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Les petites villes, de nouveaux centres pour le développement territorial chinois : l'exemple de la province du Zhejiang / The small cities, some new centres for the chinese territorial development : the case of Zhejiang province

Milhaud, Stéphane 05 December 2013 (has links)
Cette thèse de doctorat en géographie urbaine s'intéresse à l'évolution de l'armature urbaine depuis le début des années 1980 dans la province du Zhejiang en Chine. Les villes y ont connu de considérables changements: l'ampleur de l'urbanisation s'exprime tant dans leur évolution physique que dans leur distribution sur l'ensemble du territoire. Le Zhejiang, dont le taux d'urbanisation est passé de 13,7 à 61,6 % entre 1980 et 2010, est situé au sud de Shanghai. Il intègre une partie de la région du delta du Yangzi, l'un des bassins industriels et démographiques les plus dynamiques de Chine, et met en évidence les mutations urbaines aussi bien au sein de ce type de territoires riches et en plein essor que dans les terres en marge de leur développement. Le développement des petites villes, avec une population comprise entre 100 000 et 500 000 habitants, se révèle être le paramètre moteur de l'évolution de l'armature urbaine: alors que la province n'en compte que 13 en 1990, elles sont au nombre de 45 en 2000 puis 52 en 2010. En centrant la recherche sur ces entité : urbaines, l'étude analyse l'impact d'une politique de développement local standardisée, guidée par l'objectif prioritaire de croissance économique. À l'origine d'une promotion des petites villes au sein de la hiérarchie urbaine, ces pratiques uniformes provoquent de nombreuses fractures spatiales et socio-économiques et, en l'absence d'une planification régionale rigoureuse, n'anticipent pas une sélection urbaine déjà commencée. Les relations entre les villes et leurs périphéries rurales en sont modifiées, corollaire d'une redistribution des activités et des populations au sein d'un espace fonctionnel mixte. / This PhD in urban geography focuses on the evolution of the urban framework since the early 1980 : in the province of Zhejiang in China. The unprecedented size and rapidity of Chinese urbanization have transformed both their structure and territorial distribution. Zhejiang province, whose urbanization rate increased from 13.7 to 61.6% between 1980 and 2010, is located south of Shanghai. It covers a part of the Yangtzi Delta region, one of the biggest metropolitan areas in China, and highlights the urban transformations both within such thriving territories and in peripheral areas. The development of small cities, with a population between 100,000 and 500,000 inhabitants is proving to be the most common feature of the evolution of its urban framework: while the province had only 13 small cities in 1990, they were 45 in 2000 and 52 in 2010. Focusing on these urban entities, this research work analyses the impacts of a standardized urban planning, guided by the overriding objective of economic growth. Promoting small cities in the urban hierarchy, these planning practices nevertheless cause socio-spatial divisions. In addition, the absence of a rigorous regional planning does not anticipate an urban selection already started. The relations between urban cores and their rural peripheries are renewed, and lead to a redistribution of activities and populations in a mixed functional space. The chosen angle is to reveal the complex links between urban practices largely shared in China and socio-economic as well as space realities in order to outline the shape of the new urban framework. Small cities have new roles to play and support an on-going renewal of the urban hierarchy
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Analogies et disparités du fait urbain au Maghreb

Rousseaux, Vanessa 27 January 2000 (has links) (PDF)
A partir d'une base de données statistiques homogènes et de fonds cartographiques à différents niveaux spatiaux élaborés par nos critères, nous avons dressé un constat du fait urbain au Maghreb. La population urbaine progresse à un rythme soutenu mais donne lieu à une urbanisation qui est loin d'être un processus uniforme dans les territoires et entre les pays. La diversité des situations nationales, l'existence de traditions citadines... expliquent l'hétérogénéité des contextes urbains. L'explosion urbaine fulgurante que connaît l'ensemble du Maghreb est un phénomène récent mais dont le processus a démarré au début du 20ème siècle engendré par la colonisation et les mutations démographiques. Le système urbain des pays du Maghreb se modifie, les mutations sont particulièrement vigoureuses et elles affectent tous les échelons de la hiérarchie urbaine qui tend vers un équilibre. La volonté étatique de diffuser et d'harmoniser le fait urbain dans leur territoire s'est traduit par une stratégie reposant principalement sur les politiques économiques et administratives. Les littoraux concentrent toujours l'essentiel des villes, mais un début d'équilibrage des disparités régionales se met progressivement en place. Les dernières décennies ont vu exploser les tissus urbains et croître les populations urbaines, apparaître des métropoles, émerger des réseaux dynamiques de petites villes ce qui a profondément bouleversé l'armature urbaine de chaque pays. Cependant en près de 40 années, les pays du Maghreb ont construit et organisé des armatures urbaines répondant davantage à leurs objectifs.
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Petites villes et villes moyennes : Etat, migrants et élites locales. Cas de trois villes de la région Nord-Ouest marocaine

El Maoula El Iraki, Aziz 05 June 1999 (has links) (PDF)
Cette thèse s'interroge sur les mécanismes de développement des petites villes et villes moyennes au Maroc. Après une brève revue de leur poids démographique dans l'urbanisation du pays et des politiques publiques les concernant, des acteurs privilégiés sont mis en exergue en tant que moteur de développement. Il s'agit aussi bien des fonctionnaires de l'Etat dans leurs logiques de consommation et d'investissement que des migrants ruraux qui s'installent dans ces villes pour continuer à bénéficier de la proximité de leur espace rural d'origine. La seconde partie de la thèse est plus spécifique à trois villes de la région Nord-Ouest du Maroc choisies sur la base de critères croisés ; le poids de l'histoire urbaine et le type de rapport au pouvoir central, le niveau et le type de développement de l'arrière pays actuel. En tant que représentatives de différents types de villes intermédiaires, Chefchaouen, Souk El Arbaa et Tiflet sont alors étudiées tour à tour à travers les logiques et comportements de leurs élites économiques d'une part et dans le mode de gestion urbaine de leurs édiles d'autre part. Outre l'interrogation sur le recoupement entre élite économique et élite politique, cette thèse accorde une place primordiale aux ressources de pouvoirs des élites locales et à leur relation au pouvoir central. Si l'étude des élites locales dans le monde arabe et au Maroc en particulier ont privilégié les stratégies de cooptation du pouvoir central, cela a surtout occulté l'émergence d'une élite « non voulue » par le pouvoir central. Quelles sont les sources de légitimité internes de cette élite ? Avec la diversité des territoires se retrouve une diversité de compétences et de valeurs portées par ces élites. L'importance à accorder au « local » est d'autant plus nécessaire que les thérapeutiques actuelles du développement participatif appuyé sur un mouvement associatif supposé compétitif se généralisent sous la pression des organismes internationaux. Cette thèse répond partiellement, et sur des terrains spécifiques, à la question du renouvellement des élites et à la capacité du système politique à intégrer de nouvelles élites ancrées dans leur territoire et ayant davantage de compétences de gestion du développement local.
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Villes et urbanisation de l'Arabie du Sud à l'époque préislamique : formation, fonctions et territorialités urbaines dans la dynamique de peuplement régionale

Schiettecatte, Jérémie 13 March 2006 (has links) (PDF)
La mise en place, les transformations et les configurations territoriales des réseaux urbains de l'Arabie du Sud à la période préislamique (XIIe s. av. – VIe s. ap. J. C.) sont analysées en mettant l'accent sur la polarisation fonctionnelle des villes et sur l'articulation des fonctions au sein d'ensembles politiques. La première étape passe par la remise en contexte de l'étude, par une lecture critique des sources et par la définition des concepts de ville et de société segmentaire dans le cadre défini. La deuxième étape présente les différentes trajectoires urbaines à travers les monographies de villes significatives regroupées dans des études régionales. Elles permettent d'aborder les questions relatives à la continuité et à la résilience du peuplement régional. Enfin, une troisième étape aborde dans une perspective dynamique :<br />- les processus qui régissent l'apparition et le développement du fait urbain ;<br />- les polarités fonctionnelles qui définissent l'armature urbaine ;<br />- les représentations mentales de la ville sudarabique ;<br />- la définition des territorialités urbaines et l'évolution du réseau urbain.<br />Cette analyse systémique avance des premiers éléments pour l'élaboration d'un modèle de peuplement de l'Arabie du Sud à la période préislamique.
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Les agglomérations "secondaires" gallo-romaines dans le Massif Central : (cités des arvernes, vellaves, gabales, rutenes, cadurques et lémovices), 1er siècle avant J.-C. - Ve siècle après J.-C. / Gallo-Roman "secondary" agglomerations in the Massif Central

Baret, Florian 08 June 2015 (has links)
Parmi les formes d’organisation de l’habitat antique, il en est une qui est longtemps restée en retrait dans la recherche archéologique française. Les agglomérations antiques, qui correspondent à des formes très variées d’habitat groupé, suscitent un intérêt majeur depuis une vingtaine d’années.L’étude historiographique, à l’échelle de la Gaule, fait ressortir un espace en marge des recherches, celui des cités du Massif central. Cette thèse propose donc d’étudier les agglomérations antiques des cités arverne, vellave, gabale, rutène, cadurque et lémovice entre le Ier s. av. J.-C. et le Ve s. ap. J.-C. Les objectifs sont multiples. Il a été nécessaire dans un premier temps d’établir un corpus de sites à partir de la bibliographie régionale. Celui-ci est composé de notices normalisées au sein desquelles l’ensemble des données actuellement disponibles a été présenté. Pour répondre aux questions d’organisation spatiale et de classification, les données bibliographiques recueillies, complétées par des opérations de terrain (prospections terrestres, aériennes, géophysiques, relevés topographiques), ont été synthétisées à partir d’une série de descripteurs archéologiques développés sur le modèle d’Archaeomedes. L’emploi de ces descripteurs a permis la mise en œuvre d’analyses statistiques multivariées afin de dépasser le simple classement par niveaux de fiabilité (sites rejetés, agglomérations hypothétiques, agglomérations avérées). C’est sur la base de la classification retenue après différents tests et sur la hiérarchie urbaine proposée que les analyses spatiales et morphologiques permettent de brosser un tableau complet de l’armature urbaine des cités antiques du Massif central.Les résultats obtenus ont permis d’exposer et de comprendre à la fois les relations entre les agglomérations et le milieu naturel mais aussi avec leur environnement archéologique par l’étude de leurs relations avec l’habitat rural, les chefs-lieux, les limites des cités, leur territoire théorique, les axes de communications terrestres et fluviaux. En changeant d’échelle, l’analyse interne des agglomérations permet d’appréhender à la fois leur morphologie générale mais aussi la place des édifices monumentaux au sein des agglomérations et au sein des cités, le rôle de l’artisanat, les aménagements hydrauliques, … Pour l’analyse de l’armature urbaine, la thèse prend nécessairement en compte l’évolution chronologique des agglomérations à travers leur origine protohistorique, leur évolution durant l’Antiquité et leur devenir au début du Moyen Âge.Pour mener à bien ce travail, il a été nécessaire de croiser les approches documentaires (bibliographie, opérations de terrains), de croiser les échelles d’analyse (du site au Massif central) et de comparer les résultats à ceux des régions voisines. Passées, les analyses statistiques, c’est à partir d’un SIG et d’une base de données que l’ensemble des synthèses a pu être mené.Cette thèse constitue la première synthèse sur les agglomérations antiques des cités du Massif central. Les résultats mettent en avant l’importance des agglomérations dans le système de peuplement et des armatures urbaines variables entre les cités mais qui semblent structurées en partie par le relief et les axes de communications. Les fonctions présentes au sein des agglomérations, si elles sont variées et récurrentes, montrent des spécificités entre les cités mais aussi une hétérogénéité au sein de chacune d’elles. Enfin, l’analyse chronologique montre une réduction du nombre des agglomérations à partir du IIIe siècle mais pas leur disparition. De même, de nouvelles formes d’habitats groupés apparaissent à partir du IVe siècle attestant non pas une crise mais une évolution dans l’organisation urbaine des cités pour répondre à de nouveaux besoins. / Among the forms of organization one can observe in the ancient habitat, there is one particular structure that has been slightly ignored by French archeologists: the lesser urbanized settlements. However, in the last twenty years, small towns have attracted renewed interest.A historiographical study of the Gaul territory highlighted a less studied group of population: the ancient peoples of the Massif Central. In this thesis we intend to have a closer look at such populations as the Arvernes, the Vellaves, the Gabales, the Rutenes, the Cadurques, and the Lemovices from 1st century B.C. - 5th century A.D. We first established a corpus of sites starting with the study of the regional bibliography, which enabled us to create records for each area. We completed this first approach with several field operations such as ground, aerial, geophysical and topographical surveys. All those data were synthesized in a series of archaeological descriptors developed using the Archaeomedes model.The use of such descriptors enabled us to develop some statistical analyses and go beyond the simple reliability factor (which allows the distinction between rejected sites, hypothetical and true urbanized clusters). On the basis of our tested and proven classification, keeping in mind the suggested urban hierarchy and with the help of our spatial and morphological analyses, we were able to obtain a more complete picture of the urban framework of the ancient cities of the Massif Central.The data collected allowed us to better apprehend and understand the relation between such urban clusters and their natural environment, but also to place them in an archaeological context by studying the links between rural housing, the ancient administrative structure (chef-lieu), the city and territory limits, and the major communication routes (land and water). Through a multi-scale study of those population clusters, we were able to determine their general structure, to look at the role of local crafts and trade but also the place of major buildings, and waterworks. We took specific care to the chronological evolution in thosesmall towns by looking at them from their protohistoric beginnings through Antiquity and until early medieval times.While we cross-referenced all the different sources (bibliography and field surveys) and the analysis scales within the Massif Central, we also did a cross-comparison with other neighboring areas in order to validate such work. Besides the statistical data, we used the Geographic Information System and our database to reach our conclusions.This thesis aims at uncovering the reality of those ancient population clusters present in the Massif Central. Our results showed clearly the importance of those in the settlement system, their different forms structured according to the local geography and major trade routes. The functions/positions available in small towns were varied and recurrent but also corresponded to specific trades within each structure while remaining homogeneous.Through our chronological analysis we were able to point out a significant reduction in their numbers starting in the third century, though not their disappearing. In the 4th century new types of population clusters appeared, not as a response to an acute crisis, but more as a result of an evolution called on by new needs.

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