l'art à l'égard de la société, issue de cette étude, demeure un acquis important de la recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Peinture, Québec, Art contemporain, Arendt, Foucault, Sociologie de l’art.
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Au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur le social, le biopouvoir et la gouvernementalitéSt-Pierre, Émilie January 2008 (has links) (PDF)
Le présent mémoire effectue une lecture critique du libéralisme au croisement des pensées de Hannah Arendt et de Michel Foucault sur les concepts de l'avènement du social, du biopouvoir et de la gouvernementalité. En misant sur la complémentarité des analyses arendtienne et foucaldienne, cet essai cherche à démontrer que le libéralisme est à l'origine du recul de la politique qui caractérise nos sociétés occidentales modernes. Ce mémoire traite de la valorisation moderne de la vie pensée comme une forme d'instrumentalisation de l'être humain pour le développement économique; il traite de l'importance accordée à la sécurité comme étant la manifestation d'une logique de «défense de la société» qui vise le déploiement du libéralisme, la société étant le corrélat du libéralisme. En lien avec ces sujets, il traite de la politique moderne pensée selon le registre de l'administration; il s'intéresse à la vision arendtienne et foucaldienne qui présente le libéralisme comme une domination de l'économie sur la politique. En posant le primat de l'agir politique comme a priori tel que le conçoit Hannah Arendt, cet essai conclut que le libéralisme est impolitique parce qu'il renforce l'autorégulation et le contrôle des individus dans une logique de domination économique qui mine l'agir politique el la liberté politique. Par l'individualisme, l'autonomie el l'autorégulation qu'il demande pour fonctionner, il engendre un repli sur soi et favorise la perte d'un monde commun, rapprochant nos sociétés des sociétés de masse amorphes et apolitiques décriées par Arendt parce qu'elles préparent le sol au totalitarisme. Le présent mémoire est un essai en théorie politique qui jongle aux abords des conceptions du pouvoir, de la politique, de l'économie et du social telles que pensées par Hannah Arendt et Michel Foucault. Il s'inscrit à l'intérieur des limites «spatiales» et «temporelles» de la pensée politique occidentale et de la modernité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Avènement du social, Biopouvoir, Gouvernementalilé, Libéralisme, Impolitique.
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L'amitié comme lieu du politique : une critique de l'immanentisme occidentalBernier, Émilie January 2006 (has links) (PDF)
Il s'agit de repenser le politique à partir de la thématique de l'amitié. Pour ce faire, nous formulons d'abord une critique de ses conceptions dominantes dans la tradition philosophique et en tirons ensuite les conséquences sur les principaux paradigmes d'analyse et d'organisation politique. Puisque la compréhension que nous avons du rapport à autrui n'est jamais étrangère au mode de régulation sociale qui s'institue, il appert que le traitement philosophique de l'amitié renseigne de façon privilégiée sur le sens donné historiquement à la vie publique. Si, aux origines de la pensée occidental nous observons une dévalorisation des affections mondaines au profit d'une recherche des conditions de l'amour d'un être absolu, nous y voyons l'origine des principales apories dans lesquelles se meuvent les modes contemporains d'institutionnalisation politique -tel est le sens d'une critique de l'immanentisme. Cette optique met en lumière l'impératif de redéfinir l'articulation et la place de l'affect dans l'existence humaine à partir de courants inspirés de la phénoménologie, lesquels rétablissent une préoccupation pour l'amitié, et le rapport à l'autre en général qui devient absolument central à leurs recherches. Il s'agit en somme d'une lecture de l'idée de Martin Heidegger d'une « sollicitude » positive qui vise à fixer les conditions d'un espace public émancipateur -si cette possibilité apparaît d'emblée exclue de l'éthique de l'être-pour-
la-mort une interprétation de Giorgio Agamben du concept d'amour chez le philosophe procure un nouveau souffle à l'analytique de l'être-avec-autrui (Mitdasein), et argumentons-nous, un éclairage original sur l'expérience de la communauté politique. Nous nous appuyons donc sur le concept de monde, que chez Heidegger, relocalise la vérité dans la concrétude de l'existence mondaine et effectue ainsi un premier dépassement d'une tradition qui cherchait à s'en extraire, et sur la philosophie de l'action de Hannah Arendt qui opère un second dépassement restituant la vérité au monde commun des apparences. La politique s'y jouant la compréhension que nous en proposons met en lumière certains écueils érigés par la métaphysique occidentale et prêche en faveur d'une reconsidération de la dimension éminemment plurielle de l'être. Elle en appelle à une ontologie plurielle -projet que, pour des raisons évidentes, nous nous contentons d'énoncer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amitié, Communauté, Politique, Pluralité, Martin Heidegger, Hannah Arendt.
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Poder e violência: Hannah Arendt e a Nova EsquerdaMagalhães, Simone Maria [UNESP] 12 September 2008 (has links) (PDF)
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magalhaes_sm_me_mar.pdf: 602801 bytes, checksum: 83c83b4d66ce66ce7efd4fa80d2aa14b (MD5) / O presente trabalho tem por objetivo analisar a reflexão empreendida por Hannah Arendt (1906-1975) acerca dos fenômenos do poder e da violência, bem como sua crítica à Nova Esquerda , crítica essa que se apresenta de forma sistematizada em seu ensaio Sobre a violência, de 1969. A distinção entre poder e violência constitui-se, pois, em tema central do pensamento político da autora, que teve como motivação para sua reflexão a Rebelião Estudantil de 1968, a guerra do Vietnã e o papel da violência no âmbito da Nova Esquerda. Com efeito, o poder, para Arendt, é inerente a toda comunidade política e resulta da capacidade de agir conjuntamente. Por outro lado, a violência, que é instrumental, se funda na categoria meio-fim, e quando recobrada no âmbito do político é responsável por fazer desaparecer o poder. Portanto, poder e violência são assuntos opostos: quando um se afirma absoluto, o outro desaparece. Do contato com o pensamento de Arendt, percebemos que seu conceito de poder foi forjado tendo como referência a tradição da polis grega, a qual, no entendimento de Arendt, lança luzes sobre a derrocada dos valores da política moderna, bem como sobre a necessidade de resgatar a diferença entre as esferas pública e privada para fazer emergir o fenômeno originariamente político. Confrontando suas idéias com as de outros autores, consideramos que a análise de Arendt sobre o poder transcende completamente as relações conflituosas constitutivas da vida política e suas instituições tradicionais. Além disso, a rejeição da ação radical da Nova Esquerda, por esta autora, em grande medida parece engrossar o coro que recusa e rechaça a utopia, que significa, no contexto do “fim da ideologia”, a negação da perspectiva socialista em favor, mais uma vez, da “democracia” e do “pluralismo” norte-americanos. / The aim of this paper is to analyze the reflexion undertaken by Hannah Arendt (1906-1975) on the phenomena of power and violence as well as her critique of the New Left, which is presented systematically in her essay On Violence (1969). The distinction between power and violence thus comprises a central theme in her political thought, which has had as a motivation for her reflexion the Student Rebellion of 1968, the Vietnam war and the role of violence within the New Left. Indeed, the power, on Arendt's account, is inherent to every political community and it is a result of the ability to act jointly. Furthermore, the violence, that is instrumental, is based upon the means-end category and whenever stablished within the political sphere becomes responsible for causing the power to vanish. Therefore, power and violence are opposite subjects: as one becomes absolute, the other vanishes. By being in touch with Arendt's thinking we come to realize that her innovative concept of power has been forged having as reference the tradition of Greek polis, which, from Arendt's understanding, casts light on the defeat of the values of the modern Politics, as well as on the need of restoring the difference between public and private spheres to cause the originally political phenomenom to emerge. By putting her thoughts with those of other authors, we consider that Arednt's analysis of power goes completely beyond the conflicting constituents of political life and its traditional institutions. Moreover, the rejection of the extreme action of the New Left, by the author, largely seems to reinforce the chorus that refuses and rejects the utopia, which means, in the end of ideology context, the negation of the socialist perspective in behalf, once again, of the American democracy and pluralism.
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Hannah Arendt e o Liberum arbitrium agostiniano / Jivago Spinola Gonçalves Ferreira ; orientador, César A. RamosFerreira, Jivago Spinola Gonçalves January 2006 (has links)
Dissertação (mestrado) - Pontifícia Universidade Católica do Paraná, Curitiba, 2006 / Inclui bibliografia / O objetivo desse texto é uma análise de discussão empreendida por Hannah Arendt acerca do liberum arbitrium agostiano. Arendt aponta uma distinção entre termos liberdade e livre-arbítrio à luz de um entendimento de como se desdobra a ação humana no espaço
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Hannah Arendt : uma filosofia da fragilidadeBosch, Alfons Carles Salellas January 2017 (has links)
Instigada pelos acontecimentos a dar resposta à experiência do totalitarismo, cujas consequências ela padeceu em primeira pessoa, a obra de Hannah Arendt é uma crítica categórica da filosofia política tradicional, iniciada por Platão. Resposta à negação da política que representaram os regimes totalitários do século XX e crítica à retirada da dignidade da política por parte da filosofia, que a submeteu à sua tutela. Segura de encontrar os fundamentos da política além do seu próprio âmbito, a tradição filosófica ocidental substituiu a reflexão e o exercício da liberdade, verdadeiro sentido da política segundo Arendt, por uma teoria do governo e da dominação que esconde a fragilidade inerente ao domínio dos assuntos humanos. Pretendemos defender que o pensamento político arendtiano tem como pressuposto básico e necessário o reconhecimento da fragilidade constitutiva da política, sem que isso implique qualquer paradoxo. Para tanto, seguimos o rastro dessa fragilidade num conjunto selecionado de textos da autora e defendemos que sua reflexão entra no campo do pósfundacionalismo. Como corolário, sugerimos que, apesar dos depoimentos da própria interessada, Hannah Arendt escreveu uma obra de filosofia política, alternativa à grande tradição, que nós chamamos de filosofia da fragilidade. / Prompted by events to give response to the experience of totalitarianism the consequences of which she suffered in first person, the work of Hannah Arendt is a categorical critique of the great tradition of political philosophy initiated by Plato. Response to the negation of politics that represented the twentieth century totalitarian régimes and critique of the withdrawal of the dignity of politics practiced by philosophy that submitted it under tutelage. Sure to find the foundations of politics beyond its own realm, the Western tradition of philosophy replaced the reflection and the exercise of freedom, the true sense of politics according to Arendt, by a theory of government and domination that hides away the inherent frailty of the realm of human affairs. We intend to defend that Arendt’s political thinking has its basic and necessary requirement in the recognition of the constitutive frailty of politics, without this incurring in any paradox. Therefore, we follow the trail of this frailty across a selected set of the author's texts and argue that her reflection enters in the postfoundational field. As a corollary, we suggest that, despite her own testimony, Hannah Arendt wrote a work of political philosophy, an alternative one to the great tradition, that we may call philosophy of frailty.
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Compreensão e política em Hannah ArendtMonti, Gil Moraes January 2017 (has links)
O mote deste trabalho se constrói a partir da noção de compreensão (understanding) em Hannah Arendt, que é trazida para o primeiro plano dos seus escritos. Esta noção não aparece de forma evidente em seus escritos, mas manifesta-se como uma linha guia que conduz seus pensamentos. Dar evidencia a tal termo não tem como razão apresentar um conceito, mas busca revelar uma atividade que se manifesta enquanto um gesto filosófico que busca dotar o mundo de sentido. A compreensão é tematizada frente ao totalitarismo, um fenômeno que rompeu com as categorias políticas de seu tempo, é a partir dele que a compreensão busca reconciliar pensamento e realidade, revelando assim o cerne do pensamento político de Arendt. No primeiro capítulo é demostrado como a compreensão se manifesta como uma forma própria de narrar os acontecimentos, e é a partir dela que busco criar uma ponte entre pensamento e realidade, retomando uma forma de filosofar que deriva de nossas experiências de mundo, e remonta um debate o qual Arendt se insere entre filosofia e política. No segundo capítulo esta perspectiva é posta frente à realidade do totalitarismo e contrastada a sua sistemática, como um fenômeno que esvazia o espaço público e destitui os indivíduos da capacidade de se reconectar com um mundo vazio de sentido. A compreensão também é contrastada com Eichmann, revelando assim essa dupla face do totalitarismo, que ao eliminar os espaços de interação, também elimina a capacidade do indivíduo exercer sua singularidade em meio à pluralidade. Este exame busca evidenciar a relevância de tal noção dentro dos escritos de Arendt revelando uma postura política que deriva de um significado gerado no mundo, mas também destacá-la como uma postura política pertinente frente a demandas políticas da modernidade. / The motto of this work is built on the notion of understanding, which is brought by Hannah Arendt to the forefront of her writings. This notion does not appear clearly in her writings, but manifests itself as a guiding line leading her thoughts. The reason for giving evidence to such a term is not to present a concept, but to reveal an activity that manifests itself as a philosophical gesture, which seeks to provide meaning to the world. Understanding is thematized in view of totalitarianism, a phenomenon that broke through political categories of its time. It is from it that understanding seeks to reconcile thought and reality, thus revealing the core of Arendt's political thinking. In the first chapter it is shown how understanding manifests itself as a proper way of narrating events, and it is based on this idea that I seek to create a bridge between thought and reality, retaking a form of philosophizing that derives from our experiences of the world, going back to a debate in which Arendt is in between philosophy and politics. In the second chapter this perspective is confronted with the reality of totalitarianism and contrasts its systematics as a phenomenon that empties public space and deprives individuals of the capacity to reconnect with a world that is empty of meaning. Understanding is also contrasted with Eichmann, thus revealing this double aspect of totalitarianism, which by eliminating spaces of interaction, also eliminates the individual's ability to exert his singularity amidst plurality. This examination seeks to highlight the relevance of such a notion within Arendt's writings by revealing a political stance derived from a meaning generated in the world, but also to highlight it as a pertinent political stance in the face of the political demands of modernity.
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What does it mean to be a pariah? : assimilation, depersonalization and uniqueness in the thought of Hannah ArendtKasper, Rafael Lembert January 2018 (has links)
Esta tese pergunta pelo sentido do pária na obra de Hannah Arendt, buscando compreende-lo dentro do sentido mais amplo do pensamento político da autora. A pesquisa teve como ponto de partida artigos reunidos na coletânea Escritos Judaicos, em que a autora tratou do pária pelo viés de experiências dos judeus europeus, sobretudo entre o século 19 e o século 20; passou por Origens do Totalitarismo (1951), texto em que Arendt definiu o movimento de exclusão e destruição de párias europeus, em especial os judeus, como o “agente catalítico” do colapso da Europa; chegando a textos como A Condição Humana (1958), em que Arendt apresentou a pluralidade e a unicidade como novos princípios requeridos pela reconstrução da dignidade humana num contexto póstotalitário. Articulando-se de forma não-monística, este texto tem, como eixos, temas da obra de Arendt como a assimilação, tentativa de absorção de judeus e outros párias pelo “social”; a despersonalização, movimento radical de dissolução da personalidade e alienação do “eu” em favor de forças históricas; e a unicidade, como condição básica de seres humanos plurais e insubstituíveis. O trabalho sustenta, de forma geral, que a experiência do pária, levando em conta sua exclusão, desaparecimento e tentativa de reaparecimento, é um exemplo fundamental para a ação e o pensamento políticos na contemporaneidade. / This dissertation questions the meaning of the pariah in Hannah Arendt’s work, aiming at its comprehension within the broader context of Arendt’s political thought. The research departed from articles published in the anthology The Jewish Writings, in which Arendt approached the pariah relying on experiences of European Jews, mainly between the 19th and the 20th centuries; dealt with The Origins of Totalitarianism, text in which she defined the exclusion and destruction of European pariahs, specially Jews, as the “catalytic agent” of Europe’s broader collapse; arrived at texts such as The Human Condition (1958), in which Arendt presented plurality and uniqueness as new principles required by the reestablishment of human dignity in a post-totalitarian world. Developed in non-monistic lines, this text deals with topics of Arendt’s work, as assimilation, the attempt of absorption of Jews and other pariahs by the “social”; depersonalization, the radical movement of dissolution of personality and alienation of the ego towards historical forces; and uniqueness, as a basic condition of plural and irreplaceable human beings. It holds, in broad terms, that the pariah’s experience, its exclusion, disappearance and attempt of reappearance, is a fundamental example for acting and thinking politically in the present world.
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Escola! Cuidado crianças : o cotidiano escolar e as (im)possibilidades de educação libertadoraSouza, José Messias Eiterer 14 December 2017 (has links)
Tese (doutorado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Educação, Programa de Pós-Graduação em Educação, 2017. / Submitted by Raquel Almeida (raquel.df13@gmail.com) on 2018-03-29T17:15:28Z
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Previous issue date: 2018-04-10 / Esta tese investiga as possibilidades e as impossibilidades do estabelecimento de princípios de educação libertadora em escolas brasileiras e tem como ponto de partida as concepções de Paulo Freire acerca da educação libertadora em oposição à educação bancária. Adota como referencial para análise o conceito de Liberdade explicitado por Hannah Arendt, além das concepções relativas a tal conceito enunciadas por Vilém Flusser e Martin Buber, dos quais são retirados, também, elementos para análise da configuração social contemporânea em face da desumanização das relações consequente ao modo de produção capitalista. Apresenta um registro da evolução histórica e social da instituição escolar, desde sua gênese na Grécia antiga, passando pelo advento de sua conformação contemporânea no período de transição entre a Alta Idade Média e a Baixa Idade Média, por sua chegada às terras brasileiras e sua evolução neste país ao longo dos séculos, até a configuração atual da escola brasileira. Na parte empírica da pesquisa são descritas duas escolas da rede pública de ensino da Secretaria de Estado de Educação do Distrito Federal, nas quais a coleta de dados foi realizada durante o período do ano letivo de 2016, com uso intenso de observações livres, entrevistas semiestruturadas ou livres, análise documental e, também, por meio de completamento de frases. Dos dados levantados emergiram cinco categorias de análise: finalidade, comportamento, alternativas, violência e burocracia, esta como um apêndice da categoria violência. Com isso é apresentada uma análise das concepções comuns de escolarização que têm estudantes e docentes e com as quais são desenvolvidas relações no ambiente escolar. É relatado, então, o quadro de opressão comum em escolas e são apontadas alternativas com vistas à superação de sua atual configuração, no sentido de permitir às novas gerações o enfrentamento das dificuldades associadas à atual sociedade da informação. / This thesis investigates the possibilities and impossibilities of establishing principles of liberating education in Brazilian schools and it has, as its starting point, the conceptions of Paulo Freire about liberating education as opposed to banking education. It adopts the concept of Freedom explicited by Hannah Arendt as reference for the analysis, in addition to the related conceptions enunciated by Vilém Flusser and Martin Buber, from which it also derives elements for analysing contemporary social configuration in the face of the dehumanization of relations caused by the capitalist mode of production. It registers the historical and social evolution of the school, from its genesis in ancient Greece, through the advent of its contemporaneous conformation during the transition period between the High Middle Ages and the Late Middle Ages, and through its arrival in Brazil and its evolution in this country over the centuries, to the current configuration of the Brazilian school. The empirical part of the research describes two public schools belonging to the State Department of Education of Distrito Federal. The data collection was carried out in these schools during the period of the academic year of 2016, with intense use of free observations, semi-structured interviews and free interviews, documentary analysis and, also, by completing sentences. From the collected data, five categories of analysis emerged: purpose, behavior, alternatives, violence and bureaucracy, the last one as an appendage of the category titled violence. This has provided a analysis of the common conceptions of schooling that students and teachers share and based on which relationships are developed in the school environment. A picture of common oppression in schools is then reported and alternatives are suggested, in order to overcome its current configuration so as to allow/help the new generations to cope with the difficulties associated d with the current information society.
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