• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 142
  • 54
  • 14
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 278
  • 120
  • 84
  • 64
  • 56
  • 51
  • 51
  • 50
  • 46
  • 41
  • 38
  • 37
  • 36
  • 36
  • 36
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

L'Institut canadien de Montréal, 1844-1883 : le contenu littéraire de la bibliothèque

Lebeau, Armande. January 1981 (has links)
No description available.
22

Images of women by female playwrights in English Canadien drama

Walters, Evelyn January 1989 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
23

La régulation de la propagande haineuse sur l'Internet : le cas du Projet Nizkor

El Jamaï, Yasmine 12 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Ce mémoire a pour but d'exposer les différents enjeux liés à la cyberhaine et à sa réglementation. Y sont abordés les contextes juridique et réglementaire relatifs à la propagande haineuse tels que balisés par le Code criminel canadien et qui interfèrent avec le cloisonnement de ce type de contenu offensant. À cette conjoncture législative qui se pose comme un frein au contrôle de la cyberhaine s'ajoutent les caractéristiques techniques spécifiques au réseau, inventoriées subséquemment. Les méthodes de régulation prometteuses ainsi que les marges de manœuvre laissées aux différents acteurs-clés habilités à exercer un contrôle sur la cyberhaine sont également énoncées. Au terme de cette revue de littérature qui dresse le portrait des contextes juridique et technique propres à la cyberhaine et à la problématique de sa régulation, l'étude de cas exhaustive d'une ONG anti-haineuse canadienne établie sur le Net, le Projet Nizkor, est menée à bien. Le Projet Nizkor exerce une lutte contre la propagande haineuse de type révisionniste à l'égard de l'Holocauste. L'apport original de cette étude de cas réside en: • l' examen de la structure du site Web du Nizkor et de son contenu ; • une analyse thématique d'un de ses plus importants documents éducatifs et • les données d'une enquête en ligne effectuée sur le site comme tel auprès de 97 répondants. Les résultats tirés de ces trois instruments de mesure concluent à la validité de l'activisme anti-raciste sur le Net en tant que méthode nouvelle pour l'apprentissage critique, l'information et la sensibilisation à des enjeux d'intérêt public comme la propagande haineuse. Au-delà de la contribution méthodologique de ce travail, l'étude de cas sert de piste sur la façon dont les attributs spécifiques au média Internet comme l'interactivité et l'hypertextualisation peuvent être employés dans le cadre d'une éducation critique en ligne. Faisant écho à la théorie habermassienne critique des médias classiques, l'étude de cas du Nizkor s'apparente ainsi à un audit communicationnel appliqué à un site Internet et peut servir à la fois d'outil d'évaluation et de mode de comparaison entre les médias classiques et les médias électroniques.
24

Discours et identité d'un migrant canadien-français au XIXe siècle : la trajectoire de Sam Gravel

Joubert, Joanie 31 October 2012 (has links)
Dans cette étude, nous examinons la trajectoire d’un migrant canadien-français au XIXe siècle, Sam Gravel, ainsi que les changements identitaires qu’il subit en fonction des lieux de migration qu’il atteint. Sam se rend en Nouvelle-Angleterre en 1882 pendant quelques mois. Il revient brièvement au Québec puis immigre dans l’Ouest canadien en 1883 et y demeurera jusqu’en 1891. Il s’établira ensuite dans le Midwest américain jusqu’en 1897. Il rentrera finalement au Québec et s’installera dans le village de Somerset en 1897. Il décède en 1899 d’une noyade à Québec. C’est en analysant son parcours migratoire, son mode d’établissement et son discours que nous pouvons déterminer comment s’insère sa migration dans les courants de migration du XIXe siècle. Est-ce que ses choix sont représentatifs de la majorité des migrants de l’époque ? Comment ces choix influencent-ils sa perception des autres groupes ethniques ainsi que ses valeurs religieuses et familiales? Sam tient un discours qui se rapproche beaucoup de celui des Canadiens français de l’époque alors qu’il se trouve dans l’Ouest canadien et tend à s’en dégager alors qu’il atteint le Midwest américain.
25

Discours et identité d'un migrant canadien-français au XIXe siècle : la trajectoire de Sam Gravel

Joubert, Joanie 31 October 2012 (has links)
Dans cette étude, nous examinons la trajectoire d’un migrant canadien-français au XIXe siècle, Sam Gravel, ainsi que les changements identitaires qu’il subit en fonction des lieux de migration qu’il atteint. Sam se rend en Nouvelle-Angleterre en 1882 pendant quelques mois. Il revient brièvement au Québec puis immigre dans l’Ouest canadien en 1883 et y demeurera jusqu’en 1891. Il s’établira ensuite dans le Midwest américain jusqu’en 1897. Il rentrera finalement au Québec et s’installera dans le village de Somerset en 1897. Il décède en 1899 d’une noyade à Québec. C’est en analysant son parcours migratoire, son mode d’établissement et son discours que nous pouvons déterminer comment s’insère sa migration dans les courants de migration du XIXe siècle. Est-ce que ses choix sont représentatifs de la majorité des migrants de l’époque ? Comment ces choix influencent-ils sa perception des autres groupes ethniques ainsi que ses valeurs religieuses et familiales? Sam tient un discours qui se rapproche beaucoup de celui des Canadiens français de l’époque alors qu’il se trouve dans l’Ouest canadien et tend à s’en dégager alors qu’il atteint le Midwest américain.
26

L'humour, instrument journalistique dans l'oeuvre d'Hector Berthelot (1877-1895)

Gosselin, Sophie January 2007 (has links) (PDF)
L'histoire de la presse humoristique est un champ de la discipline qui a été redécouvert récemment. C'est pourquoi, jusqu'ici, l'oeuvre d'Hector Berthelot, rédacteur et éditeur de journaux satiriques à Montréal entre 1877 et 1895, a principalement été analysée sous l'angle de l'histoire de l'art. Mais cet intérêt pour l'aspect graphique des caricatures éclipse leur contenu, en plus de ne pas tenir compte du texte, qui constitue pourtant l'essentiel du travail de l'humoriste. Le présent mémoire se penche donc spécifiquement sur le propos des journaux de Berthelot. Plus précisément, il s'agit de déterminer les fonctions occupées par l'humour dans son travail journalistique. Pour ce faire, nous avons analysé les six titres dont il a été le rédacteur et l'éditeur, procédant par un examen général des journaux ainsi que par l'étude approfondie d'un échantillon représentatif. Dans un premier temps, nous brossons un portrait de l'homme et de son époque à l'aide d'extraits des différents journaux de Berthelot. Nous abordons son parcours, ses différentes feuilles, les conditions de production générales des journaux canadiens-français au XIXe siècle ainsi que la place spécifique de la presse satirique. Par la suite, nous identifions deux fonctions de l'humour dans l'oeuvre de Berthelot. La première est sa volonté d'indépendance, lui qui a évolué à l'époque de la presse d'opinion, dans un milieu très polarisé. Ne gagnant pas la faveur de son lectorat par une allégeance politique, il a eu recours à la blague pour le séduire. Ce procédé lui a donc servi à se faire pardonner de ne pas suivre l'une des principales normes régissant la presse de son temps. En s'exprimant par l'humour, notamment en employant des personnages dans des mises en scène satiriques, il a pu tenir ce discours inhabituel tout en conservant la sympathie du public. Le second objectif du ton ludique utilisé par Berthelot est de nature pédagogique. À une époque où l'analphabétisme connaissait une régression significative, il a voulu rendre ses journaux accessibles aux classes moins instruites. Il a donc employé des personnages et des images humoristiques accessibles, notamment en ayant recours aux références traditionnelles canadiennes-françaises, son public étant en grande partie issu de l'exode rural. Il a placé les décideurs de son époque dans des situations familières pour les mettre à la portée de tous, et ainsi favoriser l'intérêt populaire pour les questions politiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hector Berthelot, Histoire, Journalisme, Humour, Québec 1877-1895.
27

Discours et identité d'un migrant canadien-français au XIXe siècle : la trajectoire de Sam Gravel

Joubert, Joanie January 2012 (has links)
Dans cette étude, nous examinons la trajectoire d’un migrant canadien-français au XIXe siècle, Sam Gravel, ainsi que les changements identitaires qu’il subit en fonction des lieux de migration qu’il atteint. Sam se rend en Nouvelle-Angleterre en 1882 pendant quelques mois. Il revient brièvement au Québec puis immigre dans l’Ouest canadien en 1883 et y demeurera jusqu’en 1891. Il s’établira ensuite dans le Midwest américain jusqu’en 1897. Il rentrera finalement au Québec et s’installera dans le village de Somerset en 1897. Il décède en 1899 d’une noyade à Québec. C’est en analysant son parcours migratoire, son mode d’établissement et son discours que nous pouvons déterminer comment s’insère sa migration dans les courants de migration du XIXe siècle. Est-ce que ses choix sont représentatifs de la majorité des migrants de l’époque ? Comment ces choix influencent-ils sa perception des autres groupes ethniques ainsi que ses valeurs religieuses et familiales? Sam tient un discours qui se rapproche beaucoup de celui des Canadiens français de l’époque alors qu’il se trouve dans l’Ouest canadien et tend à s’en dégager alors qu’il atteint le Midwest américain.
28

Les mythes de Marcel Dugas : jeux de masques et posture ironique

Boisvert, Véronique January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
29

François-Albert Angers et la nation confessionnelle (1937-1960)

St-Pierre, Stéphane January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
30

Où sont nos chefs? L’absence de généraux canadiens-français combattants durant la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945)

Sawyer, Alexandre 18 March 2019 (has links)
Le nombre d’officiers généraux canadiens-français qui ont commandé une brigade ou une division dans l’armée active durant la Deuxième Guerre mondiale est presque nul. On ne compte aucun commandant de division francophone dans l’armée outre-mer. Dans les trois premières années de la guerre, seulement deux brigadiers canadiens-français prennent le commandement de brigades à l’entrainement en Grande-Bretagne, mais sont rapidement renvoyés chez eux. Entre 1943 et 1944, le nombre de commandants de brigade francophones passe de zéro à trois. L’absence de généraux canadiens-français combattants (à partir du grade de major-général) durant la Deuxième Guerre mondiale s’explique par plusieurs facteurs : le modèle britannique et l’unilinguisme anglais de la milice, puis de l’armée canadienne, mais aussi la tradition anti-impérialiste et, donc, souvent antimilitaire des Canadiens français. Au début de la Deuxième Guerre mondiale, aucun officier canadien n’est réellement capable de commander une grande unité militaire. Mais, a-t-on vraiment le choix? Ces officiers sont les seuls dont dispose le Canada. Quand les troupes canadiennes sont engagées au combat au milieu de 1943, des officiers canadiens, plus jeunes et beaucoup mieux formés prennent la relève. À plus petite échelle, le même processus s’opère du côté francophone, mais plus maladroitement. Il est plus difficile de dénicher, en raison du petit nombre d’officiers de langue française qualifiés, des chefs canadiens-français capables de commander un bataillon ou une brigade. Les efforts soutenus de la part du gouvernement fédéral et de l’armée permettront de former et d’instruire un bon nombre d’officiers francophones. Ces mesures ont donné quelques résultats, mais ils arrivent trop tard pour voir un Canadien français prendre le commandement d’une division avant la fin de cette guerre. Quel rôle ont joué les chefs militaires francophones durant la Deuxième Guerre mondiale? Quels postes ont-ils occupés? La réponse à ces questions permet de faire un portrait type de l’officier canadien-français entre 1939 et 1945. Elle tend aussi à expliquer les raisons de l’absence de généraux francophones combattants. Enfin, elle permet de mieux comprendre le cheminement que les jeunes officiers subalternes canadiens-français de 1939-1941 ont dû suivre – le même d’ailleurs que les anglophones — pour obtenir le commandement d’une brigade dans les dernières années de la guerre. Les difficultés sont les mêmes, mais elles sont sans doute accentuées pour les Canadiens français par le caractère britannique et anglophone de l’armée canadienne et le particularisme du Canada francophone. L'insensibilité au fait francophone du système militaire canadien de l'époque a eu des répercussions. Pourtant, les cadres n'étaient pas systématiquement anti-francophones; ils ne bloquaient pas leurs progressions à cause de leur langue. Pour le démontrer, nous avons reconstruit à partir d’une approche biographique les expériences des officiers francophones des grades supérieurs de l’armée outre-mer. L’étude des officiers francophones apporte une nouvelle perspective sur la présence et la participation canadienne-française dans les rangs de l’armée active pendant la Deuxième Guerre mondiale. Au final, nous usons d'un angle novateur pour améliorer nos connaissances le problème des officiers francophone dans l’armée canadienne pendant la guerre de 1939 à 1945. Notre étude démontre que l’absence de commandant de division francophone s’explique par l’âge avancé, la mauvaise santé ou l’incompétence des officiers supérieurs francophones dans les premières années de la guerre. Cette absence n’a pas été causée par une discrimination directe de la part des hauts gradés anglophones basée sur la langue ou l’ethnicité. Par contre, il est clair que l’institution militaire canadienne, calquée sur le modèle britannique et anglophone, n’a pas aidé la cause des officiers francophones. À partir de 1943, des officiers canadiens-français, plus jeunes et mieux formés, réussiront beaucoup mieux que leurs prédécesseurs.

Page generated in 0.0539 seconds